La Sainte
Vierge: Mes enfants, Je viens vous demander d'avoir la
paix et l'amour. Sans paix et sans amour entre vous,
vous n'obtiendrez pas le Ciel. Je vous demande également
le sacrifice ainsi que la prière.
Oui, Ma fille, tu dois beaucoup souffrir pour sauver les
âmes. Voilà pourquoi Je te demande l'humilité;
l'humilité, Ma fille. Il vaut la peine d'être humble
pour ensuite obtenir cela, Ma fille.
Amparo: Je veux rester ici, je veux rester, laisse-moi
ici.
La Sainte Vierge: Non, Ma fille, tu dois encore souffrir
pour parvenir à cette demeure.
Amparo: Je vois une demeure complètement jaune;
jusqu'au gazon et aux roches qui sont jaunes, avec des
éclats semblables à l'or. Les personnes que je vois dans
cette demeure sont entourées d'une auréole de lumière
jaune. Certaines d'entre elles ont les cheveux très
longs, presque jusqu'à la ceinture.
La Sainte Vierge: Baise le sol, Ma fille, baise le sol
en acte d'humilité. .. En acte d'humilité, Ma fille, en
réparation de tous les péchés du monde. Oui, Ma fille,
si tu es fidèle à Mon fils, tu l'obtiendras [la
demeure].
Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Levez tous les objets... Ma fille, tous les objets ont
été bénis. Soyez humbles, Mes enfants, sans humilité
vous n'obtiendrez
pas le Ciel. ,
Adieu, Mes enfants, Adieu.
24 mars 1984
La Sainte
Vierge: Mon Cœur déborde d'allégresse, Ma fille, en
voyant que toute l'Humanité a été consacrée à Mon Cœur
Immaculé. Le Vicaire du Christ, Mon Fils bien-aimé,
M'a consacré le globe terrestre, Ma fille. Maintenant
il appartient aux hommes de recueillir ces grâces que
Mon Cœur déverse quotidiennement pour tous Mes
enfants.
Ce rendez-vous a été très important, Ma fille, car Je
dois te donner un avis très important: prends garde à
tous ces prophètes qui accourent par dizaines à ce
lieu. lis ne parlent pas contre Dieu mais ils
n'observent pas le huitième commandement de la Loi de
Dieu, Ma fille : " Tu ne mentiras pas" ; et ils
mentent, Ma fille. lis manipulent nos Noms comme un
enfant un jouet: il le détruit. Prends- garde à ces
prophètes.
Je vais te demander aussi, Ma fille de faire une image
en l'honneur de Mon Nom, avec le blason de Mon Fils
bien-aimé, le Vicaire du Christ, en jaune et blanc.
li t'en coûtera beaucoup pour y parvenir, Ma fille !
Tu dois t'adresser directement au Cardinal. Que
personne n'entrave ton chemin, Ma fille. Pense que
l'on t'humiliera, mais Mon Fils aussi a été humilié,
et toi tu n'es pas plus que Mon Fils.
Je t'ai déjà avertie: prends garde aux faux prophètes.
lis ne par- lent pas contre Moi, mais ils agissent
contre Nos Noms, Ma fille, parce qu'ils n'observent
pas ce commandement qui fut institué par l'Eglise et
pour l'Eglise.
Vois, Ma fille: ta souffrance a été si grande, et il
vaut la peine de souffrir. Pense que tu étais une
misère et que Mon Fils est en train de te façonner
pour que tu puisses monter haut, très haut. Fais toi
toute petite, Ma fille : sois humble; il t'arrive
parfois de ne pas '!observer ce conseil de ta Mère. .
La Sainte
Vierge: n y a longtemps que tu n'as pas bu le calice
de douleur. Tu vas en boire quelques gouttes. Tu sais
bien que ce calice est en train de se vider. Prends-le
Ma fille:
Amparo: Cela aussi?..
La Sainte Vierge: Est-il amer, Ma fille ? Eh bien...
Combien
préféreraient ressentir cette amertume plutôt que
d'aller au fonds " de l'abîme! J'ai dit que Mes avis
prenaient fin, Ma fille. Mais J'ai
cette joie très grande de voir que Mon Cœur Immaculé
dépend. . ., ..
dépend de vous, Mes enfants!
Moi Je vous donne des avertissements. Je suis comme
une maman et en tant que maman, Mon devoir est de vous
avertir, Mes enfants. Lorsqu'une mère voit qùe son
fils va tomber dans un précipice, elle court après lui
et le ramène avec joie dans son giron.
Tu ne sais pas la semence qui a germé, Ma fille. Elle
est tombée sur une terre ferme. Toi, ne souffre pas
pour ces quelques semences qui sont tombées au milieu
des ronces. Elles sont tombées sur les ronces et se
sont étouffées; mais c'est parce qu'ils l'ont voulu,
Ma fille, car depuis bien des années Je donne des
avertissements pour qu'ils se convertissent.
Pénitence, Mes enfants, pénitence et sacrifice avec la
prière. Faites des visites au Très Saint Sacrement,
Mes enfants. Mon Fils est triste et seul.
Je veux que cette image soit emmenée à Rome pour que
le sou- venir de Mon fils soit éternel, Ma fille.
(Elle se réfère au Pape Jean Pau! Il).
n va t'en coûter d'exécuter Ma demande, mais avec Mon
aide tu y parviendras.
Levez tous les objets, Mes enfants... Tous ces objets
ont été bénis, Ma fille. ns serviront pour le salut
des âmes. Le plus important, c'est l'âme. C'est ce qui
a le plus d'importance. Je te l'ai dit maintes fois:
le corps ne sert même pas de fumier, Ma fille.
Je vous
bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit, par
l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
L'humilité, Ma fille, Je te demande l'humilité. Si
l'on te calomnie, Ma fille, humilie-toi. A Mon fils,
on le calomniait, on l'appelait" le possédé, le
vagabond" : et le disciple ne sera pas au-dessus du
maître, Ma fille. Baise le pied, en récompense de tes
souffrances. ( Amparo donne un baiser très fort en
l'air avec une grande joie).
Adieu. Mes enfants, Adieu.
résumé
Amparo revient au Prado Nuevo après plusieurs mois de
maladie.
La Vierge arrive toute resplendissante, très
souriante
" Mon Coeur déborde de joie en voyant que tous les
humains ont été consacrés à mon Coeur Immaculé par le
Vicaire de Christ; mon Fils aimé." (fait le 25 mars
1984 par le Pape et simultanérnent en Russie par Mgr
Hnilica).
"Je dois donner un conseil très important: attention à
tous ces (faux) prophètes qui viennent par dizaine en
ce lieux. Ils ne parlent pas contre Dieu, mais ils
mentent, ils utilisent Nos Noms comme un enfant un
jouet: ils les détruisent...
soit humble; parfois tu ne respecte pas cet ordre de
ta Mère."
1er avril 1984
La Sainte
Vierge: Ma fille, Je viens donner des précisions sur
certains points.
Dans Mon message de samedi, certaines personnes ont eu
des doutes sur trois points, Ma fille. Elles t'ont
interrogée mais tu n'as pas su que répondre. Toi
aussi, tu as douté, Ma fille... (Amparo, très peinée,
se met à pleurer. Ne pleure pas, Ma fille. Tu as très
peu d'humilité pour douter de Mes questions.
Auparavant tu M'as interrogée et Je ne t'ai pas
répondu. Mais Je voulais que tous ceux qui sont ici
présents, sussent que tu as très peu d'humilité, Ma
fille. Avant de préciser ces trois points, baise le
sol, Ma fille, pour ton humilité, Ma fille, et pour
tous les hommes.
Je vais répondre à ta première question qui concerne
le Cardinal, Ma fille. Il y a longtemps que Je t'ai
demandé d'aller parler à l'Archevêque. Ma fille, tu
n'as pas fait ce que Je t'ai demandé. C'est pourquoi,
Je te demande maintenant d'aller rencontrer
l'Archevêque et d'aller vers le Cardinal.
Le second doute concerne l'Eglise; sur les
commandements de l'Eglise, parce que Je t'ai dit
qu'ils avaient été institués à cause de
l'Eglise et pour l'Eglise. Oui, Ma fille, parce que
tout être humain
est Eglise, Ma fille. Et comme tous les humains sont
Eglise...
(Incompréhensible à cause des sanglots) c'est pourquoi
Dieu a établi les
commandements pour l'Eglise et à cause de l'Eglise, Ma
fille. Et
vous êtes tous Eglise
Quant au troisième point, Ma fille, il concerne la
Consécration du Monde. Le Monde a été consacré
Dimanche. Et Je vous ai demandé de vous unir à Mon
Fils bien-aimé, le Vicaire du Christ, pour que la
Consécration n'ait pas lieu le même jour. Mais la
Consécration était déjà dans la pensée de Mon Fils
bien-aimé. C'est pourquoi Je te dis que as peu
d'humilité pour douter de Moi, Ma
. fille. La raison de Ma présence, Ma fille, était de
donner des précisions sur ces points.
Maintenant tu vas baiser le sol pour les pauvres
pécheurs... Pour les pauvres pécheurs, Ma fille, en
réparation de tous les péchés du monde.
Je voulais seulement t'avertir d'être humble et de ne
jamais douter de Mes paroles, même si l'on te dit que
l'ennemi peut semer la confusion et que cela pourrait
bien être l'œuvre de l'ennemi.
Va de l'avant, Ma fille, car un jour Je t'ai dit :
L'ennemi ne pour- ra jamais faire de bonnes œuvres; il
détruit toujours et ne construit jamais. C'est
pourquoi Je demande l'humilité, car avec l'humilité,
l'ennemi ne peut pas s'emparer des âmes, Ma fille. Et
ne doute pas; il faut que tu sois très humble, très
humble.
Ne pleure pas car l'humilité, c'est à chacun de se la
proposer. Amparo: Tant de choses! il Y a tant de
choses!
La Sainte Vierge: Mais Ma fille, à quoi cela leur
sert-il aux
hommes de jouir de toutes ces choses qu'il y a dans le
monde, si en une seconde, ils perdent leur âme, Ma
fille ?
Amparo: Aide-moi, aide-moi!
La Sainte
Vierge: Moi, Je t'aide Ma fille. Mais pense que tu es
victime, victime de réparation pour tous les péchés du
monde. L 'humilité et le sacrifice: sans sacrifice et
sans humilité vous ne pourrez parvenir au Ciel, Mes
enfants.
Ne doutez pas des messages du ciel. On ne saurait
jamais les
confondre
avec ceux de l'ennemi. Et ne suivez pas de faux
prophètes. Le monde est infesté de faux prophètes.
Je vais vous donner Ma bénédiction, Mes enfants. Je
vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit, par
l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Mes enfants, pour que vous voyiez que votre Mère vous
aime, Je vais bénir tous vos objets. Levez tous les
objets... Tous ces objets ont été bénis et serviront
pour la conversion des pécheurs.
Adieu, Mes enfants. Adieu.
7 avril 1984
La Sainte
Vierge: Ma fille, cet avertissement sera bref:
implorez, Mes enfants, pour cette fausse paix qui
règne dans le monde. Je vous demande, Mes enfants, de
prier pour la perversité des hommes, afin qu'ils
n'offensent plus Dieu, car Il est très ou- tragé.
Sa Divine Majesté, la Divine Majesté du Père va
envoyer un châtiment sur toute l'Humanité.
Mes enfants, tous ceux qui se disent enfants du Christ
et obser- vent les commandements, entreront dans le
Royaume des Cieux.
f Mais combien sont tenus pop! grands saints aux yeux
des hommes, \ Mes enfants, mais offensent le Père
Eternel !
Regarde, Ma fille. Je t'ai très souvent montré dans
quel état les péchés des hommes mettent le corps du
Christ. .. ( Amparo sanglote encore plus en tlqyant
les anges qui montrent le corps du Christ",totalement
défiguré par les péchés de l'Humanite). Avec le
sacrifice et la prière, Mes enfants, beaucoup d'âmes
se sauveront parce que nous sommes à la fin des fins,
Mes enfants.
Priez pour les âmes consacrées, Mes enfants. Mon Cœur
les aime tant !... Et comme elles répondent mal à cet
amour !...
Toi, Ma fille, tu dois être humble; tu sais que Mon
Fils t'a choisie comme victime de réparation.
Les hommes
sont ingrats, Ma fille ; ils ne répondent pas aux
grâces que Mon Cœur déverse chaque jour.
Je vais donner Ma bénédiction à tous ceux qui sont ici
présents. Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père
vous bénit, par l'inter- médiaire du Fils et avec le
Saint Esprit.
Levez tous les objets, Mes enfants. Ils seront tous
bénis. Ces objets, Mes enfants, servent pour la
conversion des pécheurs.
Plusieurs de ceux, qui sont ici présents vont être
marqués, Ma fille. Plusieurs de ceux qui sont ici
présents ont été marqués. Mais ils doivent
correspondre à ce sceau, Mes enfants. Vous devez être
fermes dans la foi, Mes enfants; dans la charité, Mes
enfants, car s'il n'y a pas de charité, on ne peut
aimer son prochain. C'est la vertu. .. la charité et
l'humilité sont les vertus les plus grandes pour
entrer dans le Royaume des Cieux, Mes enfants, mais il
faut tou- jours mettre la foi au premier plan.
Et toi, Ma fille, offre-toi comme victime pour les
pauvres pécheurs.
Adieu, Ma fille. Adieu.
8 avril 1984
La Sainte
Vierge: Ma fille, Je vais t'indiquer l'endroit où la
Chapelle devra être édifiée... (Amparo suit en extase
les indications de la Très Sainte Vierge).
Déchausse-toi, Ma fille. Depuis cet endroit jusqu'au
dernier arbre, Ma fille, en longueur et en largeur; en
largeur, Ma fille, jusqu'à ce lieu... ( Amparo va
jusqu'à !arbre, pieds-nus, au milieu de la boue et des
pierres). J'ai déjà tout dit, Mes enfants. Prenez les
mesures de ce lieu, Mes enfants, en longueur et }en
largeur. Reviens, Ma fille, à l'endroit où tu étais...
(Amparo,
en extase, revient au point de déparf). Et maintenant,
Ma fille, Je voulais simplement te dire comment
J'aimerais que Ma chapelle fût; qu'on y vienne de
toutes les parties du monde et que l'on puisse entrer
dans cette Chapelle, Ma fille. Prenez les mesures de
l'endroit que Je vous ai indiqué. n n'y a pas
d'excuse, Ma fille, parce que Je t'ai déjà tout dit.
Amparo: (En larmes) Cela ne dépend pas de moi, non,
cela ne dépend pas... Ah!...
La Sainte Vierge: Je t'ai dit d'aller parler à l'Evêque,
Ma fille ; il y a longtemps que Je te l'ai demandé.
Amparo: (en sanglots) Ah, je ne peux pas, c'est
impossible d'aller là-bas! ...
La Vierge: Vas-y, Ma fille, c'est le moment. Et
ensuite, Je te J~ demanderai d'aller chez le Cardinal.
L'image, Ma fille, que j'ai
f demandée, il faut la faire, mais auparavant, il faut
aller parler avec l'Evêque ; voilà pourquoi Je Me
manifeste aussi souvent, parce que Je veux que l'on
obéisse à ce message.
Amparo :Je ne peux pas, ah, je ne peux pas, je ne
peux pas, ah...! (On ne perçoit pas nettement ces mots
à cause de la fatigue et des pleurs).
La Sainte Vierge: Va où tu voudras, Ma fille.
Décide-toi; mais n'attends pas une minute, Ma fille.
Tu vas souffrir. On va te traiter de folle.
Amparo: Non, Toi ne le permets pas; cela non.
La Sainte Vierge: Je t'ai déjà dit, Ma fille que ton
destin, c'est d'être victime. Ma fille, obéis à Mes
messages; si ensuite, ils refusent ce que Je demande,
cela ne dépendra pas de toi.
Baise le sol, Ma fille, en réparation de tous les
pécheurs. ..
Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l'in- termédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Adieu, Mes enfants. Adieu.
14 avril 1984
La Sainte
Vierge: Ma fille, en ces jours, le sacrifice et la
prière ont beaucoup de valeur.
Pellsez au Christ, Mes enfants, au Christ sur la Croix
mourant pour toute l'humanité. Que votre charité, Mes
enfants, jaillisse du fond de votre cœur et non de vos
lèvres. Vous pouvez aider le rChrist à porter la
Croix, Mes enfants; la Croix, elle est pour tous ceux
qui l'acceptent humblement.
Toi, Ma fille, sois humble, et offre-toi comme Je te
l'ai dit, en victime pour le salut des âmes.
Baise le sol, Ma fille, en acte de pénitence...
Cet acte d'humilité sert pour le salut des âmes, Ma
fille. C'est pourquoi, en ces jours, Je demande, le
sacrifice, Mes enfants; le sa- crifice accompagné de
la prière.
Si en ces jours, Mes enfants, un mendiant frappe à
votre porte,
1recevez-le avec amour. Que votre charité jaillisse du
cœur; ce pourrait être Jésus-Christ qui, en mendiant,
teste votre charité, Mes enfants. Regarde, Ma fille.
.. vois Mon Cœur. Il y a longtemps que tu ne le vois
pas. Il est entouré d'épines à cause de toutes les
âmes consacrées; à cause de celles,qui ne remplissent
pas leurs engagements. Enlève une épine, Ma fille,
celle qui se trouve au centre de Mon Cœur. ..; mais
tire-la, tire-la. Mon Cœur est douloureux car les
hommes ne cessent d'offenser Dieu.
Tu vas boire encore quelques gouttes du calice de
douleur, Ma fille. Ce sont des jours très importants
pour l'Humanité. Si elle faisait des sacrifices, si
l'Humanité. . . beaucoup d'âmes se sauveraient. Prends
le calice, Ma fille. Il est très amer. C'est ainsi que
Mon Cœur ressent l'amertume pour les péchés des
hommes.
Je t'ai dit que le calice était en train de se vider.
Mais, Ma fille, vois comme il en reste peu dans le
calice, et lorsqu'il sera vide, le châtiment qui
tombera sur l'Humanité sera horrible.
C'est
pourquoi Je vous demande, Mes enfants: PRIEZ LE SAINT
ROSAIRE. J'AIMERAIS QUE L'ON RECITE LES TROIS PARTIES
DU ROSAIRE ET QU'IL SOIT OFFERT POUR LE SALUT DES AMES.
L'enfer est terrible, Mes enfants. Si d'aucuns pensent
que l'enfer n'existe pas, c'est un mensonge, Mes
enfants. Si l'on vous a dit que Dieu est
miséricordieux et qu'Il ne vous punira pas... Dieu est
miséricorde et amour, Mes enfants, mais envers ceux
qui demandent pardon de leurs fautes.
C'est pourquoi, Mes enfants, Je vous demande le
sacrifice. Je vous le demande de toute la force de Mon
Cœur. Sacrifice! Aidez (à sauver ces ânles qui ne
veulent pas recevoir la grâce de Mon
Cœur.
Baise à nouveau..le sol, Ma fille, pour les âmes
consacrées. Mon Cœur les aime tant! Et comme elles
répondent mal à cet amour ! Tout cela sert, Ma fille,
pour ces pauvres ânles. Implorez pour elles, Mes
enfants, elles sont faibles et le démon qui est très
rusé,
il obscurcit leurs intelligences; Je vous l'ai dit,
Mes enfants, il leur montre le chemin des plaisirs
pour s'emparer de leurs âmes.
C'est pourquoi, Mes enfants, vous pouvez aider tant d'ânles
! Beaucoup d'ânles se condamnent parce que personne,
personne ne pense à faire une prière pour elles.
Je vous demande et vOU$ redemande de faire des
sacrifices et
d'être humbles, Mes enfants.
Je vais vous donner Ma bénédiction, par
l'intermédiaire du Père, du Fils et du Saint Esprit.
Ces jours-ci, Mes enfants, c'est une bénédiction
spéciale. Levez tous les objets. Ils sont tous
bénis...
Adieu, Mes enfants, Adieu.
15 avril 1984
La Sainte
Vierge: Aujourd'hui aussi Je suis présente, Mes
enfants. Pour toi, c'est une très grande épreuve car
les hommes ne
peuvent pas croire que Moi Je puisse Me manifester
tant de fois ! Qui sont-ils pour dire combien de fois
Je peux Me manifester pour qu'ils se convertissent?
Tout ce que Je viens de te dire, sera pour toi très
dur, Ma fille. T9ut ne sera pas facile; ne crois pas
que Mon Fils te facilitera les choses. Tu devras
lutter, Ma fille, tu devras souf- frir ; mais tu le
sais, Ma fille... qu'il n'y a pas de souffrance sans
récompense. C'est pourquoi, Ma fille, Je te dis que
les hommes sont cruels. Je Me manifeste aussi souvent
parce que Je désire que l'on accomplisse ce que Moi Je
veux. n y a quelque temps, J'ai dit qu'il Me plairait
qu'en ce lieu, l'on édifie une chapelle en l'honneur
de Mon Nom; et quelle attention prête-t-on à Mes avis,
Ma fille ? Tu dois beaucoup prier pour les âmes
consacrées. Pense au Christ, Ma fille ; pense à la
croix que Jésus t'a donnée. Et même si les humains
disent que Je ne peux pas Me manifester, n'en tiens
pas compte, Ma fille car Je suis réellement présente.
Tu me demandes de faire un miracle et cela serait
simple pour tous.
Amparo: Fais-le; je Te demande de faire quelque chose
pour qu'ils croient; car ils ne croient pas. Fais
quelque chose!
La Sainte Vierge: Pour toi, le salut des âmes n'a t-il
pas un sens, Ma fille ? Là est le plus grand miracle;
les hommes deman- dent pour leur corps alors que leur
âme est vide. Toi, Ma fille, fais cas de Mes avis. Ne
te laisse guider par personne.
Comme Mon Fils te l'a dit une fois, Moi Je Me
manifeste quand Je veux et où Je veux. Baise le sol,
Ma fille... Cet acte d'humilité, Ma fille, sert pour
le salut des âmes consacrées. Aujourd'hui Je te donne
l'autorisation de tirer une autre épine, Ma fille ;
une autre âme consacrée s'est purifiée. Tire-la!
Amparo: (Fait ce que la Vierge lui demande, en
sanglotant " c'est pourquoi les mots suivants sont
quasi incompréhensibles). Ah, quelle douleur. .. ! Ah,
quelle douleur. .. ! Quelle douleur. .. ! Quelle
douleur...!
La Sainte Vierge: Oui, Ma fille, tu ressens cette
douleur dans ton cœur; eh bien vois comment est le
Mien.
[En ces jours, Ma fille, on peut sauver beaucoup
d'âmes par le sacrifice. Jev~us l~ demande à vous tous
qui êtes i~i présents, Mes enfants. Et tOI, SOIS
humble et ne doute pas de MOI, parce que Je te l'ai
dit :Je peux Me manifester à tout moment et où Je
veux, Ma fille. Qui sont les hommes pour M'interdire
l'endroit où Je dois apparaître?
Amparo: Ah, ah, ah,... aide-moi! Aide-moi! Aide-moi!
Aide-moi! Aide-moi! (Ces paroles sont peu audibles en
raison des sanglots
ininterrompus) .
La Sainte Vierge: Je t'aide, Ma fille ; mais les
victimes doivent souffrir. Et tu sais que Je t'ai dit
que ton temps approche et tu dois souffrir tout le
temps qu'il te reste. Beaucoup d'âmes se sauveront, Ma
fille. De faux prophètes continuent d'accourir à ce
lieu; prends garde: que l'on ne te trompe pas. Et toi
pense que Mon fils choisit des âmes incultes et
humbles, pour confondre les puissants. Voilà pourquoi
Il choisit toujours des âmes humbles; Il a rarement
choisi des âmes savantes, Ma fille. En ces jours Je
veux, Mes enfants, que vous fassiez beaucoup de
sacrifices et de prières et que vous demeuriez en
silence. Toi, sois humble; Je te l'ai dit très
souvent: l'humilité est la base principale et elle
détient la clef de ta demeure, - Ma fille ; mais sois
toujours'victime de réparation. Baise à nou~eau le
sol, Ma fille, pour la conversion de tous les
pécheurs... N'aie pas honte, de cette humiliation.
Pense que celui qui s'humilie, sera élevé, Ma fille.
Bois une autre goutte du calice de douleur.. .
Amparo: C'est très amer.
La Sainte Vierge: Une goutte. . . Amparo: C'est amer.
La Sainte Vierge: La dernière est la plus amère, Ma
fille, parce
que Mon Cœur souffre chaque jour davantage en voyant
que les hommes ne changent pas. Voilà pourquoi Je vous
demande le sacrifice, Mes enfants... Pleure, Ma fille,
car Moi aussi J'ai pleuré au pied de la Croix et Je
continue à pleurer pour tous Mes enfants, pour tous.
Ici il n'y a pas de distinction de races. Je vais vous
don- ner Ma bénédiction, Mes enfants. Je veux qu'avec
cette bénédiction vous vous corrigiez chaque jour de
vos défauts. Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père
vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec le
Saint Esprit. Beaudoup seront marqués, Mes enfants...
Ne dis pas les noms, Ma fille ; mais toi tu sais bien
que d'un regard ils peuvent comprendre qui a été
marqué, Ma fille. Sois humble et fais des sacrifices.
Il manque des âmes victimes, parce que J'ai dit que Je
)voulais choisir des apôtres des derniers temps.
Voyons qui d'entre vous, Mes enfants, se corrige le
plus de ses défauts pour être apôtre! (Ensuite Elle
donne une vision à Amparo, qui se met à sangloter
amèrement devant ce qu'elle voit).
Amparo: Ah, regarde ce qu'il y a là-bas! Ah..., ah,
c'est... c'est horrible! Et cela existe aussi? Ah, ah,
ah,... ! Mais comment cela se peut-il? Mais Dieu
peut-Il faire aussi cela ?
La Sainte Vierge: Ce n'est pas Dieu qui fait cela, Ma
fille ; ce sont les hommes parce qu'ils clouent
journellement Mon Fils, ils n'ont pas compassion de
son corps, car, disent-ils, Mon Fils ne
souffre pas. Mon Fils continue de souffrir, Ma fille,
parce que pour ( Lui, le temps n'existe pas, il n'y a
ni passé, ni futur, tout est présent; .. et dans ce
monde présent, les hommes empirent de jour en jour.
Amparo: Ne les punis pas ainsi, ne les punis pas
ainsi... Pardonne-leur. Là-bas... ne les emporte pas
là-bas ! Pas à cet endroit-là ! Pas à cet
endroit-là...! Emmène-les dans l'autre lieu !
La Sainte
Vierge : Tous ceux qui l'auront mérité, Ma fille,
iront à l'autre lieu.
Quant a toi, ne dis Jamais: " Comment Dieu peut-il
faire cela ", Ma fille. Tu es orgueilleuse parce que
tu ne comprends pas que ce n'est pas [la faute de]
Dieu, mais ce sont les hommes qui se précipitent dans
l'abîme.
Baise le pied, Ma fille. Adieu, Mes enfants, Adieu.
21 avril 1984 "Christ est
sur le point de revenir dans une nuée entouré d'anges"
(parousie.) elle répète: "la proximité du grand
châtiment, ce qui concerne le âmes consacrées, les
souffrances de son coeur,
le petit nombre de ceux qui se sauvent..."
La Sainte
Vierge: Ma fille, Mon Fils a dit aux Apôtres: "Je M'en
irai, Mes enfants, et vous ne Me reverrez plus
maintenant, mais après Je viendrai vous chercher ".
Oui, Ma fille, Il est parti, Il est retourné auprès de
Son Père, mais sais-tu pourquoi: pour préparer les
demeures. Les demeures sont prêtes pourJ:ous ceux qui
voudront demander pardon pour leurs péchés. Mais, ne
savez-vous pas, Mes enfants, qu'avant de s'en aller
Mon Fils a dit : " L'Esprit-Saint viendra pour vous
préparer à atteindre ces demeures" ?
Vous ne faites pas cas, Mes enfants; mais le temps
presse et vous ne changez pas. Si les hommes ne
changent pas, Je Me verrai dans l'obligation de
laisser tomber le bras pesant de Mon Fils. Voilà
pourquoi Je vous dis, Mes enfants: Le Christ est sur
le point de revenir sur une nuée, mais entouré
d'anges; et tous ceux 'qui ne seront pas à sa droite,
n'entreront pas dans le Royaume des Cieux.
)Ne croyez pas qu'il s'agisse de politique, Mes
enfants; la droite du Père est pour tous les élus, et
non point pour tous ceux qui sont
: de droite, comme beaucoup d'entre vous le pensent.
Ne mêlez pas la politique à ce Rosaire, Mes enfants;
la politique sert à se condamner. Soyez humbles et
mettez en pratique les commandements
car le Christ va descendre avec Sa grande puissance et
Sa grande majesté; et Il rétribuera chacun selon ses
œuvres, Mes enfants. Je vous l'ai dit très souvent:
lorsque Mon fils est monté au Ciel, Je suis demeurée
seule sur la Terre, très seule, Mes enfants; mais J'y
suis restée pour donner témoignage de Mon Eglise. Ma
pauvre Eglise ! Qu'en dnt-ils fait? Vois, Ma fille,
Mon Cœur est triste.
Mais cette tristesse, Mon Cœur la ressent parce que Je
vois que les temps approchent et les hommes ne cessent
d'offenser Dieu. Le châtiment sera horrible.
Amparo: Donne-leur du temps, davantage de temps,
donne-leur plus de temps.
La Sainte
Vierge: Vois, c'est très proche: de grandes villes
S'effondreront, Ma fille. Il semblera comme Je l'ai
dit d'autres fois... ce sera pire que quarante
tremblements de terre consécutifs. Et tout cela parce
que les hommes ne cessent "d'offenser Dieu. Ne l'of-
fensez pas davantage, Mes enfants, car Dieu le Père va
décharger sa colère d'un moment à l'autre.
Priez pour les âmes consacrées, Mes enfants. Mon Cœur
les aime tant! mais elles ne répondent pas à cet
amour. A combien d'entre elles, Ma fille, le démon
obscurcit leur esprit pour les pré- cipiter au fond de
l'abîme! Soyez humbles, Mes enfants, et faites des
sacrifices, sacrifice, Mes enfants et prière. Baise le
sol, Ma fille, pour les âmes consacrées; elles
paieront pour leur péché et pour les fautes de ces
âmes qu'elles entraînent dans l'abîme. Priez pour
elles, Mes enfants; elles ont besoin de beaucoup de
prières. Soyez humbles, car sans humilité, vous ne
pouvez atteindre le Ciel.
Enlève une autre épine de Mon Cœur, Ma fille, Wie
épine d'une autre âme consacrée. Mon Cœur est encerclé
d'épines; tout le cen- tre de Mon Cœur en est aussi
criblé...
Mon Cœur ressent, une grande douleur! Mais en même
temps il ressent une grande joie, pour une seule âme
qui s'est purifiée.
Tu vas écrire un nom dans le Livre de la Vie, Ma fille
; il Y a longtemps que tu n'en n'îls pas écrit. Prends
le stylo, Ma fille... Il y a un nom de plus dans le
Livre de la Vie, Ma fille. Vois-tu comme il vaut la
peine de faire des sacrifices, même pour une seule âme
qui se purifie! Ce nom, Ma fille, Je te l'ai donné en
récompense de tes souffrances. Il y a un nom de plus.
Aujourd'hui Je vais te donner toutes les épreuves.
Prends le calice de douleur et bois quelques gouttes.
Comme il en reste peu!
Amparo: Je ne veux pas le boire encore afin qu'il
reste plus de temps.
La Sainte Vierge: Tu dois boire une goutte de plus
parce que les hommes n'ont pas de douleur d'offenser
Dieu... Le fond est très amer, Ma fille, parce que
c'est la fin des temps qui approche. Vois comment sera
le monde, comme un désert. On ne verra que
rdes cadavres partout. Mais tous ceux qui feront
partie des élus,
seront comme en extase, Ma fille; et ils ne seront
absolument pas affectés dans leur corps.
Amparo: Et tous ceux-là? Ah, tous! Ah, ne les emporte
pas tous, non.
La Sainte Vierge: Je t'ai déjà dit, Ma fille, que
beaucoup seront ~ appelés mais peu franchiront cette
porte. Vois comme cette porte
est petite! Par ici il en rentre peu, Ma fille ; mais
regarde ce chemin, comme il est large; combien vont au
fond du précipice! Voilà pourquoi, Mes enfants, Je
vous donne tant d'avertissements pour que vous vous
sauviez. Vous êtes encore à temps, Mes enfants; sa-
crifice, sacrifice et prière. Avec la pénitence, les
sacrifices et les prières, vous sauverez vos âmes.
Baise à nouveau le sol, Ma fille, pour la conversion
des pauvres pécheurs... C'est acte d'humilité sert
pour le salut des pauvres pécheurs.
Levez tous les objets. C'est un jour très spécial, Ma
fille. Je vais bénir tous vos objets... Ds sont
bénits; avec ces objets, vous pou- vez convertir tant
d'âmes, Mes enfants...
Je vais te donner une récompense, Ma fille, non point
parce que tu es humble, mais en raison de tes
souffrances. Baise le pied... Tu [dois être plus
humble; avec l'humilité, tu pourras aider beaucoup
d'âmes. Je vous demande l'humilité, Mes enfants et le
sacrifice. Combien de fois Je vous répète: le
sacrifice! Mais vous en faites bien peu! Ce n'est pas
parce que vous récitez un, deux ou trois
A chapelets que vous vous sauverez, Mes enfants; mais
c'est avec le sacrifice et la pénitence, c'est avec
cela que vous obtiendrez le salut; et mettez en
pratique les dix commandements. Approchez- vous de
l'Eucharistie; mais auparavant, Mes enfants,
approchez- vous du Sacrement de la Confession. Toi, Ma
fille, sois humble.
Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l'in- termédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Adieu, Mes enfants, adieu.
22 avril 1984
Résurrection:
"Tu as vu les trois bourreaux (Cf agression contre
Amparo du 26 mai 1983) offre pour eux des sacrifices,
considère les comme des amis. Ce qui est mal, ce n'est
pas d'éprouver de la peur, mais d'éprouver de la
rancoeur."
La Sainte
Vierge: Me voici, Ma fille. Ne crains rien. Tu as vu
tes trois bourreaux. Offre tous tes sacrifices pour
eux, Ma fille. Pense à ces trois bourreaux qui
fouettaient Mon Fils. Ne les considère pas comme des
ennemis, mais comme des amis.
ils sont cruels, Ma fille. il ne leur a pas suffi de
te martyriser, ils sont venus aussi te faire peur. Ne
crains pas; ils peuvent tuer ton corps, mais ton âme,
personne ne pourra la tuer... N'aie pas peur, Ma
fille.
Amparo: Je n'ai pas peur, mais je les ai vus ici. Ah
1 Je les ai vus! Ah, je les ai vus !
La Sainte Vierge: Prie pour eux, Ma fille. Le démon
s'est emparé de leurs âmes. il en a pris possession...
N'ayez crainte, Ma fille. N'ayez crainte. Soyez
sereins, Ma fille. Ne courez pas. Soyez humbles, Ma
fille. Soyez humbles. Vous n'ob- servez pas ~es
commandements]. Vous ne pardonnez pas, Mes (enfants.
Pardonnez à vos ennemis. Si vous vous condamnez à
cause de vos ennemis, Mes enfants, éloignez-vous
d'eux; mais si vous voyez que vous pouvez leur venir
en aide avec votre grâce, Mes enfants, avec votre... (
Amparo pleure). Demande des grâces pour eux, bien que
Je t'ai dit, Ma fille, qu'il y a tellement de
méchanceté chez les hommes que c'est l'ultime degré de
la perver- sité... S'ils n'ont pas compassion de Mon
Fils, s'ils L'ont martyrisé et outragé, comment toi
seras-tu plus queJe Christ Jésus?
Amparo: Je leur pardonne, je leur pardonne. Je leur
par- donne. ils étaient en train de se moquer de moi.
.. Ah !
La Sainte Vierge: Pardonne, Ma fille. Si Je n'avais
pas pardon- \né à tous ceux qui ont maltraité Mon
Fils, il n'y aurait plus d'homme sur la Terre. Pense
au Christ Jésus; pense à ce qu'il a souffert pour
toute l'Humanité. N'aie pas peur, Je te le répète! Ils
pourront tuer ton corps, mais ton âme, jamais. Baise
le sol, Ma fille pour le salut de tes ennemis. En ce
moment, pense que le démon a pris possession de leurs
âmes.
Aujourd'hui, c'est un très grand jour pour les hommes.
Mais Mon Fils continu de souffrir. Il souffre parce
qu'il y a des âmes perverses. Mais Moi Je te demande
de prier pour elles, même si elles ne veulent pas
recevoir la lumière divine.
Ne pense pas à tes souffrances, Ma fille. Pense au
Christ sur la Croix qui mourait pour toute l'Humanité
alors qu'Il était innocent, Ma fille. Je te l'ai
souvent dit et tu le sais, le disciple n'est pas au-
dessus du maître.
Sacrifice, Mes enfants; Je vous le dis et redis:
sacrifice et pri- ère; ne gardez pas de rancœur envers
vos ennemis. Vois comment est Mon Cœur, Ma fille. Il
souffre pour eux tous. Tes trois bour- reaux sont là,
ils sont tiens aussi, Ma fille.
Enlève une autre épine. Une épine de cette âme s'est
purifiée... Ils se moqueront de toi, Ma fille ; ils
t'humilieront, mais pense
que celui qui s'humilie sera élevé, Ma fille. Baise à
nouveau le sol. . . Cela sert pour le salut des âmes.
Ne pense plus à tes ennemis. Pense toujours que le
corps ne sert même pas comme fumier. Combien de fois
te l'ai-je dit, Ma fille : tous ceux qui sont attachés
aux choses terrestres -et parmi elles, il y a la
chair- Ma fille, pense que la chair ne sert à rien. Si
l'on tue ton corps, nous accueillerons ton âme, et
c'est cela qui importe.
Mon Fils est glorieux, Le vois-tu, Ma fille ? Mais
pour peu de temps '; sous peu, tu Le verras avec une
croix sur le dos, car, comme Je te l'ai dit en
d'autres occasions, pour Mon Fils, il n'y a ni passé
ni futur, tout est présent. Et les hommes ne cessent
de pé- cher et d'offenser Dieu. C'est pourquoi Je te
demande de faire des sacrifices pour le salut de tant
d'âmes qui en ont un si grand besoin.
Levez tous les objets, Mes enfants; ils seront tous
bénis. .. Tous les objets ont été bénis, Mes enfants.
Que tous ceux qui ne sont pas en état de grâce,
pensent que le temps est très proche. Les nations qui
ont le plus péché, seront détruites. C'est pourquoi Je
vous dis, Mes enfants, - il est encore temps- ne riez
pas de Mes messages, car Mon Fils va décharger Sa
colère; Il viendra avec Ses Anges. Et ce sera
horrible, Ma fille ! Tout sera détruit., Tout ce que
les hommes ont construit, sera dé- truit en une
seconde. Voilà pourquoi Je vous demande la pénitence,
Mes enfants et visitez Mon Fils. Vous ne savez pas le
bonheur que 1vous avez, Mes en~ants, lor~que vous
recevez l~ Corps du Christ. Pensez que Mon Fils est
tnste et seul tous les Jours. Et tout cela pour le
salut des âmes. Il a voulu mourir pour sauver les
âmes. Mais, malgré sa mort, les hommes ne changent
pas.
Toi, Ma fille, sois humble et prie pour tes ennemis.
Amparo: JI ai peur. JI ai eu peur. Ah ! J'ai eu très
peur. Ah ! La Sainte Vierge: Mon Fils aussi eut peur
en voyant toute sa
Passion. Car avant de souffrir la Passion, Il a vu
tout ce qu'Il devrait endurer. Et Il était Fils de
Dieu.
Il n'est pas mauvais d'avoir peur, Ma fille. Mais il
est mauvais 1d'avoir de la rancœur.
Amparo: Aide-moi, aide-moi. Ah. .. ! "
La Sainte Vierge: Je te demande l'humilité et
davantage de sa- crifice, Ma fille. Je vais bénir tous
ceux qui sont ici présents, bien que b~aucoup d'entre
eux ne croient pas en Mon existence.
Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l'in- termédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Adieu, Mes enfants, Adieu.
28 avril 1984 "Je vous ai
déjà tout dit. Tout s'accomplira."
Elle répète ses conseils: pardon et amour des ennemis.
La Sainte
Vierge: Mes enfants, Je ne viens seulement pour vous
donner Ma bénédiction, car Je vous ai tout dit. Tout
ce que J'ai dit, du premier message jusqu'au dernier,
s'accomplira, Mes enfants. Voilà pourquoi Je vous
demande, le sacrifice, le sacrifice et la prière. Mon
Cœur est très triste, mais il ressent aussi de la joie
Ma fille, car beaucoup d'âmes- sont en train de se
convertir. Regardez le
1soleil, Mes enfants. Que voyez-vous dans le soleil?
J'y suis présente. .. (Pause durant laquelle l'on
entend; dans l'assistance, des excla- mations de joie
et d'étonnement devant le phénomène solaire, qui
durera envi- ron cinquante minutes).
Venez demander le salut de votre âme. J'apparais en
beaucoup de lieux dans le monde, mais l'on ne fait pas
cas de Mes avertisse- ments, Ma fille. Ce sont les
mêmes messages qu'ici.
Je vais vous donner Ma bénédiction; elle sera"
spéciale" pour tous... Je vous bénis, Mes enfants,
comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils
et avec le Saint Esprit
v Je serai présente jusqu'à la fin du chapelet. Mes
enfants, aimez- (VOUS les uns les autres, comme Mon
Fils vous a aimés. Tous ceux qui n'aiment pas leurs
ennemis, n'entreront pas dans le Royaume des Cieux.
Voilà pourquoi Je te demande, Ma fille, de pardonner à
tes ennemis.
Amparo: Que l'on Te voie, que tout le monde Te voie.
Tous!
La Sainte
Vierge: Les uns me verront, Mes enfants, mais faut- il
voir pour croire? Heureux celui qui croit sans voir.
Tous ceux qui ne voient pas ici-bas sur la terre,
qu'ils soient prêts, car ils verront dans le ciel, Ma
fille. Levez tous les objets. ils seront tous bénis.
Regardez comme le soleil tourne, Mes enfants. Comme il
tourne! Heureux les yeux qui voient et les oreilles
qui entendent!
(Adieu,
Mes enfants, Adieu. Mais Je serai présente pendant
tout . ce chapelet. .. ( Amparo demeure en extase et
les assistants, continuent, attentifs, de contempler
le phénomène solaire). Restez éveillés, Mes enfants ;
Ma présence est évidente, Mes enfants. Regardez bien.
Voyez, en ce moment Mon Fils est avec Moi, Mes
enfants! Regardez bien. (Amparo manifeste de l'émotion
et l'on entend un murmure d' étonnement dans
l'assistance et les commentai.res inévitables). Que
tous ceux qui sont ici présents demandent pardon de
leurs fautes, Mes enfants. Soyez en éveil, car Mon
Fils peut survenir comme le voleur... Vous voyez
encore l'image du Christ, Mes enfants. Tenez-vous
éveillés; regardez en ce moment. .. (Pause au cours de
laquelle l'assistance est émue en contemplant le So/ei~.
Le moment venu, Mon Fils viendra entouré d'une lumière
semblable, Mes enfants.
Voyez la perfection de ce rose, Mes enfants. , Soyez
forts, Mes enfants et n~ per~ette~ pas que. l'on détr~se
{IOeuvre de Mon Fils. Je me sws manlfestee en maInts
endroits, mais l'on n'a pas fait cas de Mes avis. L'on
ne croit pas en Mon exis- tence, Ma fille. Vous
autres, ne reniez pas le Christ, car celui qui renie
le Christ, n'entrera pas dans le Royaume... il
n'entrera pas dans le Royaume des Cieux, parce qU(\
les Anges sont prêts pour le jugement dernier; c'est
pourquoi Je vous demande, Mes enfants, le sacrifice.
De même que le soleil tourne, Mes enfants... (Mots
dans l'ne Ii:Jngue inconnue. . . ). Cela, il n'y a que
toi qui peux le savoir, Ma fille.
Amparo: Je veux m'en aller là-bas. Ah ! Je veux! Ah,
je veux m'en aller là-bas... Jé veux m'en aller
là-bas. Ah !
La Sainte Vierge: Ton heure approche, Ma fille. Mais
pense que beaucoup d'âmes se sont sauvées. Je serai
présente pendant
tout ce chapelet, Ma fille. ( Amparo, d'une voix
entrecoupée, reprend
li:J récitation du 4ème mystère du chapelet, qui avait
été interrompu).
Amparo: (Durant le Sème mystère et à différents
moments.)
Comme tu es belle! Quel bleu en ce moment! Quel bleu!
(Ces paroles sont presque incompréhensibles).
La Sainte Vierge: Que tous ceux qui ont vu quelque
chose, en témoignent, Ma fille, parce que Je veux la
Chapelle et l'on n'écoute
pas Mes
avertissements. Voilà pourquoi, Je demande, Mes
enfants, qu'avec vos témoignages... vous ne veniez pas
seulement deman- der la santé du corps mais aussi le
salut de votre âme.
Amparo: Quellejoie ! Ah comme Tu es belle, mon Dieu!
Ah il n'y a personne comme Toi dans le monde! Ah, Ma
Mère, aide-moi.
La Sainte Vierge: Sois humble, Ma fille.
Amparo: Aide-moi. Je veux faire ce que Tu me
demandes, - mais je ne peux pas...Ah! Ah! Ah!
(La Sainte Vierge: Je t'ai déjà dit, Ma fille, que Je
mettrai des âmes sur ton chemin pour que l'Oeuvre que
Je demande puisse se réaliser. Voilà pourquoi Je vous
demande le sacrifice et l'humilité, avec la prière,
Mes enfants.
Mes enfants, comme Mon Cœur est. heureux lorsque Je
vois une âme qui se convertit. Approchez-vous du
sacrement de l'Eucharistie, mais d'abord du sacrement
de Pénitence, Mes enfants. N'ayez pas honte de
confesser vos fautes. Il vaut mieux s'humilier sur la
Terre que de perdre le Ciel, Mes enfants, et se
condamner, . pour toute, toute une éternité.
Et à toi Je te demande d'être humble, Ma fille. Baise
le sol, Ma fille... Cet acte d'humilité sért pour les
âmes consacrées. Priez pour elles, Mes enfants. Priez
pour leurs âmes. Beaucoup sont faibles et le démon
désire leur montrer le monde des plaisirs et des
riches- ses pour les condamner. Priez pour elles.
Priez pour qu'elles soient de bonnes âmes consacrées.
Regardez le bleu du ciel. Quel bleu parfait; Mes
enfants! C'est la seconde demeure. C'est ce bleu si
par- fait que vous êtes en train de voir... Quelle
merveille, Mes enfants ! N'êtes-vous pas en train de
voir une merveille? Continuez à con- templer la
merveille de Dieu, Mes enfants! Ne cessez pas de
regarder, parce beaucoup ne la verront pas. Mais tous
ceux qui
parviendront aux demeures, contempleront toutes ces
couleurs. Il , n'y a point de couleur dans le monde
qui soit comparable ou sem
blable à celle-ci. Chaque couleur que vous voyez, Mes
enfants.. .
(Elle
parle dans une langue étrange).
Amparo: Dis-le leur pour qu'ils l'entendent tous,
dis-le...
La Sainte Vierge: Quelle beauté, Mes enfants! Cette
beauté on ne peut la voir que chez tous ceux qui
veulent suivre le Christ, Mes enfants. (L'assistance
regarde comment le soleil tourne de façon mys-
térieuse). Vous tous qui êtes ici présents et avez
contemplé ces mer- veilles, vous devez suivre le
Christ. Ensuite, lorsque vous vous présenterez devant
Mon Fils, Il vous demandera des comptes, Mes enfants.
C'est pourquoi Je vous veux parfaits, comme le Père
Céleste est parfait. Bien entendu, aucun humain ne
pourra jamais égaler un être céleste. Mais, Mes
enfants, quelle merveille! Vous le contemplez tous,
Mes enfants. Mais il y a des yeux qui ne voient pas et
des oreilles qui n'entendent pas. Même s'ils voyaient,
ils ne voudraient pas l'avouer, Mes enfants.
Amparo: Montre-Toi à tous, qu'ils Te voient, qu'ils
Te contemplent!
La Sainte Vierge: Ce serait très facile pour toi, Ma
fille ; mais pense que tu es victime et les victimes
doivent souffrir jusqu'à la fin. C'est pourquoi Je
demande que tous ceux qui ne se sont pas approchés du
sacrement' de la Pénitence, le fassent aujourd'hui
même. Pensez que la mort peut survenir comme le
voleur, sans avertir; que nous sommes à la fin des
fins... Ma présence s'en ira, Mes enfants; mais
continuez à contempler ce lieu, car bienheureux celui
qui y parviendra!
Amparo: Comme c'est merveilleux! Ah ! Que c'est joli!
Les secondes demeures sont de couleur bleue- rose. Les
secondes demeures du Père sont bleues et roses. Cela
va continuer jusqu'à la fin du chapelet. Bon. Ah ! Où
en sommes-nous du chapelet? Ah ! Rose, rose, rose!
(Elle se réfère aux tons de couleur rose que certains
de ceux qui
sont aussi présents voient. La récitation du chapelet
se poursuit, interrompu par les expressions de Amparo
qui paraît voir la Vierge. L'on ne sait pas si les
paroles suivantes furent prononcées en état d'extase
ou de semi-extase.)
Nous allons réciter le Salve Regina et le Credo, en
acte de répa- ration envers ton Cœur pour tant de
blasphèmes qui se commettent journellement. Nous
allons prier pour le Pape, pour le Saint Père; nous
allons réciter trois Ave Maria pour le Pape, pour que
nous suivions tout ce qu'il dit, et que nous soyons
fidèles à sa parole. . . Nous allons prier maintenant
pour les défunts, pour que [à voix 'basse]. Tu Te
souviennes de tous, de tous. Nous allons prier pour
les âmes de tous les défunts, qui se présentent devant
Toi, devant son Père, devant Toi; et pour tous les
défunts de tous ceux qui sont ici présents pour que Tu
donnes des grâces aux âmes qui, sont en ce moment à
l'agonie; donne-leur la lumière pour qu'elles se con-
vertissent, même si elles n'échappent pas aux peines
du Purgatoire. (En s'adressant à la Vierge) :
"nI' Tu as dit à nouveau que le purgatoire... que
beaucoup de per- J't')' sonnes faisaient la moitié de
leur purgatoire sur la Terre; c'est pourquoi il faut
accepter toutes ces croix que tu nous donnes. Bien
sût, parce que le purgatoire c'est aussi quelque chose
comme cela. Non? Une partie du purgatoire... Mais
souviens-toi ensuite de ceux qui souffrent ici-bas. S~uviens-t-en
! De tous ceux qui sont ici- bas. Donne la lumière à
ceux qili ne croient pas... Vas-Tu le faire? Hein ?
Fais-le! Parmi tous ceux qui sont ici, les uns
viennent pour la première fois, les autres par
curiosité; mais donne-leur la grâce pour qu'ils
demandent pardon. Tu vas me le dire, n'est-ce pas? Moi
je Te le demande, mais Toi, fais-le. Pour tous ceux
qui sont ici.,. afin qu'ils ne se condamnent pas. Qu'y
a-t-il Mère? Dis-moi si Tu vas m'accorder ce que je Te
demande. Vas-tu me l'accorder?.. Bon; je sais que tous
doivent observer [les commandements], mais Toi tu dois
les aider, n'est-cepas? Les aider tous, hein ? Avec
Ton aide, eh bien nous pourrons tous nous sauver. Mais
si Tu ne nous viens pas en aide... où irons nous, nous
tous? Aide-nous!
Les péchés
d'impureté sont ceux qui condamnent le plus les
hommes, ainsi que les péchés d'orgueil, comme Tu me
l'as dit. Mais. . ., ce sont des hommes, nous sommes
tous des humains. Pardonne-nous tous nos péchés, ma
Mère. Je Te demande d'implorer Ton Fils pour toutes
ces pauvres âmes qui se trouvent en ce lieu... (Mots
incompréhensibles). Ah ! Bon... mais Ton Fils va deman-
der au Père... Que le Père nous pardonne tous. Nous
devons tous faire des sacrifices et être en grâce avec
Dieu pour pouvoir parvenir à la demeure qui nous
revient. Quant à moi, même si c'est la demeure
marron..., je veux m'en aller; même si c'est la
dernière.
. Mais aide-moi... La marron, c'est la moins... Ah !
Mais çà m'est égal, si Dieu y est... Toi, Tu dois nous
aider..., car tu es notre Mère à tous. Moi je Te
promets que je demanderai..., mais Toi, que dis- Tu ?
Le feras-Tu? (Mots incompréhensibles).
Bon! Ah, ma Mère! Comme Tu es belle, Mère! Malgré
notre présence à tous, je sais bien qu'il y en a qui
ne croient pas, qui se moquent de Tes paroles ; mais
donne-leur la grâce pour qu'ils ne se moquent pas...
(Une autre parole incompréhensible). Moi je leur par-
donne à tous, à tous ceux qui m'ont fait du mal. (Elle
pleure).
Moi je leur pardonne à cause de Toi. C'est pourquoi,
Toi Tu dois nous pardonner à tous. Le feras-Tu? Même
si je suis ennuyeuse, mais, le feras-Tu?.. A tü;us, à
tous ceux qui viennent en ce lieu, je Te demande de
leur donner une grâce de conversion. Je ne Te demande
rien de plus. Rien de plus. .. C'est cela r essentiel.
Bon! Je Te le promets, ce que j'ai promis, je le
ferai, hein? Cela continue encore! Il Y a quelque
chose du Ciel, n'est-ce pas? Bon; nous 1alloqs prier
pour tous les défunts, pour tous ceux qui agonisent en
ce moment, ceux qui ne sont pas en grâce avec Dieu,
Toi Tu dois leur donner la grâce en ce moment. Bon!
Notre Père... Bon! Je vous salue Marie; Je vous salue
aussi... (Elle prie en latin impaifaite- ment).
Moi je le récite comme on me l'a enseigné. Mais moi je
ne peux pas le dire aussi clairement que lui. Moi je
le sais pour cela...
Il pourvu
qu'il le dise... Ne Te fâche pas ? Non? Je Te promets
que je le ferai. n faut que je regarde tant que je
suis là. C'est si grandiose,
comme c'est grandiose! Tout n'est qu'ordure [en bas].
Tout! Mais ce que l'on voit là-haut, mon Dieu! Comme
c'est grandiose! Beaucoup désirent s'en aller, mais...
qu'ils attendent ici, tant que Tu es présente...
Qu'ils patientent! Bon... ! Maintenant, tu T'en vas
déjà? Non? Bon eh bien, Adieu... Adieu, ma Mère.
Adieu! Adieu!
5 mai 1984 "La deuxième
trompette va sonner"
"Je vous ai déjà tout dit" Elle répète: "Je
continuerai de manifester ma présence en ce lieu
jusqu'à ce que ma parole s'accomplisse."
Amparo:
Comme Tu es vite venue!
La Sainte Vierge: Ma fille, Je veux que votre prière
jaillisse du plus profond de votre cœur; qu'elle ne
soit pas mécanique. Si tous les hommes récitaient le
Saint Rosaire, le monde se serait sauvé,
, Mes enfants.
l1Je ne veux pas, Ma fille, que vous récitiez le
Rosaire pendant le \' mois de Mai seulement, mais tous
les jours de l'année, Ma fille...
(Elle parle une langue inconnue). Je t'ai déjà dit, Ma
fille, que la première trompette avait déjà sonné;
mais en ce moment c'est la seconde qui
va sonner; elle va sbnner, Ma fille ! (
Amparo
commence à pleurery.
Si les hommes avaient respecté les lois de Dieu, Ma
fille, Dieu n'au- rait pas envoyé les plaies du'
châtiment S].Jr la Terre.
Je n'aime pas non plus, Ma fille, que les jeunes
restent à la mai- son et ne viennent pas réciter le
Saint Rosaire. n n'y a que les
per- sonnes âgées qui
vont à la messe, les vieillards, Ma fille. Comme Mon
Cœur serait heureux s'il voyait toute la jeunesse
observer les Conuriandements de la Loi de Dieu!
Les hommes eux-mêmes ont cherché leur propre condamna-
tion. ns cherchent la guerre et non la paix. Voilà
pourquoi Je demande, Ma fille, de faire beaucoup de
sacrifices, accompagnés de pénitence et de prière.
1Je t'ai d~jà .dit que même si
beauco~p de personne~
voyaient, elles ne crOiraient pas! n y en a combien,
Ma fille, qUI n'ont pas donné leur témoignage! J'ai
déjà dit en une occasion, Ma fille, que tous ceux-là
jouiront des demeures célestes.
Regàrde les âmes, Ma fille; mais vois cet autre côté,
c'est horri-
ble. Celui qui dira que l'enfer n'existe
pas, est en train de mentir, Ma fille. Je te l'ai
répété: Dieu est infiniment bon et miséricordieux ;
vous êtes sur le point de demander pardon et
miséricorde.
Le Seigneur: Dieu ne vous condamne pas, Mes enfants;
vous vous condamnez vous-mêmes à cause de vos péchés.
Et malheur à celui qui n'observe pas la parole de
Dieu, il aurait mieux valu qu'il ne fût point né. J'ai
dit ces mêmes paroles à l'un de Mes disciples; il
aurait mieux valu qu'il ne fût pas né, qu'il attachât
une meule à son cou et se jetât dans la mer.
il n'y a pas que l'enfer, Ma fille ; il Y a aussi la
Gloire; et cette 1Gloire, elle est éternelle, Ma
fille. L'éternité, c'est soit la damnation, soit le
salut.
Tu vas boire quelques gouttes du calice de douleur, Ma
fille. Je t'ai déjà dit qu'il en reste peu; il se
vide. Et lorsque le calice sera vide..., ce sera
horrible, Ma fille.
Je ne veux pas vous effrayer, Mes enfants, Je veux que
vous vous 1mettiez en grâce avec Dieu pour sauver
votre âme. Le calice est amer, Ma fille ; eh bien,
(;'est l'amertume qu'éprouve Mon Cœur pour vous tous,
Mes enfants; pour tous, sans distinction de races!
Baise le sol, Ma fille, en réparation de tous les
péchés. .. Cet acte d'humilité, Ma fille, -Je te l'ai
toujours dit- sert pour le salut des âmes.
- Comme Je te l'ai souvent dit, aucun être humain ne
voit Mon visage, à moins qu'il ne soit chargé d'une
mission. Pense que tu n'as pas pu voir le visage du
Père Eternel. C'est impossible, Ma fille, 1aucun être
humain ne peut voir Son visage, parce que Son visage
est lumière et la lumière blesse parfois les yeux, Ma
fille ; la lumière extérieure du corps, non point la
lumière intérieure. Voilà pourquoi Je te dis, Ma fille
: prenez garde car beaucoup de faux prophètes
accourent à ce lieu. Soyez en éveil, Ma fille, soyez
sur vos gàrdes ! lis prennent ici et là pour vous
confondre, Ma fille. Voilà pourquoi Je te demande
d'être rusée comme le serpent mais simple et hum-
ble
comme la colombe, Ma fille.
Implore pour Mes âmes consacrées, Mes âmes consacrées,
Ma fille. Mon Cœur les aime tant !.. .Et comme elles
répondent mal à Mon amour !
Vois comme Mon Cœur est entouré d'épines, entouré
d'épines, Ma fille, pour tous les pécheurs du monde 1
Tu vas en enlever deux, Ma fille. Deux [épines] se
sont purifiées. Tire sans crainte. Mon Cœur saigne de
douleur pour toute l'Humanité, Ma fille, pour
l'Humanité toute entière 1
La Sainte Vierge: Mes enfants, récitez les trois
parties du ~(Rosaire. C'est Ma prière favorite. C'est
celle qui vous coûte le plus,
mais qui plaît le plus à Mon Cœur. Mon message est
bref, Mes enfants, parce que Je vous ai tout dit. Et
Je vous ai dit que tout s'accomplira du premier
message jusqu'au dernier.
La seconde trompette a déjà sonné. Soyez en éveil, Mes
enfants, [car l'ennemi veut s'emparer de vos âmes.
Mais il ne pourra jamais
vous vaincre si vous priez et si vous vous sacrifiez.
Combien parmi 5 ceux qui sont ici présents, o~t
demandé des grâces, et elles leur ont
été accordées, Mes enfants; mais ensuite, ils n'ont
pas répondu à leur Mère, Ma fille 1
Je vous avais dit qu'il y aurait de grandes
sècheresses, Mes enfants, et il y en a eu. Mais Mon
Cœur a eu pitié de vous et a demandé au Père que la
pluie tombe sur la Terre. II vous a envoyé la pluie,
Mes enfants. Mais soyez en éveil, car, lorsque la lune
com-
mencera à rougir et les astres à perdre leur
éclat, le temps sera proche, Mes enfants. Observez car
tout cela arrive.
Baise à nouveau le sol, Ma fille, pour les âmes
consacrées; pour les âmes consacrées, Ma fille, afin
qu'elles soient fidèles au Christ et que l'ennemi ne
s'empare pas de leurs âmes. Pauvres âmes! Parce
que ces âmes paieront pour leurs péchés et pour les
âmes qu'elles entraînent dans l'abîme, Ma fille. Voilà
pourquoi Je vous demande, Mes enfants: priez beaucoup
pour elles. Elles sont faibles et se lais- (sent
tromper par les plaisirs du monde.
Je vous demande aussi Mes enfants, d'aimer votre
prochain, parce que si vous n'aimez pas votre
prochain, vous n'aimez pas Dieu.
Baise le pied, Ma fille, en récompense de tes
souffrances.
Combien sont ici présents -Je pourrais les signaler
ici ou là- et
, ne croient pas en l'existence de leur Mère!
J'ai dit, Ma fille, que les messages prenaient fin.
Mais Mon Cœur est rempli de douleur et doit avertir,
comme une Mère prévient Ses enfants du danger qui les
guette.
MA PRESENCE
CONTINUERA EN CE LIEU, MA FILLE, JUSQU'A
(CE QUE MES PAROLES S'ACCOMPilSSENT, BIEN QUE J'AI
TOUT DIT.
Levez tous les objets, Mes enfants, ils seront tous
bénis... Tous ces objets, Mes enfants, ont été bénis,
tous, Ma fille !
Aucun de ceux qui sont ici présents n'aura d'excuse
lorsqu'il parviendra devant le Père parce que Mon Cœur
répand des grâces pour votre conversion. Mais vous ne
voulez pas l'accepter, Mes enfants. Pauvres âmes, Ma
fille ! Quelles tristes âmes!
Amparo: Je prie pour elles, pour elles. Ah ! Je sais
qu'il y en a beaucoup ici qui ne croient pas mais Tu
as promis que Tu leur donnerais des grâces.
Aide-les... aide-les!
La Sainte Vierge: Les grâces, Ma fille, voilà des
siècles que Je les répands.
Amparo: (Mots à voix basse et inintelligible). ... Tu
l'as promis,
. Tu l'as promis! Tu vas le faire, hein ?
La Sainte Vierge: Ma fille, ne sois pas orgueilleuse.
Tu n'as pas
(à Me dire que Je dois tenir [Ma promesse]. Je la
tiendrai, Ma fille, à condition qu'ils répondent à Mon
amour.
Amparo: Aide-les, aide-les 1 Beaucoup ne croient pas
en Toi, ni en Ton Fils.
La Sainte Vierge: J'ai promis de les aider, Ma fille ;
mais que
1ce soit clair: JE PROMETS DE LES AIDER AVEC LEUR
COLLABORA-
, nON. S'ils ne veulent pas répondre à cette aide, Je
ne pourrai faire davantage pour eux, Ma fille. Je
détiens constamment le bras de Mon Fils pour qu'il ne
se décharge pas sur vous. Que voulez-vous de plus, Mes
enfants?
Avec les prières et le Saint Rosaire, vous auriez pu
éviter ces grands châtiments, Mes enfants; mais le
monde n'a pas changé, Ma fille. Le monde empire de
jour en jour.
Je vais vous donner Ma bénédiction, Mes enfants. Et ce
sera '-tune b~nédiction spéciale ~our. vous, tous.
Vois ~i Je ne ~épands "pas
des graces, Ma fille !
Celw
qw ne
repond pas [a ces
graces]
meme s'il Me voyait de ses propres yeux, ne
croirait pas. Et si Mon Fils descendait, vous Le
crucifieriez à nouveau, Ma fille.
Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l'in- termédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Amparo: Ma Mère 1 Ma Mère! Mère... Je te le
deman-
de... "
La Sainte Vierge: Adieu, Mes enfants, adieu!
6 mai 1984
La Sainte
Vierge: Mes enfants, aujourd'hui en la fête de toutes
les Mères, Je viens vous souhaiter une bonne fête, Mes
filles, parce que vous êtes mères et que vous vous
préoccupez de vos enfants. Mais bienheureuses ces
mamans qui ne se préoccupent pas unique- ment de leur
corps, mais qui se soucient aussi de leur âme, Mes
enfants! Moi aussi Je suis Mère, c'est pourquoi Je
suis venue vous souhaiter une bonne fête. Je suis Mère
de toute l'Humanité.
Priez, Mes
enfants, priez le Saint Rosaire; J'aime tant cette
prière, Mes enfants... Combien de mères ne s'occupent
que du corps de leurs enfants! Eduquez-les dans la
doctrine du Christ, Mes filles, vous serez
responsables quand vous vous présenterez devant le
Père, Mes filles. Voilà pourquoi Je vous demande
d'élever vos enfants, mais de les éduquer depuis leur
enfance, -l'arbre, on le traite quand il est petit,
comme l'enfant -. On le soigne, on l'arrose pour qu'il
croisse et donne un bon fruit. Voilà ce que Je vous
{demande, d'élever vos enfants dans la sainte crainte
de Dieu.. Comment votre Mère pouvait-elle manquer un
jour comme celui-ci "pour féliciter ces mamans qui
sont esclaves de leurs en- fants ! Mais ces mères qui
à cause de leurs divertissements ne se préoccupent pas
de leurs enfants, qui ne font rien d'autre que " jouer
les coquettes" et dépensent ce que Dieu leur a
donné... Bienheureux ceux qui ont eu le don d'acquérir
des richesses, de les ldistribuer aux pauvres et de ne
pas les dépenser dans des produits de luxe, Mes
enfants. Vous devrez en rendre compte.
Regarde, Ma fille, Je t'ai dit il Y a longtemps, que
lorsque le moment arriverait où les vieillards
auraient des songes et les enfants, des visions, la
fin des fins serait proche. Combien de vieil- lards
sont venus dire qu'ils avaient eu des songes sur les
merveilles du Ciel! C'est vrai, Ma fille, parce que
cela est vrai.
Amparo:
Et moi je n'y ai pas prêté atte?tion ! Ah, je n'ai pas
fait cas! Ah ...
La Sainte Vierge: Toi pense, Ma fille que Mon fils t'a
donné le don de la lumière pour discerner la vérité du
mensonge. Voilà po~quoi Je te demande aussi d'être
astucieuse. Mais écoute ces vieillards et ces enfants,
ils sont innocents, Ma fille. Observez l'Evangile du
Christ. Tous ceux qui observeront l'Evangile du
Christ, entreront dans le Royaume des Cieux.
Aujourd'hui Je suis seulement venue vous féliciter,
vous les mères de tous les enfants de la Terre, parce
que Moi Je suis Mère de l'Humanité.
1Vois-tu
comme les prières purifient les âmes, Ma fille, ainsi
que les souffrances! Tire trois épines de Mon Cœur.
Trois d'entre elles se sont purifiées.
Amparo: Comme elles sont profondes dans le Cœur ! Ah
!
La Sainte Vierge: Il est criblé d'épines parce que les
hommes empirent, Ma fille. Comme J'aime les Rosaires!
Il Y a longtemps qu'on ne récitait pas le Saint
Rosaire en ce lieu. J'aimais aussi les cantiques que
l'bn entendait après les mystères, Ma fille. Enlève
une épine d'abord, ensuite tu enlèveras les deux
autres qui sont plus profondes. Tire sans crainte!
Amparo: (Avec peine). Ah, ah... ! Ah... ! Ah... 1 Ah
1
La Sainte Vierge: Tire sans crainte
Amparo: Elles sont très profondes. Ah !
La Sainte Vierge: Ces deux sont profondes, Ma fille,
parce
qu'il en a beaucoup coûté pour qu'elles se purifient.
Baise le sol, en réparation de tous les péchés du
monde. .. Cet acte d'humilité, Ma fille, sert pour le
salut des âmes. Je te l'ai souvent dit : Fais-toi
toute petite. Humilie-toi pour pouvoir jouir de la
présence de Dieu. Tu es victime de réparation et les
victimes doivent souffrir, Ma fille... ( Amparo en
sanglots) mais sans larmes.
Amparo: Parfois, je ne peux pas, parfois je ne peux
pas... C'est beaucoup... beaucoup.
La Sainte Vierge: Ne dis jamais que c'est beaucoup, Ma
fille. Pense au Christ en Croix; Il n'a pas répliqué,
Il n'a rien dit. Il était en train de mourir et de
pardonner à ses ennemis.
J'aime, Ma fille, qu'après chaque mystère, vous
chantiez le can- tique d'autrefois: " Avec des fleurs,
allons à Marie, car Elle est notre Mère ". Je suis
votre Mère, Mes enfants. C'est vrai. C'est pourquoi,
J'aime cette prière, Mes enfants.
Maintenant Je vais vous bénir tous. Et beaucoup
d'entre vous
seront marqués d'une croix sur le front, Mes enfants.
Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Maintenant, Ma fille, en ce moment, Je vais marquer
beaucoup de ceux qui sont ici présents... Dis-leur
comment ils sont marqués, Ma fille, avec un crucifix
comme celui-ci ( Amparo lève le crucifix de son
chapelet le montrant d'un côté et de !autre) mais
d'une autre taille, Ma fille, en forme de " Y " ; ils
sont marqués d'une croix sur le front. Seulement en
faisant ainsi avec la croix autour de tous les
hommes, Ma fille, vous êtes tous marqués de la croix,
avec la croix 1des élus, Mes enf.wts. ~~ sceau, M~s
enfants, est le sceau des élus; le sceau de la croIX.
Voila pourquoi, Mes enfants, vous devez pren- dre la
Croix et suivre le Christ sur le chemin de la
souffrance. n vaut la peine de suivre le Christ avec
ce sceau. Toutes les richesses du monde, tous les
plaisirs, à quoi servent-ils à l'homme si en une
-seconde il vient à perdre son âme, Mes enfants? Vous
savez que vous 1avez une obligation envers le Christ,
Mes enfants: vous êtes marqués du sceau des élus.
Amparo: Ah! Ah! Ah! Ah...Quelle joie! Ah! Tu l'as
fait; ah quelle joie! Ah ! Ah ! Ma Mère, quelle joie
si grande! Et s'ils ne Te répondent pas... ?
La Sainte Vierge: Je leur donnerai une grâce, Ma
fille, pour
qu'ils répondent à ce sceau.
Amparo: Même si Tu me dis que je suis orgueilleuse,
com- bien je te l'ai demandé, ma Mère! Combien de fois
Te l'ai-je
Î demandé! Ah ma Mère, quelle joie, ah, ah ! Quelle
joie ressent mon
Cœur! Mon Cœur est rempli de joie, ma Mère.
La Sainte Vierge: Le Mien aussi, Ma fille, car Je sais
que ces âmes vont correspondre à Mon sceau. Je sais,
Ma fille, qu'elles vont répondre à Mon amour. Je te
demande aussi, car il Me plait qu'après chaque mystère
vous chantiez ce cantique: " Venez et allons tous avec
des fleurs à Marie, car elle est notre Mère". Ensuite
le couplet
suit, Ma
fille. Mais faites-le, Je vous le demande, Mes
enfants. Ainsi Je sauverai beaucoup d'âmes.
Amparo: Ah, ah ! Quelle joie! Regardez en haut.
La Sainte Vierge: Regardez en haut, Mes enfants.
Regardez et témoignez. .. (On entend un murmure
d'admiration dans t assistance).
Mes enfants, tout ce que l'on voit en haut, est beau.
Quels tons merveilleux! Pensez que chaque couleur est
celle d'une demeure, Mes enfants. Quelle merveille! Je
suis en train de faire des mer- veilles en ce lieu,
Mes enfants. Répondez à ces grâces que Je vous donne,
ce sont des miracles de l'âme. Des miracles pour le
corps,
fJ'en ai fait également ainsi que le prodige
merveilleux de voir Mon
visage se refléter dans ce Soleil... (A nouveau, on
entend des cris
d'admiration dans l'assistance).
Regardez Mon visage, Mes enfants, n'est-ce pas une
merveille? Quel tons merveilleux! Et regardez
toujours, Mes enfants, ne vous lassez pas de
contempler jusqu'à ce que cette couleur disparaisse,
Mes enfants... Combien de merveilles Mon Cœur n'est-il
pas en train de faire dans ce Pre, Ma fille !
Amparo: Ah ! Ah ! Ah ! Mère! Fais en sorte que
quelques uns ne le voient pas, quelques-uns, car
sinon" on dira que c'est une suggestion. Que tout le
motlde ne le voie pas, non!
La Sainte Vierge: Quel bonheur, Mes enfants, quel
bonheur éprouve Mon Cœur lorsque vous avez été scellés
avec le sceau de l'amour, Mes enfants. Continuez à
contempler ces couleurs si mer- veilleu~es. Comme le
soleil vibre, Mes enfants! Qui peut faire cela si ce
n'est Dieu? Aucun être humain ne peut faire ces
merveilles...
Mes enfants, comme Mon Cœur déborde de joie! Quelle
joie éprouve Mon Cœur de vous voir çontempler toutes
ces merveilles ! Heureux les yeux qui voient et les
oreilles qui entendent, Mes enfants, parce qu'ils
entreront dans le Royaume des Cieux! Mais ces oreilles
qui entendent et ne veulent pas observer Mes messages,
seront
gravement châtiées, Mes enfants. Levez tous les
objets. En ce moment où beaucoup d'entre vous voient
le visage, Mon yisage dans le soleil, Mes enfants, Je
bénis tous vos objets... Quelle merveille! Tous les
objets ont été bénis. Ce n'est pas de la suggestion,
Mes enfants. Vous êtes en train de le voir de vos
propres yeux. .. Quelle couleur, Mes enfants! Le rose
aussi y est, Mes enfants; observez quel rose
merveilleux, Mes enfants. (L'on entend des
commentaires jqyeux). Heureux ces yeux qui sont en
train de voir, Mes enfants! Heureux les yeux qui
voient cela! Mais que ceux qui ne le voient pas, ne
soient pas tristes, parce que si non ce serait...
(Paroles dans une langue étrange).
Amparo: (Les sanglots et la respiration entrecoupée
rendent diffi- cile la compréhension des mots
suivants). Emporte-moi là-bas avec Toi! Là-bas avec
Toi! Je veux monter là-haut avec Toi... et y rester
même si c'est ici même... Moi je ne veux pas retourner
encore en bas... Je ne le veux pas. Je veux rester ici
même mais je ne veux pas être sur terre... Je veux
être ici tout près, mais là-bas non, là en- bas, non,
non. Ne me descends pas là en-bas... (Mot
incompréhensi-
. hie) ... souffrir, quand je veux être ici. Avant de
t'en aller, laisse-moi ici. Tu pars déjà? Ne pars pas.
Tu me laisses ici? Avant de T'en aller, emporte-moi
même si Tu ne me montes pas plus haut; je préfère être
ici plutôt que. sur terre. (Elle continue à parler
mais les mots sont entrecouPés à cause de la fatigue).
Vas-Tu aller à l'autre lieu ?
La Sainte Vierge: Vous allez observer un moment encore
ce prodige, Mes enfants. (L'on entend un murmure
d'admiration dans
l'assistance) .
Amparo: Que c'est joli! Ah, que c'est joli!
Emportez-moi, ah...!
La Sainte Vierge: Ne soyez pas incrédules, Mes
enfants. Vous ne voulez pas voir. Regardez pour voir,
Mes enfants; car vous êtes nombreux comme Saint Thomas
qui avait du mettre la main dans
la plaie pour croire. Eh bien, vous avez vu;
maintenant, comment f
allez-vous répondre à ce privilège, Mes enfants?
Amparo: Alors, Tu ne me laisses pas ici? M'envoies-tu
encore en-bas? Ah, encore! Ah quelle souffi-anœ que
d'être en-bas !
La Sainte Vierge: Mais Ma fille, tu es en train de
façonner ta demeure.
Amparo: Oui, mais il y en a assez de ces mots" tu es
en train de façonner ", non? Cà suffit.
La Sainte Vierge: Ne te plains pas, Ma fille.
Amparo: Moi, ne pas me plaindre? Mais je ne me plains
pas! Mais après avoir vu cela, Tu m'envoies une fois
encore...
La Sainte Vierge: Mon prodîge contiriuera, Mes
enfants, mais Je vais vous dire Adieu, même si le
prodige se poursuit. Adieu, Mes enfants. Adieu.
(La récitation du chapelet, que l'on avait interrompue
au début du 4ème mystère, se poursuit. Mais pendant la
méditation, on entend la voyante prononcer des mots
inintellIgibles et par la suite elle établit un
nouveau dialogue avec la Vierge.)
Amparo: L'autre premier samedi où il y aura plus de
monde. Alors, oui, Tu les rparqueras tous. Je ne suis
pas égoïste, non; je veux que Tu les marques tous de
ce sceau. Car Tu dis aussi que l'ennemi est en train
de marquer. Bon, alors Tu le feras le pre- mier
samedi, hein ?
Moi aussi je ferai tout ce que Tu me demandes. Mais je
Te le demande de tout mon cœur, hein? Fais-le! Je ne
veux pas que Tu me dises que je suis orgueilleuse
parce que je Te le demande. Mais c'est que les âmes...
j'ai tellement de joie lorsqu'une âme se conver- tit
-et je l'ai souvent dit- cette nuit-là je dors très
heureuse.
Ah ! Attends le premier samedi quand il y aura
beaucoup de monde. Et quand ils seront tous là, Tu les
marqueras de ce même sceau, vas-Tu le faire? Bon! Moi
aussi je Te promets ce que Tu sais.
Mais fais-le parce que ce sont Tes enfants. De même
que moi j'ai mes enfants, eb bien Toi tu as tous les
autres.
Je Te demande aussi pour mes enfants. Je Te demande
aussi de les sauver. Les as-Tu mafqués aussi? Mais, et
les autres qui sont absents? Marque-les aussi même si
c'est là-bas.
Bon, ma Mère! Voilà ce que je Te demande et je veux
que Tu le fasses, dussé-je en souffrir toute la vie.
Me le promets-Tu? Pro- mets-le moi à nouveau!
La Sainte Vierge: Oui, Ma fille, Je te le promets.
Amparo: Bon voilà ce que je veux. Je Te demande aussi
pour mes filles. Mais aussi pour ceux qui ne sont pas
ici. Fais-le. Fais-le à cause de ce que j'endure. Mais
marque-les car moi je ferai ce que Tu me demandes. Et
pour tous ceux du premier samedi aussi, hein ?
Je T'ai déjà demandé beaucoup de choses; mais elles ne
sont pas pour moi, elles sont pour tous les autres.
Moi je veux que Tu m'aides à souffrir pour les sauver
tous. Je ne sais si ce sera de l'é- goïsme de ma part,
mais je voudrais que Tu sauves d'abord mes enfants.
Les autres aussi. Mais je Te demande pour tous, pas
pour eux seulement, non. Pour les autres! Fais-le et
je Te promets de souffrir plus et plus encore pour les
sauver tous avec mes souf- frances. Mais Tu dois
m'laider, parce que toute seule, je ne vais pas y
arriver avec tout cela.
Ah, comment Tu es ! Oh, ce rayon que Tu as sur le
visage et qui pénètre en moi. .. ! Oh, combien Tu en
as fait cet après-midi! Tu
" as fait beaucoup de choses! Et Tu es restée
longtemps sans le
faire... Je T'en ai demandé tellement! Bon; me voilà
très, très con- tente!
Seras-Tu toujours là-bas? Mais l'éclat du soleil seul,
c'est comme si on était là-bas. C'est de nouveau
pareil, c'est à nouveau pareil. Alors que tout était
couvert. .. ! Et comment Dieu fait-il ces choses ? Ah,
mon Dieu! Il pleuvait presque; mais tout... Ah ! Ah !
Voilà
qui est joli. Eh bien emporte-les là-bas. D'abord les
miens, ensuite les autres... (Mots incompréhensibles).
Quel jaune 1 Ce jaune, pour qui est-il ?
Bon, je ne vais pas Te fatiguer davantage. Je ne veux
pas Te fatiguer. Je veux simplement Te demander de le
faire à nouveau, même si certains, qui sont en train
de rire, se moquent de moi. Mais Toi, sauve-les, parce
qu'ils ne savent pas, les pauvres! ils en ont bien
besoin, et il y a quelque chose qui les a trompés;
mais dans leur for intérieur, ils T'aiment, même si Tu
crois le contraire. Eux. . . Tu en train de faire à
l'intérieur de leur âme une chose très grande. Ne
crois pas qu'ils ne T'aiment pas; tout le monde
T'aime. Tout le monde! Moi je Te dis que tous ceux qui
sont ici, ont le cœur rem- pli de joie, bien qu'ils ne
le montrent pas. Mais oui, je le sais.
Et je veux t'en demander davantage, ma Mère: guéris
aussi Charo. La pauvre 1 Elle souffre beaucoup, mais
toi, abrège ses souf- frances, avec ce qu'elle est en
train de passer, bien que sa vie ait été très
frivole... mais Toi, pardonne-lui! Je Te demande
qu'elle ne souffre pas longtemps, je Te le demande; si
telle est Ta volonté.. ; eh bien, fais comme Tu
voudras, mais qu'elle se purifie.
ils demandent d'autres choses matérielles; mais moi je
ne peux quémander de telles choses. Toi, fais-le, si
Tu le sais. Des choses matérielles... Tu le sais. Et
une autre personne qui est dans un état très grave. Je
Te demande aussi de la sauver, parce qu'elle est très
âgée. La pauvre!
Bon, le dialogue avec toi prend fin... mais quand
auras-Tu ce dialogue avec moi, hein? Bon; même si je
n'ai pas de dialogue... ; marqu~-les tous le premier
samedi.
Et je ne T'importtlne pas davantage. Je vais faire le
signe de la Croix. .. (Paroles inaudibles) ... et du
Saint Esprit. Amen
Ah... ! Ah ! Ah... 1 En voilà un Soleil 1 il y a
beaucoup de demeures dans ce soleil, beaucoup; l'on en
voit beaucoup. Ah ! Ah! Ah, comme Tu es bonne !Comme
la Vierge est bonne 1 Oh, cette couleur est toujours
là ! Mais, bon 1... ils sont tous jaunes,
verts et
roses. Vous êtes tous avec une couleur... ! Ah, quelle
couleur ils ont tous, quelle couleur! Jaune, rose,
vert... Ah, les bijoux... ah! Ah ! Ah! (Elle se remet
de l'extase). Bon; maintenant, nous allons continuer
le CQapelet, non?
12 mai 1984
La Sainte
Vierge: Mes enfants, Je vais seulement vous donner Ma
sainte bénédiction. Je vous remercie aussi parce que
vous accourez en ce lieu par centaines. Venez au
chapelet; accourez, Mes
lenfàht;s. LE ROSAIRE SERA VOTRE SALUT A CONDmON QUE
VOUS SOYEZ EN ETAT DE GRACE, MES ENFANTS. Avec le
Rosaire, vous obtiendrez tout, Mes enfants. Voici Mon
message, Mes en- fants : Sacrifice, sacrifice, et
pénitence. ( Amparo se met à pleurer; la respiration
est agitée. Les mots en italique, sont quasi
incompréhensibles).
Cela est pour tous ceux qui n'accomplissent pas [leurs
devoirs] en ce lieu; parce que Mon Cœur est
miséricordieux, tandis que le Père Eternel est Juge,
Ma filie.
Je vous répète, Mes enfants: ne riez pas de Mes
messages. Combien rient de Mes messages, Ma fille !
Pauvres Ames !
Je vais vous bénir, M~s enfants. J'ai déjà tout dit.
Je vous bénis comme le Père vous bénit, par
l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Mes enfants, levez tous les objets... Tous les objets
ont été bénis. Adieu, Mes enfants, Adieu!
13 mai 1984
La Sainte
Vierge: Ma fille, c'est une date très importante. Il y
a quelques années, à cette époque, Je suis apparue à
des enfants. Je Me suis rendue présente, mais comme il
en a coûté d'y croire, Ma fille, les enfants eurent
beaucoup à souffrir ; voilà pourquoi Je te dis, Ma
fille, que tu dois beaucoup souffrir.
II ne
serait pas facile que tout se passât selon tes
desirs,
Ma fille. Faites pénitence,
Mes enfants, sacrifice et prière car le temps approche
et l'éternité est proche, Mes enfants. C'est pour
toute l'éternité.
Implorez le Père Eternel, Mes enfants. Le Père Eternel
vous aime et II vous a préparé à chacun de vous votre
demeure.
Ma fille ne croit pas que tout cela est facile; on
l'obtient à force de sacrifices, de pénitences et de
prières
Voila pourquoi aujourd'hui est un jour très spécial,
Ma fille. Combien il en coûte de croire en Ma présence
! Les humains sont cruels, Ma fille.
Comme Je
te l'ai dit en d'autres occasions, ils pensent que Je
ne peux pas apparaître n'importe où dans le monde. Qui
sont-ils, Ma fille, pour Me dire où Je dois apparaître
et quand Je dois Me manifester ?
Ce ne sera pas facile! Pense que l'incrédulité des
humains a été très grande lors de toutes Mes
apparitions. Voilà pourquoi Je te demande, Ma fille,
et Je vous demande à tous, le sacrifice et la
pénitence, comme Je l'avais demandé à ces enfants.
Avec le sacrifice et la
pénitence, vous pourrez sauver beaucoup d'âmes, Mes
enfants.
Eh bien, commence, Ma fille, car ce chemin est
difficile.
Quel sens aurait ta vie si Mon Fils te donnait des
chemins faciles ?
Sacrifice, Mes enfants, sacrifice et Pénitence pour
pouvoir atteindre les demeures, car elles sont
préparées.
Levez tous les objets, Mes enfants; ils seront tous
bénis.
Ces objets, Mes enfants, ont des grâces spéciales pour
la conversion des âmes.
Moi J'ai
donné Mon message, Ma fille. Bois quelques gouttes du
calice de douleur... Comme ce calice est amer! Je te
l'ai souvent répété. Pense qu'il y en a peu dans le
calice comme il reste peu de temps avant que le grand
châtiment ne tombe sur l'Humanité.
Les hommes
pensent que Dieu est miséricordieux et qu'Il ne va pas
châtier l'Humanité. Dieu est
miséricordieux;
mais s'Il n'a pas pardonné à Son Fils qui est mort sur
une croix pour sauver l'Humanité,
comment sera-t-il miséricordieux envers vous, si vous
ne voulez pas demander pardon pour vos péchés ? Tous ceux qui
observeront les Commandements de la Loi de Dieu,
seront sauvés, Mes enfants. Suivez le chemin de
l'Evangile du Christ; ne vous attachez pas aux
richesses du monde, elles ne servent à l'homme que
pour se condamner... Toi Ma fille,
pense que ton chemin sera difficile; mais si Dieu est
avec toi, qui peux-tu craindre, Ma fille ? Ne crains
pas les hommes. Ils sont parfois cruels et manquent de
charité envers le prochain. Mais il vaut la peine de
souffrir pour gagner ensuite l'éternité, Ma fille. Luz Amparo: Ah,
quelles choses! Ah, mon Dieu! Qu'est-ce que c'est,
c'est si grand? Vas-tu me laisser en ce lieu? Ah ! Ah
! N'ai-je pas encore été humble pour y parvenir ? La Sainte
Vierge: Non, Ma fille. Tu dois encore demeurer sur la
Terre pour témoigner de Ma présence; beaucoup d'âmes
sont en train de se convertir. Beaucoup courent après
le miracle, Ma fille ; mais ils s'en retournent, l'âme
propre. Dès qu'ils quittent ce lieu, ils cherchent un
confesseur pour laver leurs fautes.
La Sainte
Vierge : Non, Ma fille. Jusqu'a la fin, on ne Sait
pas, qui se sauve et qui se condamne.
Luz
Amparo: Tu dis encore que je ne vais pas me sauver ?
Après tout cela..., je ne me sauve pas ? Ne m'as-tu
pas dit que j'avais la clef de la demeure ?
La Sainte
Vierge: Ton salut, Ma fille, dépendra de tes mérites.
Voilà pourquoi Je te demande, l'humilité, Ma fille,
l'humilité accompagnée du sacrifice.
Luz
Amparo: Ca alors! Je dois faire davantage de
sacrifice? Faire..., ne m'emmènes-tu pas à ce lieu ?
La Sainte
Vierge: Je t'ai souvent dit, Ma fille, de ne pas être
orgueilleuse, mais humble.
Luz Amparo: Oui, mais je veux m'en aller tout de suite
de ce lieu. Je ne veux pas Me condamner jusqu'à la
fin. Si je ne vais pas Me sauver, eh bien alors à quoi
servent les sacrifices que je fais ?
La Sainte Vierge: Ce sacrifice, Ma fille, sert pour le
salut des
âmes.
Luz Amparo: Et la mienne, alors?
La Sainte Vierge: La tienne. .. tu sais bien que
jusqu'à la fin, personne ne sait s'il va sauver son
âme. Mon Fils t'a choisie comme victime; mais tu dois
répondre à ce sacrifice, Ma fille.
Luz Amparo: Davantage encore? Je ne sais ce que Tu
veux que je fasse de plus?
La Sainte Vierge: Que tu sois humble, Ma fille.
Luz Amparo: (Avec une grande fatigue et la voix
entrecoupée). Aide-moi à être humble ! Aide-moi à être
humble ! Je veux aider les âmes, mais sauve-nous, nous
aussi. Moi je ne peux pas rester davantage ici, en ce
lieu
La Sainte Vierge: Je vais te transporter dans un lieu
important,
Ma fille. &
Luz Amparo: Ah 1 Ah 1 Ah 1 Aaah 1... (LuZ Amparo
pousse
des exclamations de joie et de satisfaction).
La Sainte Vierge: Quelle félicité, Ma fille. Ton corps
éprouve une félicité de gloire, Ma fille 1
Luz Amparo: Aaah... 1 Ah 1 Si tu m'envoies en enfer
après avoir vu cela... Allons 1 Ah 1 Ah 1 Ne m'envoie
pas en enfer car il ne fallait pas me l'avoir
montré... Ah 1 Laisse-moi en ce lieu; ne m'envoie pas
maintenant sur Terre 1 Je promets que je ne serai
plus
, .La
Sai?te Vie~~e : Ma fille, ~ chair n'entre pas ici, au
Ciel. Je ( 1, t al montre cette VlS1on...
Luz Amparo: Ah ! Laisse-moi encore un moment. Ah ! Ah
! Ah! Ne m'envoie pas en bas, non. Je ne veux pas
redescendre. Ah! Je ne veux pas... Je suis très bien
ici. Je ne veux pas descendre sur Terre. Je ne veux
pas. Ne me dis pas que je suis orgueilleuse parce que
je veux rester, je veux rester ici. Il y a déjà
suffisamment d'âmes qui se sont sauvées. Que veux-tu
que je fasse de plus? Beaucoup d'âmes se sont sauvées!
Ne dis-tu pas que, lorsqu'on sauve une âme, on sauve
la sienne. Pourquoi ne pourrai-je sauver la mienne à
cause de ces âmes?
La Sainte Vierge: Non, Ma fille, parce que ta mission
c'est souffrir et souffrir. Tu sais bien que depuis
ton enfance, depuis ton enfance, Mon Fils t'a choisie
pour souffrir. C
Luz Amparo: Pour cela justement, cette souffrance de
mère est déjà suffisante! J'ai dit -un jour où il y
avait un monsieur- que Dieu ne pouvait être aussi
cruel. Tu m'as répondu qu'Il n'était pas cruel, qu'Il
était miséricordieux et plein d'amour. Alors, pourquoi
m'envoie-t-Il encore sur Terre? Laisse-moi ici, car
moi je ne veux pas retourner encore en bas. Ah ! Ah !
En bas. Pour souffrir! Non. Je ne veux pas. Aide-moi,
alde-moi, parce que mon fardeau est lourd et que
va-t-il se passer avec ce que Tu sais? Lorsque demain
je vais m'y rendre, y seras-Tu?
La Sainte Vierge: Non, Ma fille. C'est une épreuve
supplé- mentaire que tu auras à affronter. Si Dieu le
Père a éclairé les Apôtres, comment ne va-t-Il pas
t'éclairer toi aussi, à ce moment-, là, Ma fille ?
Luz Amparo: Oui, mais. .. Ils sont cinq et nous, nous
sommes trois! (Mots à voix basse et
incompréhensibles).
Voilà pourquoi je Te demande, hein? Laisse-moi ici,
encore un peu, encore un tout petit peu. .. Aide-moi à
souffrir en bas parce
que si je
l'obtiens..., ce sera grâce à Ton aide, parce que la
Terre... ! Ah, ma Mère, ce qui se passe !.. On me
traite de folle, de possédée, et de tant de choses...
La Sainte Vierge: Je t'ai déjà dit, Ma fille, que le
disciple n'est pas au-dessus de son maître. Et Mon
Fils aussi était traité de la sorte.
Luz Amparo: Bien sûr ! Mais Il savait qu'Il était Fils
de Dieu. Mais moi, qu'en est-il? Je suis fille de
Dieu; mais je suis faible. Je ne peux pas... ! Quoi?
Tu vas m'envoyer en bas déjà... n'est-ce- pas? Ne
m'envoie pas là-bas. Si tu es Mère,laisse-moi ici...
Laisse-
mO11Cl.
rLa Sainte Vierge: Oui, Ma fille, tes épreuves ne sont
pas encore terminée.s. On te traitera ~e f?lle et de
qualificatifs encore plus forts... MalS offre-le au
Christ Jesus.
Luz Amparo: (Mots incompréhensibles. . .) Oui, bien
sûr 1 On les dit joliment, les choses! Mais si Tu ne
m'aides pas..., je ne pour- rai pas le supporter.
La Sainte Vierge: Demain, Ma fille ; ne crois pas que
l'issue sera bonne; ne le crois pas. Même si tu les
vois, beaucoup d'entre eux sont des loups revêtus de
peaux de brebis.
Luz Amparo: Eh bien... allons! Ce que renferme la
Terre! (Cette phrase est quasi inintellt"gible).
Oui..., oui, ils sont consacrés! Allons! Comment ils
sont! Voyons pour quoi je dois souffrir davantage à
cause d'eùx, s'ils ne veulent pas... Toi, touche leur
cœur pour qu'ils se sauvent, parce qu'ils sont... Ah
!... Comment ils sont, mon Dieu 1.. . Permets-moi
seulement de toucher ta cape, seulement la cape. (LuZ
Amparo fait le geste de toucher la cape de la Vierge).
Ah! Aaah! Ah! Ah 1 Tu ne me laisses pas davantage
ici?
La Sainte Vierge: Ton bonheur prend fin, Ma fille.
Souffrir, toi, tu dois souffrir. Prends la croix et
sws le Christ.
Luz
Amparo: Plus de croix? Eh bien, en voilà! Je ne
compte
plus les croix. Aide-moi. Aide-moi. Je veux être
humble, mais si tu . ne m'aides pas... C'est que
j'entends tellement de choses, et tous se liguent
souvent contre moi. . .
La Sainte Vierge: Je t'ai dit, Ma fille, de penser au
Christ Jésus. Luz Amparo: Oui, je pense au Christ;
mais... mais je suis un être humain...
La Sainte Vierge: Voilà pourquoi tu ne pourras entrer
dans le
1Royaume des Cieux jusqu'à ce que Mon Fils te façonne
bien comme il faut, Ma fille.
Luz Amparo: (A voix très basse). Me façonner?
Qu'est-ce que
cela signifie? Me façonner, qu'est-ce que c'est? Que
signifie façon- ner? Ah! Me sanctifier! Eh bien, avant
que je ne me sanctifie! (Les paroles suivantes sont
quasi inaudibles). Aide-moi, aide-moi, Mère! Aide-moi!
Je Te promets; je Te promets d'être humble. Mais par-
fois, je n'y arrive pas, je ne peux pas. Ah! Mais rien
que de voir ces li,
eux... .
La Sainte Vierge: Ce n'est pas un lieu 1 C'est la
Gloire, Ma fille ! L'un des paradis, Ma fille !
Luz Amparo: Je veux être dans ce paradis, même si
c'est celui- là. Ah ! (Elle soupire avecbonheury.
La Sainte Vierge: Ne crois pas qu'il soit facile de se
sauver, Ma ]fille. Voilà pourquoi Je donne tant
d'avertissements aux hommes car, il en entre bien peu
par la porte étroite, mais par le chemin large, ce
sont des multitudes d'âmes qui s'y engouffrent.
Luz Amparo: Eh bien je Te promets que je les aiderai à
se sauver. Mais en échange, je ne veux rien. Tu sauras
ce que tu fais. Mais faites cas de ce que je dis. Je
le laisse entre tes mains. Toi, ensuite tu en parles à
Ton Fils et Ton Fils... au Père, et voyons ensuite ce
que fera le Père. .. Mais je Te prie pour tous, pour
tous!
/tiw )(
...~..,~
- '.~i3",ur:.i3 .70U - .'7O't
Qu'ils se sauvent tOUS!
Ah ! Ne vas-Tu pas donner la bénédiction? Mais je suis
déjà dans l'autre lieu! Mais je ne le vois pas!
La Sainte Vierge: Je vous bénis, Mes enfants, comme le
Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec
le Saint Esprit.
Adieu Mes enfants, Adieu.
~~\MAI 1984
La Sainte Vierge: J'apparais aujourd'hui, Ma fille,
parce que ce mois-ci est très important pour les
hommes; mais il n'y a pas que ce mois qui devrait
l'être. Je suis votre Mère tous les mois de l'an- née
et pendant toute la vie, Mes enfants, et pas seulement
ce mois- ci. Mais Je fais plaisir aux hommes parce que
Je sais qu'en ce mois de Mai, non point tous les
hommes mais beaucoup d'entre eux, aiment prier le
Saint Rosaire.
Toi, Ma fille, tu n'as pas été très intelligente, tu
l'as été très peu. Auparavant je t'avais avertie
d'être astucieuse, parce que beaucoup de ceux que
tu... sais, Ma fille, Je ne les nommerai pas, mais ils
sont astucieux... Toi aussi tu aurais du l'être. Je
t'ai déjà dit, Ma fille, que c'était des loups, mais
revêtus de peaux d'agneau... (LuZ Amparo pleure
amèrement et gémit en entendant ces paroles). Mais
n'aie crainte, Ma fille, car ton astuce n'a pas servi
(Les paroles suiv- antes sont quasi inintelligibles.)
comme la leur.
Maintenant c'est l'heure des grandes épreuves, Ma
fille. Affron- te-les. Je t'ai prévenu que ce ne
serait pas facile, c'est ce qui va arri- ver... Je
t'ai dit aussi d'aller parler à l'Archevêque, Ma fille
; d'aller directement à lui.
Luz Amparo: Voyons, comment pouvais-je aller parler
là-bas, si l'on m'en empêche? Si l'on m'en empêche?..
La Sainte Vierge: Pense que ce sont tous ces gens'-là
qui ont conduit le Christ à la Croix, Ma fille. Je
t'ai dit d'être astucieuse, Ma
fille. Ils ne croient pas, Ma fille, bon nombre
d'entre eux ne croient pas en Mon existence. Voilà
pourquoi maintenant l'heure du com- bat va arriver...
; mais tu l'as fait, Ma fille, et ce qui est écrit,
est écrit.
Luz Amparo: Mais Toi. . ., Toi fais-le; fais quelque
chose. Si moi je me suis rendue là où vous m'avez dit
Tu m'as demandé d'y aller, d'être obéissante ; e~~j'y
suis allée pour obéir.
La Sainte Vierge,: L'obéissance est ~ès importante, Ma
fille, mais l'intelligence aussi.
Luz Amparo: Moi, j'ai tout fait; ce seront eux les
coupables. Moi j'ai dit que si l'on m'interdisait d'y
aller, je n'irai pas. Mais si Toi tu viens ici, je
viendrai, bien que j'ai dit que non.
La Sainte Vierge: Pense, Ma fille, que ce sont eux qui
seront responsables. Je me; suis manifestée en ce lieu
et personne ne peut effacer le fait que Je Me suis
manifestée en ce lieu. Ce lieu sera pour toujours
consacré à Mon Cœur, Ma fille, pour toujours. Pour que
tu comprennes mieux: chaque lieu où Je suis apparue,
est sacré pour Moi, Ma fille.
Je te demande aussi, Ma fille, de ne plus penser à
toutes ces C') cho,ses ;, c'est f~t, Ma fille. Ne
.fais, jamais ce, que fit Ju~as : après /
aVOIr tue le Chnst, -car c'est lU! qU!l'envoya a la
mort- il voulut se - repentir; mais tout était déjà
accompli.
Luz Amparo: Je ne sais ce que j'ai dit de mal,
qu'ai-je dit de mal ? Moi j'ai dit tout ce qui était
bien.
La Sainte Vierge: Pour toi, Ma fille, tout ce que tu
as dit est bien; mais Je t'ai dit que tous les hommes
n'aimaient pas Mon Cœur. Et si Je n'apparais pas en ce
lieu, Je Me manifesterai en un autre, Ma fille. Mais
ce lieu est sacré parce que Mes pieds virgina~ l'ont
foulé. Pense qu'en d'autres occasions, ils ont empêché
les pèle$s de se rendre à Mes apparitions; mais ils
n'ont pas pu y par- venir, Ma fille, parce que si ce
n'est pas à l'intérieur [du
Pré-Neuf]
ce sera à
l'extérieur. Mais Je continuerai à Me Manifester.
Pense, Ma fille, que tout au long de l'Histoire, il y
a eu de grands saints; il Y a eu de très grands saints
et aujourd'hui, Ma fille, aujour- d'hui précisément,
c'est la fête de l'un d'eux. Et combien il a été
calomnié, Ma fille, pendant qu'il priait, les Anges de
Dieu faisaient ses travaux et lui, il allait prier!
Voilà pourquoi Je te demande de ne pas trop te
préoccuper des affaires de la terre; occupe-toi des
affaires de Dieu, Ma fille.
Luz Amparo: Ah, moi je ne T'ai jamais dit que Tu étais
au- dessus de Dieu. Je n'ai jamais dit que Tu étais
plus que Dieu. J'ai dit que Tu es après Dieu. D'abord
Dieu, ensuite Ton Fils et Toi. Mais moi je n'ai jamais
dit que Dieu venait après tout, après ta Mère.
Seigneur, Seigneur, Tu le sais aussi. Ah, Seigneur!
Ah, S"eigneur ! (Amparo jubile en raison de la
présence du Seigneur).
Le Seigneur: Om, Ma fille. En ce moment, Je suis
également présent. Je t'avertis, Ma fille, que tu as
été peu intelligente. Mais ne souffre pas, Ma fille.
C'est pire pour celui qui met s<;>n intelligence en
avant, Ma fille. Mais les humains sont cruels. Je ne
veux pas citer de noms, comme Ma Mère. (Plusieurs
exclamations de LuzAmparo se succèdent).
Luz Amparo: Qui ? Les hommes! Mais pas à ces hommes-là
! Ah ! Ceux-là, non. Ce sont les autres, tu sais
lesquels. Ah, Seigneur ! Et qu'ils puissent dire que
cela ne peut être! Ah, ah, ah. .. !
Le Seigneur: Ce sont ces h<;>mmes qui disent que cela
n'est pas
possible. Moi Je Me manifeste, comme Ma Mère, à qui Je
veux et , où Je veux. Je Me manifeste auX humbles pour
confondre les puis- sants.
Luz Amparo: Ah, mon Dieu! Ah ! Ah ! Ah... !
Le Seigneur: Voilà pourquQiJe te demande, Ma fille, de
ne pas avoir peur. Si Dieu est avec vous, qui
pouvez-vous craindre?
Soyez fermes, Mes enfants. Ne cessez de venir en ce
lieu. Vous
savez que ce lieu est sacré parce que les pieds de Ma
sainte Mère l'ont foulé.
Luz Amparo: Ah, Ah ! S'ils en interdisent l'accès,
qu'est-ce que je fais?
Le Seigneur: Toi, obéis, Ma fille ; mais que tous ceux
qui désirent vraiment la présence de Dieu et sont
venus en ce lieu, qu'ils soient fermes et qu'ils
continuent à fréquenter ce lieu. Qu'ils ne se laissent
pas vaincre par la ruse de l'ennemi; c'est alors que
l'on verra que ce lieu est sacré, Ma fille.
Ce qui t'arrive, Ma fille, est arrivé à Mes disciples:
on les persé- cutait lorsqu'ils parlaient du Christ,
on leur lançait des pierres, on les jetait, on disait
du mal d'eux, on les jeta dans la fosse aux lions...
Sais-tu qui m'a livré, Ma fille ? Tous ces gens-là.
(Ici le Seigneur parle
une langue étrange).
Luz Amparo: Ce furent ces gens-là, ce furent eux, tous
ceux-
là ... ! (Paroles inintelligibles. Elle est
inconsolable).
Le Seigneur: Oui, Ma fille, (Un mot incompréhensible.)
... eux. Mais, sais-tu pourquoi? Parce qu'ils
voulaient être plus que Dieu. Pas tous Ma fille, pas
tous, mais beaucoup d'entre eux m'ont livré à la
mort.
Luz Amparo: Ah, quel courage! Ah ! Cela ne m'étonne
pas que Tu continues à dire qu'ils s'en aillent tous.
Le Seigneur: Ils ne croient pas, Ma fille, que la
colère de Dieu est grande. Eh bien oui, c'est écrit,
Ma fille. Ce qui se passe, c'est que beaucoup d'entre
eux n'ont pas lu les saints Evangiles et ignorent
qu'il est écrit que la colère de Dieu est terrible.
Bien que Dieu est miséricordieux, sa colère est très
grande, Ma fille.
Luz Amparo: Mais au moins, sauve-nous, nous autres;
bien que je te prie pour eux aussi, mais c'est que...
S'ils sont ainsi... Ah!
1. On ne peut pas implorer ,daï;lï.ï,~ Bien sûr !
Comm:t
vivent-ils 1 Hein? Ah 1 Bien sûr 1 Mais ne ::-): :: ::
qui ils sont? Pas même le dire? Eh bien, en voilà des
secrets que vous me livrez!
Le Seigneur: Non, Ma fille ; tu ne peux pas le dire
parce que tu détruirais l'Eglise de Mon... (Les
sanglots couvrent la voix de LuZ Amparo).
Luz Amparo: Mais l'Eglise, à qui est-Elle? L'Eglise
est à Toi? L'Eglise est à Dieu.
Le Seigneur: Je t'ai déjà dit, Ma fille, que vous êtes
tous 1'.1.1) Eglise ; mais dans l'Eglise, Je veux des
temples vivants; Je ne veux ", pas des temples morts.
Et la plus grande partie de ces temples sont
morts, Ma fille.
Luz Amparo: Ah, les pauvres! Eh bien s'ils sont morts,
Toi, ressuscite-les. Mais que nous, nous ne nous
condamnions pas, han ? Puisque aujourd'hui Toi aussi
Tu es ici. Ah! Je le ressentais intérieurement. Je
ressentais que tu allais venir ici. Ah ! Ah !
Le Seigneur: Voyez l'orage: quand il répand les
éclairs sur toute la face de la terre... Ainsi sera la
colère de Dieu le Père, pire
,
qu un orage.
Luz Amparo: Eh bien alors, allons, allons! Oh ! Sa
colère est- elle si grande? Ah ! Mais il ne faut pas
qu'll nous fasse peur.
Le Seigneur: Au contraire, Mes enfants. Tous ceux qui
obser- vent les commandements de la Loi de Dieu seront
sauvés, Mes enfants, parœ qu'ils renferment tout, tout
ce que Dieu a institué par l'intermédiaire de Moïse,
Ma fille.
Luz Amparo: Bon, eh bien alors... Aujourd'hui ne
puis-je pas même pas te toucher? Ah ! Mais permets-moi
de Te toucher un petit peu! Ah! Le pied seulement. Je
ne veux qu'un petit bout de ce que tu portes, de la
tunique. Ah ! ah! Ne vas-Tu pas donner ta bénédiction?
Après ah ! Les deux bénédictions. Allez, ah !
Le
Seigneur: Oui, Ma fille, au cours de ce mois de Mai,
les manifestations de Ma Mère bien-aimée seront
continuelles.
Luz Amparo: L'aimes-tu tant ? Oh ! Mais, les enfants
aiment- ils autant leur mère?
Le Seigneur: Tous les enfants, Ma fille, devraient
respecter leurs parents comme Moi J'ai honoré les
miens. A l'âge de douze ans, Je suis allé au Temple
expliquer la doctrine de Dieu le Père. Mon père
adoptif m'a élevé dans la sainte crainte et l'amour
envers le prochain. Voilà poUrquoi je vous demande
d'élever vos enfants dans cette sainte crainte. ..
Dieu a donné un commandement: " Tu honoreras ton père
et ta mère ". Et malheur à celui qui n'honore
1
pas son pèré et sa mère! Comme il l'a dit, il sera
puni comme le père a châtié son fils.
Luz Amparo: Et le père qui n'aime pas ses enfants, que
lui arrivera-t-il? Ah ! Moi je les aime beaucoup, mais
parfois j'en suis orgueilleuse. Mais, sais-tu
pourquoi? Parce que je veux qu'ils soient bons et
qu'ils accomplissent tous [leurs devoirs]. Mais je les
aime, hein? (Elle pleure). Ce qu'il y a ... c'est que
Te suivre à toi! C'est dur, hein ?
Le Seigneur: il est dur de Me suivre, Ma fille, mais
ne pensez- vous pas que ce que Mon Père avait choisi
pour votre salut, était dur pour Moi: la mort. Et
cette mort sur la croix ne fut pas une mort agréable,
Ma fille. Je l'ai portée avec humilité jusqu'à la
mort:
mais, quelle douleur ca ressenti Mon Cœur sur la
Croix, alors qu'a- '
gonisant, Je voyais les hommes s'obstiner dans le
péché, Ma fille.
,
Luz Amparo: Mais Tu ne m'as pas répondu au sujet des
pa- rents qui n'aiment pas leurs enfants. Que leur
arrivera-t-il? Hein ?
Le Seigneur: Eh bien la même chose qu'aux enfants qui
n'ai- ment pas leurs parents. Ce sera le même
châtiment.
Luz Amparo: Ah ! Crois-Tu que je vais me sauver? Parce
que
1si je ne me sauve pas! Allons!
Le
Seigneur: Oui, Ma fille, au cours de ce mois de Mai,
les manifestations de Ma Mère bien-aimée seront
continuelles.
Luz Amparo: L'aimes-tu tant ? Oh ! Mais, les enfants
aiment- ils autant leur mère?
Le Seigneur: Tous les enfants, Ma fille, devraient
respecter leurs parents comme Moi J'ai honoré les
miens. A l'âge de douze ans, Je suis allé au Temple
expliquer la doctrine de Dieu le Père. Mon père
adoptif m'a élevé dans la sainte crainte et l'amour
envers le prochain. Voilà poUrquoi je vous demande
d'élever vos enfants
dans cette sainte crainte. .. Dieu a donné un
commandement: Il Tu
honoreras ton père et ta mère ". Et malheur à celui
qui n'honore pas son pèr~ et sa mère! Comme il l'a
dit, il sera puni comme le père a châtié son fils.
Luz Amparo: Et le père qui n'aime pas ses enfants, que
lui arrivera-t-il? Ah ! Moi je les aime beaucoup, mais
parfois j'en suis orgueilleuse. Mais, sais-tu
pourquoi? Parce que je veux qu'ils soient bons et
qu'ils accomplissent tous [leurs devoirs]. Mais je les
aime, hein? (Elle pleure). Ce qu'il y a ... c'est que
Te suivre à toi! C'est dur, hein ?
Le Seigneur: il est dur de Me suivre, Ma fille, mais
ne pensez- vous pas que ce que Mon Père avait choisi
pour votre salut, était dur pour Moi: la mort. Et
cette mort sur la croix ne fut pas une mort agréable,
Ma fille. Je l'ai portée avec humilité jusqu'à la
mort: mais, quelle douleur ca. ressenti Mon Cœur sur
la Croix, alors qu'a- ' gonisant, Je voyais les hommes
s'obstiner dans le péché, Ma fille.
,
Luz Amparo: Mais Tu ne m'as pas répondu au sujet des
pa- rents qui n'aiment pas leurs enfants. Que leur
arrivera-t-il? Hein ?
Le Seigneur: Eh bien la même chose qu'aux enfants qui
n'ai- ment pas leurs parents. Ce sera le même
châtiment.
Luz Amparo: Ah ! Crois-Tu que je vais me sauver? Parce
que
1si je ne me sauve pas! Allons!
Le
Seigneur: Ma Mère te l'a dit : jusqu'à la fin,
personne, per- sonne ne peut dire qu'il est sauvé. Et
même si Je savais que ton âme
tétait sauvée, Je ne te le dirai pas non plus, Ma
fille.
Luz Amparo: Bon, tu aurais beau me le dire, je
continuerai de ,. même.
Le Seigneur: Non, non, tu n'agirais pas pareil. Alors
l'ennemi s'emparerait de toi, Ma fille.
Luz Amparo: Ah !Allez, donne-nous à tous la
bénédiction.
Le Seigneur :Je vous bénis comme le Père vous bénit
par Mon intermédiaire et avec le Saint Esprit.
Luz Amparo: Oh ! Mais cette bénédiction n'est pas
pareille...
Le Seigneur: Cette bénédiction est la bénédiction de
Ma croix, parce que Ma croix eut cette forme, Ma
fille. Montre-là.
Luz Amparo: Ainsi, et ainsi et ainsi. (Avec sa main,
elle fait un
signe semblable à un " y"). Ah ! Mais l'autre croix
n'est pas pareille. Mais nous devons faire tout ce
qu'ils diront. Hein ?
Le Seigneur: Bien sûr, Ma fille, parce que le Christ a
dit : " Ce . que vous lierez sur la terre, sera lié
dans le ciel; ce que vous délierez
~ .. sur la terre, sera délié dans le ciel".
Accomplissez aussi votre devoir y - envers Mon Eglise,
Mes enfants; sanctifiez les jours de fête, con-
sacrez-moi le septi~me jour; non seulement à Moi,
parce que si vous Me le consacrez, vous le consacrez à
Mon Père et vous ho- norez aussi Ma Mère.
Luz Amparo: Ah! Tu pars déjà? Mais ~ccompagne ta Mère.
Oh! Ne la laisse pas là. Ah !
Le Seigneur: Je pars, Ma fille, car Je continue à
préparer les demeures de Mon Père Céleste. Il en reste
encore beaucoup à faire.
Luz Amparo: Cela signifie qu'il y en a beaucoup plus?
Ah !
La Sainte
Vierge: Ma fille, quel grand jour même s'il semble que
ce soit un jour comme un autre. Mon Fils s'est
manifesté!
Luz Amparo: Mais Tu es là ! Ah quelle joie !... Ah, ce
n'est
pas possible, dira-t-on? Allons! Ah ! Que l'on me dise
que si Je le vois à l'intérieur... que ce n'est pas
ainsi... Allons! C'est que je L'ai touché 1 Et je L'ai
touché plus d'une fois... Ah même si l'on me met dans
un asile, je dirai que je L'ai touché, et je L'ai
touché.
La Sainte Vierge: Bien sûr, Ma fille. Il faut que tu
sois forte. Et pense que celui qui reniera le Christ
sur la terre, les Anges célestes le renieront devant
le Père.
Luz Amparo: C'est pourquoi je Te dis que, même si l'on
me tue, je reste ici et je ne renie pas.
Ah ! Comme Tu es grande, ma Mère! Et ne pas pouvoir
être ici pour toujours) Allons! Je T'ai demandé de
m'emporter avant que je n'offense Dieu et que je le
renie. Emporte-moi pour ne pas que je nie ce que j'ai
vu, que je ne le nie pas. Emporte-moi aupara- vant. Ah
1 car, qu'est-ce qu'ils sont en train de faire?
La Sainte Vierge: Les épreuves commencent maintenant,
Ma fille. C'est le début.
Luz Amparo: Si tu vois que je deviens un peu. . . je
te demande
de m'emporter hein? Non, je n'ai peur de rien, je le
sais; mais si tu étais au front, Tu verrais!
La Sainte Vierge: Je suis devant tous les humains, Ma
fille, en
même temps dans tous les lieux du monde. Il est
difficile de croire à ce mystère, comme à tarit
d'autres que le Ciel contient, Ma fille ; mais
efforcez-vous de gagner le Ciel et /ses secrets vous
seront {révélés, Ma fille... (LuzAmparo exprime la
satisfaction et lajoie). Lev~z tous les objets, Mes
enfants... Ils ont tous été bénis, Ma
fille. Combien de grâces Mon Cœur répand et comme l'on
tient peu compte de ces grâces que Mon Cœur déverse!
Hwnilie-toi, Ma fille, celui qui s'hwnilie sera élevé
et celui qui s'élève, sera hwnilié.
Luz Amparo: Ah ! lis sont tous pareils. lis ont tous
le même visage. Ah ! De ce côté, ah quels visages! Et
pourquoi sont-ils tous semblables, tous ces visages de
ces anges? Mais ils ont tous le même visage.
La Sainte Vierge: Pour Dieu, rien n'est impossible, Ma
fille. De même qu'll a créé l'homme, de même II peut
faire ce qu'll veut, Ma fille.
Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l'in- termédiaire du Fils et avec le Saint
Esprit.
Adieu, Mes enfants, Adieu.
19 MAI
1984
La Sainte Vierge: Mes enfants, Je viens vous donner Ma
sainte bénédiction, comme Je vous l'ai promis. Je vais
aussi vous parler un peu du Christ, Mes enfants.
Approchez-vous du sacrement de la Confession et du
sacrement de l'Eucharistie. Suivez le chemin de
l'Evangile. Celui qui mange le Corps du Christ et boit
son Sang, vivra éternellement, Mes enfants.
(Pause au cours de laquelle LuzAmparo se plaint à
plusieurs reprises).
Ma fille, Je t'ai dit en d'autres occasions que bien
des brebis étaient rentrées au bercail du Christ!
Elles s'étaient égarées et sont revenues sur le chemin
du Christ, Ma fille. (LuZ Amparo se plaint à nouveau).
Le Christ, M~ fille, a' donné sa vie pour ses brebis;
voilà pourquoi Je veux que Ses brebis répondent à ce
Sang que le Christ a versé, Mes enfants. ChaCUh de
vous, vous êtes les brebis du trou- peau du Christ.
C'est pourquoi Je vous dis, Mes enfants: avec le
sacrifice et la prière, vous pourrez parvenir à la vie
éternelle, Mes enfants.
) Ne pensez pas que ceux qui se confessent directement
au Père
céleste se sauveront, Mes enfants. Dieu le Père a
placé ces âmes [les (prêtres] pour que vous vous
humiliez en confessant vos péchés, Mes enfants. Je
t'ai déjà dit une fois, Ma fille, que seul un être en
chair et en os pouvait comprendre comment vous
offensez Dieu, Mes enfants. Un Ange du ciel ne
pourrait jamais comprendre la 1façon dont vous
offensez Dieu, Mes enfants. Voilà pourquoi Je vous
demande le sacrifice, Mes enfants; approchez-vous du
sacre- ment de la Confession et faites pénitence.
Recevez le Christ, car, 10rsqu'D est monté vers le
Père, D est demeuré dans le Saint Sacrement pour vous
donner des forces, Mes enfants.
Mes enfants, Mon Coeur ne conçoit pas comment les
hommes sont si cruels avec le Christ et offensent tant
le Père Eternel.
D y en a qui disent que le Christ ne souffre pas. Le
Christ con- tinue de souffrir journellement Mes
enfants, parce que vous péchez sans cesse. Comme vous
continuez à pécher, le Christ continue de mourir sur
la Croix pour racheter toute l'Humanité; mais Sa plus
grande souffrance, Mes enfants, c'est qu'D ne va pas
pouvoir sauver toute l'Humanité. Nous voulons sauver
au moins le tiers de l'Humanité.
Comment y parvient~on, Mes enfants; comment obtient-on
la présence divine de Dieu le Père? En observant les
commande- ments qu'D a institués. D faut mettre en
pratique chaque comman- dement, Mes enfants, parce que
tous ceux qui n'observeront pas l'un de ces
commandements, ne verront jamais la présence du Père,
à moins qu'ils ne demandent pardon à Dieu le Père.
Mon Cœur est de plus en plus criblé d'épines, Ma
fille, mais Je vais te donner une grande joie parce
que cinq d'entre elles se sont purifiées. Voilà
pourquoi Je dis qu'avec le sacrifice et la prière, Mes
)enfants, vous pouvez sauver beaucoup d'âmes.
Tu vas tirer trois épines de Mon Cœur, Ma fille.
(LuZ Amparo se plaint à plusieurs reprises en enlevant
les épines). Tire sans crainte, Ma fille.
céleste se
sauveront, Mes enfants. Dieu le Père a placé ces âmes
[les 1prêtres] pour que vous vous humiliez en
confessant vos péchés, Mes enfants. Je t'ai déjà dit
une fois, Ma fille, que seul un être en chair et en os
pouvait comprendre comment vous offensez Dieu, Mes
enfants. Un Ange du ciel ne pourrait jamais comprendre
la 1façon dont vous offensez Dieu, Mes enfants. Voilà
pourquoi Je vous demande le sacrifice, Mes enfants;
approchez-vous du sacre- ment de la Confession et
faites pénitence. Recevez le Christ, car, lorsqu'Il
est monté vers le Père, Il est demeuré dans le Saint
Sacrement pour vous donner des forces, Mes enfants.
Mes enfants, Mon Coeur ne conçoit pas comment les
hommes sont si cruels avec le Christ et offensent tant
le Père Eternel.
Il y en a qui disent que le Christ ne souffre pas. Le
Christ con- tinue de souffrir journellement Mes
enfants, parce que vous péchez sans cesse. Comme vous
continuez à pécher, le Christ continue de mourir sur
la Croix pour racheter toute l'Humanité; mais Sa plus
grande souffrance, Mes enfants, c'est qu'Il ne va pas
pouvoir sauver toute l'Humanité. Nous voulons sauver
au moins le tiers de l'Humanité;
Comment y parvient~on, Mes enfants; comment obtient-on
la présence divine de Dieu le Père? En observant les
commande- ments qu'Il a institués. Il faut mettre en
pratique chaque comman- dement, Mes enfants, parce que
tous ceux qui n'observeront pas l'un de ces
commandements, ne verront jamais la présence du Père,
à moins qu'ils ne demandent pardon à Dieu le Père.
Mon Cœur est de plus en plus criblé d'épines, Ma
fille, mais Je vais te donner une grande joie parce
que cinq d'entre elles se sont purifiées. Voilà
pourquoi Je dis qu'avec le sacrifice et la prière, Mes
Jenfants, vous pouvez sauver beaucoup d'âmes.
Tu vas tirer trois épines de Mon Cœur, Ma fille.
(LliZAmparo se plaint à plusieurs reprises en enlevant
les épines). Tire sans crainte, Ma fille.
Luz
Amparo: Ah, ah ! Elle est profondément enfoncée...
r La Sainte Vierge: Tire, Ma fille, elle s'est
purifiée; Mais ses \ péchés ont été vraiment
horribles, Ma fille.
Luz Amparo: Ah ! Ah, ah... 1 (A plusieurs reprises
elle exprifiJê une vive douleur qu'elle partage avec
la Vierge). Ah, quelle douleur, Ah ! Quelle douleur!
Ah !
La Sainte Vierge: Tu éprouves de la douleur, Ma fille
; mais il y a cinq âmes qui se sont purifiées.
Luz Amparo: Ah ! En tirant, je souffre... Ah ! All !
Ah ! J'éprouve une douleur intérieure.
La Sainte Vierge: Mais sois très contente, Ma fille.
Quatre âmes se sont purifiées et pour une seule âme,
Ma fille, il y a une grande fête dans le Ciel ce
jour-là.
Luz Amparo: Ah ! Ah ! Ah ! Ah !
La Sainte Vierge: Maintenant tu vas faire un acte
d'humilité, Ma fille ; tu vas baiser le sol pour que
davantage d'âmes se purifient, Ma fille... (LIIZ
Amparo fait ce que la Vierge lui demande). C'est acte
d'humilité, Ma fille, sert pour la purification des
âmes. Voilà
\pourquoi Je te dis qu'il vaut la peine de souffrir
parce qu'ici-bas tout a une fin ; mais ensuite tout
est éternel, Ma fille.
Luz Amparo :Ah ! Montre-moi d'autres choses de là-bas.
Mon- tre-moi d'autres choses que j'ai vues auparavant
montre-moi! Cà m'aidera ainsi à souffrir davantage!
Ah! Montre-les moi 1 Ah ! Ah ! Ah!
Emmène-moi là-ba~ ! Emporte-moi! Ne me laisse plus ici
! Emmène-moi! Combien de fois veux-tu que je Te le
demande? Ah 1 Ah! Ah ! Ah ! Quelle félicité! (Avec une
profonde joie).
Qu'ils disent que cela n'existe pas! Allons! Ah !
Encore un petit peu, laisse-moi rien qu'un petit peu
car je veux profiter de chacune d'elles pour savoir
quelle est la meilleure! Ah ! Ah r Ah! Et si après
je n'en
obtenais aucune [demeure] hein? Ah ! Je ne T'en
demande qu'une, hein? Même si c'est la dernière, hein?
Il Y en a encore d'autres, mais aujourd'hui Tu ne veux
pas me les montrer, hein ? J'en ai vu suffisamment?
Encore un tout petit peu! un tout petit peu! C'est
seulement la dernière chose que je Te demande: me
montres-Tu la suivante? Mais bon 1 Que sont ces
pierres? Des bril- lants ? Et ces chars qu'il y a
là-bas, ils sont bien en or ! Ah ! Mais il y en a qui
ont la forme d'un animal, non? D'une langouste! Ceux-
là comme ils sont jolis! Lorsqu'on soulève le train
arrière, voyons qu'est-ce qu'il en sort? Du feu! Mais
comment cela se fait-il? Cà me brûle! Ah ! Ah ! Ah !
Ah ! Ma Mère! Mais bon! Pourquoi cela dégage-t-il du
feu?
La Sainte Vierge: Ma fille, le moment du combat venu,
ces
l'\ chars combattront et répandront du feu par la
queue et ils anéan- 1 tiront la moisson desséchée de
la Terre. Ce sont les chars du . Seigneur.
Luz Amparo: Mais ils ne sont pas identiques! Quelle
forme cela a-t-il? Ah !
La Sainte Vierge: L'ennemi les a aussi, Ma fille. Mais
l'enne- 1mi tuera tous .les êtres marqués de son
sceàu, il ne touchera à aucun sceau vivant qui aura
été marqué par l'Ange du Seigneur ou par Moi, Ma
fille.
Luz Amparo: Ceci signifie le sceau, n'est-ce pas? Ah!
Ce que
je vois, ce que je vois là-bas, plus loin, qu'est ce
que c'est? Cela je l'ai déjà vu une fois; ces
vingt-quatre hommes, qui sont-ils? Mais
ils ne sont pas si vieux, avec !fl barbe. Ah ! Ce sont
eux qui vont. . .
Ah ! Il ne faut pas le dire ! Eh bien, Toi, dis-le
moi. Moi je le savais d'une autre façon, mais...
(Paroles dans une langue inconnue). Bon, eh bien: je
Te le promets, car c'est un secret... Combien il y a
de choses 1là-haut! Et quelle peine que tant d'âmes se
condamnent! Ah ! Ah r Toi, aide-les, parce qu'il vaut
la peine de souffrir ici, pour voir ensuite tout cela.
Ils n'iront pas tous là? Mais pourquoi si Dieu est
grand?
La Sainte Vierge: Mais il est extrêmement juste, Ma
fille.
Luz Amparo: Bon! Mais qu'il pardonne. Si c'est Lui qui
nous a faits, eh bien, voyons, pourquoi péchons-nous?
.. Tu as dit que nous nous condamnons nous-mêmes; mais
nous, nous ne voulons pas nous condamner. Pourquoi un
homme va-t -il vouloir se con- damner? N'est-ce pas
Dieu qui nous juge?
La Sainte Vierge: Oui, Ma fille, mais s'il se présente
les mains vides, quelle récompense va-t-il recevoir?
Lorsque vous vous présenterez devant le Père, tâchez
Mes enfants, d'arriver les mains remplies de vos
œuvres. Vous verrez quelle grande récompense vous
recevrez!
Luz Amparo: Si Tu veux que je baise le sol vingt fois,
je le fais. Et si davantage d'âmes se sauvent, alors
je baiserai le sol tout le long du jour! Crois-tu que
si je baise autant le sol, elles se sauveront?
La Sainte Vierge: C'est un acte d'humilité qui peut
aider les âmes, Ma fille, mais tu auras beau passer ta
journée à baiser le sol, ce n'est pas pour autant
qu'elles se sauveront.
Luz Amparo: Alors, pourquoi me demandes-Tu chaque fois
de baiser le sol? Encore une fois (Bon! Si cela sert à
quelque chose... Je l'ai fait encore une fois. Voyons
ce que Toi tu fais main- tenant, car si cela n'a pas
de valeur, pourquoi vais-je me courber? Ah, ah !
t(La Sainte Vierge: Bien sûr que cela a de la valeur,
Ma fille. Je t'ai souvent dit qu'en priant face contre
terre, vous imiterez le Christ, parce que c'est ainsi
qu'il était tout au long du jour.
Luz Amparo: Mais, toute la journée, toute la journée?
Ah ! On ne peut le supporter tout le jour...
La Sainte Vierge: Je ne veux pas dire que tu dois être
toute la journée face contre terre, Ma fille; mais le
Christ l'a fait pour sauver l'Humanité. il a donné Sa
Vie, et pensez que Dieu le Père n'est pas
&&&&&&&&&&&&&&&&
La Sainte Vierge: Et Moi J'apparaîtrai au moment où
J'en aurai envie, Ma fille. Même si l'on me voyait, on
en douterait encore. N'ont-ils pas vu Ma présence dans
le Soleil et la présence du Christ, et beaucoup l'ont
nié?
Amparo: Eh bien que ceux-là ne le voient pas ou que
voient ceux qui ne le nieront pas; parce que s'ils
nient, je ne sais pourquoi Tu fais en sorte qu'ils
voient.
La Sainte Vierge: Parce qu'ils ont plus de
responsabilité envers le Christ, Ma fille.
Amparo: Bon! Tu feras ce que Tu voudras, mais moi je
veux qu'un jour Tu apparaisses et que tout le monde Te
voie, tout le monde!
La Sainte Vierge: lis ne croiraient pas non plus, Ma
fille. lis diraient que c'était de la suggestion et
que tout le monde avait vu la même chose.
Amparo: Mais c'est que tous n'ont pas vu la même
chose et... ils ne disent pas la même chose. Voyons...
Toi aide tous ceux qui peuvent aller à J'endroit que
tu dis, parce que si non... Voyons où vais-je me
mettre; là-bas, à la porte jusqu'à ce que l'on fasse
ce que Tu veux? Et çà Y est.~, Ah! ... Je me place
mais après ... Tu verras ce qu'ils font avec moi!
fLa Sainte Vierge: Toi, pense Ma fille que si Moi Je
Me suis manifestée et si Je t'ai communiqué ce secret,
tu auras l'opportunité de pouvoir le révéler.
Amparo: Oui, Bien sûr, mais quand? Parce que si tu
dis que je tarde, que je tarde... ! Tantôt c'est le
fait de l'Evêque que le Cardinal... tantôt le Cardinal
que l'Evêque... Eh bien s'il n'y avait pas d'Evêque,
pour quoi disais-tu Cardinal? Et si Evêque il y avait,
hein? Tu dis quel Cardinal ?
La Sainte Vierge: Ce sont les épreuves. Pense que les
grands
saints ont eu des épreuves très dures, plus dures que
les tiennes... \Toi, tu n'es pas une grande sainte.
Amparo: Oui je sais que je ne suis pas sainte; je
l'ai dit moi-même, que je ne voulais pas monter sur
les autels; moi je ne désire qu'une chose: faire ce
que Tu me demandes. Mais à condi- tion que Tu m'aides,
parce que moi toute seule, voyons comment je peux
solutionner tout cela. Voyons! Et... et si nous devons
mourir, eh bien nous mourons; mais aide-nous.
La Sainte Vierge: C'est pourquoi Je mets sur ton
chemin, Ma fille, beaucoup de personnes qui peuvent
T'aider.
Amparo:
Ces personnes sont comme moi, parce qu'elles ne savent
par où commencer, hein? Voyons ce que nous allons
faire! Toi aide-nous et trace nous le chemin pour que
nous arri- vions là où Tu voudras; car si c'est
l'épreuve, voyons comment nous nous en sortons!
Ma Mère! Oui, je sais que Tu es très belle! Ah! Ne
pouvoir êtte toujours avec Toi là-bas! Une fois de
plus [retourner] en bas! Allons! Ma Mère! Mais comment
peut-on arriver à aller là-bas? Allons! Tu dis : que
Ton Fils est en train de me façonner? Mais il doit en
manquer beaucoup pour que je sois façonnée, hein? Ah !
Avec tout ce qui est en train de se passer! Et tout ce
que je ne veux pas Te dire, car Tu le sais, et je veux
le faire j mais on me dit que je suis en train de
m'assassiner. Crois-tu que parce que je fais cela, je
m'assassine?
Si c'est le sacrifice, c'est la pénitence, et le
sacrifice d'une façon et la Pénitence d'une autre.
Non? Le sacrifice c'est dans le corps, non? Et la
pénitence, c'est... Ah ! Bon! Moi je le savais déjà,
que c'était dans les repas, dans le dessert, dans les
aliments, dans quelque chose que tu aimes. Mais le
sacrifice c'est de l'autre façon. Voilà. Eh bien rien.
Ici je ne peux non plus le faire (Les mots suivants à
voix basse, comme sur un ton conftdentie~. Toi,
aide-moi pour que je puisse le faire; mais qu'ils ne
le sachent pas, Toi fais-le de sorte que
personne ne Te voie. Hein? Tu me le donnes et je fais
ce que Tu dis. Bon! Ah ! Mais Tu nous aimes tous
beaucoup, n'est-ce pas?
La Sainte
Vierge: Si Je ne vous avais pas aimés, Mes enfants, Je
ne Me serais pas manifestée depuis des siècles pour
vous aviser du grand danger qui vous attend. Et Je Me
suis manifestée il y a longtemps en ce lieu; mais
personne n'a voulu... personne n'a voulu mener à bien
cette manifestation. Il y a eu confusion, Ma fille.
Amparo: Et si Tu T'es manifestée ici, pourquoi
n'ont-ils pas dit que Tu étais apparue ici? En voilà
une embrouille main- tenant! Ah ! Moi je ne peux pas
le dire, non?
La Sainte Vierge: Non, non, non, non.
& partie message
du 19 mai 1984 (relire ci dessus)
page 296 : Amparo: Quelle embrouille! Il ne me
manquait plus que ça ! Et que s'est-il passé ? (Paroles en langue inconnue, comme
si Elle répondait à la question précédente).
Comme ils sont bien ceux qui sont en haut! ... Mais ne
fais pas en sorte que je le dise, parce qu'alors.,. il
y en aurait du grabuge! Ah bon! Maintenant, vas-Tu
bénir nos objets, avant de T'en aller ?
La Sainte
Vierge: Oui, Ma fille. Levez tous les objets. Ils
seront tous bénis... "
Amparo:
Moi même si je Meurs, que je meure, je ne le dirai
pas. Mais il y a des choses qu'on peut Te demander
pour les dire, non? Mais moi je ne vais pas à ces
endroits-là et je ne pense pas le ,dire. Tu sauras ce
que tu fais.
Laisse moi
Te toucher un peu le pied! Seulement le pied! Comme il
est froid! Ah ! On dirait que Tu es mouillée ! Comme
Ton pied est joli! Tu n'as rien de laid, hein? En Toi,
tout est joli ! Tout! Comment il y aura des gens... !
Eh bien, comment dit-on?
La Sainte
Vierge: Ma fille, ne dis jamais" gens ", dis " ton
prochain ",
Amparo:
Eh bien, mon prochain, comment aura-t- il ? Mon
prochain à moi c'est tout [le monde]. Et nous sommes
tous "prochain" ; mais ici on dit les gens... Et ils
ne croiront pas ce que Tu es en train de faire ! Mais
fais quelque chose d'énorme.
Ah, oui, bien sûr ! Le salut des âmes! Bien sûr ! Mais
l'autre chose aussi est bonne, parce que je Te le
demande de le faire, et tant de fois!
La Sainte
Vierge: Cà c'est de l'orgueil, et te mettre, Ma
fille...
(Paroles incompréhensibles).
Amparo:
Mais moi je ne veux pas cela, mais que veux-tu que Je
fasse par orgueil ?
La Sainte
Vierge: Baiser à nouveau le sol.
Amparo:
Nous voilà bien !... J'ai baisé à nouveau le sol.
ne dis-Tu pas que cela n'a pas d'importance? Pourquoi
me demandes-Tu tant de fois de baiser le sol? Bon! Eh
bien cela est pour Toi et pour moi. Personne, mais
personne ! Je te le promets. Ah ! Vas- Tu venir? Car
Tu dis que le mois de mai. .. et que nous ne Te prions
que pendant le mois de Mai. Et Toi Tu ne vas
apparaître ainsi que tout le mois de Mai ? Ah ! Eh
bien, apparais tous les jours, en d'autres occasions;
pas seulement pendant le mois de Mai.
La Sainte
Vierge: Ma fille, Je pourrais Me manifester sur tous
les lieux du monde en même temps; mais non; Je ne le
veux pas parce qu'il y a des personnes. . .
Amparo:
Ah, bon! Des "personnes ", c'est déjà autre chose.
La Sainte
Vierge: Il y a des personnes qui sans voir ni
entendre, Ma fille, font cas de Mes messages; tu
pourrais te lever en ce moment, mais ce serait une
honte, et indiquer un par un ceux qui croient,
Ma fille.
Amparo: Pourquoi viennent-ils alors? Eh bien, qu'ils
ne viennent pas. Oh ! Ils montent ainsi? Oh ! Ainsi
tous? Ah, mais laisse-le. Tant pis pour ceux qui ne
croient pas; ils n'iront pas là-haut. Ah ! Ouvre le
chemin encore plus! Oh, quel chemin! Ah, ah, ah... !
La Sainte
Vierge: Aucun être humain, Ma fille, ne pourrait
supporter cette présence si ce n'était pour une
mission. Voilà pourquoi Je te demande d'ignorer les
faux prophètes, parce qu'ils ne peuvent pas voir Mon
visage et demeurer comme. .. (Elle parle une langue
inconnue).
& à suivre ici
Amparo: Ah, eh bien je l'ai dit ; je l'ai dit à
beaucoup de monde. Et les âmes qui se sauvent, qu'en
est-il ?
Ne pars pas! Ah ! Ne t'en vas pas! Reste encore un peu
ici, ne pars pas.. .Ah! Ah ...! Oh ce que j'ai vu de
fin, oh ! Cà ce n'est pas de la Terre, hein? Eh bien
en voilà des choses que vous avez là- haut! Hein ?
Bon, alors aime-nous beaucoup parce que nous tous,
nous t'ai- mons beaucoup, hein? A part un ou autre qui
ne T'aime pas; mais Tu verras comme il T'aime, parce
que je vais Te le demander, et.. . Tu sais ce que je
vais faire.
Ne vas-Tu pas nous bénir? Ah ! Mais de quelle façon?
Parce que Ton Fils nous a bénit§ d'une façon que...
Allons! C'est un autre problème! Parce que s'il met la
croix de cette façon, et la croix d'ici est d'une
autre, eh bien nous voilà avec le problème.
f")
\La Sainte Vierge: Moi Je fais le signe de Croix, Ma
fille, avec
. la Croix sur laquelle Mon Fils est mort, mais toi,
continue avec la croix de la Terre. (Elle parle une
langue étrange).
Amparo: Bon tu vas voir comment a été celle de Ton
Fils; voyons si tu fais la même; et ensuite tu nous
donnes l'autre.
La Sainte Vierge: Je vous bénis, Mes enfants, comme le
Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec
le Saint Esprit.
Amparo: Ah ! Maintenant donne-nous l'autre Ah ! C'est
la
même,
c'est la même car je l'ai vue, la même.
La Sainte Vierge: Je vous bénis, Mes enfants, comme le
Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec
le Saint Esprit.
Amparo: Pars-Tu déjà?
La Sainte Vierge: Adieu, Mes enfants, Adieu.
19 mai 1984
Confession
La Vierge: "approchez-vous du sacrement de la
confession, ne croyez pas que celui qui se confesse
directement à Dieu se sauvera. Dieu a placé des
confesseur pour que vous vous humiliez".
Long colloque avec la Vierge, parfois en langue
céleste.
"L'ennemi tuera tous ceux qui seront marqués de son
sceau mais il ne touchera à aucun de ceux
marqués-scellés par l'Ange ou par Moi.
baiser le sol est un acte d'humilité qui peut servir à
aider les âmes... En faisant oraison la tête contre le
sol, vous imitez le Christ qui priait ainsi...
je me suis manifesté il y a longtemps dans ce lieu,
mais personne n'a voulu tirer au grand jour cette
manifestation"
20 mai 1984
Amparo: Ah, ma Mère, comme Tu viens belle!
La Sainte Vierge: Comme Je vous l'ai promis, Je
sUis
ici, Ma
fille, pendant tout ce mois, pour vous donner la
sainte bénédiction. Je vais également bénir tous vos
objets. Levez tous les objets, Mes enfants. Ils ont
tous ont été bénis.
Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l'in-
termédiaire du Fils et avec le Saint Esprit. Amparo: Ne pars pas encore.
La Sainte Vierge: J'ai peu de choses à vous dire, Mes
enfants, car Je vous ai tout dit. Comme toujours, Mes
enfants, Je vous demande seulement le sacrifice et la
prière, car on ne fait pas de sa-
fji)
crifice, Mes
enfants; et pour sauver votre âme, vous devez faire
des sacrifices parce que le Christ vous a donné
l'exemple en mourant
Jsur une croix pour vous
enseigner... (Ici la Vierge parle une langue étrange.
Amparo gémit). If"
Mais tous ceux
qUi observeront les dix commandements,
Ma 1fille, entreront en ce lieu. Combien de fois
t'ai-Je dit que ceux
qUi passeront par la porte
étroite, seront peu nombreux! Et combien emprunteront
ce chemin que tu vois si large! Il est plus facile, Ma
fille, de sUivre l'ennemi que de
sUivre le Christ; car
le Christ vous enseignera à souffrir afin que chacun
parvientle à la demeure
qUi
lUi correspond. Il vous a
donné l'exemple, Mes enfants. Je vous l'ai souvent dit
: ne vous attachez pas aux choses de la terre car
elles ne servent qu'à vous condamner. Et que tous ceux
qui ont eu le bon- he~ d'avoir d~s richesses, les
distribuent aux pauvres ; c~ le Chris~ a dit en ce
qUi
concerne les pauvres: Le Royaume des
CIeux est a eux.
Mais il appartient aussi à ceux qui auront su
administrer leurs richesses et les distribuer aux
pauvres. Mes enfants, le chemin du Christ est dur,
mais l'éternité est longue. Et l'éternité c'est: soit
le salut, soit la damnation. Amparo: Mais Toi, ne nous condamne pas. Tu
deman-
deras au Père
qu'll nous pardonne tous nos péchés. Ah
! Nous voulons tous nous sauver, tous, mais cela
dépend de nous comme Tu nous l'as dit.
{1La Sainte Vierge: Mes enfants, c'est de vous que
dépend votre condamnation ou votre salut. Je demande à
nouveau, Ma fille : JE
VEUX QUE L'ON
CONSTRUISE UNE
CHAPELLE EN CE LIEU: CAR CE LIEU, -Je te l'ai dit- EST
SACRE PARCE QUE :MES
PIEDS L'ONT FOULE.
1
Amparo: Ah ! Ah ! Ah, quelle joie! Ce qui surpasse,
qu'est-ce que c'est? Comme il est difficile de se
sauver! Mais Dieu est miséricordieux,
II ne peut nous
condamner...
La Sainte Vierge: Mes enfants, ce n'est pas Lui qui
vous condamne. Vous vous condamnez vous-mêmes par vos
péchés. Voilà j\ pourquoi si quelqu'un vous dit que
l'enfer n'existe pas, Mes enfants,
ne lui faites pas cas. Observez la parole de Dieu. Et
observez les Saints
Evangiles.
Répandez partout dans le monde, la parole de Dieu. Mes
enfants, vous tardez beaucoup! Je vous ai demandé
souvent: D'ALLER DE BOURGADE EN BOURGADE, NON POINT
DEUX PAR
DEux, COMME CES FAUX
TEMOINS : MAIS EN GROUPE
POUR REPANDRE LES
SAINTS
EVANGILES DU CHRIST.
Imitez le Christ dans la pauvreté, car
II n'a el,!
qu'une tunique et il n'en avait pas de rechange, Mes
enfants.
Amparo: Pourquoi apparais-Tu tant de fois? lis disent
que cela n'est pas possible.
La Sainte Vierge: Ma fille, J'apparais où Je veux et
quand Je veux. Tous ceux qui prétendent que ce n'est
pas possible, qui sont-
. ils pour Me dire quand et où Je dois Me manifester?
Je vous
préviens, Mes enfants, comme une mère avertit son
enfant lorsqu'il court un grand danger. Car il y a un
grand danger, Mes enfants, qui va tomber sur
l'Humanité à cause des hommes savants; le démon (s'est
introduit dans leurs esprits pour fabriquer des engins
atomi-
ques, Ma fille, en vue de détruire le monde.
Mais on ne pourra pas détruire le monde entier jusqu'à
la fin, la fin du monde, Ma fille. Ce sera horrible,
Ma fille: la Terre tremblera d'épouvante. Mais avec le
!sacrifice et la prière, Mes enfants, vous pourrez
éviter une grande guerre. Mais le châtiment est très
proche, Mes enfants. Plusieurs
. nations seront en ruines, Ma fille. Je t'ai déjà dit
que, ce que les hommes ont construit, sera détruit en
une seconde. Amparo: (essoufflée) : Tu nous fais peur. . .
La Sainte Vierge: Je ne veux pas vous faire peur, Mes
enfants. Je veux seulement vous avertir parce que Je
ne veux pas que vous vous condamniez. Amparo: Non Eh bien... aide nous! Car les hommes ne
font pas cas de ce que Tu dis.
La Sainte Vierge: Pauvres âmes, Ma fille, pauvres
âmes!
II y a des siècles que Je donne des
avertissements et l'on ne fait pas cas de ;Mes avis.
J'ai déjà dit en d'autres circonstances: "
II eût
mieux- valu qu'ils ne
fussçnt point nés ". Amparo: Ma Mère! Mais Tu dois faire... faire quelque
chose, qu'ils voient quelque chose. . .
La Sainte Vierge: Beaucoup ne pourront pas Me voir,
:M:a fille; (mais s'ils observent les COm1nandements
de Dieu, ils Me verront.
II y a eu aussi plusieurs
guérisons, mais ils n'ont pas témoigné, Ma
fille. Ces témoignages sont des cierges allumés pour
le salut des âmes. Amparo: Ton Cœur est triste. As-tu beaucoup d'épines?
La Sainte Vierge: Priez pour les âmes consacrées.
Pauvres âmes! Mon Coeur les aime tant!... Et combien
répondent à cet amour? n y en a peu, Ma fille, peu
d'âmes répondent à cet Amour.
Tu vas m'enlever quatre épines, Ma fille, pour que tu
voies que les sacrifices et les prières ont beauco1,lp
de pouvoir. Ces quatre âmes. .. sont des âmes
consacrées. (
Amparo gémit à plusieurs reprises) .
Toft cœur le ressent-il? Sois contente de voir avec
quelle joie, quatre âmes se sont purifiées. Amparo: Quelle peur en les tirant! En tirant, quelle
peur ! On a l'impression de tirer le Cœur par là.
La Sainte Vierge: Quand tu souffres, pense dans quel
état doit être Mon Cœur, Ma fille. Vois-tu comme il
est criblé d'épines? Mais
llIes sacrifices peuvent purifier les âmes. Voilà
pourquoi, ne croyez
pas que vous êtes sauvés, Mes enfants. Si quelqu'un
vous dit que ( vous êtes sauvés, il est en train de
mentir, Mes enfants. Sans
sacri-
fice et sans prière, les âmes ne se sauveront pas. Tu
vas écrire un nom dans Le Livre de la Vie. D'abord tu
en choisis un ; ensuite Moi Je t'en donnerai deux. n y
en a déjà un de ceux que tu as choisis.
Ecris deux
autres noms, Ma fille.,. Amparo: Quelle joie! Trois noms et quatre
purifications, que de Joie,
La Sainte Vierge: Ma fille, malgré Mes manifestations,
les hommes continuent de se moquer. Je ne veux pas
dire qu'il s'agit d'hommes, parce qu'on parle des
humains, hommes ou femmes, c'est la même chose. ns se
moquent, ils se moquent de Mon
exis-
tence, Ma fille.
Prie pour ces âmes. Tu sais de qui il s'agit. Quand tu
quitteras ce lieu, jette leur un regard et leurs cœurs
seront contrits
et repentis. Amparo: S'ils se moquent. .. ! Tant pis pour eux !
La Sainte Vierge: Ne dis pas cela, Ma fille. Prie et
fais des sa-
crifices pour eux. Ils se disent fils de Dieu, mais ce
ne sont pas de bons enfants de Dieu. Aujourd'hui tu
vas tout endurer, Ma fille, tout, y compris le calice
de douleur. Et tu vas en boire une goutte seulement. Amparo: Ah, Ah. . . .J Ah, ah, ah, ah, que c'est amer
! Ah ! ... La Sainte Vierge: Est-ce amer, Ma fille ?
Toi pense à l'amer-
tume que ressent Mon Cœur lorsque des millions et des
millions d'âmes se précipitent dans le fond de
l'abîme. Tu vas assister à une scène, Ma fille. Amparo: Aïe t
Cà c'est horrible t Ah ! Ce n'est pas
possi-
ble, Dieu ne peut pas faire cela! Ce n'est pas
possible, non t Ah t Ne peuvent-ils plus sortir de là?
Ah! Que non... 1
La Sainte Vierge: Pour toujours, pour toujours, Ma
fille. Pour
toute l'éternité! Et ce n'est pas Dieu (qui les
condamne) ; ils se con-
damnent eux-mêmes, de leur propre gré. Amparo: Dis-moi ce que je peux faire pour qu'ils
n'aillent
plus là-bas. '
La Sainte Vierge: Ce n'est pas pour toi seulement, Ma
fille, mais pour tous: sacrifice, sacrifice et
pénitence, accompagné de la prière. Récitez le Saint
Rosaire tous les jours, Ma fille. Pensez que c'est Ma
prière, et Moi Je peux vous donner beaucoup de grâces. Amparo: Cela est horrible t C'est horrible.
, La Sainte Vierge: Voilà ce que J'ai montré à ces
trois enfants, Ma fille, et... comme on leur en a fait
voir 1 Combien de cruautés, Ma fille 1 Ils ont subi,
eux aussi, les mêmes pressions. Amparo: Mais c'est épouvantable; cela est
épouvantable 1
Ah!Ah!
La Sainte Vierge: Prie pour les âmes consacrées, Ma
fille. Amparo: Oui, je prie pour elles; je prie déjà pour
elles. La Sainte Vierge: Allez de village en village
répandre
l~vangile, et vous aussi vous pouvez le faire, Mes
enfants; pas seulement les âmes consacrées mais
n'importe qui peut parler de Dieu. N'importe qui peut
parler de Dieu, Ma fille, et n'importe où.
Baise le sol, Ma fille, en acte d'humilité pour les
pauvres pécheurs. .. Pour les pauvres pécheurs! Et
fais le à nouveau pour que les âmes consacrées
repoussent le démon, Ma fille, parce que le démon leur
montre les plaisirs du monde pour pouvoir s'empa-
rer
de leurs âmes. Pauvres âmes! Baise à nouveau le sol,
Ma fille... Pour les âmes consacrées, Mon Cœur les
aime tant! Voilà pourquoi
~1Je vous demande le sacrifice -Je vous le redis très
souvent- sacrifice, , sacrifice et prière pour pouvoir
sauver le tiers de l'Humanité. Je
voudrais au moins sauver ces âmes. Et toi, Ma fille,
sois humble; ne sois pas orgueilleuse. Continue à
aider ces âmes. Quelle grande œuvre, Ma fille. Tu ne
sais pas comme Mon Cœur a débordé de joie aujourd'hui. Amparo: Mais, l'ai-je bien fait? L'ai-je bien fait
comme Tu l'as dit ? Tout s'est-il bien
p-assé, tout?
Ah ! Quelle joie immense
lorsque je veux qu'il y ait une âme... (ces dernières
paroles ne sont pas
bien compréhensibles), elle court, désire parler et se
convertit avec seulement quelques paroles. Quelle
joie, Ma Mère! Mais beaucoup ne veulent pas se
confesser.
Sais-Tu ce qu'ils disent? [Ils disent]
qu'ils se sont confessés à Dieu et comme ils se sont
confessés à Dieu, ils ne vont pas se confesser à un
homme. Répète-le, Ma Mère.
La Sainte Vierge: Oui, Mes enfants, le sacrement de la
Confession est très important. Je vous ai dit en
d'autres occasions, que si Dieu avait placé un ange
pour vous confesser, l'ange n'aurait pas pu comprendre
comment vous êtes aussi cruels pour offenser
Dieu sans cesse. Voilà pourquoi Dieu a placé un homme,
un 1homme consacré, mais qui est semblable à vous,
pour que vous le compreniez et qu'il puisse vous
comprendre, Mes enfants. Approchez-vous du sacrement
de la Confession et du sacrement de l'Eucharistie.
Visitez Mon Fils, Mes enfants, qui est triste et seul
au Tabernacle. Amparo: Il y a tellement de monde et il y en a tant
qui ne
T'aiment pas, Mon Dieu 1 Ah ! Mon Dieu! Dis-le à Ton
Fils, qu'Il leur donne un petit peu de lumière pour
qu'ils puissent se
conver- tir. Ah, mon Dieu! Moi je
ne peux pas faire plus; mais si Tu me demandes
d'autres choses, je le ferai. Mais dis-moi comment,
pour qu'ils se convertissent.
La Sainte Vierge: Pense qu'ils ont vu mourir le Christ
sur la Croix et ils continuent encore à pécher, Ma
fille. Il est impossible que toute l'Humanité puisse
se sauver parce que les hommes pèchent chaque jour
davantage, Ma fille, et l'offense envers le Père
Etern~l est terrible. Les âmes consacrées offensent
tellement ce Cœur, Ma fille, que Je suis. . . Amparo: Mais elles sont faibles, elles aussi.
Aide-les toi aussi, parce que, si Tu les avais mises à
la place des anges, elles ne pécheraient pas. Aide-les
Toi aussi. Moi je demanderai beaucoup; mais Toi, Tu
dois les
aide'r.
La Sainte Vierge: Si toutes les âmes consacrées
récitaient chaque jour le Rosaire, le monde serait
sauvé, Ma fille. Mais,
atten-
tion, car avant de
réciter le Rosaire, il faut d'abord bien remplir ses
engagements envers Dieu. Dieu, d'abord, Ma fille ;
ensuite, le Christ; et après c'est Moi. Mais Moi Je
suis celle qui intercède pour parvenir au Christ, Ma
fille. Pour que vous puissiez monter au Ciel,
J'implore constamment le Père pour qu'Il vous pardonne
vos 1péchés et vous donne les grâces du repentir, Mes
enfants. Et J'ai déjà tout dit, Mes enfants; et Je
l'ai souvent répété: tout s'accomplira, du premier au
dernier message. Réconciliez -vous avec Dieu,
1Mes enfants. Ne vous couchez pas sans vous être
auparavant ré- conciliés avec Dieu. Pensez que la mort
survient sans crier gare. Amparo: Maintenant je veux Te baiser le pied une fois
encore. Un peu, les doigts seulement! Ah ! Qu'il est
fin !
La Sainte Vierge: Mes enfants, continuez à réciter Ma
prière favorite. Je l'aime tant, Mes enfants.. .
J'aime tant le Saint Rosaire. . . Mais à vous autres,
combien il vous en coûte de le réciter, Mes
enfants. Faites-moi plaisir, Mes enfants, même si ce
n'est qu'un ~ chapelet par jour. J'aiinerais que vous
récitiez les trois parties du
Rosaire; mais Je Me satisferai d'un chapelet, Ma
fille. C'est pour le bien de vos âmes et pour le salut
de l'Humanité. Par vos prières, vous éviterez bien des
guerres et des châtiments terrestres.
Mes enfants, Adieu.
26 mai 1984
Amparo: Ah Ma Mère, Ma Mère!
La Sainte Vierge: Mes enfants..., Je viens vous donner
Ma
sainte bénédiction. Mes enfants, Je vous demande de
demander
lpardon de vos fautes. Pensez que Dieu vous a créés
sans votre volonté, mais c'est avec
vo~e volonté que
vous vous sauverez, Mes
enfants. Regardez là-haut vers le Ciel, Mes enfants,
observez ce que vous y voyez.
Baise le sol, Ma fille, en réparation de tous les
péchés du monde. L'âme est très importante, Mes
enfants. Pensez à l'âme.
Combien d'entre vous demandent [des grâces] pour leur
corps, leur âme étant en état de péché! Je demande à
tous ceux qui ne se sont pas approchés du sacrement de
la Confession, de le faire
aujour- d'hui même, Mes
enfants; il est très important d'être en grâce avec
Dieu.
Regardez comme vous allez voir Mon image, Mes enfants!
Quelle
domeur, Mes enfants, si vous ne croyez pas
alors que vous M'avez vue ! Quelle splendide
comeur,
Mes enfants! (On entend dans l'assistance un murmure
d'étonnement).
Tous ceux qui n'observent pas les commandements de la
Loi de
Dieu -parce que Dieu les a institués pour 'votre
salut, par l'intermé- D,'
diaire de Moïse- Je vous ai
déjà dit, Mes enfants, que Dieu vous a
Ji créés sans
votre volonté, mais c'est par votre propre volonté que
1~vous vous sauverez. C'est de vous que dépend votre
salut ou votre condamnation, parce que Dieu le Père a
donné la liberté à tout être humain, pour qu'il sût...
(Pendant quelques instants, Elle parle dans une langue
étrange). Amparo: Ah, quelle
comeur !
La Sainte Vierge: Soyez attentifs, Mes enfants.
Combien
nieront, après avoir vu tout cela, Mes enfants 1 Votre
Mère veut vous sauver et prie le Père
Eternel pour
votre ~tsalut, Mes enfants. Dites très souvent: DIEU
SAINT, SAINT IMMOR- TEL,
DELIVRE LE MONDE DE TOUT MAL,
de tous les dangers qui guettent la Terre, Mes
enfants. Le monde est en danger, Mes enfants, si vous
ne prenez pas l'arme dans vos mains. Que votre arme
soit votre chapelet, pour pouvoir sauver l'Humanité,
Mes enfants. Le chapelet est un ... (Mots
incompréhensibles). Ma fille, dis-le d'une autre
manièré: Amparo: Ah, c'est Toi qui l'as dit la première fois!
La Sainte Vierge: Ah, quelles
comeurs, Mes enfants 1
(4 Observez le ciel, n'est-ce pas merveilleux un jour
comme celui-ci, 1. que toute cette splendeur vienne de
Dieu, Mes enfants? Mon (
iinage est là-bas,
observez-là, Mes enfants. (L'on entend un mur- mure
parmi les assistants).
Que personne ne vous dise que c'est de l'auto
suggestion. Vous êtes en train de le voir, Mes
enfants, que personne ne vous trompe. Le mol1de est en
grand danger, car il sera détruit si vous n'êtes pas
capables d'aller de bourgade en bourgade,
répandrelEvangile, Mes
1enfants. Publiez-le partout. Le monde est en grand
danger, à cause des engins atomiques. Implorez votre
Mère pour qu'Elle intercède auprès de Son Fils et Son
Fils auprès du Père, Mes enfants. Vous oubliez le Père
Eternel
qlÙ est Juge et
qlÙ jugera toute l'Humanité,
parce que le Christ est venu sauver le monde, mais
c'est le Père Eternel
qlÙ jugera, Mes enfants.
Quelles merveilles, Mes enfants! Heureux les yeux
qlÙ
voient et les oreilles
qlÙ entendent toutes ces
paroles qlÙ jaillissent de Mon Cœur!
Baise à nouveau le sol, Ma fille ! Cela servira pour
le salut des âmes.. Cet acte d'humilité, Mes enfants,
sert pour sauver les âmes.
Soyez en éveil, Mes enfants, tenez-vous prêts. Je vous
ai avertis maintes fois que la mort survient comme le
voleur sans crier gare, et elle peut arriver n'importe
quand.
Les merveilles du Ciel, Mes enfants, ne peuvent
confondre
per- sonne. Tenez-vous éveillés et regardez
le ciel. Soyez en éveil, Mes enfants, et qu'enslÙte
tous ceux qlÙ ont vu, donnent leur témoignage, Mes
enfants, parce qu'il constituera une aide pour les
âmes. Amparo: Ah quelle merveille! Ah, quel bleu, quel
bleu! Ah comme c'est joli! Ah que c'est joli! Que
c'est joli! Ma Mère, je vois de belles choses! Mais je
les vois avec les yeux de l'âme et non ceux du corps.
Quel bleu et quel rose! Quelle chose grandiose! Quelle
merveille! Mère, comme il tourne, ah, ah. .. ! Comme
cela est grand! n n'y a rien de plus grand que cela!
Ah ! Ah ! Ah !
lLa Sainte Vierge: Mais pour que tu vois qu'il n'y a
pas que le
Cc'; ciel, Ma fille, tu vas voir un coin de
l'enfer.
~
Amparo: (En sanglots). Aïe ! Aïe ! Mais bon! Aïe !
1La Sainte Vierge: C'est parce qu'ils ont publié de
fausses doc- trines que les flammes sortent de leur
bouche. Amparo: Sont-ils toujours ainsi? Ah ! Ce bras est-il
aussi en train de brûler?
La Sainte Vierge: Chaque membre qui a commis un péché,
sera tourmenté, Ma fille. Amparo: Ah ! Retire-leur les flammes... Moi, ces
flammes, je ne les avais pas vues. Les corps qui
brûlent ressemblent au fer; comme à un fer rougi, on
le tire vers le haut et vers le bas. En est- il
toujours ainsi?
La Sainte Vierge: Ces âmes :Ma fille, répètent
continuellement: " Maudite bouche, maudits bras,
maudit soit mon corps qui ne m'a servi qu'à me damner!
Maudit soit mon corps" ! Amparo: Mais ceux-ci non plus, ne peuvent-ils plus
sor- tir de ce lieu? Ah, mon Dieu!
La Sainte Vierge: Mes enfants, les membres de votre
corps qui auront péché, seront tourmentés
éternellement. Voilà pourquoi Je vous dis, Mes
enfants: Si votre œil vous porte au péché, arrachez-
le et jetez-le au loin.
Sî c'est votre bras,
arrachez-le avec force et jetez-le bien loin, car il
vaut mieux entrer au Ciel aveugle ou sans bras, que de
tomber en enfer avec tout son corps. Amparo: Mais, combien d'enfers
y-a-t-il ? Car il y en
a
beaucoup. '
La Sainte Vierge: Dans chaque enfer, Ma fille, l'on se
con-
sumera selon ses péchés. Amparo: Mais c'est déjà suffisant, tous ces enfers.
La Sainte Vierge: On ne peut pas donner le même
châtiment à tout le monde, Mes enfants. Dieu le Père
donnera à chacun le châtiment qu'il mérite. Comme pour
les demeures, Mes enfants, chacun recevra [la demeure
qui lui revient] selon ses œuvres. Amparo: Est-ce que l'on souffre dans une demeure,
non? La Sainte Vierge: Non, Ma fille, c'est la
félicité dans toutes les
demeures: tout est amour. Mais certaines sont plus
proches de Dieu le Père que d'autres. On ne ressent
aucune souffrance, aucun tourment et on n'a besoin de
rien. Ils sont glorieux, Ma fille. Ne crois pas qu'il
n'y a que Mon Cœur qui soit encerclé d'épines; regarde
le Cœur du Christ. Amparo: Aïe 1 Aïe! Aïe! Mais le Tien aussi! Ah!
Peut-on enlever des épines de ce Cœur? Permets-moi de
T'en enlever une à Toi aussi.
Ah, quelle beauté! Ah, Seigneur! Quelle belle chose!
Ah, Tu embellis de jour en jour! Laisse-moi Te toucher
un peu!
Ah ! Ne puis-je extraire une épine de Ton Cœur?
Allons, laisse- moi l'enlever comme je l'ai fait à Ta
Mère! Ah ! Quelle peine! Dans quel état est Ton Cœur!
La Croix n'est-elle pas suffisante?
Le Seigneur: Je vais te la laisser un moment, Ma
fille, prends- là et porte-la. Amparo: Ah, ah, ah... ! Pourquoi est-elle aussi
lourde!
(Paroles quasi incompréhensibles car elles sont
prononcées à voix très basse).
Ne me l'enlève pas, laisse-la moi, laisse-la moi! Elle
est lourde!
Le Seigneur: Seulement une seconde, Ma fille. Donne
moi cette croix.
" Amparo: Ah ! non, je ne veux pas, laisse-la moi,
laisse-la mOl.
Le Seigneur:
Donne-Moi la croix, Ma fille. Amparo: Prends-là, Toi qui la veux, prends-la. Ah,
ah, ah... ! (Elle se plaint pendant quelques
instants). Que j'enlève une épine, une seule épine de
Ton Cœur. Voyons laquelle je peux extraire?
La Sainte Vierge: Celle qui est au centre du Cœur du
Christ. Amparo: Ah Seigneur! Je vais T'en enlever une ; je
sais que je vais Te faire mal. Ah, je la vois très
profonde. Ah ! Comme Ton Cœur saigne aussi!
Le Seigneur: il saigne pour toute l'Humanité, Ma
fille, pour l'Humanité entière, parce l'heure arrive
où les Anges descendront pour faucher la moisson
desséchée de la Terre. Regarde l'Ange... (mot
incompréhensible) de la colère de Dieu, Ma fille. Amparo: Oh ! Mais comment peut-il faire cela? Mais
comment l'ange peut-il faire cela?
Le Seigneur: Ce n'est pas l'ange, Ma fille, il est
envoyé par Dieu le Père. Des armées d'anges, des
armées d'anges viendront pour recueillir les bons
fruits et jeter loin, très loin, la mauvaise herbe, et
la brûler, Mes enfants. Amparo: Ah ! Mais comment peux-Tu faire cela? Mais
c'est que la mauvaise herbe est plus abondante que les
fruits. il y a beaucoup d'ivraie et très peu de
fruits. Que feras-Tu de tous ceux qui ne veulent rien
savoir?
Le Seigneur: Je demande au Père miséricorde et Ma Mère
implore miséricorde pour l'Humanité. Mais Je vous ai
déjà dit à, plusieurs reprises que Je ne consens pas
davantage à ce que Ma Mère souffre. il n'y a pas au
monde de récipient qui pourrait con- l tenir les
larmes de Ma Mère. Amparo: Bon, tous les deux, vous pouvez le faire;
Vous deux, en nous aidant un peu, vous le faites et
Vous nous sauvez tous.
La Sainte Vierge: Non, Ma fille, parce que la colère
de Dieu est proche. Sais-tu que l'ange est prêt avec
la ... (mot inintelligible) et la faux, pour faucher
la moisson de la Terre. Amparo: Mais avec quoi va
t-illa faucher: avec ce qui
sort
par la queue de ce char? Ah ... mais aie pitié de nous
tous! Toi,
parce que Tu es Mère, et comme toutes les mamans qui
aiment leurs enfants, elles continuent à les aimer
même s'ils sont mauvais.
La Sainte Vierge: Moi J'intercède auprès de Mon Fils,
Mes
(enfants, mais c'est le Père qui va décharger sa
colère. .. Personne ne , se souvient de prier le Père
Eternel et c'est Lui le Juge. Amparo: Moi je m'en souviens bien, je n'oublie pas de
prier. C'est pourquoi tu as dis que nous disions cela,
n'est-ce pas? Mais ce n'est pas le Seigneur qui
jugera. Ah! Bon, eh bien comme Tu voudras.
Ce que Tu portes de ce côté, c'est de l'or. Est-ce de
l'or? Ce chapelet est-il en or ? Ah, je croyais que
Toi Tu n'aimais pas l'or! Ah ! Tu portes un chapelet
en or... mais l'or signifie les richesses, et si Toi
Tu n'aimes pas les richesses... Pourquoi nous
demandes-Tu d'être pauvres alors que Tu portes ce
chapelet d'un or si beau? Mais si c'est le Père qui te
l'a donné, ... je ne dis rien, hein ?
Ah, bon si Toi
aùssi Tu pars déjà, permets que je
baise Tes pieds un petit peu, comme ceux de Ta Mère.
La Sainte Vierge: Je te demande l'humilité pour
pouvoir
\sauver les âmes. Il faut donner l'exemple, Mes
enfants; avec votre humilité et votre pureté, vous
pourrez sauver l'Humanité. La
cha-
rité envers le
prochain est aussi très importante. La charité est la
première des vertus, Mes enfants. Sans charité, il ne
saurait y avoir d'amour envers Dieu. Amparo: Voilà qui est bien vrai, car celui qui n'aime
pas les gens, ne peut aimer Dieu. Je l'ai dit tant de
fois... Mais voyons, que veux-Tu que je leur dise? De
quelle façon dois-je le leur dire ?
La Sainte Vierge: Tu donneras l'exemple par ton
sacrifice et ton h~té, Ma fille. Tu sais bien que le
chemin du Christ, c'est
ccelui de la souffrance ~t de la douleur.
1..uz
Amparo: Ah ! Plus et plus et toujours plus, eh
bien çà
suf- fit!
Laisse-moi Te donner un baiser mais au pied. Ah, je ne
veux 1'\,Tembrasser que le pied; je me satisfais du
pied. Ah ! Et la main ?
1 Ah, quelle main ! Comme elle est froide! Mais où
êtes-vous donc
pour être aussi froids?(1
Ah ma Mère, mais peux-Tu me le dire, même si c'est
dans la -
langue que Tu sais. Où êtes-vous? (Mots dans une
langue inconnue).
Eh bien, comme vous êtes bien. Quant à nous,
placez-nous à côté de Vous, pas loin de Vous; pas très
loin. Ah ! Parce
qw si en plus, Tu nous envoies loin.
.. allons! Je ne sais ce qui se passerait.
Toi aussi Tu vas bénir? Ah, quelle joie car ainsi tous
ceux qui ne croient pas, recevront cette lumière.
Allons, bénis-nous.
La Sainte Vierge: Je vous bénis, Mes enfants, comme le
Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec
le Saint Esprit. Amparo: Nous voilà de nouveau avec la Croix, mais
fais- le de l'autre façon, parce que Tu verras quelle
histoire çà va faire! Commence à dire maintenant que
je fais le signe de la croix ainsi de cette façon!
Bon, moi je le fais comme Tu diras mais sans que l'on
me voit, sinon, ils diront que ce n'est pas de Toi.
Ainsi Tu verras ce que Tu fais, dis-le aux autres, ou
manifeste-Toi et dis-le leur, parce que Tu mets tout
sur mon dos. Ah bien sûr ! Moi seule je ne peux pas me
défendre.
Le Seigneur: Pense comme ces trois petits enfants ont
fait face, Ma fille, et ce n'était que des enfants...
Comme on les
humil-
iait pour qu'ils nient l'exi~tence
de Ma Mère! Amparo: Oui, mais ils étaient trois et moi je suis
seule, quoi? Moi, seule contre tous, hein? Et eux, ils
sont trois, mais moi je suis seule. Nous allons voir
chez qui je me réfugie.
Le Seigneur: Je
Tai déjà dit de Te réfugier sur Mon
Cœur, lorsque tu es triste,
Oe T'ai dit] de Te
réfugier sur Mon Cœur. Amparo: Oui, un moment, et ensuite? Tout entier. Un
petit moment seulement, et ensuite tout, tout pour moi
selÙe ! Ah, mais Tu feras comme Tu voudras, parce que
Moi je suis ici
pour que ce soit Toi qui le fasses, et ensuite pour
que Tu me récompenses aussi, n'est-ce pas? Ou bien
vas-Tu me laisser sans cette récompense, hein? Non,
sans récompense, non! Ah, Tu diras que je suis très
égoïste, mais c'est que n'importe qui tombe en enfer!
Ah quelle horreur! C'est horrible. Toi, ne le permets
pas, hein ? Parce que si Tu le permets... ; de plus,
sais-Tu ce qui arrive? Je me fâche souvent avec Toi
parce que je Te demande des choses et Tu ne me les
accordes pas; bien sur, voilà pourquoi je me fâche. Si
je suis orgueilleuse, eh bien je demanderai pardon
mais c'est que... Tu
f)
les tellement beau Toi aussi. Bien sûr, Tu n'aimes pas
que je Te dise 1 que Tu es beau, mais je Te le dis
parce que Tu es vraiment beau. Ah ,. comme Tu es
grand! Mais je Te le dis parce que je T'aime, et non
parce que je veux T'insulter; c'est que Tu es très
beau pour sauver les âmes. Ah, mais aide-moi, hein?
Bon eh bien 1e reste ici avec Ta Mère; et Toi tu dois
faire ce qu'Elle Te demande. Bon, [Tu ne vas pas
faire] ce qu'Elle Te demande, mais ce qu'il convient,
hein? Ah, ah, quelle chose je ressens dans mon cœur!
Cà me brûle à l'in-
térieur, ah ! Pour sûr j'ai même
une blessure à l'intérieur, parce que je sens que Tu
me brûles, ce rayon qui sort de ce côté de Ton Cœur...
Ce rayon, d'où vient-il? Eh bien, s'il est comme le
Soleil ! Ah ! Là est le mystère, bien sûr ! Comme Tu
me signes, hein ? Comme c'est grand? Voilà pourquoi Tu
es partout, hein? Bien sûr, bien sûr. Ah Jésus, comme
Tu es beau! Ah mon cœur en tremble d'émotion! Ah
quelles choses, mon Dieu! Et que les hommes soient
ainsi faits, hein, qu'ils ne tiennent pas compte de ce
que je leur dis! Eh bien, regarde, s'ils passent à
côté [de toutes ces choses] et qu'ensuite, ils ne Te
voient pas, tant pis pour eux.
1Le Seigneur: Ma fille, Je te demande l'humilité. Sans
humilité, (tu n'atteindras pas le ciel.
1
(
Amparo: Allons, il ne manquerait plus que çà que moi
non ~ plus, je ne puisse parvenir au ciel. Ah... ! Ah
! Tu T'en vas? Bon!
Ah, encore? ... Oh quelle chose grandiose, ma Mère!
Ton fils est le plus beau. Mais Toi non plus, Tu n'es
pas en reste, hein ? Comme Tu es belle! Ah, ah, ma
Mère! Aide-nous pour que tous. . .,
donne-leur une lumière pour qu'ils se repentent tous,
parce que je suis allée dans un hôpital, et si Toi Tu
avais vu cette femme avec quels yeux elle me
regardait! Et elle disait qu'elle ne voulait rien
savoir de Toi.
Rends-Toi compte, pas même à ce
moment-là.
Ah, mais bon! Comment Dieu
peut-fi faire œ1a ? Ou
n'est-ce pas Lui ?
La Sainte Vierge: Non, Ma fille, ce sont les hommes,
parce 1que je T'ai déjà dit que Dieu est miséricorde
et Amour. Mais il est Juge, et il laisse chacun libre
de se sauver ou de se condamner. Amparo: Eh bien, Tu n'aurais pas dû nous donner la
li-
(V
berté, car pour se condamner... voilà ce qu'il a fait!
Allons! Ah... ! /" Ton cœur a moins d'épines. Quelle
joie! Ah ! Quelle en est la rai-
lson?
" La Sainte Vierge: C'est à cause de vos sacrifices et
de vos
prières... Je le dis au pluriel, Ma fille; mais il y
en a beaucoup, beau- coup qui n'ont pas fait de
sacrifices. Amparo: Eh bien, ils en feront. Ah, c'est si dur...
mais je crois qu'avec la prière aussi...
La Sainte Vierge: Mais la
priè~~ sans. le sacrifice~ à
quoi sert- \elle, Mes enfants? Comme cette
pnere
qUl
sort machinalement de
vos lèvres. " Amparo: Bon, eh bien dorénavant, elle jaillira de
notre cœur, nous tous qui sommes ici, nous Te le
promettons parce que, si nous ne le faisons pas,
rends-Toi compte de ce qui nous attend. Ah, quelle
joie de voir le Cœur ainsi!
La Sainte Vierge: Mais les âmes continuent à pécher et
pé- cher, Ma fille. L'homme est cruel et il ne se
repent pas de ses fautes. Voilà pourquoi Je demande le
sacrifice pour tous ceux qui ne
veu- lent pas
recevoir... (mot incompréhensible) grâce divine. Amparo: Qui la repousse ou qui ne veut pas... Ah ! Ah
! Moi je veux aussi baiser Ton pied, parce que si Ton
Fils m'a donné
la main, et bien moi je veux Ton pied. Ah ce que je
ressens à l'in-
térieur ! Je ne sais si ce sera une
chose qui m'arrive ici... Quelle joie, parce qu'il y a
davantage d'âmes qui se sauvent!
Veux-Tu que nous levions les objets? Ou ne veux-Tu pas
les bénir aujourd'hui? Bénis-les, allez.
La Sainte Vierge: Regarde, Ma fille, Je vais vous
donner une bénédiction de faveur à tous vos objets. Amparo: Mais avec indulgence, hein ?
La Sainte Vierge: Ils ont tous été bénis, Ma fille, et
ces objets, comme tu Me l'as demandé, ont l'indulgence
pour la conversion des pécheurs, pour les mourants
afin qu'à ce moment-là, ils reçoivent la lumière
divine de Dieu. Amparo: Eh bien nous pouvons nous consacrer à visiter
les hôpitaux hein? Parce qu'ils y sont tous... allons!
Ah, Ma Mère, ah, quelles choses ressent mon Cœur:
c'est une chose si grande. Ah ! Ensuite [on en
revient] toujours à la même histoire!
Vas-Tu déjà partir? Ah bon! Ah ! Tu sais que nous
T'aimons tous beaucoup, et même ceux qui ne croient
pas, T'aiment. Ils sont ici et leur cœur leur donne
bien des palpitations, hein? Ah, ne vas- Tu pas nous
bénir ?
La Sainte Vierge: Mes enfants, Je vous bénis comme le
Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec
le Saint Esprit.
Amparo : Tu es une croix et ton Fils en est une autre.
En voilà un problème!
lLa Sainte Vierge: Mais Mes enfants, vous devez
obéissance à l'Eglise et si dans l'Eglise se trouve
cette croix, vous autres, suivez cette [même] croix. Amparo: Bon, eh bien nous la suivrons; mais moi
lorsque
je suis seule, je le fais de l'autre façon aussi.
Non, je ne crois pas que Tu Te fâcheras.
La Sainte Vierge: Je ne peux pas Me fâcher, Ma fille,
pour une chose que Mon Fils a faite. Amparo: Tu pars déjà? Quand va8- Tu revenir ?
(Paroles en langue étrange). Bon, eh bien oui, je
désire que Tu fasses une chose grande.
La Sainte Vierge: Pour toi, qu'y a-t-il de plus grand:
que l'on Me voie ou qu'ils se convertissent, Ma fille
? Amparo: Ma foi, s'ils Te voient, ils se convertiront.
{. La Sainte Vierge :.(~ voix très basse). Eh bien
non: ils Me ver- raient et ne se convertiraient pas. Amparo: En voilà des cœurs ! Eh bien si Tu fais
quelque
chose, ce sera bien; si non, ce sera comme Tu voudras
hein? Mais moi je ferai aussi ce que Tu voudras. Adieu
Mère, Adieu Ma Mère.
La Sainte Vierge: Adieu!
27 mai 1984
Amparo: Ah !
Viens-Tu aujourd'hui aussi? Ah !
Seulement pour nous donner la bénédiction! Dis-nous
quelque chose.
La Sainte
Vierg,e : Je vous demande, Mes enfants,
d'aller vers le Père
Eternel ; Il est très triste et
fâché parce que personne ne se souvient de Lui. Je
veux aussi que vous soyez humbles et purs, très purs,
pour pouvoir atteindre la demeure qui vous revient,
Mes enfants.
Mon Cœur est triste, très triste. Mais sais-tu Ma
fille pourquoi qui Mon Cœur est triste? A cause des
âmes consacrées qui ne sont pas fidèles à leurs vœux.
Pauvres âmes, Ma fille ! Fais un acte d'humilité et
baise le sol pour ces pauvres âmes... Cet acte
d'humilité sert pour leur salut. Pauvres âmes! Elles
vont sur le chemin de perdition parce que l'ennemi
leur montre les plaisirs du monde. Bien que mon Cœur
ait moins d'épines, Ma fille, il souffre pour toutes
ces âmes parce qu'il les aime tant ... et comme elles
répon- dent mal à cet amour! Elles s'attachent au
mondain et oublient de suivre le chemin de l'Evangile.
Pauvres Ames ! Amparo: (Elle sanglote et dit une parole étrange). Je
demande pardon pour elles; elles sont faibles, elles
aussi, comme nous. Pardonne-leur; demande ce que Tu
voudras pour que Tu leur accordes Ton pardon.
La Sainte Vierge: Ces âmes, Ma fille, ces âmes..., le
péché de ces âmes, crie vengeance au
CieL et la
vengeance est terrible, Ma fille. Amparo: Mais moi je veux qu'elles se sauvent, elles
aussi.
La Sainte Vierge: Parce que tous les péchés crient
vengeance au Ciel, mais les péchés de ces âmes, Ma
fille, sont terribles! Amparo: Mais je veux que Tu leur pardonnes, Tu leur
par- donnes comme à nous, parce que si le démon s'y
introduit... Promets-moi que Tu vas le~ pardonner?
[La Sainte Vierge: Ma fille, mais leur condamnation
dépend d'eux-mêmes, parce que s'ils ne font pas
l'affaire en tant qu'âmes
consacrées, qu'ils deviennent charpentiers ou maçons
et...
Lu~
Amparo: Mais le monde va si mal ... Oh ! ... Et
bien
entendu, avec tout ce qu'il y a dans le monde, ils
tombent dans le péché. Mais pardonne-leur. Comme je Te
l'ai dit, intercède auprès de Ton Fils, Ton Fils
demandera au Père, de leur pardonner. Vas- Tu le
faire? Car ils sont aussi Tes enfants; voilà pourquoi
Tu dois implorer pour eux.
La Sainte Vierge: Voilà pourquoi Je vous donne ces
avertisse- ---
ments, Ma fille, parce que Mon Cœur les aime tant...
Mon Cœur les aime tant. .. qu'il saigne de douleur
pour eux !
Lu~ ~paro : Ah ! Comme il
sai~e! Ah! Et Tu ne peux pas
1souffnr, dit-on, parce que Tu es Il gloneuse ". (
La Sainte Vierge: Mais toi, en ce moment, Tu ne Me
vois pas . glorieuse, tu Me vois remplie de douleur et
d'angoisse car le monde empire de jour en jour. Amparo: Mais je crois que le monde va s'améliorer
parce que nous allons prier et faire davantage de
sacrifices.
La Sainte Vierge: Comme elles sont peu sacrifiées, ces
âmes- là, Ma fille! Amparo: Mais nous, nous en faisons pour elles, et
voilà pourquoi Toi tu leur pardonneras... Mais ne
permets pas qu'elles se condamnent parce qu'elles sont
bonnes. Mais sais-Tu qui est le coupable? Le démon,
qui s'introduit dans leurs esprits.
La Sainte Vierge: Mais elles ont le don d'intelligence
pour dis- {cerner le bien du mal ; voilà pourquoi Je
te dis que si elles se con- damnent, elles le font de
leur propre gré. Amparo: Les
paqyres ! Elles ne se condamnent pas de
leur propre gré mais par la volonté de l'ennemi, voilà
pourquoi Tu dois leur venir en aide.
La Sainte Vierge: Comme elles sont peu nombreuses les
âmes consacrées qui aiment Mon Cœur et qui
tle sont
attachées qu'aux choses célestes! Elles sont attachées
aux choses matérielles, et le
châtittlent qui les
attend... Tu en as vu un, celui d'une âme con- ,.
sacrée qui a publié de fausses doctrines. Pense que le
Christ a choisi ses disciples et leur disait: Il
Suivez-moi ", et ils ont tout abandon- né pour Le
suivre. Voilà pourquoi elles doivent faire de même: ne
pas s'attacher aux choses matérielles, parce que c'est
l'âme qui importe, et non le co~s, Ma fille.
J Amparo: Aujourd'hui Tu n'en as que pour elles, hein ?
Aujourd'hui ce n'est pas pour nous, où sommes-nous
inclus, nous aussi?
La Sainte Vierge: C'est pour tout le monde, Ma fille,
mais ces âmes remplissent Mon Cœur d'une souffrance
tellement grande, Ma fille ; Mon Cœur répand des
grâces mais elles les refusent. Amparo: Mais Toi qui peux le faire, fais-le
autrement... pour qu'elles les acceptent.
La Sainte Vierge: Mais elles ont la liberté de faire
ce qu'elles veulent, Ma fille. Amparo: Eh bien, je ne sais pas pourquoi Tu nous
donnes 1la liberté: de nous
èondamner.
La Sainte Vierge: Parce que l'homme doit lutter pour
chercher
~ son salut, Ma fille, et prendre le chemin de la
souffrance pour
atteindre la demeure qui lui revient. Amparo: Ah, ah, ah... ! , Bon, eh bien allons-y pour
souf- frir et ç'est tout. Je le dirai à tous ceux qui
peuvent le faire; mais
. s'ils ne font pas cas, voyons, ce que Tu voudras que
je fasse! Mais vas-Tu les marquer pour qu'ils ne
s'introduisent pas dans les mains de l'ennemi?
Marque-les eux aussi. Ah! Et ceux que tu marqueras,
parleront aux autres, et les autres, à d'autres
encore, et ainsi tout se sait et ils viendront à Toi,
ma Mère. Ah mais ne sois pas aussi sévère, parce que
Tu es Mère!
La Sainte Vierge: Mère de miséricorde et d'Amour, Ma
fille. ~ ; Mon Cœur déborde d'allégresse quand une âme
se convertit; dans j
le Ciel, il y a une grande joie au ciel et une grande
fête, Ma fille. ~
, Amparo: Eh bien avec tous ceux qui se sont sauvés
ici, .J
vous avez du en faire des fêtes... Si vous en faites
une chaque jour... eh bien, quelle joie! J'irai parler
à toutes les âmes qui sont
; en état de péché, pour qu'elles Te suivent. Ah, bon!
La Sainte Vierge: Qu'elles suivent le Christ et
qu'elles suivent le chemin de l'Evangile ; qu'on le
diffuse et qu'on le mette en
pra- tique, Ma fille.
Qu'on imite le Christ en pauvreté, pureté et humi-
lité. Amparo: Ah ! Je veux qu'une fois de plus Tu me
montres Ton Fils. Ah ! Montre-le moi. Je veux
seulement qu'Il dise deux mots. Ah, mais qui amène le
Seigneur? Ah ! Mais cet homme avec cette barbe. ..
mais si dans le ciel, il n'y a pas de chair. Ah !
Elie? Ah ! C'est celui qui va venir? Eh bien, nous
t'attendons ici. Dis quelques mots(Seigneur afin
qu'ils pénètrent dans le cœur.
Le Seigneur: Je veux que les âmes consacrées soient
pauvres, humbles et sacrifiées. Voilà ce que Je
demande, Mes enfants. Et ces âmes font le contraire de
ce que Je dis. Elles vivent une vie de plaisirs et
s'introduisent dans le monde, Ma fille, et elles sont
attachées aux choses de la Terre. Amparo: Ah ! Mais elles ne sont pas toutes
semblabl~s. Ah, mais bon... Et toutes celles-là se
condamnent? Ah, ah... 1 Ne
permets
pa.s qu'ell~s se cond~ent. Ah ! Celles-ci...
celle~-~i ~ont P t au Purgatotre. Mais le Purgatotre
n'est pas comme on le dit iCi sur \ l''d Terre. Ah,
bien sûr! C'est-à-dire que tout ne se termine pas ici,
~ mais Toi Tu sais de quqj je Te parle. Réponds à la
question...
(Paroles en langue céleste).
Encore, de nouveau. Bon... mais, est-ce un secret? Ne
puis-je le dire ? Eh bien je n'en parlerai à personne,
à personne!
Ah! Donne-nous Ta bénédiction, Seigneur, parce que
c'est une
chose si grande! Comme Tu es beau! Tu es de plus en
plus beau ! . . Mais qu'est-ce que l'on Te fait
là-haut pour être si beau! '-
-'
Bénis-nous. Mais, comment vas-Tu nous bénir? De cette
façon ? Il va y avoir un problème avec cela, hein? Ah
Toi dis-le pour qu'il n'y ait pas d'histoire.
Le Seigneur: Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père
vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec le
Saint Esprit. Amparo: Je n'ai pas fini de résoudre un problème que
tu
q
lm'en donnes un autre. A ma Mère, avec cette croix!
Mais fais-le de L l'a~tre ~aniè~e. Ah !.Moi je. ne l~
dis pas. L~rsque je suis ,seule, je le fais, maiSqUi
leur dit que Je fais cette cro1X, non? il n en est pas
question... parce qu'alors il est sûr qu'on me
traitera çie possédée.
Le Seigneur: A Moi, on M'appelait" le 'possédé ", " le
vagabond" et regarde, Ma fille, Je t'ai dit que le
disciple n'était pas au-dessus du maître.
:. 1
Amparo: Je ne suis pas plus que Toi, mais Toi tu
pouvais
V supporter les choses avec l'aide de ton Père, mais à
moi '!OuS me laissez seule ici, pour que je me
débrouille toute seule, et je ne peux pas.
Le Seigneur: Je t'ai déjà dit que si Dieu est avec
toi, qui peux- tu craindre, Ma fille ? Amparo: Ah ! Comme on voit bien les choses, mais je
voudrais Te voir Toi aussi à ma place.
Ah, ma Mère! Je veux Te toucher un peu le pied. Ah !
Que c'est grand! Ah! Pars-tu déjà ?Ah !
Le Seigneur: Je M'en vais, mais Je laisse Ma Mère pour
qu'Elle vous donne des avertissements, parce que Je
L'ai placée comme Médiatrice de l'Humanité; mais vous
ne faites pas cas, Mes enfants. Je M'en vais, comme Je
vous l'ai dit au pied de la croix, Je M'en vais, mais
Ma Mère reste ici; mais si vous ne faites pas cas de
Ma Mère, Mes enfants, comment pourrai-Je vous sauver
tous ? Je veux sauver au moins le tiers de l'Humanité. Amparo: Comme tu vas en sauver peu. Un sur trois? Oh
ma Mère! Là où il yen aura sept, que fais-tu? Et si
ces sept-là sont .J des bons?
1Le Seigneur: Je t'ai déjà dit que tous ceux qui
observeront les commandements de la Loi de Dieu,
parviendront aux demeures. Amparo: Ah ! Pars-tu déjà? Ah ! Ah !
La Sainte Vierge: Mes enfants, comme Mon Fils vous l'a
dit, Il M'a placée comme Médiatrice, pour vous sauver
tous, Ma fille. Je serai à la porte du ciel pour
implorer Mon Fils et le Père
Etemel. D'abord le Père,
ensuite le Fils, Ma fille ; Je dois passer par ces
deux... (Mots dans une langue inconnue). Amparo: Bon, et Toi seule, ne peux-Tu le faire?
La Sainte Vierge: Tout dépend de Dieu, Ma fille ; mais
Dieu (ne vous condamne pas, vous vous condamnez
vous-mêmes avec
vos péchés. Voilà pourquoi Je vous demande de vous
approcher du sacrement de l'Eucharistie, mais gare à
tous ceux qui auparavant ne se sont pas confessés: ils
commettent beaucoup de sacrilèges. Humiliez-vous, Mes
enfants, et confessez vos fautes. Amparo: Je t'assure que tous ceux avec lesquels je
parlerai, iront se confesser.
Ah! Que Tu es grande! Que Tues belle! Ah ! Par ici, il
n'y a personne qui soit laid, hein? Ah ! Et même ce
barbu qui est arrivé, quel visage! Hein ?
La Sainte Vierge: Tous ceux qui sont en état de grâce
ne peu- (vent être laids, Mes enfants. Peut-être qu'en
voyant de l'extérieur un enfant anormal, vous le
trouverez laid ; mais combien de fois vous ai-je dit
qu'à l'intérieUr son âme est pure, très pure et toi ce
que tu vois, c'est l'âme de beaucoup de personnes. Amparo: Mais moi je ne vois pas l'âme, je vois le
corps.
La Sainte Vierge: Il te semble voir le corps en forme
d'âme, Mes enfants. Voilà pourquoi Je vous demande de
faire des
sacri-
fices, pour pouvoir parvenir aux
demeures, car les demeures sont préparées pour tous
ceux qui voudront bien suivre l'Evangile du Christ.
Baise à nouveau le sol, Ma fille, pour les pauvres
pécheurs... pour les pauvres pécheurs, Ma fille.
Pauvres âmes qui offensent
Dieu.l Dis-leur de ne pas
L'offenser autant, car il L'a été suffisamment, et sa
colère va tomber d'un moment à l'autre sur le: globe
ter-
(
restre, Ma fille. Amparo: Ah ! Accorde-leur un peu plus de temps pour
qu'ils se convertissent. Ah ! Mais tout cela va-t-il
arriver? Attends un peu plus.
1fLa Sainte Vierge: Tu as vu l'Ange; l'Ange de la
colère de Dieu est ,prêt, Ma fille, ~t ses. armées le
s?nt
égalem~nt., Dieu le Père n'a qu'a bouger le petit
doigt et la moisson dessechee de la terre sera
.' fauchée. Aussi, Je vous demande, Mes enfants, et Je
vous préviens très souvent pour que vous vous
convertissiez, parce qu'il y a des siècles que Je suis
apparue en beaucoup de lieux; mais l'on fait dis-
paraître Mon nom dans bien des endroits
oùJe Me suis
manifestée:, Mes enfants. Là où Je suis apparue, on a
fait disparaître le nom de leur Mère. Amparo: Ici non; ici nous verrons bien ce qui se
passe, mais je le dirai... Je le dirai à tout le monde
et tout le monde l~ saura, et si l'on me tue... Si
l'on doit me tuer, aide-moi, mais moi je ne veux pas
nier. Je neveux pas le nier!
La Sainte Vierge: En d'autres lieux, Ma fille, ils ont
nié Mon existence, parce que ces enfants ont été
contraints et ils ont nié par
"
peur. Amparo: Moi je ne veux pas nier par crainte.
Aide-moi, je (1serai fidèle, je Te promets que je ne
veux pas offenser Dieu et je veux tout faire, mais si
Tu persistes à dire que je n'ai pas... la
~ demeure, que je ne l'ai pas encore gagnée. .. Eh
bien, combien en
faut-il encore pour y parvenir maintenant?
,(La Sainte Vierge: Combien de grâces Je vous donne,
Mes enfants! Vous avez vu Mon image dans le Soleil, le
Visage du . Christ vous l'avez vu aussi, Mes enfants.
Combien de fois l'avez-
vou~ vu et observez en ce
moment comme beaucoup le verront, mais d'autres ne le
verront pas, Mes enfants. Vous verrez d:abord
les
co,uleurs et ensuite le visage de :otte Mère,
o~serveZ-la avec
\?
attention, Mes enfants; soyez attentifs aux couleurs,
ces couleurs . sont merveilleuses. Amparo: Ah, quelles couleurs!
La Sainte Vierge: Soyez en éveil, Mes enfants, parce
que Je vous ai dit que lorsqu'il y aurait des signes
dans le Soleil, la Lune et les étoiles, le temps
serait proche et tout est en train d'arriver.
Quelques-uns de ceux qui sont ici présents, ne
pourront pas voir, Ma fille; non point parce qu'ils
sont plus mauvais que les autres, mais parce que l'on
dirait que c'est de la suggestion, Mes enfants. Voilà
pourquoi, regardez, regardez vers le Soleil, vous
verrez ce que vous allez voir; Mon Visage est là ainsi
que le Visage du Christ... dans ces couleurs si
merveilleuses. Quelles couleurs, Ma fille ; ceci
n'existe pas sur la Terre. Amparo: Ah ! Que tout cela est joli! Ah ! Mais Tu
devrais descendre ici, et ne pas [demeurer] là-haut,
afin que l'on Te voie bien.
La Sainte
Vi~rge: Alors que vous m'avez vu faire cette
expéri- ence, Mes enfants, et beaucoup d'entre vous
n'ont pas cru; même si Je descendais, vous ne,croiriez
pas en Mon existence. Observez le ciel avec attention,
Mes enfants. Les couleurs sont merveilleuses. Qui peut
faire une chose pareille? Dieu le Père seul peut faire
tourner... (Paroles en langue inconnue).
.
Amparo: Ah, ma Mère! Aide-nous à être saints, non
pas pour que l'on nous mette sur les autels mais pour
que nous mon-
~
tions au Ciel à l'une de ces demeures, car l'autel,
à moi çà m'est égal. Pourquoi vouloir être une statue
si je ne parviens pas au Ciel? Non. Moi je veux être
sainte mais au Ciel, et je te prie pour tous ceux qui
sont ici présents, de leur donner une grâce afin que
beaucoup parmi eux se convertissent. Fais-le, Ma Mère,
qu'ils le voient.
La Sainte Vierge: Observez avec attention, Mes
enfants, l
lobservez, vous allez voir qu'aucun homme de la Terre
ne peut le ? faire? Aucun être humain ne peut faire
tourner le soleil, et avec des
couleurs aussi merveilleuses. Amparo: Ah 1 Mais comme Tu en fais des choses! Que
veux-Tu de plus, hein? Et Tu en tr;Iin de nous
conquérir, hein ? Ah ! Comme c'est bien, afin que nous
ne nous condamnions pas. Ah ! Fais ce que Tu veux pour
la conversion des âmes. Si c'est pour cela, qu'elles
se convertissent, mais qu'elles aillent se confesser,
parce que, comme Tu dis, beaucoup ne se confessent
pas, et gardent les péchés qu'elles veulent bien,
n'est-ce pas? Elles n'avouent pas les péchés qui ne
leur conviennent pas [de confesser]; c'est un s~
n'est-ce pas ?
La Sainte Vierge: Mais c'est ce qui se passe
constamment, Ma fille ; ces sacrilèges... même les
âmes consacrées
dissinlulent ces péchés, pour afficher
une apparence de sainteté aux yeux des hommes, mais
ensuite, devant Dieu, elles sont condamnées, Ma fille.
Continuez à regarder, Mes enfants, contemplez toujours
ces couleurs si merveilleuses. Quel bleu, quel rose,
Ma fille ! Amparo: Comme il est joli ce jaune, Ma Mère! Ah ce
vert et ce bleu! Ah ! Mais moi, comment je les vois,
comment me dis-
Tu que je les voie? '
La Sainte Vierge: Tu les vois avec les yeux de l'âme,
non avec ceux du corps. Amparo: Mais l'âme a-t-elle des yeux? Ne me dis pas
que l'âme a des yeux.
La Sainte Vierge: Je te l'expliquerai avec plus de
calme, Ma fille, Je t'expliquerai à toi toute seule la
signification de l'âme qui a des yeux. Amparo: Ah ! Ma Mère! Fais que tous ceux qui sont
venus par curiosité et non pour Te voir, se
convertissent; qu'ils se con-
vertissent, donne-leur
cette grâce.
Ne vas-Tu pas bénir les objets? Bon, mais qu'ils
aient une grâce spéciale, hein, parce qu'avec ces
objets, beaucoup d'âmes se sauvent. Hein? Et qui plus
est, des personnes qui ne se sont jamais confessées, y
vont en courant; y compris des personnes de 91 ans,
imagine; 91 ans sans rien savoir de Toi. . .
La Sainte Vierge: Levez tous les objets; ils seront
tous bénis...
Amparo: Cette grâce est-elle spéciale?
La Sainte Vierge: C'est une grâce pour le salut des
âmes et
\pour les agonisants, pour qu'à ce moment-là, tous
ceux qui ont mené une vie de péché et d'offense envers
Dieu, se repentent de leur mauvaise vie. Amparo: Tu vas me demander de baiser le sol une fois
de plus? Oui, Tu me le demandes souvent, mais à quoi
çà sert? Je T'ai déjà posé la question et il semble
que Tu ne lui accordes pas d'im- portance. Est-ce très
important de baiser le sol?
La Sainte Vierge: Le Christ baisait le sol tous les
jours, en acte \d'humilité. Il s'humiliait
journellement, Ma fille, pour sauver les âmes. Amparo: Bon eh bien, nous allons baiser le sol une
fois de plus. Nous l'avons déjà fart plusieurs fois,
mais si à chaque fois une âme peut se convertir, eh
bien à ce moment-là je le fais tout le jour, hein?
Mais Toi tu fais le reste; moi je baise le sol et Toi
tu fais le reste.
Ah ! Ma Mère! Ah si je pouvais demeurer avec toi
toujours, pour toujours et ne jamais retourner avec
les humains. Ah, ma Mère! Tu ne sais pas combien c'est
douloureux de revenir sur terre; ici en ce lieu, on
est si bien! Laisse,.moi encore un peu, une seconde
seulement. Tes secondes, elles font combien de temps;
parce que moi je ne le comprends pas; le temps de
Jésus, quel temps est-ce? Est-il semblable à celui de
la Terre?
Bon, tout est secret; Tu me le dis pour que je les
informe.
La Sainte Vierge: Le plus important, Ma fille, c'est
que vous soyez prêts et que vous n'ayez pas peur de la
mort, ni de ceux qui pourraient vous persécuter à
cause de Dieu, Mes enfants. Bienheureux ceux qui
~eront persécutés à cause de Dieu; il entreront dans
le Royaume des Cieux.
((
Amparo: Eh bien, j'ai été persécutée, et Tu dis
encore que je n'ai pas gagné la demeure; alors que
dois-je faire maintenant?
. En faire plus encore? M'en reste-t-il encore
beaucoup à faire?
La Sainte Vierge: Un peu, Ma fille. Amparo: Mais explique-moi ce " un peu ". Ah 1 Ah Je
n'en peux plus! Explique-le moi approximativement 1 Ah
! Bon ce que tu voudras.
Ah ! Mais aime tous ceux qui sont venus en ce lieu
comme ceux qui n'y étaient pas, hein? Je Te le
demande, parce que je suis Ta fille et que j'ai
toujours été Ta fille, car moi je n'ai jamais eu de
mère, je ne l'ai pas connue; tu sais que je T'aimais
tant alors que je ne
cro-
yais en rien. Je T'aimais
tant, ma Mère!
La Sainte Vierge: Voilà pourquoi tu étais préparée
pour cette souffrance, Ma fille, pour être façonnée
petit à petit; et tu l'as été dès ton enfance, bien
que" tu aies été pécheresse. Mais Mon Fils choisit des
pécheurs, et non des justes. Sais-tu pourquoi Il
choisit les humbles et les pécheurs: pour confondre
les grands et les puis-
sants. Amparo: Et qui sont les grands et les puissants? Ah !
Ici sur terre il ne devrait pas y avoir de puissants;
car tous les péchés viennent des puissants. Si nous
n'avions pas d'argent, et si, comme Tu le dis, Tu
nous" nourrissais" comme les oiseaux et les fleurs, eh
bien nous ne commettrions pas de péché.
La Sainte Vierge: C'est le châtiment de l'être humain;
celui qui mangera son pain à la sueur de son visage,
mais il ne mangera pas son pain à la sueur du visage
des autres. Voilà pourquoi, Mes en-
.
fants, ne vous attachez pas aux choses terrestres,
elles ne servent qu'à vous damner. Amparo: Eh bien, sais-Tu que moi, je suis un peu
attachée à mes enfants, parce que, comme Moi je ne
comprends pas que je puisse aimer Dieu plus que mes
enfants, mais Dieu, je l'aime beaucoup aussi, n'est-ce
pas? à Dieu... Non pas à Dieu, mais à Jésus, parce que
Dieu, moi je ne l'ai jamais vu. Tu m'expliqueras
également ce mystère que nous devons tout laisser pour
le Christ.
Commènt? Comment ne va-t-on pas aimer ses
enfants et les laiss- er pour leur préférer Dieu?
La Sainte Vierge: Comme tu es orgueilleuse, Ma fille. Amparo (en pleurant) : Je ne veux pas être
orgueilleuse, mais c'est un problème difficile, parce
que le Seigneur, moi je L'aime beaucoup, beaucoup,
beaucoup: mais c'est que d'autre part, hein ? Moi je
L'aime chaque jour davantage mais... j'ai encore cela.
La Sainte Vierge: Pense aux disciples qui ont tout
quitté pour suivre le Christ. Amparo: Oui, mais les disciples, c'était les
disciples; mais moi... voyons comment vais-je les
abandonner et m'en aller. Tu as de ces choses, allons!
Et"crois- Tu que je vais entrer dans un cou- vent pour
toujours? Mais j'ai mes enfants, et je ne crois pas
que Tu vas me demander cela, allons, parce qu'à moi çà
me plairait, mais je peux faire ici plus qu'à
l'intérieur [du couvent] hein ?
La Sainte Vierge: Non, Ma fille, tu as le devoir de
soigner tes enfants parce que tu es une mère, mais
Dieu premier servi. Amparo: Bon, eh bien j'essaierai, qu'il n'y ait
personne avant Dieu, mais après Dieu... Toi, mes
enfants, non? Bon le Seigneur, mais... comme c'est la
même chose, si j'aime le Seigneur, j'aime Dieu, parce
que le Père, le Fils et le Saint Esprit, ne sont-ils
pa~ tous trois égaux? Parce qu'Il est sorti du Corps
de cet Homme si grand, qui arrivait jusqu'au ciel,
mais ce Visage je n'ai pas pu le
voir, parce que le Soleil était sur son Visage. Ah !
Quel Homme! Mais... sans visage, je n'ai vu une chose
pareille, un Corps sans
vi- sage, seul le soleil sur
ce Visage, et du Corps sortaient ces rayons, et le
Seigneur se formait et ensuite une Colombe [se
formait], avec des rayons et comment cela peut-il se
faire avec les rayons?
La Sainte Vierge: Eh bien de même qu'il a fait les
comman-
dements par l'intermédiaire de Moïse, avec ces
rayons, il a formé les tables de la Loi. Amparo: En voilà des mystères que vous avez là-haut,
ma Mère. .. le jour où on les découvrira...
La Sainte Vierge: Personne, personne, pas même l'homme
le plus savant du monde, ne pourra découvrir les
mystères du Ciel! Amparo: Eh bien, il serait préférable que nous les
décou- vrions parce qu'ainsi, je crois que davantage
d'âmes se converti- raient.
~
(La Sainte Vierge: Non, Ma fille, l'homme doit gagner
son salut . à la force du poignet ou se condamner de
son plein gré. Amparo: Bon, eh bien moi je ne T'en demande pas
davan- tage, sauf qu'au moment qù ils iront se coucher
tu fasses en sorte que tous ceux qui sont ici et qui
ne se sont pas confessés, le fassent. Fais quelque
chose, ma Mère, parce que moi toute seule... tu me
laisses seule, comme on dit là-bas sur la Terre, seule
devant le dan- ger. Ne crois pas que je ne suis pas,
ah, d'un côté comme de l'autre, mais j,e me défendrai
comme je pourrai. Je promets que je t'aiderai et Toi
tu m'aideras; laisse-moi Te baiser les pieds, parce
que Tu me donnes une force à l'intérieur qui me brûle
le cœur.. . Aïe ! Aïe ! Aie ! le cœur, le cœur. Ah, il
fond et l'on dirait qu'il me brûle, et cela alors que
Tu es froide! Hein ? Ah ma Mère! Ah, mon Dieu, que
cela est grand! Et ils diront que tton ... ! Allons!
En voilà des niais, hein ? Tous ceux qui disent que
c'est impossible, ont la tête dure, mais Toi Tu dois
la leur ramollir, parce que Tu as... un pouvoir, je ne
dirai
pas plus grand que Dieu, mais Tu en as également
beaucoup.
Je ne T'en demande pas plus, je veux seulement que Tu
ne nous abandonnes pas, et qu'à moi surtout, Tu me
donnes des forces, pour ne rien nier, rien, même si
l'on me tue.
r La Sainte Vierge: A ces moments-là, pense, même si
tu es seule, Ma fille, que le Christ est avec toi, et
si le Christ est avec toi, qui peux-tu craindre? Amparo: Ah ! Qui je crains. .. 1 Les hommes. Qui
vais-je f craindre? Allons. Ah! Mais cette fois-là,
vous m'avez complète-
ment abandonné hein? Là-bas seule, seule, face à trois
hommes qui allaient me tu~r, et moi je ne vous voyais
nulle part, nulle part. Ah, vous en avez de la ruse!
Oui, les épreuves; mais sans votre aide, je ne le
supporterai pas.
La Sainte Vierge: Mais, Ma fille, pense qu'il en a été
jusqu'au point permis par le Christ. Regarde,
lorsqu'ils ont essayé de te déshonorer, Dieu ne l'a
pas permis. Amparo: Combien je Te remercie de T'avoir connue, ma
Mère! Mais je Te demande de me venir en aide. Tu
m'aideras et moi je
Taiderai à sauver des âmes.
Lorsque je sauve une âme, comme je suis contente ors
que Ille couche! Mais quand l'âme se rebelle, quelle
peine j'éprouve! Ah ! Mère! Je ne suis pas étonnée que
Tu souffres l
, La Sainte Vierge: Oui, Ma fille, Mon Cœur souffre
pour toute l'Humanité parce que tous les hommes sont
les enfants de Mon Cœur et Mon Cœur Immaculé les aime
tant! Et Je veux que l'on prie ce Cœur Immaculé car
c'est Lui qui régnera sur toute l'Huma-
nité. Amparo: Bon, ma Mère, vas-Tu déjà T'en aller? Ah
quelle peine, m'envoyer encore une fois au même
endroit! Tu vas nous bénir? Bon, eh bien, allons-y.
La Sainte Vierge: Je vous bénis, Mes enfants, comme le
Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec
le Saint Esprit.
Adieu, Mes enfants, Adieu.
31 mai 1984
La Sainte Vierge: Je vous répète, Mes enfants, que le
miracle dans le Soleil se poursuit. Les couleurs sont
toujours aussi mer- veilleuses. Mon image y est
présente, Mes enfants, mais beaucoup de ceux qui sont
ici présents ne la verront pas. Ampar~ : Ah ! Comme Tu es grande! Hein ?
l
La Sainte Vierge: Mes enfants, Je vous donne un
avertisse- ment, comme toujours Je vous préviens:
n'offensez plus Dieu le Père, car n est très offensé.
Demandez pardon pour vos péchés.
Je vous demande, Mes enfants, d'écouter Mes
supplications, priez et faites pénitence, Mes enfants;
offrez-les pour la conversion de la Russie; la ~e est
sur le point de répandre ses erreurs dans le monde
entier, Mes enfants. n y aura de grandes guerres si
par vos prières, vous ne les évitez pas. Sacrifice,
Mes enfants, sacrifice et pénitence. Oui, Ma fille,
dans cette grande guerre, on verra des cadavres
partout dans le monde, parce que la Russie, comme Je
vous l'ai dit il Y a bien des ~nées, est le fléau de
l'Humanité.
Mon Fils et Moi, Mes enfants, Nous sommes ici
présents. Regardez le soleil, Mes enfants.
Je vous avertis, Mes enfants, parce que vous êtes dans
une
pé-
riode très critique; voilà pourquoi votre Mère
ne cesse de vous avertir. Avec le sacrifice, Mes
enfants, vous pourrez sauver la plus grande partie de
l'Humanité. Tous unis, Mes enfants, vous pouvez faire
tant de choses et sauver tant d'âmes!
Je t'ai déjà avertie auparavant, Ma fille, le frère
luttera contre son frère, la belle-mère contre la
belle-fille, les parents contre les enfants; et voilà
ce qui arrive; à l'approche de ce temps, Je vous ai
avertis il y a bien des années: soyez prêts. Dieu le
Père a voulu engendrer Mon Fils par œuvre du Saint
Esprit et il est devenu Homme pour sauver l'Humanité.
Il mourut sur la Croix, pour racheter le monde mais,
comme l'on tient peu compte de Mes avertissements!
Comme les humains sont ingrats!
Baise le sol, Ma fille, en réparation de tous les
péchés du monde.. .Pour tous les péchés du monde, Ma
fille, en réparation de
ces offenses que l'on commet journellement envers Mon
Cœur. Je 1
t'ai dit que si vous M'aidiez, le monde serait sauvé,
Mes enfants. ~
Mais Je veux sauver au moins le tiers de l'Humanité.
,)-
Lorsque ce moment arrivera, Mes enfants, parmi tous
ceux qui seront dans leurs maisons, dans leurs champs,
un sur trois sera chois! ; mais si sur ces trois, tous
sont prêts, et mettent en pratique les commandements
de la Loi de Dieu, alors ces trois-là seront sauvés,
Mes enfants. L'un sera pris et l'autre laissé parce
que vous observez très peu les commandements de la Loi
de Dieu.
Vois, Ma fille, il y aura des morts partout et l'air
pestilentiel des
rcadavres se fixera partout sur la
Terre. Et tenez-vous en éveil, Mes enfants, parce que
l'Antichrist est dans l'Humanité, avec tous ses
suppôts; voilà pourquoi vous devez être en éveil, Mes
enfants, car 1il veut s'emparer de vos âmes. Il voudra
les marquer du numéro 666. Ne vous laissez pas
]:narquer par l'ennemi, Mes enfants. Amparo: Toi aide-les; Toi Seigneur, aide-les. Tout
cela est- il si proche?
Le Seigneur: Si les hommes ne changent pas, c'est très
proche, Ma fille. Amparo: Toi, aide-les aussi. Toi Seigneur, Tu as plus
de pouvoir que Ta Mère.
Le Seigneur: Mais pas plus que le Père, Mes enfants. ' Amparo: Mais Tu peux aller tout droit au Père et Lui
demander qu'ils soient tous sauvés.
Le Seigneur: Je t'ai déjà dit, Ma fille, que Je suis
venu sauver l'Humanité; mais l'Humanité est vide, elle
ne veut pas se sauver. Amparo: Oui, il Y en a beaucoup qui veulent se
sauver, Toi aide-les.
Le Seigneur: Je vous ai dit, Mes enfants, que Je vous
avais donné Ma Mère comme messagère, pour sauver
l'Humanité. Et que font les hommes? Ils se moquent de
Ma Mère, Mes enfants, ils se moquent de Ses messages;
son Cœur douloureux n'en peut plus, Mes enfants. Amparo: Il est encore criblé [d'épines]. Comme cela a
peu duré! Est-ce qu'une épine s'est purifiée?
La Sainte Vierge: C'est une grande joie, Ma fille,
cinq âmes se sont purifiées. Les sacrifices et la
prière ont beaucoup de pouvoir, Ma fille, pour la
purification des âmes.. Enlève cinq épines de Mon
Cœur. Amparo: Ah ! Mais elles sont très profondes. ,. Aïe,
Aïe, Aïe.., quelle douleur quand on tire, il semble
que l'on arrache le Cœur!
La Sainte Vierge: Tu éprouves de la douleur, Ma fille,
mais en même temps de la joie parée que beaucoup
d'âmes sont en train de se purifier. En outre, tu vas
avoir le privilège d'écrire quatre noms dans le Livre
de la Vie. Amparo: Ah! Quelle joie! Ah, ah, combien [se sauvent]
mais l'un est de ceux que Tu sais! Ah ! Même si c'est
un par un, mais qu'ils se sauvent tous. Et si je me
sacrifie davantage, ce sera deux par deux.
La Sainte Vierge: Je t'ai dit, Ma fille, que le
sacrifice a beau-
lcoup de
vale~ ; mais si tous ~s mes e~fant~, vous
faisiez p~ni- tence et sacnfice, avec des pneres,
combien drames vous sauvenez !
Mais auparavant, Mes enfants, vous devez vous
réconcilier avec 1
Dieu, en confessant vos fautes, et en vous approchant
du sacre- ment de l'Eucharistie.
Baise à nouveau le sol, Ma fille, pour les âmes
consacrées... pour les âmes consacrées, Ma fille. Mon
Cœur les aime tant, et
pau-
vres âmes! Combien d'âmes
consacrées répondent à cet amour que Mon Cœur éprouve!
Comme elles sont peu nombreuses, Ma fille ! Priez pour
elles, Mes enfants, elles sont faibles, et l'ennemi
est très
rusé pour leur présenter les choses du monde, et elles
tombent, .} l' retombent, défaillent encore; ce n'est
pas tant leur défaillance, mais elles ne veulent pas
se repentir de leur péché. Amparo: (En pleurant) Je prie pour elles; je; prie,
mais, si elles ne veulent pas. . .
La Sainte Vierge: Combien il Me plairait, Ma fille que
l'on
édi- fie la Chapelle en œ ~eu ! Et que tous unis,
tous, de toutes les par-
ties du monde, vous veniez
méditer la Passion du Christ. Combien d'âmes vous
pourrez sauver, Mes enfants! Amparo: Mais nous, nous ne pouvons pas. Dis-le leur
Toi, pour que nous puissions le faire. Car Tu es Mère,
eh bien fais le pour tous et si t\1 ne nous facilites
pas les choses car chaque fois Tu accrois nos
problèmes... on n'a pas fini d'en résoudre un qu'un
autre surgit. "
La Sainte Vierge: Crois-tu, Ma fille, que ce fut
facile pour ces
pastoureaux et pour Bernadette? Non, Ma fille, non; il
leur a coûté beaucoup de sacrifice pour obtenir ce que
Je demandais. Amparo: Eh bien alors, ne nous demande pas d'y aller,
car si nous devons encore en faire davantage. Veux-tu
que 110US le
fas- sions sur-le champ?
La Sainte Vierge: Immédiatement, Ma fille, parce que
le temps a passé et les hommes n'ont pas changé, voilà
pourquoi c'est urgent, Ma fille. Mais Je t'ai dit que
ce n'était pas facile; il est plus 1facile d'obtenir
le mal que le bien. Amparo: Bien sûr, parce que tout ce qui est mal est
bien pour les autres, et ce qui est bien est mal. Mais
Toi, aide-nous et avec ton aide, nous pourrons tout
obtenir.
Et en ce qui concerne la croix de ton Fils? En voilà
un pro-
blème, hein, avec cette croix, parce qu'on me
dit que si c'est cette croix. .. et Tu vas voir ce qui
va se passer; en outre, l'autre croix. . .
La Sainte Vierge: Je vais te montrer une image du
Christ en croix, Ma fille. Amparo: Eh bien je l'ai vu très souvent.
La Sainte Vierge: Mais sois en éveil,
commen( vois-tu
le Christ? En longueur et en largeur ou en forme d'un
Y ? Amparo: Ah ! Je ne sais pas, parce que parfois il
semble
qu'll a les bras ouverts et d'autres fois les
bras sont vers le haut.
La Sainte Vierge: Regarde cette image. Amparo: Ah ! Mais ce n'est pas une image, c'est
vraiment Lui. Ah !
La Sainte Vierge: Quelle forme a-t-il? Montre-là, Ma
fille. Amparo: Oui une fois de plus. Ah, Ma Mère, ce que Tu
vas me chercher! Je vais la montrer. Ah !
II a les
bras ainsi, ici et ici et ensuite vers le bas. Ah !
Moi je disais bien que cela était si diffi- cile. Ah!
Seigneur, ah! Pourquoi avez-Vous mis l'autre croix?
Bien des années après que je ne serai plus, alors Tu
demanderas que l'on fasse l'autre.
La Sainte Vierge: Cette croix, Ma fille, Mon Fils l'a
dit : " Ce que vous lierez sur la terre, sera lié dans
le ciel, et ce que vous délierez sur la terre sera
délié dans le ciel". Ceci concerne non seulement le
sacrement de Mariage, mais aussi toutes les choses que
l'Eglise commande, l'Eglise Catholique, Apostolique. Amparo: Eh bien oui ; en voilà un problème avec
l'Eglise /
maintenant! Moi je ne peux aller dire que je suis
d'Eglise; mais moi, comment vais-je dire que c'est
cette croix? Quand on me posera la question, qu'est-ce
que je réponds?
La Sainte Vierge: Tu dis que le Christ mourut sur la
Croix que1? tu vois, mais ensuite, tu suis les normes
de l'Eglise. Amparo: Celle de l'Eglise c'est celle-ci, celle-ci et
celle-ci. Ah! Et l'autre, c'est celle de ton Fils? Eh
bien alors je ferai les deux, pour que ton Fils ne se
fâche, ni Toi non plus, parce que Tu es Mère de
l'Eglise... Mais l'Eglise, à qui est-elle? Ah !
L'Eglise du Christ, bien sûr. Ah, Mère, que de
problèmes! Hein? Ah ! Ne crois pas qu'il soit facile
de démêler cela, hein ? Ah, mais l'EglisLe Catholique
et Apostolique et quoi de plus? .. Et Romaine.
Celle-la est la vraie ? Et tous ceux qui vont aux
autres églises, qu'en est-il ?
La Sainte Vierge: Ce sont tous de faux pasteurs, Ma
fille, comme tous ceux qui disent voir le Christ ou
voir (Elle poursuit dans une langue inconnue). Amparo: Ah, eh bien, dis le pour que tout le monde
entende, et ici, il y a aussi, allons...
Ah ! Mais je ne cesse de voir comme Tu es belle!
Ah ! Et Toi que tu es beau! Je Te le dirai toujours,
parce que les années ont beau passer, 'foi Tu es le
même, hein? Et nous ici nous sommes en train de nous
rider. Ah ma Mère!
Le Seigneur: Un corps glorieux ne vieillira jamais, Ma
fille.
~ Amparo: Mais, s'il n'y a pas de corps, hein?
Appropries- Tu 'le corps à l'âme glorieuse, ou quoi?
Parce que, moi ce que je vois, ce sont les corps. Toi
que dis-Tu à cela? Ah ! Hein ?
Le Seigneur: Je te fais voir les corps, mais ils sont
la lumière de l'âme, c'est ce que tu vois, Ma fille. Amparo: En voilà une âme avec des yeux. Ah ! Alors à
l'intérieur de nous-mêmes, nous avons aussi des yeux ?
Le Seigneur: C'est une façon de voir, Ma fille, Je
t'ai dit qu'au-
cun savant ne pourra découvrir les
mystères du ciel. Amparo: Bon eh bien, révèle-le les nous maintenant!
Ah ! Et quand va venir la fin, la fin de tout.
Le Seigneur: Seul Dieu le Père connaît le Châtiment
final. Amparo: Toi non plus? En voilà un Père qui ne le dit
pas , . à son Fils. Toi non plus, Tu ne sais rien de
plus que ce qui va se V
passer maintenant, mais cela concerne la fin ? Non? Ah
! Comment n'a-t-il pas confiance en Toi, Toi le Fils
et le Père, et si vous êtes égaux, pourquoi ne Te le
dit-il pas? Ah ! C'est un autre mystère. Eh bien, vous
êtes remplis de mystères!
Ah quelle grande chose! Ah ce qui sort! il y a une
chose qui
sort de moi!
Le Seigneur: Je t'ai dit que tu es en train de tout
voir avec les yeux de l'âme. Amparo: Voilà pourquoi je Te dis que l'âme a des yeux
et que nous tous, nous avons les yeux de l'âme.
Seulement dans le ciel? Et tous ceux qui sont là-bas?
Ah ! Mon Dieu, quelle chose grandiose! Mais
cotnment
savez-vous faire toutes ces choses? Ah!
Le Seigneur: Dieu le Père fit le monde et Dieu le Père
a le pou- voir de tout faire. Amparo: Je crois bien qu'il a le pouvoir, je le crois
bien. Ah si Tu veux, je baise quatre fois le sol et Tu
me laisses ici. Ah ! Je vais être orgueilleuse, mais
qui lie le fait que je sois ici? Allons... revenir à
la question! ...
Ah, mon Dieu, Ah ! Je Te le dis à Toi, Seigneur, parce
qu'il est
impossible de voir le Corps de Dieu. Ce corps que j'ai
vu, à qui était-il? Bien sûr, mais le visage c'était
le Soleil. Un autre mystère. Ah! Si Tu veux, je baise
à nouveau le sol mais ce baiser, c'est pour que Tu
sauves beaucoup d'âmes, hein? Je le baise quatre fois,
si Tu veux. Ah, laisse-moi l'embrasser. Ah ! Ah !
La Sainte Vierge: Oui, baiser le sol, Ma fille, c'est
un acte d'hu- milité. Le Christ le faisait
journellement, Ma fille, Il s'humiliait pour le salut
des âmes, comme Il s'est humilié sur la Croix. Amparo: Ah 1 Mais
jè veux le voir ainsi, non sur la
Croix! Enlève lui la Croix car je ne veux pas le voir
avec cette croix maintenant 1
Ah 1 Mais je sais bien que vous n'êtes ni en haut, ni
en bas, alors, où êtes-vous? Ah, je vais à nouveau
l'embrasser 1 Ah 1 Comme je suis heureuse 1 Ah je Te
dis que je suis si heureuse 1. .. C'est comme quand on
est malade, on vous donne un
médicamt;nt et ensuite
vous guérissez. Eh bien, c'est comme si vous m'aviez
donné un médicament, mais c'est un médicament qui
n'est pas de la terre. Ah, comme c'est difficile de
l'atteindre 1 Hein ?
Ah ! Toi tu ne nous dis rien? Ah bon 1 Eh bien, au
moins bénis-nous; mais voyons comment Tu veux nous
bénir. D'abord Toi et ensuite Ta Mère.
Le Seigneur: Je vous bénis comme le Père vous bénit,
par l'în-
termédiaire du Fils et avec le Saint Esprit. Amparo: Ah 1 Nous Y voilà à nouveau 1 Ah 1 Mais
est-ce possible 1 Et maintenant je ne sais quelle
croix je vais faire, hein ? Bon, je ferai celle que Ta
Mère a dit, et quand je serai seule, je ferai la
Tienne; mais les deux sont valables. Non? Le Seigneur:
Bien sûr, Ma fille. Amparo: Ah 1 Laisse-moi Te toucher un petit peu,
cette c~ose qu~ Tu port~s au de~sus, comme la fois
précédente. Allez, {laisse-mol! Ah 1 Ca ne m'etonne
pas qu'on tombe amoureux de V Toi. Hein? Comme Tu es
beau! Hein? Ah ! Je n'ai jamais vu un
homme semblable! Ah, Ah, ma Mère 1 Maintenant que nous
dis-Tu? Allons. En voilà un Fils! Hein? Aucune Mère
n'a un Fils comme le tien? Aucune~ aucune comme ce
Fils. Pour la beauté et pour tout, hein ?
Quel visage mon Dieu! Je ne pourrai dire ni même
comment li est.
Ah, je ne sais ce que je vois! Ah ! je ne vous vois
pas par le dos. Qu'en est-il aussi de ce mystère? Vous
allez de-ci, de-là, en haut, en bas, et le dos, où
est-il? Je ne t'en demande pas davantage parce que tu
vas me dire que c'est un autre mystère.
La Sainte Vierge: Je vous demande, Mes enfants,
humilité et sacrifice. Si vous n'êtes pas humbles,
vous ne pourrez pas parvenir au Ciel.
Aimez vos semblables, Mes enfants, parce que si vous
n'aimez pas vos semblables, vous n'aimez pas Dieu, car
Dieu est en chacun de vos semblables. Amparo: Eh bien c'est ce que je dis. Mais quant au
fait d'aimer, il n'en est rien, hein? li sera chez nos
semblables, mais comme nous nous aimons peu 1 Bien que
maintenant je suis en train d'aimer beaucoup de gens,
hein? Ah si nous nous aimions tous! N'est-il pas vrai
que tu aidais Ton Fils pour qu'il aille au Père nous
sauver. Mais cela est impossible. Nous sommes
tellement nombreux !
Ah ! Tu vas bénir les objets. Beaucoup de ces objets
ont déjà servi à la conversion des âmes, hein et aussi
à la guérison.
La Sainte Vierge: Levez tous les objets... lis ont
tous été bénis et tous ces objets continueront à
répandre des grâces pour le salut des âmes. Et
maintenant Je vais vous donner Ma bénédiction, Mes
enfants: Je vous bénis, comme le Père vous bénit, par
l'intermédi- aire du Fils et avec le Saint Esprit.
Adieu, Mes enfants. Adieu.
2 juin 1984
La Sainte Vierge: Mes enfants, vous serez tous marqués
du sceau du Christ. Beaucoup de ceux qui sont ici
présents ne se sont pas encore réconciliés avec Dieu,
Mes enfants.
Mes enfants, pensez que ce sceau est très important
pour la pro-
tection de vos âmes contre l'ennemi, Mes
enfants.
Regarde, Ma fille, avant de marquer les fronts, dis ce
que tu vois. Amparo: Quatre anges. Ah ! Quatre anges.
La Sainte Vierge: Eh bien ces quatre anges ont pour
mission de détruire la Terre. Mais regarde maintenant
du côté de l'orient,
Ma fille. Amparo: Là-bas, il y a un autre ange!
La Sainte Vierge: La mission de cet ange est de dire à
ces qua-
tre anges de ne pas toucher la Terre, la mer, les
arbres, jusqu'à ce
)
que tous les enfants de Dieu soient marqués de ce
sceau que l'en- nemi ne pourra pas détruire. Mais si
les âmes n'acceptent pas d'ob-
server les
commandements de la Loi de Dieu, elles ne se sauveront
pas, même si elles ont le sceau, Mes enfants. Tout
sera détruit par les quatre anges lorsque le nombre de
ceux qui sont scellés, sera atteint, car pour le
moment, il ne l'est pas encore. Amparo: Que tient-il dans sa main, cet ange? Le
sceau? Est-ce le sceau? Ah ! Comment va-t-il les
marquer? Tous? Comment va-t-il pouvoir les marquer
tous?
La Sainte Vierge:
Bçaucoup sentiront ce sceau sur leur
front, 1Ma fille. Mais alors même qu'ils sentiront
cette marque, ils ne voudront pas se sauver. Amparo: Toi marque-les, et si ensuite, ils ne veulent
pas se
sauver, eh bien qu'ils se perdent.
La Sainte Vierge: Je continue à marquer les fronts. Amparo: Ah ! Tous les fronts! Combien ont senti la
mar-
que sur le front! Mais le diront-ils tous? Là-bas, il
y en a certains qui ne sont pas dignes de cette
marque; mais, même s'il en est ainsi, marque-les du
sceau, pour que l'ennemi ne s'empare pas de leurs
. âmes.
La Sainte Vierge: Pense, Ma fille, que même au moment
de la \/'\ mort, -tu le sais parce que çà t'est
arrivé- ils sont à l'agonie et
repoussent la lumière divine de Dieu. Amparo: (En sanglots) Qu'ils ne se condamnent pas 1
Non, qu'ils ne se condamnent pas 1 Ils rient et se
moquent de toutes Tes choses. Ne les condamne pas.
Même ceux qui sont ici devant et qui ne croient pas.
Toi, donne-leur une lumière pour qu'ils croient. Ainsi
qu'à tous ceux qui sont derrière, il y en a beaucoup
qui ne croient pas.
l, Le Seigneur: J'aurais beau descendre en ce moment,
rempli de
lumière, ils ne croiraient pas Ma fille, comme Je te
l'ai dit. Quand cela arrivera, je descendrai avec
grande puissance et grande majesté. Je Jugerai chacun
selon ses œuvres. Amparo: Mais ils ne sont pas mauvais; ils n'ont eu
per- sonne qui leur parle de Dieu.
Le Seigneur: Il y en a beaucoup qui renient la foi du
Christ. Et. beaucoup d'entre eux sont là, en face de
toi, Ma fille. Amparo: Pourrais-tu les désigner?
Le Seigneur: Non, Ma fille, car Mon Cœur déborde
encore de miséricorde envers eux. " Amparo: Mais ainsi ils se corrigeront. Si je les
désignais, ils se c<?rrigeraient.
Le Seigneur: Parmi eux il y a une fille, Mes enfants.
Elle ne croit à rien. Amparo: La pauvre! La pauvre! Mais Toi tu vas lui
don-
ner la lumière pour qu'elle croie. J'ai beaucoup
de peine pour elle. Dans son for intérieur, il y a
peut-être quelque chose... qui croit.
Le Seigneur: Prie pour eux tous, Ma fille. Continue à
faire des sacrifices, car tes sacrifices ont de la
valeur pour le salut des âmes.
Bientôt Je choisirai des apôtres des derniers temps.
Tu verras
com- ( ment ils seront vêtus, les apôtres
des derniers temps. Amparo: Oh ! Mais celui-ci n'est pas d'en bas. Je
suis entre Ciel et Terre. Mais celui-ci n'est pas
d'en-bas. Hein? Voilà celui qui viendra dans les
derniers temps. Comme ils sont vêtus! lis portent une
soutane noire, une ceinture blanche; Sur le revers,
ils ont des boutons dorés. Et comment appelle-t-on ce
qu'ils portent dessus?
Le Seigneur: Une pèlerine. Amparo: Ah ! Une pèlerine: moi je ne sais pas ce que
c'est. Mais ils portent aussi deux boutons dorés. Et
il Y il des franges jaunes le long de la soutane. Ah !
Qu'y a-t-il sur la ceinture? li y a trois lettres à
droite et trois lettres à gauche. Ah ... li y a un H,
un D et un M du côté droit; et de l'autre, un M, un P
et un J. Ah ! Ensuite tu m'expliqueras ce que c'est.
Et les chaussures blanches, et des chapeaux sur la
tête. Comme ces chapeaux sont bizarres! Mais on dirait
qu'ils sont à corne. Non; ils sont ronds; Ah!
Devront-ils être ainsi vêtus? Et ces apôtres, où
sont,-ils pour que l'on puisse les choisir ?
Le Seigneur: Voilà pourquoi Je demande que les âmes se
puri- fient pour que l'on puisse choisir les apôtres
des derniers temps. Amparo: Et celui qui vient là-bas? Qui est-il? Parce
que les autres, où sont-ils? Mais,
Elie aussi? Mais,
bon, en voilà une belle barbe! Et celui-ci aussi
sera-t-il vêtu comme les autres dont
l, ?
tu as par e. .. .
Le Seigneur: Oui et ils publieront la doctrine du
Christ des derniers temps. Tu sais, Ma fille que le
temps approche et les hommes ne changent pas. Amparo: li y en a qui auront changé, non? Tous ne
sont pas... Ah! Pardonne-leur, Seigneur! Pardonne-leur
parce qu'ils ne sont pas mauvais. Mais d'autres... Que
se passe-t-il ? Quoi? (Paroles dans une langue
étrange). Et ce sont ceux-là qui ne veulent pas
croire.
Mais moi je ne veux pas dire cela parce que sinon, ils
vont dire que je fais de la politique. Et je n'y
entends rien; ni en politique, ni des uns ni des
autres. Moi je ne fais qu'intercéder pour eux; mais je
n'y comprends rien de rien. Ah, pardonne-leur à tous.
Mais puisque l'ange les a scellés, tu dois leur
pardonner.
Le Seigneur: Mais à condition qu'ils demandent pardon
et qu'ils s'humilient à un homme qui pour eux, est
comme eux ; mais
(qui est une âme consacrée. Beaucoup d'âmes consacrées
ne rem- plissent pas leurs obligations; mais, pauvres
âmes! Ce qui les
attend! Elles paieront pour leurs péchés et pour les
péchés ,des âmes qu'elles ont entraînées dans l'abîme. Amparo: Mais elles sont faibles, elles aussi;
pardonne-leur !
Le Seigneur: Mais elles auront davantage de comptes à
rendre parce qu'elles sont consacrées. Amparo: Ah ! Bon. Mais les autres aussi auront des
comptes à rendre, pas elles seulement. Ah !
Vas-Tu
leur donner aussi des grâces et leur pardonner?
Le Seigneur: Mais j'ai déjà dit que l'ennemi
obscurcissait leur intelligence pour leur montrer les
plaisirs du monde. Amparo: Ah ! Les pauvres aussi! Mais ils vont
demander pardon pour leurs fautes, même s'il y en a
tant. lis s'aideront les uns les autres, comme nous
autres, nous nous
entr'aidons. (Maintenant il
semble qu'elle s'adresse à la Sainte Vierge) :
Ah ! Ah ! Ah ! Moi j'aimerais que Tu fasses une grande
chose pour qu'ils croient.
II y en a beaucoup qui
veulent Te voir... Ah !
La Sainte Vierge:
II y en a peu qui Me verront, Ma
fille. Amparo: Mais il y en aura un ou autre, non? Ah ! lis
ne sont pas digne~..., moi non plus je ne suis pas
digne.
II y a par là d'autres personnes qui sont
meilleures. Qu'elles Te voient. Ah ! Pl'
Ah,
ermets- e . ... .
La Sainte Vierge: Tous ceux qui n'auront pas vu Mon
image,
rauront une plus grande récompense; parce qu'il
a été dit : " Heureux celui qui croit sans avoir vu ". Amparo: Mais ce serait mieux s'ils te voyaient. Ah !
Tu ne sais pas combien de personnes voudraient Te voir
pour se
conver- tir. Et Tu me laisses ici seule devant
tout le monde! Fais quelque chose. Ah ! Ah ! Mais bon,
comme je suis ennuyeuse! Hein? Mais pour moi ce serait
plus facile.
La Sainte Vierge: Bien sûr que oui ; pour toi ce
serait plus
facil~ ; m:aïs
mêm~ s~ beaucoup de ceux qui sont ici
présents Me {
voyà1ent, ils ne crottaient pas, Ma fille. Amparo: Bon, sur le fait qu'ils ne croiraient pas...
S'ils Te voient, oui, ils croiront. Ce sera comme Tu
voudras, hein ?
La Sainte Vierge: Le salut des âmes, cela te semble
peu [de chose] ? Amparo: Mais, si elles Te voient, elles seront plus
nom-
breuses à se sauver. Bon, voyons quand le
feras-Tu. Aujourd'hui, l'ange les a scellés. Mais,
quand feras-Tu une chose encore plus grande?
La Sainte Vierge: Plus grande que le sceau du Christ,
Ma fille ?
Amparo: Oui, mais Tu dis que, ils auront
beau avoir le
sceau du Christ, ils ne se sauveront pas... Que
vont-ils faire? Et l'autre, qui est-il? Hénoch? Et qui
est Hénoch? Eh bien en voilà un~ barbe! Ah! Ah! Mais
ne m'envoie encore en bas. Laisse-moi encore un moment
pour que je voie davantage de choses. Ah !
La Sainte Vierge: Ceux-ci sont... seront... (Paroles
en langue étrange). Amparo: Tu es là à nouveau. Eh bien dis-le clairement
pour que tout le monde T'entende. Ah ! Ne peut-on pas
le dire ? . C'est toujours pareil, toujours pareil. Et
celui qui se trouve à côté
de lui ? Bon, mais ne sont-ils pas morts? Ma Mère,
vous en avez des mystères! Voyons quand vous nous en
dévoilerez un ! Voilà pourquoi les gens ne croient
pas. Ces deux vont-ils descendre? Bon, ils descendront
et ils vont mourir. Et ensuite ils ressusciteront.
C'est alors qu'ils croiront. Parce que si non... Tu
auras beau faire tout et le reste, ils ne croiront
pas. Ah, comme on est bien ici! Laisse-moi ici et ne
m'envoie pas en bas. Ah ! Ah ! Je suis comme entre
Ciel et Terre. On les voit si petites... Mais, combien
il y en a ? Ma Mère. Rends-toi compte des âmes que
l'on peut sauver à chaque Rosaire.
(
Ah, quelle joie 1 Comme il est beau Ton chapelet! Ah !
Mais il est tout
lùmière. Ah 1 Ne serait-il pas à ta
Mère? Parce que moi je le Lui ai vu et je vous dis
qu'il est en or. Et si vous n'aimez pas l'or, pourquoi
avez- Vous ce chapelet?
Le Seigneur: Je t'ai dit à qui était ce chapelet, Ma
fille. Amparo: Ah Bon! Baises-tu le sol? Mais s'il n'yen a
pas
là, de ce côté. .. Bon! Eh bien nous allon8' baiser le
sol pour le salut des âmes. '
La Sainte Vierge: Moi aussi Je baise le sol, bien que
les humains croient que Mon Cœur ne souffre pas. Mon
Cœur souffre pour toute l'Humanité; et le
çœur de Mon
Fils est triste aussi parce que les hommes ne cessent
d'offenser Dieu. Amparo: Mais comme Vous êtes beaux tous les deux! Ah
il Y en a qui ne croient pas... ! Ah que de choses
merveilleuses! Ah que c'est joli! Et quelles
lùmières,
Ma Mère! Et cela aussi est un mystère?
La Sainte Vierge: Baise à nouveau le sol pour les âmes
con- sacrées. Je les aime tant 1 Et comme elles
répondent mal à Mon amour!. .. Ma fille, cet acte
d'humilité sert pour le salut des âmes consacrées.
i Amparo: Ah quel beau visage! Mais ce n'est pas
l'image; j
puis-je Te toucher le pied? Ah comme il est froid;
qu'il est froid! r,. Mais où demeurez-vous pour être
si froids? Moi je veux baiser le pied. Mais je veux
aussi toucher la main de Ton Fils. Laisse-moi baiser
le pied. Je me conforme aussi avec le pied de Ton
Fils. Que les gens rient, à moi çà m'est égal... Ah !
Mais que se passe-t-il dans Vos corps pour que vous
soyez aussi froids? Bon, eh bien on dirait que vous
êtes dans l'eau; comme lorsqu'on se sèche et qu'on est
froid. Ah ! Voilà le mystère, n'est-ce pas? Ne nous le
dévoiles-tu pas? Ah bien çà suffit avec tant de
mystères.
La Sainte Vierge: Je t'ai déjà dit que les hommes ne
pourraient jamais découvrir les mystères du Christ.
Les mystères de Dieu sont très cachés aux yeux des
hommes. Même l'homme le plus savant du monde
n'arrivera pas à les découvrir. Amparo: Moi je ne dis pas qu'ils T'aiment peu; parce
qu'un jour Tu m'as dit que jamais je ne devais dire
qu'ils T'aimaient peu; parce que nous
Taimons
beaucoup. Je vais aussi Te deman- der une faveur très
spéciale pour le garçon que Tu sais. Mais Tu dois
l'aider parce que, sinon, le pauvre. il est dans un
état! Aide-le et laisse moi faire pour lui ce que je
peux !
Ah 1 Le Livre! Faut-il y ajouter quelques noms? La
Sainte Vierge: T\Lvas en écrire quatre. il y en aura
deux de
ton choix, en récompense à tes souffrances, et les
deux autres, Je te les donnerai. Amparo: Ah quelle joie, laisse-moi écrire les noms!
Ne le sauront-ils pas? S'ils me voient les écrire...
Et pourquoi j'écris ainsi, de ce côté vers là, alors
qu'on écrit de l'autre façon?
La Sainte Vierge: C'est parce que Moi J'écrivais
ainsi. Amparo: Et tous les autres? Quelle joie 1 Moi qui ne
sais pas écrire... ou si peu. Mais je veux apprendre
pour écrire beau- coup de choses. Je veux apprendre à
écrire comme il faut. Permets- Tu que j'apprenne?
La Sainte Vierge: Mon Fils t'a choisie ainsi, Ma
fille. Et
comme n t'a choisie sans culture, n te veut sans
culture. Ne sais-tu pas
qu'n se manifeste aux incultes
et aux humbles pour confondre les grands et les
puissants? Amparo: Mais pour qu'ils ne soient pas confondus...
je ne sais pas écrire; je voudrais savoir mieux écrire
et j'ai quelqu'un qui
péut m'enseigner...
La Sainte
Vi~rge : Ah ! Le fait de savoir bien lire et
écrire ne te servira de rien car Mon Fils t'a choisie
inculte et n te veut inculte. Amparo: En voilà une plaisanterie! Ne pas vouloir que
l'on m'instruise. Ah ! Je pourrais faire tant de
choses... Mais si Tu ne le veux pas, moi je ne
m'instruirai pas... Bon, je le sais. Dis-le moi pour
que je le comprenne... (Paroles dans une langue
inconnue comme réponse). Est-ce pour cela? Eh bien
alors je ne veux savoir ni lire ni écrire, rien, même
si je ne le comprends pas! J'intercède pour tous, pour
tous ceux qui sont ici. Aide ceux qui n'ont pas encore
reçu Ta grâce. C'est tellement grand de recevoir Ta
grâce... ! Ah, quelle grande chose! Ah, ils ne savent
pas ce que c'est... ! Mais s'ils le savaient. ..
Aide-les! Ah ! Ah ! Comme Tu es belle ! Ah ! n faut
que je Te dise que Tu es très belle.
La Sainte Vierge: Je te demande aussi Ma fille de
prier pour le Vicaire du Christ. Amparo: Est-il encore en danger? Ah ! Eh bien nous
con-
tinuerons à prier. Et pour d'autres aussi qui en
ont besoin. Hein ? Pourquoi ne veulent-ils pas faire
ce que Tu demandes... La Chapelle! Qui doit le dire
?.. Alors je Te prie aussi pour lui. Ah celui-là! Mais
ne le dis pas, car sinon, ils vont courir après lui.
Je sais qui est celui qui doit donner
l'autorisation... (Paroles en langue
inconnue) .
Bon, alors, comme je le sais maintenant... Mais ne le
dis à
per- sonne et (avec des mots intelligibles) ;
car sinon, ils vont l'ennuyer. Ah ! Et il est bon, il
est très bon; tu le sais. Parce que Tu as dit une
fois qu'il avait une
graflde affection envers la
Vierge. Et s'il aime la Vierge, il ne peut être
mauvais. Que tout s'arrange pour le mieux, mais en
bonne intelligence.
Ah !
Vas-Tu bénir les objets? Eh bien nous allons les
lever tous. Et ces objets, auront-ils des grâces
spéciales? Donne-leur des grâces spéciales pour que
les hommes se convertissent.
La Sainte Vierge: Levez tous les objets. Amparo: Ah ! Ils ont tous été bénis. Tu verras comme
ils se convertiront. Et bénis ce garçon pour qui je
T'ai demandé une faveur spéciale, afin qu'il fasse ce
que je lui ai dit. Hein? Bon, Tu sais bien de qui il
s'agit. Si Tu veux, je Te donne la première et la
dernière lettre de son nom.
Cà commence par B et le
nom ter- mine... non il ne se termine pas, non; çà
commence par P. Tu sais qui c'est? Ah ! Je sais que Tu
l'aimes. Ah, si Tu le mettais dans un couvent... Voilà
qui serait une bonne chose, hein? Que d'âmes il
sauverait!
Bon, je ne vais rien Te demander de plus, si ce n'est
que... Ton Fils nous bénisse. Mais voyons comment
va-t-ll faire, hem? Je regarde ce qu'Il va faire.
Le Seigneur: Je vous bénis comme le Père vous bénit
par l'in-
termédiaire du Fils et avec le Saint Esprit. Amparo: Ah ! Il l'a encore fait. En voilà un
problème! En C\ voilà un problème! En voilà un
problème! Je T'ai déjà dit de ne pas 1 faire cette
croix; mais l'autre, parce qu'avec celle-là, il va y
avoir un ..
problème et bien gros!
Le Seigneur: Mais maintenant Ma Mère va vous bénir
avec la croix de l'Eglise, parce qu'elle est Mère de
l'Eglise. Amparo: Ah ! Quelle joie! Bénis-nous tous.
La Sainte Vierge: Je vous bénis, Mes enfants, comme le
Père
vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec le
Saint Esprit. 1
Soyez humbles, Mes enfants, car le temps approche.
Récon-
ciliez-vous avec Dieu.
Adieu, Mes enfants, Adieu.
9 juin 1984
Amparo: Ah, ah, ah... ! Ah, Dieu... ! Ah, ah, Mère!
La Sainte Vierge: Aujourd'hui le message sera très
bref, Ma fille ; Je te demande seulement d'être
intelligente, car les épreuves commencent maintenant.
Sois forte, Ma fille, sois forte! Amparo: Ah... ! Je ne peux tenir ferme à ce qui
m'arrive. Ah, Ah ...!
La Sainte Vierge: Je T'avertis, Ma fille, et Je te
répète à
nou- veau: c'est maintenant que les épreuves
commencent et ces épreuves seront dures. Amparo: (Elle se met à sangloter). Pourquoi? Pourquoi
seront-elles dures?
, La Sainte Vierge: Tu le verras, Ma fille, tout au
long de ce ~ chemin. Mais ne sois pas lâche! Amparo: Ah, j'ai
ttès peur !
La Sainte Vierge: Même si l'on te calomnie, même si
l'on te traite de folle, sois forte et ne renie pas le
nom du Christ; ne renie pas Mon nom, pense qu'ils
essaient de détruire Mon oeuvre. Amparo: Ah ! Ah ! Et que puis-je faire pour ne pas
qu'ils la détruisent?
La Sainte Vierge: Sois humble et sois obéissante, Ma
fille, car ils ne pourront pas détruire l'Oeuvre de
Dieu. Cela est arrivé tout au long de l'Histoire, Ma
fille : ils ont essayé de faire disparaître Mon nom de
beaucoup d'endroits.
Ds y sont parvenus, Ma fille,
mais voilà, chacun sera responsable de ses propres
actes. Amparo:
Jene veux pas qu'elle soit détruite. Ah, ah,
ah, . . . ! Toi, fais quelque chose pour ne pas
qu'elle soit détruite.
La Sainte Vierge: C'est vous, Mes enfants, qui devez
être forts et avoir du courage. Amparo: Que c'est bien! Tout est bien dit; mais il
faut y passer! ... Aide-nous et avec Ton aide, nous
ferons face.
La Sainte Vierge: Voilà l'épreuve, Ma fille. Amparo: Eh bien, en voilà une épreuve 1 Je ne veux
pas de cette épreuve.
La Sainte Vierge: Ma fille, combien de personnes
choisies par Mon Fils ont souffert! Comme elles ont
souffert, et même de la part de leurs propres frères!
Elles ont souffert et elles ont été fortes jusqu'à la
mort.
Combien de grâces Je répands, Ma fille, et comme ils
sont peu nombreux à les recueillir! Aujourd'hui Je
répands des grâces sur tous ceux qui sont ici
présents, parce que c'est un jour important pour Moi. Amparo: Eh bien tous les' jours sont importants, pas
seulement aujourd'hui.
La Sainte Vierge: Mais par l'intermédiaire du
Saint-Esprit, beaucoup d'âmes peuvent se convertir,
même à l'agonie, Ma fille. Ne souffre pas pour ces
âmes qui, crois-tu, n'ont pas eu de
com-
munication
avec la Lumière Divine, car à ce moment-là, l'Esprit
Saint leur a donné la lumière afin qu'elles meurent en
grâce avec Dieu. Amparo: Ah quelle joie! Ah! n n'a pas fait cas de
moi.
La Sainte Vierge: L'Esprit Saint est au milieu de
vous, Mes enfants, pour vous préparer à la venue du
Christ; n viendra
resplendissant, sur une nuée, avec sa Puissance et sa
Majesté, Ma fille. Amparo: Aide-nous tous, bien que nous T'aimons tous
beaucoup. Moi je les inclus tous y compris ceux - et
ils sont nom-
breux- qui ne T'aiment pas. Ah, ma mère!
Ah, s'ils savaient ce qu'il y a là-haut! Ah ma Mère!
Je ne suis ni en haut, ni en bas. Ah, quelle peine De
ressens] pour ces âmes qui ne veulent rien savoir de
Toi! Mais beaucoup se sauveront, non?
La Sainte Vierge: A ce moment-là, Ma fille, beaucoup
seront appelés mais peu seront élus. Amparo: Ah choisis-en beaucoup! Ah, ah, ah. .. !
La Sainte Vierge: (Affectée par ce qu'elle contemple,
Amparo se lamente, et transmet le message de la
Vierge). Ils verront les montagnes s'effondrer et les
astres heurter la Terre et ils mourront seulement de
la frayeur... J'ai déjà tout dit Mes enfants: prière
et sacrifice pour pouvoir atteindre les demeures.
Baise le sol, Ma fille, en réparation de tous les
péchés du monde. .. Pour tous les péchés du monde, Ma
fille. Baise à nouveau le sol pour les âmes
consacrées. .. Cet acte d'humilité, Ma fille, sert
pour le salut des âmes.
. Amparo: Eh bien alors, combien d'âmes doivent se
sauver lorsqu'on baise le sol tout le long du jour?
Ah... ! Mais se sauvent- elles, si elles sont en état
de péché? Reçoivent -elles la grâce pour se sauver? Et
cela sert-il vraiment beaucoup? N'est-ce pas? Eh bien
Tu sais ce que je vais faire tous les jours, et que je
fais déjà; mais, baiser le sol dans un endroit plus
sale, car cela a plus de valeur. Je ne veux pas te
dire ce que j'embrasse.,. Davantage d'âmes se
sauvent-elles? ... Ma Mère, quelle gloire!... Ah,
quelle joie! Je leur dirai à tous de beaucoup baiser
le sol, pour que beaucoup d'âmes se sauvent; et pour
que la lumière leur soit donnée pour se confesser,
n'est-ce pas? Car sais-tu ce que l'on dit : qu'ils se
confessent et
.M
communient seulement pour le salut des âmes, n'est ce
pas? Ah ma Mère! Quelle gloire .1 Ah, mais ma Mère,
quelle grande gloire!
Bénis-nous, vas-Tu nous donner la bénédiction?
La Sainte Vierge: Mes enfants, soyez forts et ne soyez
pas! lâches, car ce sont des lâches qui ont crucifié
le Christ. Amparo: Ah ! Je ne veux pas être lâche; je veux être
forte ;
moi, avec Ton aide, je veux être forte.
La Sainte Vierge: Ce que Je vous demande, Mes enfants,
c'est d'être forts, lorsque vous verrez les épreuves,
parce que vous n'avez pas encore goûté aux épreuves.
C'est maintenant qu'elles
commen- cent, Ma Fille! Amparo: Mais qu'est-ce qui commence? Qu'est-ce qui va
commencer?
, La Sainte Vierge: La persécution, Ma fille. Pense
que Mes dis-
ciples et les disciples du Christ étaient
persécutés de toutes parts. Et qui a envoyé le Christ
à la mort? Sais-tu qui a envoyé le Christ à la mort? Amparo: Tous, tout le monde.
La Sainte Vierge : M~s spécialement?
(Paroles dans une langue inconnue). Amparo: Mais bon, alors, nous allons bien sauver les
âmes ; mais ce furent eux et nous aussi. Bon, moi non,
parce que je n'y étais pas, mais tous ceux qui y
étaient, oui.
La Sainte Vierge: Mais eux ils ont émis leur premier
vote pour qu'on Le crucifie. Voilà pourquoi Je te
demande de beaucoup prier pour Mes âmes consacrées.
Prie pour qu'elles soient pures, humbles et
sacrifiées. Et Je vous le redis, Mes enfants, soyez
forts lorsque
l'ennemi,vous attaquera;
co?tin~e mettre ~n
prati~ue
tou~.ce que )
1Votre
Mere vous a demande et a
reclter le Saint
Rosatre. Quil ne se lpasse pas en ce lieu, ce qui est
arrivé il y a bien des années.
Je vais bénir vos objets, Mes enfants. Ils auront des
grâces
spé-
ciales pour le salut des âmes et même des
agonisants, Mes enfants. Levez tous les objets... Ils
ont tous été bénis, Mes enfants. Et maintenant, Mes
enfants, Je vais vous donner à tous Ma sainte
bénédiction:
Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l'in-
termédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Sois forte, Ma fille et sois humble.
Adieu, Mes enfants. Adieu!
10 juin 1984
Amparo: Ah, quelle lumière! Ah, quelle lumière! Ah,
quelle lumière! Ah, quelle lumière! Ah ! Qu'êtes-vous
en train de, ce que vous voyez
La Sainte Vierge: Mes enfants, Je vais commencer par
vous demander l'humilité et Je terminerai en vous
demandant l'humilité. Que tous ceux qui désirent être
à la première place, se mettent à la dernière, Mes
enfants. Je veux aussi que vous imitiez les enfants;
devenez comme des enfants, Mes enfants, afin que vous
puissiez entrer dans le Royaume de& Cieux. Pensez que
les derniers seront les premiers. Toi, Ma fille,
fais-toi petite, toute petite, pour qu'en- suite tu
sois grande, très grande. Je t'ai aussi avertie, Ma
fille, d'être prudente; pense qu'il y a des loups
recouverts de peau de brebis; ils diront que ce qui
est vrai, est un mensonge et que ce qui est laux, c
est a vente...
(' Je vous demande, Mes enfants, de diffuser
l'Evangile sur toute la
(.J Terre, parce que vous aussi, vous êtes des enfants
de Dieu. Vous avez tous l'obligation de répandre le
saint Evangile.
Je te dis aussi, Ma fille : Mes enfants, soyez
humbles, très hum- bles, parce que, sans humilité,
vous ne pourrez parvenir au Ciel.
Quant à toi, Ma fille, sois très prudente, car une
seule impru-
dence peut détruire les choses de Dieu; mais, malheur
à celui qui détruira Mon Oeuvre!
Et devenez comme des enfants, car, en étant comme des
enfants, vous parviendrez à la première demeure.
Que la lumière du Saint Esprit vous illumine, en ce
moment, vous tous qui êtes ici présents. Vous avez
tous reçu la lumière divine du Saint Esprit, Mes
enfants!
Soyez forts et lorsque 1'ennemi tentera de détruire
cette Oeuvre, vous autres, demeurez en éveil, Mes
enfants, et faites ce que Je vous demande: continuez à
venir prier le Saint Rosaire.
Pauvres âmes, Ma fille ! L'ennemi leur montre les
plaisirs du
m°.n~e, ille.s,a introduit.s dans le monde pour qu'ils
jouissent de ~es
plaisIrs. Voilà pourquoi, Mes enfants, Je vous demande
de pner ,
pour le,cLâmes consacrées. Pauvres âmes! Mon Cœur est
brisé de douleur à cause d'elles, et comme elles
répondent mal à cet amour ! Vous êtes tous
responsables, Mes enfants, mais les âmes consacrées le
sont davantage parce qu'elles appellent la vengeance
du Ciel, et la vengeance sera terrible.
Amparo: Je Te prie pour elles. Je Te prie pour elles.
.. Elles n'y croient pas, ce sont les premières à ne
pas y croire, mais je Te demande de leur pardonn,er !
La Sainte Vierge: Malheur à celui qui détruira Mon
Œuvre! Par là, Je me réfère à ce que Mon Fils a dit en
d'autres circonstances: " Tous ceux qui feront
scandale, qui scandaliseront l'un de ces petits, il
eût mieux valu pour eux qu'ils ne fussent point nés;
qu'on lui attache au cou une meule de moulin et qu'on
le jette dans la mer afin qu'ils soient dévorés par
les poissons ".
Amparo: Ah, ah, ah ! Je Te prie pour tous. Si Tu les
mar- ques tous, ils se sauveront. Je veux qu'un jour
Tu dises que Tu vas à nouveau les marquer et qu'ils
viennent tous mais qu'ils ne se con- damnent pas.
La Vierge: Combien crieront, Ma fille, au moment où il
n'y aura plus de recours, et que la porte étroite sera
fermée, parce qu'ils auront emprunté la voie large des
plaisirs!
Amparo: Mais Toi, pardonne-leur parce que moi, si Tu
veux, je ferai ce que Tu voudras; mais pour que Tu
leur pardonnes. Et tout ce que Toi Tu demandes, qu'ils
l'observent, qu'ils aillent de bourgade en bourgade
répandre l'Evangile. Mais les femmes ne peuvent
diffuser l'Evangile, c'est la tâche des prêtres.
La Sainte Vierge: Non, Ma fille, vous êtes tous des
enfants de Dieu et en tant que tels, vous pouvez
prendre le Livre et prêcher l'Evangile partout dans le
monde, et, lorsque l'Evangile sera publié, dans toutes
ces contrées qui ne connaissent pas encore la parole
de Dieu, alors, ce sera la tribulation, Ma fille et le
grand Châtiment arnvera.
Amparo: Mais ceux qui parcourent aussi les villages
avec la Bible, comment sont-ils? ils ne sont pas de Ta
religion.
La Sainte Vierge: Je ne vous demande pas d'aller deux
par deux. Prenez garde à ceux qui vont deux par deux,
et de porte en porte; ils publient de fausses
doctrines.
Amparo: Alors à combien devons-nous aller?
La Sainte Vierge: Par groupe, peu importe que vous
soyez cinq ou six, mais allez par groupe et n'ayez pas
peur de diffuser l'Evangile. Si dans un village, l'on
vous met dehors, allez de l'avant sans vous retourner
en arrière.
Amparo: QUè c'est bien, c'est-à-dire que nous ne
pouvons dire, à ceux qui nous jettent [dehors] qu'ils
doivent se sauver?
La Sainte Vierge: Vous secouez la poussière, Mes
enfants.
Amparo: Ah ! Mais on ne peut faire cela, il faut tous
les aider.
La Sainte Vierge: Mais s'ils ne veulent pas écouter la
parole de Dieu. .. Pauvres âmes, Ma fille !
Amparo: Ah ! Fais quelque chose, fais une chose; j'ai
envie que Tu fasses une chose grande; et pour moi...
c'est si diffi- cile 1 Fais-le pour que l'on Te voie.
La Sainte Vierge: Tu sous-estimes les grâces que Je
déverse, Ma fille. Mon Cœur Immaculé répand des grâces
sur toute l'Huma- nité et pour toute l'Humanité; mais
l'Humanité est vide.
Amparo: Ah ! Elle n'est pas vide, il y en a beaucoup
qui T'aiment, ils T'aiment beaucoup! Il Y en a qui
sont. .. Les pauvres! Ils n'ont personne qui leur
parle de Dieu!
La Sainte V~erge : Il n'y a pas de con~amnation pour
l~s igno- r,
rants, Ma fille, il n'y a pas de condamnation pour
eux, malS pour \ ceux qui connaissant le Chris~ le
renient.
Amparo: Bon, eh bien pardonne-leur et marque les à
nouveau pour leur donner cette grâce.
La Sainte Vierge: Combien, combien ont vu Mon image
dans le Soleil, Ma fille, et cependant, ils
l'attribuent à un phénomène naturel qui n'est pas du
tout naturel! Il n'est pas possible -par un phénomène
naturel- de v'oir l'image du Christ et l'image de
votre Mère gravée dans le Soleil parce qu'il s'agit
d'un phénomène surna- turel.Je t'ai déjà dit que les
grands savants eux-mêmes ne pourront pas découvrir les
mystères du Ciel.
Amparo: Bon, je Te demande de leur pardonner; et moi
je ferai ce que Tu voudras; mais pardonne-leur à tous,
aux prêtres aussi, parce que si Tu ne les avais pas
fait de chair. . ., mais ils sont en chair eux aussi.
Pardonne-leur! Me promets-Tu que Tu vas leur
pardonner?
La Sainte Vierge: Moi Je leur donne la grâce, Ma
fille, mais c'est le Père Eternel qui pardonne car
c'est Lui qui fera le Jugement Dernier.
Amparo: Ah ! Eh bien Tu le transmets au Père Eternel,
et le Père Eternel est bon et il pardonne à tous, à ce
moment-là, lorsque le châtiment arrivera, alors qu'ils
reçoivent la lumière pour demander pardon. (Les pleurs
d'Amparo se changent en joie devant la vision qui lui
est présentée).
Ah, ah, comme c'est joli! Ah celui-ci qui tient ce
livre! Ah! Ah ! Ah ! Celui-ci fut-il aussi un martyr?
Ah... ! Eh bien moi je veux être martyr, hein? Pour
être avec lui là-bas à côté de Toi. Et ce livre qu'il
tient, qu'est-ce que c'est? L'Evangile du Christ? Je
veux moi aussi propager les Evangiles, mais je ne sais
pas, mais je les répandrai par la parole. Je te le
promets! Mais Toi, pardonne-leur à tous. Ah ! Est-ce
celui qui l'a tué ? Est-il là ? Mais s'il est mort,
com- ment est-il là-bas ? Ah, il est rempli de
lumière! Saint Jean? Mais quel Saint Jean? Ah... !
A-t-il aussi proclamé l'Evangile ? Eh bien nous allons
tous commencer à le proclamer afin que nous nous
trouvions là-bas avec celui qui est à côté de Toi. Ah
... ! Laisse-moi encore un peu, car je ne suis ni à
côté de Toi, ni en bas!
1La Sainte Vierge: La lumière de l'Esprit-Saint, Mes
enfants, ( - vous illuminera, pour que vous diffusiez
l'Evangile par toute la '(..~ terre. Cette lumière
divine vient de l'énergie divine de Dieu.
,
Amparo: Ah ! Quelle grande énergie, il a ! Ah, quelle
lumière, quelle lumière, quelle lumière, ah, ah, ah !
Cette lumière si grande, d'où vient-elle? Ah, la
lumière... !
La Sainte Vierge: C'est la lumière de l'Esprit Saint.
Vous tous, Mes enfants, vous avez reçu l'énergie
divine du Saint Esprit. Répondez à cette merveille,
Mes enfants.
Amparo: Nous répondrons tous. Je Te le promets pour
tous!
- La Sainte Vierge: Baise le sol, Ma fille, pour les
âmes con- sacrées... Pour les âmes consacrées, Ma
fille, Mon Cœur les aime
tant! Pauvres âmes! Elles se laissent tromper par
l'ennemi qui les marque et s'empare de leurs âmes.
Amparo: Mais, qu'il ne les marque pas, qu'il ne les
marque pas, ne permets pas qu'il les marque, je sais
combien il y a de chiffres. Avec ces trois six, non?
Qu'il ne les marque pas; aie pitié de tous, Ma Mère.
Je Te le demande: donne-leur plus de temps; Tu verras
comme ils sont tous bons, et si Tu faisais ici une
grande chose, ce serait mieux. Pardonne-leur !
La Sainte Vierge: Tous les yeux ne peuvent pas voir,
Ma
fille; tous ceux qui deviendront comme de petits
enfants pour 1
pouvoir atteindre les demeures, Me verront. ns Me
verront resplen- l dissante dans le Ciel.
Amparo: Ah, comme c'est bien! Mais c'est que tous...
Ne crois pas qu'il soit facile de se sauver, hein?..
Veux-tu que je baise le sol encore? Bon, eh bien je
vais le faire. Maintenant, pour qui l'offrons-nous?
La Sainte Vierge: Pour tous les pécheurs du monde,
pour tous, Ma fille, sans distinction de races. ..
Pour tous, Ma fille, sans distinction de races; ils
sont tous Mes enfants et une bonne mère aime tous ses
enfants pareillement, Ma fille. Je suis votre Mère,
vous le savez bien, Mon Fils l'a'dit, il l'a dit sur
la Croix.
Amparo: Ah, mais dis-le d'une autre façon. Ah, moi je
le dis aussi.
La Sainte Vierge: n l'a dit sur la croix, Mes enfants:
"Je vous laisse Ma Mère, pour qu'Elle soit votre Mère
et pour Mère de toute l'humanité ".
Amparo: Ah bon! Mais ce que Tu as à dire, dis-le de
sorte que je puisse le comprendre, ainsi que tous ceux
qui sont ici.
La Sainte Vierge: n y a des mystères que l'on ne peut
révéler aux humains.
Amparo: Eh bien, ne me les révèle pas à moi non plus
car je ne veux pas les connaître, parce qu'ensuite,
comment vais-je les
garder. ~
La Sainte Vierge: Mon Fils te rend tout à fait capable
de ne pas révéler les mystères du Ciel.
Amparo: Eh bien dis-le moi, comme Tu voudras... (On
entend des paroles en langue inconnue comme si c'était
la réponse de la Vierge). Ah ! Si peu? Ah... ! Si peu
de temps? Bien que pour moi, le plus tôt sera le
mieux, n'est-ce pas? Mais ce n'est pas pour moi; et
ceux qui ne sont pas en état de grâce? Je Te prie pour
eux, pour tous; ainsi Tu dois me l'accorder, parce que
moi je ne veux pas que tant d'âmes se condamnent,
parce que si Dieu est miséri- cordieux,
pourquoiva-t-ll faire cela?
La Sainte Vierge: Le châtiment terrestre, vous pouvez
l'éviter avec la prière et le sacrifiée, mais le
châtiment divin du Ciel; person- ne ne pourra s'y
soustraire, Ma fille, Jésus-Christ lui-même, le Fils
du Père, ne le connaît pas; seul kPère le connaît, pas
même les anges du Ciel.
Amparo: Allons! Ne pas même le dire à Jésus, alors
qu'Il ne dira rien...
La Sainte Vierge: C'es( écrit: le Fils de l'Homme
lui-même ne saura pas le Châtiment qui viendra sur la
Terre. Ce ne sera pas de
1]l'eau, Mes enfants, cette fois-ci, ce sera du feu à
cause d'un astre qui 1 va heurter la Terre.
Amparo: Mais, allons-nous le ressentir ?
La Sainte Vierge: Tous ceux qui seront en état de
grâce, ne seront absolument pas affectés; ils
demeureront comme en extase, Ma fille. Tâchez de vous
trouver à la droite du Père, pour pouvoir sauver vos
âmes.
Amparo: Ah ! Eh bien, nous essaierons d'être à
droite; moi je les avertirai tous; mais ils ne vont
pas m'écouter, Je veux... -mais je ne T'en demanderai
pas davantage parce que je suis très ennuyeuse- je
vais Te demander de marquer beaucoup de personnes,
beaucoup de ceux que tu n'as pas marqués auparavant.
Ah ! Ceux qui sont déjà marqués, non, mais marque les
autres.
L'ange va les marquer... Ah quelle joie! Ah, il a
marqué ceux qui ne l'étaient pas. lis ont une
protection; ah quelle grande joie... ! Ah ! Quelle
joie! Maintenant je vais baiser le sol de joie et pour
Te remercier. Ah comme Tu es grande, Ma Mère! Que Tu
es grande! Et dire que les hommes ne croient pas en
Toi! Ah quelle peine! Alors que Tu es si belle. .. Ah
quelle belle chose! Me laisses-Tu baiser le pied? Ne
me dis pas que je vais T'ennuyer encore; je me
satisfais en baisant le premier doigt... Ah merci,
merci ma Mère! Je Te promets d'être meilleure chaque
jour bien que je suis méchante aussi, hein? Ah comme
je suis orgueilleuse! Ah ! Vas-Tu nous bénir ?
La Sainte Vierge: Je vous bénis, Mes enfants, comme le
Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et Saint
Esprit.
Adieu, Mes enfants, adieu.
14 juin 1984
La Sainte Vierge: Ma fille, c'est une date très
importante, à ne " pas oublier. Je veux que vous vous
souveniez de cette date si importante. A cette date,
Je Me suis rendue présente en ce lieu et Je t'ai
demandé, Ma fille, que l'on y vienne de toutes les
parties du monde réciter le Saint Rosaire et que tous
ceux qui viendraient en ce lieu, seraient bénis d'une
croix et seraient aussi marqués sur le front. Beaucoup
seraient marqués mais d'autres seraient, bénis.
J'ai demandé aussi que l'on édifie une chapelle en ce
lieu en l'honneur de Mon nom, et que l'on y vienne de
toutes les parties du monde, méditer la Passion du
Christ. Elle est très oubliée, Ma fille. Je veux que
vous vous souveniez de cette date si importante. Mes
enfants, Je vous demande cette date si importante. Mes
enfants, Je vous demande le sacrifice et la prière
pour que vous puissiez sauver vos âmes. Amparo: Ah, quelle joie! Ah... ! Je n'ai pas oublié
cette date; Je sais que c'est une date très
importante.
La Sainte Vierge: Oui, Ma fille, continuez à réciter
le Saint Rosaire, ne soyez pas lâches et ne vous
laissez pas tromper par l'astuce ( de l'ennemi. Il
arrive.ra un moment où l'on interdira la récitation du
Saint Rosaire, mais J'ai dit en d'autres occasions,
que si Je ne Me manifestais pas à l'intérieur, Je Me
manifesterai à l'extérieur, Mes enfants; mais soyez
forts et ne cessez pas de fréquenter ce lieu. Amparo: (En sanglots). Ma Mère, Je viendrai ici, je
ne veux pas qu'on l'enlève.
La Sainte Vierge: Toi, Tu dois être obéissante, Ma
fille, et Tu dois obéissance, mais que personne,
personne, ne cesse de venir réciter le Saint Rosaire.
Je t'ai déjà dit que de grandes épreuves
com1ïflencent, et elles débutent maintenant, Ma fille.
Avec l'humilité et le sacrifice, on obtiendra tout.
Moi aussi Je mettrai Mes mains dans cette Oeuvre qui
est Mienne.
Baise le sol, Ma fille en réparation de tous les
péchés du monde. .. En réparation de tous les péchés
du monde, Ma fille.
Pense que l'ennemi veut détruire Mon œuvre et en
d'autres lieux, elle a été détruite, Ma fille, on a
fait disparaître Mon nom. Amparo: Je ne veux pas, mais Toi aide-nous,
aide-nous! Si l'on m'interdit d'aller au
Pré-Neuf, je
m'en abstiendrai, mais les ~autres iront.
La Sainte Vierge: Maintenant les épreuves dures
arrivent, Ma fille. Amparo: Ma Mère, Toi aide-nous.
La Sainte Vierge: Je
Tai dit, Ma fille, d'aller [voir]
directement
l'Evêque. . Amparo: Comment vais-je y aller si je ne peux pas? Je
ne peux pas y aller.
La Sainte Vierge: Parce que l'Evêque, Ma fille, est
une bonne âme consacrée. Amparo: Je ne peux pas, il y en a d'autres devant
lui. Toi, aides-nous. Si Tu nous aides, nous irons
partout; seule, je ne peux pas. A moi, il ne m'importe
pas de souffrir, mais je ne peux: pas le faire seule.
Je sais qu'il y a longtemps que Tu l'as demandé, mais
que dois-je faire? Je ne peux faire rien d'autre que
de prier, et prier. Toi Tu dois faire le reste.
Aide-nous, ma Mère, aide-nous et nous aussi nous Te
répondrons.
Ne peux-Tu pas rester là-haut? Je veux que Tu
m'emportes d'ici. Je veux que Tu m'emportes d'ici,
parce que je ne peux être seule davantage! On est si
bien dans les demeures! Je n'en peux: plus 1
La Sainte Vierge: Ma fille, Ma fille, le temps
approche et ton temps aussi. Amparo: Mais quand? Quand? Parce que je n'en peux
plus. Je me trouve mal ; je veux être forte et je
T'aiderai, mais Toi aussi aide-nous parce q1!e nous
autres, nous ne pouvons rien faire sans Toi.
Ne nous donne pas cette épreuve, parce qu'en voilà une
ép~ 1 Ah, Mère! On voit je ne sais quoi, on est si
bien ici ! Mais est-ce qu'on ne peut me laisser ici
pour toujours? Je ne veux plus revenir à ce lieu,
aide-moi! Ne me renvoie pas à ce lieu!... Non, je ne
veux pas être orgueilleuse; mais Toi tu ne sais pas ce
que c'est, d'être en bas.
La Sainte Vierge: Je t'ai déjà dit, Ma fille, que les
persécutions viendraient et on persécutait les
disciples du Christ parce qu'ils par-
laient du Christ; et le Christ on le calomniait, on
l'appelait Il le
vagabond ", Il le possédé ". Ne sois pas orgueilleuse,
Ma fille, parce ,
que le disciple n'est pas au-dessus du Maître. Amparo: Moi je ne veux pas être plus que le Seigneur,
mais le Seigneur était Fils de Dieu et moi de qui
suis-je, fille ? Moi je suis, fille d'une personne
humaine.
La Sainte Vierge: Il fut, Lui ~ussi, le Fils d'un être
humain. Amparo: Oui, mais Il avait Dieu et moi qui ai-je?
Hein ? Je suis seule.
La Sainte Vierge: Je t'ai souvent dit que si Dieu est
avec toi, qui peux-tu craindre? Amparo: Oui, bien sûr, mais là en bas... Tu ne sais
pas ce qu'il y a en bas. Bon, je Te demande pardon si
j'ai été orgueilleuse, mais je ne peux pas [faire]
beaucoup, je ne peux faire plus. Je sais que je suis
orgueilleuse et que je suis méchante, mais moi je ne
veux plus redescendre sur Terre.
La Sainte Vierge: Ta mission n'est pas accomplie, Ma
fille.
Amparo: Ah ! Alors jusqu'à quand va-t-elle
durer?
La Sainte Vierge: Parce que tu n'es pas encore
totalement
façonnée. Amparo: Ah
IEh
Men, çà suffit! Jusqu'à quand vais-je
être ainsi? Bon, ma Mère, Toi qui es si bonne,
aide-nous à faire les choses que Tu veux, parce que,
sans Ton aide nous ne pouvons rien faire, aide-nous.
Ah 1 Comme Tu es belle 1
Vas-Tu nous bénir, hein ?
La Sainte Vierge: C'est une date très importante pour
que vous oubliez Dieu. Amparo: Ah quelle joie 1 )
La Sainte Vierge: Je vous bénis, Mes enfants, comme le
Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec
le Saint Esprit. Amparo: Ah, bénis nos objets 1 Ah 1 Mais fais-le
parce que
c'est un jour très important.
Vas-Tu les bénir tous?
Vas-y, fais-le par- ce qu'ils
lIes objets] servent au
salut de beaucoup d'âmes, beaucoup d'âmes se sont
sauvées grâce à eux. Tu le sais bien. Allons,
bénis-les.
La Sainte Vierge: Je vais aussi t'accorder cette
grâce, Ma fille. Levez tous les objets, ils seront
tous bénis... Ils ont tous été bénis avec des grâces
spéciales, Mes enfants. Amparo: Ah ! Ah, quelle merveille! Ah comme c'est
grand! Ah ! Allons 1 Tous le verront, mais comme il
sont peu nom- ,breux ceux qui croiront!
La Sainte Vierge: Adieu, Mes enfants, Adieu.
16 juin 1984
La Sainte Vierge: Mes enfants, Je vais commencer par
la pénitence avec le sacrifice et la prière. Combien,
combien de ceux qui sont ici présents, n'ont pas
encore fait ces trois choses, Mes enfants !
Je vous demande aussi de recevoir le Sacrement de
l'Eucharistie; mais auparavant, Je vous demande de
vous confesser.
Ne considérez pas les fautes du prêtre, parce que le
prêtre est . demeuré à la place des Apôtres. Voyez le
Christ en eux ; ne
consi-
dérez pas leurs fautes, parce que le Père leur
demandera des . comptes lorsqu'ils se présenteront
devant Lui, Mes enfants. Nous
autres, nous ne devons juger personne. Voilà pourquoi
Je vous demande de ne pas juger, et ainsi, vous ne
serez pas jugés, Mes enfants. Pensez que même les
anges ne peuvent remplacer les (
prê~es, Mes enfants. Ni même la Mère de Dieu 1... (
Amparo ~
pleure). Personne, personne ne pourra remplacer le
prêtre, ni même votre Mère, Mes enfants, la Mère de
Dieu! Voyez le Christ dans la
Messe; ne voyez pas le prêtre, parce que dans: le
sacrifice quotidien de la Messe, le Christ est
présent. Voilà pourquoi Je vous dis, Mes enfants, que
ces âmes qui se laissent tromper par l'astuce de
l'ennemi, en rendront compte à Dieu le Père,
lorsqu'elles se présenteront devant Lui.
Je vous demande aussi, Mes enfants, de vous sacrifier
un peu; pensez que le Christ est mort pour vous. C'est
pourquoi Je pense que vous pouvez faire des sacrifices
pour Lui. Je vous demande également, Mes enfants,
l'humilité, parce que, sans humilité, vous ne
parviendrez pas aux demeures.
Je continue de vous répéter de propager l'Evangile
dans tous les
coins de la Terre, partout! Voilà le sel de
l'Evangile. Et pour tous ceux qui sont trompés par la
ruse de l'ennemi, qui r1"lJ' leur fait croire en
d'autres doctrines qui ne sont pas la doctrine
Catholique du Christ. .. pauvres âmes, Ma fille,
pauvres âmes! Je ne demande pas des comptes à celui
qui ne Me connaît pas, mais à celui qui Me connaît et
Me méprise.
Un acte d'humilité, Ma fille : baise le sol pour la
conversion de tous les pécheurs... Pour la conversion
de tous les pécheurs du monde, Mes enfants. Je demande
le sacrifice ainsi que la prière. Soyez forts, Mes
enfants, parce que les épreuves commencent; mais ne
reniez jamais la parole du Christ. Pensez que celui
qui reniera le Christ sur la Terre, le Père Céleste le
reniera dans le Ciel devant Ses anges.
Et toi, Ma fille : Je te demande l'humilité. Pense que
Mon Fils t'a donné un hameçon pour sauver les âmes;
mais, sans humilité, tu
'1~e
po~ras les sauver. Tu d~,s ê,tre un modèle
d'h~té. :en~e que 1 orgueil est le plus grand peche du
monde; celwqwmene a tous les péchés contre les Dix
Commandements, Ma fille.
~1Mon Cœur est triste, très triste, Ma fille, de voir
que les hommes ne changent pas. Mon Cœur voudrait que
toute l'Humanité se 1sauve, mais le salut ne dépend
pas de Moi; il dépend de chacun de
'vous. .
Amparo: Ah, ah, Mère! Ah, quel visage, quel
beau visage! Ah ! Aide-nous à être bons, parce que,
s~s Ton aide, nous ,
ne pouvons rien faire. Demande-le à Ton Fils pour que
Ton Fils s'adresse à Son Père, afin
qu'll nous donne
des grâces pour que nous puissions nous repentir.
La Sainte Vierge: Malheur à ceux qui croient que
l'Enfer n'existe pas, Mes enfants! Il Y a différentes
demeures dans le Ciel et différentes demeures en
Enfer. Voilà pourquoi vous autres, vous devez gagner
la demeure avec vos sacrifices, Mes enfants. Pensez
qu'il faut suivre le Christ, prendre la croix et le
suivre; c'est la seule façon de vous sauver, Mes
enfants. Baise à nouveau le sol, Ma fille, pour les
âmes consacrées. Pauvres âmes! Mon Cœur les aime tant!
Et comme beaucoup d'entre elles répondent mal à cet
amour!. .. Cet acte d'humilité, Ma fille, sert pour le
salut des âmes consacrées.
Faites des sacrifices, Mes enfants, faites pénitence,
priez pour ceux qui ne prient pas, aimez pour ceux qui
n'aiment pas et faites pénitence pour ceux qui ne le
font pas.
Priez le Père
Eternel, car
II vous aidera à vous
sauver, Mes enfants. Le Père Eternel est oublié. Et
pensez que c'est Lui le J~e qui vous jugera! II est
miséricordieux et plein d'amour, Mes enfants ; mais
c'est un Juge très sévère et II vous j~era selon vos
œuvres.
Mon Cœur est toujours entouré d'épines, Ma fille. Ces
épines sont celles des âmes qui n'écoutent pas la
parole de Dieu.
Mon Fils est très triste quand
II voit que l'on
méprise sa Mère. Je t'ai déjà dit maintes fois: un bon
fils, ayant beaucoup d'affection
, pour sa mère, n'aimerait pas qu'on la
maltraitè, la
méprise et la
calomnie. C'est pourquoi Mon Fils, ainsi que Son Père,
va
déchar-
ger sa colère d'un mom'~nt à l'autre.
Pense, Ma fille, qu'il viendr~ sur une nuée, en grande
puissance et majesté.
Je vous ai dit, il y a quelques jours, de regarder les
astres et la lune. Lorsque la lune commencera à
rougeoyer et que les astres
per-
dront leur éclat
naturel, ce sera épouvantable, Mes enfants; le
Châtiment sera épouvantable. Mais pour ces âmes qui
ont mis en pratique l'Evangile du Christ avec les Dix
Commandements..., ce sera un paradis éternel, Mes
enfants 1 L'un des paradis que le Père Eternel a
préparé pour vous. Amparo: Comme cela est grand! Ah, Ah ! Mais combien
y-a-t-il de demeures ?
La Sainte Vierge: li y en a beaucoup, Ma fille,
beaucoup de
(demeures parce, que Mon' Fils est monté vers le Père
pour prépa- 1
rer les demeures; et elles sont presque
toutes prêtes.
Mes enfants: Je vous demande le sacrifice, le
sacrifice et la
{prière. Et confessez vos fautes, Mes enfants;
n'attendez pas
davan-
tage car la mort survient comme
le voleur, sans avertir. Soyez prêts,
Mes enfants. Amparo: Nous,bénis-Tu? Bénis-nous et bénis nos
objets. Ah!
La Sainte Vierge~: Levez tous les objets, Mes enfants;
ils seront tous bénis avec des grâces spéciales, Mes
enfants, pour le salut de votre âme... lis ont tous
été bénis, Mes enfants.
Je vais vous donner Ma sainte bénédiction. Je vous
bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit, par
l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Adieu, Mes enfants, adieu!
(La récitation du Saint Rosaire se poursuit. Mais une
fois terminée la
méditation du 5ème mystère, les phénomènes solaires se
produisent à nouveau.
On entend un murmure constant parmi t assistance qui
admire ces
phénomènes. Ensuite se succèdent à différents moments,
les lamentations de
Amparo qui contemple les
différentes visions en intercalant les
commen- taires,
tandis qu'elle prie et demeure dans une sorte
d'extase). Amparo: Vous êtes tous semblables...
Les quatre... 1
Les quatre d'ici... les quatre chevaux...
Ce [cheval] jaune, est-ce celui de la mort?
Et le rouge? ... il est comme le jaune, couleur
cuivre. , Ah, et le noir ?
Et ceux qui les montent, qui sont-ils? Est-ce que ce
sont les
anges de l'Apoca... Bon...
choses là-bas... Oh ! Le jaune... Ah comme c'est
grand! C'est celui-ci qui va en prendre le plus, non ?
Eh bien je l'ai déjà vu ; je les ai déjà vus tous,
vraiment. Ah, que c'est grand ! Que de choses ! Hein?
Ah ! Bon! Ah ! Et ils disent que ce n'est pas du Ciel
! Allons ! On voit la tête du lion lé plus grand! Ah,
la tête d'un lion! Ah ! Qu'en est-il du lion? Ah !
Voilà un autre mystère! Oh, ces pattes! Ah, Mère! Ah
... ! Qui vont en dessous, non? Ah, On m'a mis ici ce
rayon? Ah, Ah, le rayon! Ah, ah, ah ! Mouille-moi là !
Ah, ah, ah,! (Elle se plaint pendant quelques
instants). La poitrine me brûle! Ah, quel courage! Ils
ne donnent rien de... ! Ah, donnez-moi quelque chose.
Ah, çà me brûle... ! Ah, ah, ah... ! Ah! çà suffit!
Cela aussi? Ah, ah, ah... ! J'ai été brûlée. Ah !
Regarde ce qui m'est arrivé ici. Ah, regarde-le moi.
Ah ! Ici. A cet endroit-là. Ah ! Ah, ah, ah. ..! (Elle
gémit ainsi à plusieurs reprises).
Ah, quelque chose m'a brûlée! Ah, ah, ah ! Je n'en
peux plus! Ah, encore une chose de plus! Ah, autre
chose! Ah mon Dieu! Ah, mon Dieu!
Cà m'a brûlé de ce
côté. Ah, mon Dieu! Ah, ah! Regarde moi, allons.
Regarde ici, ici, ici. Ah, ah, ah ! J'ai été brûlée
dans cette partie, ce qui est sorti là. . .. ! Ah, ah,
mon Dieu! Je ne sais ce qui arrivera si ce côté est
brûlé! Et il y en a qui rient encore,
xxx
côté. Et derrière aussi. Ah, ah ! Je ne sais ce qu'il
veut, hein? Tant de choses déjà... Ah, ah, mon Dieu!
Ah, qu'on m'enlève çà... !
(On lui dit quelque chose et elle répond) :
Non, moi ce que je veux c'est q~e l'on m'enlève cela.
Ah, ah, ah... ..! Ah, mon Dieu! Mais çà aussi? Ah !
Qu'est-ce que cela veut dire? Ah, ah, ah... ! n semble
que quelque chose ait brûlé en moi. Et par-dessus le
marché, ils rient encore! Ah, ah, ah... ! (On lui
parle et
Amparo dit): Laisse le. Ah ! Voyons, est-ce
mouillé? Ce n'est pas du sang? Ah! laisse, car le sang
gicle de tous côtés.! Ah, ah, regarde à nouveau! Ah,
regarde encore! (Elle parle avec quelqu'un).
Non, cette partie et ce qui est en bas. Quoi? (Elle
gémit).
Mais il y en a beaucoup; qui sont-ils tous ceux-là?
Ceux qui les voient, mais que tous les voient! Ah, Ma
Mère, tout cela. . .
Mais si je leur dis de regarder, ils vont dire que çà
les brûle; eh bien, que ceux qui le désirent,
regardent!
Ah, mais c'est la couleur rose! Elle est en rose en ce
moment, en rose. Ah, Elle tourne en ce moment; ah,
mais c'est que... Et si çà lui brûle? Qu'ils ne le
regardent pas... Ah, maintenant c'est le bleu.
Qu'elle est jolie! Ah, ma Mère! Elle est encore rose,
rose!... Tu es en rose, et l'autre partie en jaune.
Cela n'est pas une chose de la Terre; mais du Ciel.
Ah, ah, comme elle tourne, on dirait qu'elle descend.
Ah, ah, comme elle tourne. La partie de la première
demeure, est-ce celle-là? Ah, comme elle tourne! Eh
bien, si nous devons faire autant de tours pour y
parvenir... Quel rose! Oh, ce rose! Ah, que... de
chevaux et d'anges... Bleu, bleu 1... Il Y a les q
quatre chevaux... (mot incompréhensible).Le blanc,
c'est le blanc...
Blanc 1 Ah, le
blatlc, où va-t-il ? Le jaune? Oh, oh,
c'est celui de la / mort! La mort est jaune! Regardez
le jaune... Ah, Mère, les choses. .. ! Ah, ce rayon!
Il vient par ici, vers le bas. Ah, ah ! Celui-
ci descend, le jaune! ... Et ce bleu, qu'est-ce que
c'est? On peut
regarder. Ah, ah, ah,... ! C'est jaune à nouveau...
Avec la mort et que vienne la mort. Que "(,7Ïenne la
mort, et la mort! Ah, ah, ah... ! C'est... ils sont
tous... la moitié; un peu plus de la moitié... Des
blancs! Ouf, ma Mère! Ils sont tous bien 1 Ah, les
autres sont à droite! Ah, bon, eh bien nous avons tout
vu ! Ah, ah, ah. .. ! (Elle pousse des ah pendant
quelques instants). Eh bien, celui qui se détache le
plus~ le jaune, c'est celui de la mort. Nous avons
tout vu.. .Bleu, ç'est le bleu qui monte. Bleu. Et le
rc;>se et le bleu? Le jaune, c'est celui de la mort.
Ah, et celui-ci qui
rtssemble à l'or? Et le noir? Et
le blanc? Et le jaune, hein? Ah, mais on dirait qu'ils
sont comme des lions! Ceux qui le portent ont le corps
d'une personne, l'un avec la tête du lion, et l'autre,
la tête de l'aigle. Ah ! Ce cheval! Ah, celui-ci est
le plus grave. Ah ! Mais bon! Eh bien il y a tant de
choses là-bas... Oh ! Le jaune... Ah comme c'est
grand! C'est celui-ci qui va en prendre le plus, non?
Eh bien je l'ai déjà vu; je les ai déjà vus tous,
vraiment. Ah, que c'est grand ! Que de choses ! Hein?
Ah ! Bon! Ah ! Et ils disent que ce n'est pas du Ciel
! Allons! On voit la tête du lion le plus grand! Ah,
la tête d'un lion! Ah ! Qu'en est-il du lion? Ah!
Voilà un autre mystère! Oh, ces pattes! Ah, Mère! Ah
... ! Qui vont en dessous, non? Ah, On m'a mis ici ce
rayon? Ah, Ah, le rayon! Ah, ah, ah ! Mouille-moi là !
Ah, ah, ah,! (Elle se plaint pendant quelques
instants). La poitrine me brûle! Ah, quel courage!
Ds
ne donnent rien de... ! Ah, donnez-moi quelque chose.
Ah, çà me brûle... ! Ah, ah, ah... ! Ah! çà suffit!
Cela aussi? Ah, ah, ah... ! J'ai été brûlée. Ah !
Regarde ce qui m'est arrivé ici. Ah, regarde-le moi.
Ah ! Ici. A cet endroit-là. Ah ! Ah, ah, ah...! (Elle
gémit ainsi à plusieurs reprises).
Ah, quelque chose m'a brûlée! Ah, ah, ah ! Je n'en
peux plus! Ah, encore une chose de plus! Ah, autre
chose! Ah mon Dieu! Ah, mon Dieu!
Cà m'a brûlé de ce
côté. Ah, mon Dieu! Ah, ah ! Regarde moi, allons.
Regarde ici, ici, ici. Ah, ah, ah ! J'ai été brûlée
dans cette partie, ce qui est sorti là. . " ! Ah, ah,
mon Dieu! Je ne sais ce qui arrivera si ce côté est
brûlé! Et il Y en a qui rient encore,
D. l
M.
b'1
Ahahah1
Q11ch,Dmon leu
alson. , , uee ose ece
côté. Et derrière aussi. Ah, ah ! Je ne sais ce qu'il
veut, hein? Tant de choses déjà... Ah, ah, mon Dieu!
Ah, qu'on m'enlève çà... I!
(On lui dit quelque chose et elle répond) :
Non, moi ce que je veux c'est que l'on m'enlève cela.
Ah, ah, ah... ..! Ah, mon Dieu! Mais çà aussi? Ah J
Qu'est-ce que cela veut dire ? Ah, ah, ah... ! n
semble que quelque chose ait brûlé en moi. Et
par-dessus le marché, ils rient
ef{;;ore ! Ah, ah,
ah... ! (On lui parle et
Amparo dit):
Laisse le. Ah !Voyons, est-ce mouillé? Ce n'est pas
dusang?Ah ! laisse, car le sang gicle de tous côtés!
Ah, ah, regarde à nouveau! Ah, regarde encore! (Elle
parle avec quelqu'un).
Non, cette partie et ce qui est en bas. Quoi? (Elle
gémit).
21 juin 1984
La Sainte Vierge: Mes enfants, Je viens en tant que
Mère et amie. Je veux, Mes enfants, que vous soyez
unis, et que tous ceux qui le voudront, parlent de
Dieu; de plus, Je vous demande aussi d'être unis, très
unis et que vous parliez tous... (Mot inintelligible). Amparo: Dis-le pour qu'ils comprennent, ah, qu'ils le
comprennenttous!
La Sainte Vierge: Que vous soyez tous unis et que vous
par- liez tous de la même chose, ne vous fermez pas
les uns aux autres, Mes enfants, car vous fomentez des
querelles et pour parler du Christ, il faut être très
unis.
Ne pensez pas autant aux choses terrestres, pensez que
les dis-
ciples du Christ ont tout abandonné pour
suivre leur chemin. Que tous aident le Christ à porter
la Croix, Mes enfants; ne vous
laffligez pas lbrsque
Dieu vous envoie la première épreuve. L'humilité,
voilà ce que Je demande, Mes enfants, afin que vous
puissiez être unis. Pensez que vous êtes tous des
enfants de Dieu, mais que Jésus en a préféré certains;
eh bien il est arrivé de même dans cette circonstance.
Vous tous qui êtes unis, suivez le Christ et ne donnez
pas des excuses qui ne servent à rien. Pensez que le
dis- ciple ne peut jamais ~,tre a.~-dessus du maître;
soyez!es d~rniers, ne (prenez pas les premleres
places, parce que les premlers n entreront pas dans le
Royaume des Cieux; mais les derniers s'y introduiront,
Mes enfants. Vous vous querellez pour des bagatelles!
Pensez que le corps, Je vous l'ai dit maintes fois, ne
servira pali même de fumier, et si cette âme est pure,
vous !l'avez pas à vous faite du souci, Mes enfants.
Moi J'ai été agrippée au pied de la Croix, agrippée
là, et Je
vo-
yais Mon Fils mourir alors qu'Il était
innocent, Mes enfants; Il mourait pour toute
l'Humanité, parce que vous tous, êtres ~~umains, vous
êtes ~oupab.le~, M~s enfants, vous avez tous pé~é, il
n'yen a aucun qm ne sOlt Juste sur la Terre, alors que
Mon Fils
était pur et innocent, et il est mort pour vous
racheter, Mes enfants. Préoccupez vous davantage des
choses de Dieu; en pensant aux choses de Dieu, vous ne
vous querellez pas, Mes enfants. Pensez que le
disciple ne sera jamais au-dessus du maître; et pensez
aussi 1que le Christ est venu au monde pour servir et
non pour être servi,
Mes enfants.
') Imitez le Christ, vous verrez comme vous atteindrez
la Gloire. Alors qu'il était le Roi des Cieux et de la
Terre, le Fils du Père, le Père l'a envoyé racheter le
monde alors qu'il était innocent, Mes enfants.
Voilà pourquoi Je vous demande de vous approcher du
sacre- ment de la Confession, parce que vous pouvez
recevoir chaque jour le Corps du Christ. Vous avez
plus de chance que les anges, Mes enfants, parce que
les anges ne peuvent pas
reçevoir le Christ. Le Christ
a institué le sacrement de l'Eucharistie pour vous
fortifier,
'
\Mes enfants. Ne soyez pas lâches; les enfants de Dieu
ont besoin de force; ils ne doivent pas être lâches.
Les lâches sont les fils des ténèbres.
Soyez unis, Mes enfants, soyez tous unis ; n'ayez pas
de secrets les uns les autres; ne soyez pas des
pharisiens; ils se plaçaient aux premières loges
devant le Christ pour raconter ce qu'ils avaient fait
; mettez-vous aux dernières
elaces, car les derniers
seront les
pre- miers ; ne croyez pas que vous êtes
amis, Mes enfants, alors qu'en- suite vous serez
ennemis. Voilà comment se comportaient les pha-
risiens : par devant ils faisaient mine d'être saints,
et par derrière ils outrageaient le Christ. Ne vous
critiquez pas les uns les autres, Mes enfants, car
chacun rendra compte pour soi. Ne jugez pas et vous ne
serez pas jugés. Vous autres, vous devez être plus
unis que quiconque, Mes enfants, parce que vous
autres, vous devez témoigner de ce que vous avez vu.
Voilà pourquoi Je vous demande d'être humbles, car
l'orgueil conduit l'homme à la perdition, Mes enfants.
Ne vous attachez pas aux biens de la Terre car ils
servent à se
condamner. Amparo: Toi, mais Tu nous pardonnes; même si nous
sommes orgueilleux, ne nous pardonnes-Tu pas?
La Sainte Vierge: Dieu le Père pardonne à tous ceux
qui
Jdemandent pardon; il vous attend tous, les bras
ouverts, Mes enfants. Approchez-vous du sacrement de
la Confession. Combien parmi ceux qui sont ici
présents, ne se sont pas approchés de ce sacrement
depuis tant d'années! Soyez prêts, Mes enfants, car la
{mort survient comme le voleur, et si vous êtes prêts,
qui pouvez- vous craindre?
Baise le sol, Ma fille, en réparation de tous les
péchés du monde... Pour la conversion de tous les
pécheurs du monde, Ma
fille. Faites des actes d'humilité pendant la journée,
Mes enfants; l\ pensez 'que Je vous ai dit à maintes
reprises que le Christ était face
Il contre terre, pendant des journées entières,
s'offrant au Père.
comme victime de réparation.
L'humiliation a une grande valeur, Mes enfants, parce
que celui ]qui s'humilie sera élevé et pensez que
Dieu, Dieu le Père vous récompensera au centuple, Mes
enfants. Amparo: Ah quelle joie! Ah, ah, quelle joie! Ah
quelle joie, ah ! Ah comme Tu es ,bonne, comme Tu es
bonne, ma Mère! La Sainte Vierge: Mes enfants, Je vous
donne des conseils
comme Mère et amie. Comme Mère, parce que Je suis la
Mère du Christ, et la Mère de toute l'Humanité; et
comme amie parce que Je ne veux pas que vous vous
condamniez mais que vous vous aimiez les uns les
autres et ne vous querellez--1?as, Mes enfants, pour
des choses qui n'ont pas d'importance sur la Terre.
Baise encore le sol, Ma fille pour les âmes
consacrées.. . Pour les âmes consacrées, Mes enfants;
priez pour elles, Mes enfants, parce qu'il y en a
beaucoup qui se laissent tromper par l'ennemi; priez
pour elles, Mes enfants, et soyez humbles; aimez-vous
les uns les autres, comme Mon Fils vous a aimés sur la
Terre.
Levez tous les objets; ils seront tous bénis... Ils
ont tous été bénis, Mes enfants.
Je vais te donner une goutte du calice de
doweur, Ma
fille ; il en reste très peu, mais les dernières
gouttes sont les plus amères. Prends le calice. . . Amparo: Ah, que c'est amer! Ah que c'est amer! Ah,
que c'est amer! Ah quelle amertume je sens là, dans la
gorge! Ah !
La Sainte Vierge: Mon Cœur en ressent davantage pour
toutes les âmes qui se précipitent journellement en
enfer. Amparo: Ah ... ! Mais il y en a qui se sauvent, non?
Elles ne font pas que se condamner; il Y en a qui se
sauvent... Ah, ne permets pas qu'elles se condamnent!
Hein ?
La Sainte Vierge: Quelle mère aimerait que son fils
aille en enfer? Eh bien c'est ce qui M'arrive, Ma
fille, car Je ne veux pas qu'un
sew de Mes enfants se
condamne. Amparo: Ah ! Aide-les, aide-les, car il y en a
beaucoup qui sont très durs, hein? Même si Tu leur
parles et parles encore, comme ils sont endurcis! Ah !
Ils ne croient pas, hein? Voilà pourquoi Toi, Tu peux
les aider, car moi non plus Je ne veux pas qu'ils se
condamnent, car j'ai ressenti dans mon corps les
peines de \l'enfer et pour cette raison, je ne veux
pas qu'ils se condamnent. Toi, rends leur cœur plus
doux, Toi qui es Mère, Tu vas les con-
quérir pour Toi!
La Sainte Vierge: Ma fille, Tu es mère, peux-tu
conquérir tous tes enfants? Amparo: Ah, non! Mais cela a~ait du se faire
auparavant; maintenant je ne peux plus, mais en outre,
je les ai presque tous conquis... presque tous;
maintenant c'est à Toi de gagner les autres. Moi je
fais ce que Tu dis, hein? Mais avec Ton aide, hein. Et
je vais partout, n'est-ce pas. Combien de choses sont
mauvaises!
Ah mais ces malades, les pauvres! Comment peuvent-ils
être ainsi tous ceux que nous avons vus ? Moi je me
demande très souvent comment Dieu peut permettre cela,
parce que, les pauvres ! Quelle peine l'on ressent
dans son cœur! Ah 1 Tu sais bien tous ceux que j'ai
vus ? Ah, quelle peine!
La Sainte Vierge: Par l'intermédiaire de ces âmes, il
y en a d'autres qui se purifient. Amparo: Bien sût, comme c'est drôle! Les uns sont
malades et les autres se purifient à cause des
douleurs endurées par certains, hein? Eh bien qu'ils
souffrent aussi un peu.
La Sainte Vierge: Mais Mon Fils choisit des âmes
victimes pour le salut de l'Humanité. N'es-tu pas une
âme victime? Amparo: Bon, tout dépend de quelle victime il s'agit.
Quelle sorte de victime? Hein ?
La Sainte Vierge: Mon Fils t'a choisie pour le salut
des âmes.
Toi aussi tu souffres. Amparo: Bon, un peu, mais avec Ton aide, je vaincrai.
C'est si dur... Ah, mais Toi avec ton aide Tu pourrais
faire tant de choses... Ah 1 Toi, Tu demandes à Ton
Fils, ensuite Ton Fils, Tu sais bien où il doit aller:
au Père. .. Et le Père doit nous pardonner parce que
je ne pense pas qu'il soit si cruel, n'est-ce pas?
Mère, Ses pieds et Ses bras! Mais Son visage, où
l'avait-il? Parce que c'était le Soleil que l'on
voyait sur Son visage. Ma Mère, si nous devons le voir
toujours ainsi! Eh bien on ne peut le voir. Quand
va-t-on
déc~uvrir ce visage, ah ! Pôùr que nous
puissions le contempler?
La Sainte Vierge: Personne n'a pu voir le visage du
Père. Amparo: Eh bien, comme c'est drôle !... On ne voit
que Son corps et pas Son visage! Là est le mystère,
n'est-ce pas? Bon, moi je ne veux pas parler davantage
de mystères, parce que, voilà comment vous êtes,
rempli de mystères.
Ah, ah 1 Ce Cœur, à qui est-il? Ah, ah, ah, mais c'est
celui de Ton Fils! Celui de Jésus? Permets que je Le
touche. Ah, mais il a aussi des épines! Voilà comme
nous sommes bons! Hein? Ton Cœur a des épines et celui
de Ton Fils aussi. Puis-je en toucher une ? Eh bien,
laisse-moi lui toucher seulement un pied... Comme Tu
es froid 1 Eh bien, où es-Tu par là ? Ah, quel froid 1
Allons, allons, où serez-vous?
Maintenant je baise Ton pied, seulement le pouce,
seulement... Ah, comme Tu es grand, ah ! il n'y a rien
d'aussi grand que ce qui vous appartient, hein? Mais
ce que Tu dois faire c'est nous enlever immédiatement
d'ici, parce qu'un autre jour et un autre jour... ; en
outre De ne suis] ni en haut ni en bas. Où suis-je?
Enlève-moi tout de suite de ce lieu et monte-moi
là-haut! Ah, ah, je ne veux pas par- tir d'ici, non!
Ah, même si... (Mot incompréhensible) personne, je ne
veux pas m'en aller! Ah..., non, je ne veux pas! Parce
que Toi Tu ne sais pas ce qu'il y a là en bas, hein?
Ah... 1 Comme leur esprit est mal tourné... !
Vrajment? Ah! Mais ne dis pas leurs noms parce que moi
aussi je le connais. Hein? Quelle malice, n'est-ce
pas? Mais Toi tu sais tout. Eh bien moi je ne veux pas
descendre là en bas. Ah, ah ! Je ne veux pas, ah... !
Je veux rester ici, laisse-moi ici, encore un petit
moment, ah ! A qui la faute si nous sommes là en bas?
Dis, alors que nous pourrions être si bien ici. .. !
La Sainte Vierge: Combien se moquent Ma fille, mais,
pauvres âmes! AmpatO-i Mais il y en a qui ne se moquent pas et ils
ajment que Tu leur dises des choses. Ah !
La Sainte Vierge: Bienheureux les yeux qui voient et
les oreilles qui entendent. Amparo: Ah, ah, ne m'abandonne pas! Ah, ne m'envoie
pas en bas... une autre fois 1 Ah! Ah! Tu ne sais pas
quelle lutte) Et quand gagnerai-je ma demeure, parce
que çà suffit, hein ?
La Sainte Vierge: Je t'ai dit que Je te façonnais. il
y a encore à
faire. Amparo: Eh bien, combien d'années [faut-il] pour me
1façonner! Laisse-moi comme je suis et monte moi tout
en haut, je ne veux pas que tu achèves de me
nodeler.
La Sainte Vierge: Pense Ma fille, que ni chair ni
péché n'en-
trera au ciel, Ma fille. Amparo: Eh bien, dans ces conditions, moi aussi j'ai
com- mis péché sur péché! N'est-ce pas? Ah, eh bien,
c'est que... Pourquoi ne sommes-nous pas d'une autre
façon? Ah, bon puisque Tu ne veux pas que je sois avec
Toi, alors donne-moi la force, donne-moi la force
ainsi qu'à tous ceux qui suivent cela; parce que
souvent, que d'histoires! Hein? C'est Toi qui dois le
faire, parce que bien sûr, Toi Tu es Mère.
La Sainte Vierge: On ne peut pas parler de Dieu et
être con-
tre Dieu. Amparo: Ah ! Qui est contre Dieu? Alors Toi touche
les un peu, n'est-ce pas? Ah! Avec ta grâce; mais
connais-Tu la rai- son? Parce qu'ils ne font ni
pénitence ni sacrifice. S'ils faisaient pénitence, tu
ve*rais comme ils ne s'occuperaient que de cela.
Ah comme Tu es grande! Bénis nous avec ce Cœur qui est
Tien, avec la Croix que Tu fais.
La Sainte Vierge: Je vous bénis, comme le Père vous
bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint
Esprit. Amparo: Ah ! Comme il Te sied bien de faire cette
Croix, hein? Bénis-nous maintenant avec la Croix que
Tu voudras.
La Sainte Vierge: Moi, comme Mère de l'Eglise, Je vous
ferai la Croix de l'Eglise. Amparo: Ah ! Eh bien, en voilà un plan, hein? Et Ton
Fils aussi est d'Eglise.
La Sainte Vierge: Je vous bénis, Mes enfants, comme le
Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec
le Saint Esprit.
Adieu, Mes enfants, adieu.
23 juin 1984
La Sainte Vierge: Mes enfants, Je commence par vous
dire .
Pénitence! Et Je terminerai en vous disant: Pénitence.
Dans toutes Mes manifestations, Mes enfants, c'est...
(Elle poursuit dans une langue inconnue). Voilà Mon
premier mot: Pénitence, Mes enfants. Pour suivre le
Christ, il ne faut pas rejeter la croix; il faut la
porter et Le suivre; il ne faut pas la fouler aux
pieds, ni l'outrager. Quand Dieu vous envoie une
épreuve, Mes enfants, il faut l'accepter avec
humilité; car grâce à cette épreuve, si vous la portez
avec humilité,
~, Mes enfants, vous pourrez parvenir au Royaume des
Cieux. Suivez le Christ sur le chemin de l'Evangile.
Ce n'est pas facile de suivre le Christ, Mes enfants,
car cela signifie suivre le chemin de la souffrance et
de la pénitence.
Vois Ma fille, vois tous ces bons martyrs du Christ.
Regarde-les, il n'yen a
pr eu un deux ou trois: ils
ont été des centaines à mourir pour le Christ.
Tous ceux là furent martyrs pour défendre le Christ.
Ne soyez pas lâches; lorsque l'heure de la dure
épreuve sonnera, n'allez pas renier la doctrine du
Christ et le nom du Christ. Mourez pour le Christ,
s'il le faut, on meurt pour le Christ!
L~ n est mort pour vous et n était innocent; quant à
vous, si vous mourez pour le Christ, vous êtes des
pécheurs, Mes enfants; mais vous parviendrez à Son
Royaume. Tous ceux qui meurent pour Lui, auront leur
grande récompense: Dieu donne le centuple à chaque
personne qui suit le Christ, Mes enfants. Suivez le
chemin de l'Evangile ;
répàndez-le partout dans le
monde, dans tous les coins de la Terre. Suivre le
Christ, ce n'est pas seulement parler du Christ; c'est
l'imiter en pauvreté, chasteté et humilité. Alors
qu'on
était en train de Le crucifier et de Le souffleter, Il
restait impassible. Insulter... pour les autres, Mes
enfants; Il n'insultait personne et Il acceptait avec
humilité toutes ces... (Elle parle dans une langue
inconnue). Je t'ai déjà dit une fois, Ma fille, ceux
là même qui crucifiaient le Christ... (
Amparo
continue de pleurer alors qu'elle
transmet le message. On entend quelques paroles
incompréhensibles).
C'est pourquoi Je vous demande, Mes enfants: soyez
humbles, Je vous demande l'humilité. Avec l'humilité,
vous pourrez tout obtenir. Le Christ n'a pas rendu les
soufflets, Ma fille; Il a demandé à Son Père de leur
pardonner, parce qu'ils ne savaient pas ce qu'ils
faisaient. Quand Il ouvrait sa bouche, on Lui crachait
dessus, Ma fille; comme Il les regardait
charitablement! Tu as vu des scènes de la Passion du
Christ. Quand tu penses au Christ et ce qu'il a
souffert sur la Croix, tu n'es pas capable, Ma fille,
de commettre une faute. Pensez au Christ Jésus, pensez
au Christ sur la Croix, vous verrez que vous n'aurez
pas le temps de vous occuper des affaires de ce monde,
Mes enfants.
Comment le Christ mourait sur la Croix pour ceux-là
même qui le crucifiaient! Avec quel amour Il les
regardait; Il aurait eu des motifs de les rejeter,
parce qu'Il a eu le Cœur.. .Sa bouche se desséchait et
'f'On Coeur se brisait de douleur, en voyant qu'Il
était en train de ~ourir pour l'Humanité et que
l'Humanité n'allait pas vouloir se sauver. Tout l~
monde ne va pas se sauver, Mes enfants ; celui qui
observera les commandements de la loi de Dieu, se
sauvera.
Répandez l'Evangile, le Saint
Evangile dans tous les
coins de la terre. Ne soyez pas lâches. Il y a
longtemps que Je vous le dis, essayez, Mes enfants:
les disciples du Christ, allaient de bourgade en
bourgade; là où on les repoussait, ils continuaient à
avancer, ils se-couaient la poussière et ne
regardaient pas en arrière; ils allaient de l'avant en
proclamant partout l'Evangile.
Toi, Ma fille, sois humble; tu sais bien que sans
humilité on ne peut parvenir au Ciel. Baise le sol, Ma
fille, en réparation de tous les péchés du monde..
.Pour tous les péchés du monde, Ma fille. Cet acte~
d'humilité sert pour la réparation des âmes. Combien
d'âmes, Ma fille, désirent qu'on leur parle de leur
Mère, de leur Mère Céleste, parce que personne ne leur
en parle! Voilà pourquoi Je vous dis, Mes enfants, le
besoin est grand dans le monde, partout aux quatre
coins de la Terre, parce que l'ennemi est en son
centre pour voir où il peut rafler le maximum d'âmes.
C'est pourquoi Je vous demande dès aujourd'hui de
parler du Christ et d'annoncer l'Evangile et la
doctrine que le Christ a donnée à Ses disciples.
Ne laissez plus l'ennemi s'emparer des âmes, car il
est en train d'en marquer un très grand nombre.
Ne cessez ni une seconde d'annoncer l'Evangile. Parlez
du
Christ Mes enfants, mais imitez-Le aussi. Si vous avez
deux tuniques, Je vous l'ai dit une fois, gardez-en
une et donnez l'autre aux nécessiteux. A quoi sert-il
à l'homme de posséder toutes les richesses du monde,
s'il perd son âme en un ,in~t? Ne soyez pas attachés
aux choses de la Terre, Mes enfants, seul Dieu peut
vous sauver, et si vous suivez Son chemin, n ne vous
décevra pas, Mes enfants.
Priez pour les âmes consacrées, Mon cœur les aime tant
! Mais combien répondent à cet amour, Mes enfants?
Priez pour qu'en elles aussi... (Elle s'exprime dans
une langue inconnue).
Baise à nouveau le sol pour les âmes consacrées...,
pour les âmes consacrées; Mon cœur les aime tant...,
et comme certaines répondent mal à cet
aJnour.
Je termine en vous demandant la pénitence, Mes
enfants, Pénitence. Dans tous les lieux où Je me suis
manifestée, J'ai
den;landé la pénitence et le
sacrifice. Voilà pourquoi Je vous dis qu'avec la
pénitence et le sacrifice, vous pouvez suivre le
Christ, parce que l'ennemi ne pourra vous vaincre. La
pénitence a un grand pouvoir pour que l'ennemi ne
puisse arracher votre âme, ,mes enfants. Amparo: Laisse-moi Te toucher un peu... Ah, quelle
grande chose je ressens dans ma poitrine! Ah, que Tu
es grande! Ah, que Tu es grande! Jusqu'à quand vas-Tu
me laisser ici? Je veux rester! Je ne veux pas
descendre plus bas! Ah, je Te demande jusqu'à quand.
La Sainte Vierge: Tu vas boire quelques gouttes du
calice de douleur. Amparo: Ah, oui, aussi?.. Ah, comme c'est amer, ah !
... Ah, comme c'est amer! Ah, comme il en reste peu...
!
La Sainte Vierge: Comme il en reste peu dans le calice
de ! douleur, Mes enfants. Soyez prêts; si vous êtes
prêts, vous ne devez
craindre personne. Lorsque le calice sera vide, ce
sera horrible. Ce sera horrible, Mes enfants! Voilà
pourquoi Je vous demande, comme Mère d'amour et de
miséricorde, que vous vous repentiez de vos péchés,
que vous confessiez vos fautes, et que vous vous
approchiez du Sacrement de l'Eucharistie.
Mais n'ayez pas peur, Mes enfants; si vous êtes avec
Dieu, qui pouvez-vous craindre? Je te dis la même
chose, Ma fille : n'aie pas peur de celui qui pourrait
tuer ton corps, crains celui qui peut tuer ton âme ou
la condamner pour l'éternité, Ma fille. Amparo: Non! Vais-je me condamner après
rnnt de
temps? Eh bien, si d'autres âmes se sauvent, Tu ne vas
pas permettre que je me condamne!
. .
La S~te
Vi.erg~ : Si Je te dis~~ ~ue tu étais sauvée,
ton orgueil, Vton orgueil aurait raison de l'humi1ite,
Ma fille. Amparo: Ah non, non je veux le savoir! Mais je te
promets que je n'aurai pas d'orgueil.
La Sainte Vierge: Je ne peux pas te le dire, Ma
fille.
Amparo: Ah çà alors!
./
La Sainte Vierge: Tu sais que suivre le Christ c'est
emprunter le chemin de la souffrance; prends la croix,
charge-la et suis-Le. Amparo: Voilà ce que je fais... Bien, au moins, Tu
nous donnes au moins un peu de courage. Nous pouvons
nous sauver, n'est-ce pas?
La Sainte Vierge: n est sûr que vous pouvez vous
sauver, Mes enfants; votre salut ou votre condamnation
dépend de vous.
- Amparo: Ah, quelle joie si Tu es avec nous tous les
jours, même si l'on ne Te voit pas; mais Tu nous
aides! Ah !
La Sainte Vierge: Mon Cœur Immaculé triomphera sur
toute
l'Humanité. ~ Amparo:
Ph bien, comment Ton Cœur va-t-il triompher?
Tu peux nous cacher à ton côté. Ah..., ma Mère, que Tu
es belle! Ah... quelle beauté! Ah, une chose si belle!
Ah, ah Vas-Tu bénir nos objets?
La Sainte Vierge: Levez tous les objets; ils seront
tous bénis... Amparo: Ah, quelle joie! Ah que Tu es bonne! Hein ?Je
crois que Tu ne vas pas permettre que nous nous
condamnions, parce que, si Tu es notre Mère... Tu ne
saurais le permettre, n'est- ce pas? Mais nous allons
faire pénitence et sacrifice; nous
Taiderons Toi et
Ton Fils, mais Toi Tu dois nous aider; et je Te
redemande d'intercéder auprès de Ton Fils, pour que
Ton Fils inter- cède auprès du Père et que le Père
nous accorde Son pardon à tous.
Ah... oui, nous nous souviendrons beaucoup du Père
Eternel ! La Sainte Vierge: n est oublié, Mes enfants,
le Père
Eternel est
oublié. Amparo: Eh bien, moi je ne l'ai pas oublié. Nous
devons tous nous souvenir du Père
Eternel, parce que
c'est Lui qui nous jugera. Ah, nous L'aimons tous.
Bénis-nous!
La Sainte Vierge: Je vous bénis, Mes enfants, comme Le
Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec
le Saint Esprit.
Adieu, Mes enfants. Adieu!
23 JUIN 1984
La Sainte Vierge: Mes enfants, Je commence par vous
dirè' : Pénitence! Et Je terminerai en vous disant:
Pénitence! Dans toutes Mes manifestations, Mes enfants
(Elle continue dans une langue inconnue). Voilà Mon
premier mot: Pénitence, Pénitence! Pour suivre le
Christ, il ne faut pas repousser la Croix; il faut la
( mettre sur ses épaules, Le suivre, et non la
piétiner et l'outrager.
1 Lors~~~ Dieu :ous envoie une épreuve, vous devez
l'accepter avec ~ \
humilite, car, Sl vous la
supportez humbltment, vous pourrez par-
venir au Royaume des Cieux. Suivez le Christ sur le
chemin de l'Evangile ; ce n'est pas facile, Mes
enfants, car Le suivre, c'est emprunter le chemin de
la
doul~ur et de la pénitence.
Vois, Ma fille, vois tous ces bons martyrs du Christ.
Regarde-les, il n'yen a pas eu un, deux, ou trois; ils
furent des centaines à mourir pour le Christ.
lis ont tous été martyrs pour défendre le Christ, Mes
enfants. Ne soyez pas lâches, afin que, lorsque
viendra la dure épreuve, vous n'alliez pas rejeter la
Doctrine du Christ et le Nom du Christ. S'il le faut:
mourir pour le Christ! On meurt pour le Christ!
U est mort pour vous et li était innocent. Vous, si
vous mourez
pour le Christ, vous êtes des pécheurs, Mes enfants;
mais vous parviendrez au Royaume du Christ. Tout homme
qui moura pour Lui, recevra sa grande récompense: Dieu
donne le centuple à
. chaque personne qui suit le Christ. Suivez le chemin
de l'Evangile ; annoncez-le dans toutes les parties du
monde, dans tous les coins de la Terre. Suivre le
Christ, ce n'est pas seulement parler du Christ; c'est
l'imiter en pauvreté, chasteté et humilité. Lorsqu'on
Le
cr~
,
fiait et Lui donnait des soufflets, n ne détournait
pas la tête. Insulter... c'est pour les autres, Mes
enfants; Lui n'insultait
person- ne, n subissait tous
ces outrages avec humilité... (Elle parle dans une
langue inconnue). Je t'ai déjà dit, en une occasion,
Ma fille, ceux- la mêmes qui crucifiaient le
Christ..., (
Amparo continue à pleurer tandis qu'elle
transmet le message. On entend quelques mots
incompréhensibles).
C'est pourquoi Je vous demande: soyez humbles, Je vous
demande l'humilité. Avec l'humilité vous parviendrez à
tout. Le Christ n'a pas rendu les soufflets, Ma fille.
n demanda à Son Père de leur pardonner parce qu'ils ne
savaient pas ce qu'ils faisaient. Quand n ouvrait la
bouche, on lui crachait dessus! Avec quels yeux
charitables n les regardait! Toi, tu as vu ces scènes
de la Passion du Christ. Quand tu penses au Christ, à
ce
qu'n, a souffert sur la Croix, tu es incapable, Ma
fille, de commettre une faute. Pensez au Christ Jésus,
pensez au Christ sur la Croix, vous verrez comme vous
n'au-
rez pas le temps de vous occuper des affaires du
monde, Mes enfants.
Comment mourait le Christ sur la Croix pour ceux-la
même~ qui Le crucifiaient. .. ! Avec quel amour n les
regardait... ! il ne les a repoussés à aucun moment,
or n aurait eu des raisons de les rejeter car Son
Cœur... et sa bouche se desséchait et son Cœur se
brisait de douleur en voyant qu~ mourait pour
l'Humanité et que l'Humanité n'allait pas vouloir se
sauver. Tout le monde ne se sauvera pas, Mes enfants;
ce sont ceux qui obéiront aux
comman-
dements de la
Loi de Dieu qui se sauveront.
Annoncez l'Evangile, le Saint
Evangile, dans tous les
coins de la terre. Ne soyez pas lâches. Je vous le dis
depuis longtemps: essayez, Mes enfants: les disciples
du Christ allaient de village en village; quand on les
chassait, ils allaient de l'avant, ils secouaient la
pous- sière et ne regardaient pas en arrière; ils
allaient de l'avant en annonçant partout l'Evangile.
Toi, Ma fille, sois humble. Tu le sais bien, sans
humilité on ne
peut aller au Ciel. Baise le sol, Ma fille, en
réparation de tous 1/
péchés du monde. .. Pour tous les péchés du monde.
Cet acte d'hu- milité sert de réparation pour les
âmes. Combien d'âmes, Ma fille, désirent qu'on leur
Pâr1e de leur Mère, de leur Mère céleste, car ils
n'ont personne qui leur en parle. Voilà pourquoi Je
dis qu'il y a grande nécessité partout dans le monde,
dans tous les coins du monde, dans les quatre angles
de la Terre, l'ennemi est dans ces quatre coins de la
terre, pour voir qui emportera le plus grand nom-
bre
[d'âmes]. C'est pourquoi Je vous demande, dès
aujourd'hui, de parler du Christ, d'annoncer
l'Evangile et la Doctrine que le Christ a donné à ses
disciples.
Ne laissez pas l'ennemi s'emparer davantage des âmes,
car le nombre des âmes qu'il est en train de marquer
de son sceau est très grand, Mes enfants.
N'attendez pas une seconde pour annoncer l'Evangile.
Parlez du Christ, Mes enfants, mais imitez Le aussi.
Si vous avez deux tuniques, Je vous l'ai déjà dit en
une autre
cir- constance, gardez en une et donnez
l'autre à celui qui en a besoin. A quoi sert-il à
l'homme de posséder toutes les richesses du monde si
en une seconde, il vient à perdre son âme ? Ne soyez
pas attachés aux biens de la Terre, Mes enfants; seul
Dieu peut vous sauver, et si vous suivez Son chemin,
il ne vous décevra pas, Mes enfants.
Priez pour les âmes
cdhsacrées. Mon Cœur les aime
tellement! Mais combien, combien répondent à cet
amour, Mes enfants? Priez aussi pour qu'elles (Elle
parle une langue inconnue). Baise à nouveau le sol
pour les âmes consacrées... Pour les âmes con-
sacrées. Mon Cœur les aime tant ! Et comme certaines
d'entre elles répondent mal à cet amour !
Pénitence: Je termine en vous demandant la Pénitence,
Mes enfants. Dans tous les lieux où Je Me suis
manifestée, J'ai demandé la Pénitence et le Sacrifice;
avec la Pénitence et le Sacrifice, vous pourrez suivre
le Christ, Mes enfants, et l'ennemi ne pourra rien
, contre vous. La pénitence a beaucoup de pouvoir pour
que l'enne- mi ne perde pas votre âme, Mes enfants.
Amparo: Laisse-moi Te toucher un peu. Ah ! Quelle
grande chose je ressens dans mon cœur! Ah! Que Tu es
grande 1... Que Tu es grande!... :J:\!squ'à quand,
jusqu'à quand vas-Tu me lais-
ser ici ? .. Je veux rester.! Je ne veux plus
redescendre! Ah ! Je te
dis, jusqu'à quand?
La Sainte Vierge: Tu vas boire quelques gouttes du
c:ilice de douleur. Amparo: Ah! Oui, aussi? Ah, que c'est amer! Que c'est
amer! Qu'il en reste peu!
La Sainte Vierge: il en reste peu, Mes enfants. Soyez
prêts; si vous l'êtes, vous n'avez rien à craindre..
Lorsque le calice s'achèvera, Mes enfants, ce sera
horrible. Ce sera horrible, Mes enfants! C'est
pourquoi, en tant que Mère d'Amour et de Miséricorde,
Je vous demande de vous repentir de vos péchés, de
confesser vos fautes et de vous approcher du Sacrement
de l'Eucharistie.
Mais n'ayez pas peur, Mes enfants. Si vous êtes avec
Dieu, qui pouvez-vous craindre ?Je te dis la même
chose à toi, Ma fille : ne crains pas celui qui peut
tuer ton corps, mais crains celui qui peut tuer ton
âme et la condamner pour l'éternité, Ma fille. Amparo: Mère,
jé vais me condamner après tant de
temps ? Eh bien, si d'autres âmes se sauvent, Tu ne
vas pas permettre que \je me condamne 1
-.
La Sainte Vierge: Si Je te disais que tu es sauvée,
ton orgueil, . ton orgueil l'emporterait sur ton
humilité, Ma fille. Amparo: Ah ! Non, non, mais je veux le savoir! Mais
je Te promets de ne pas être orgueilleuse.
La Sainte Vierge: Je ne peux pas te le dire, Ma
fille.
Amparo: Eh bien, tant pis!
La Sainte Vierge: Tu sais bien que suivre le Christ,
c'est sur le
. '"
chemin de la douleur: prends la croix, charge-la sur
ton épaule et suis-Le. \
1 Amparo: Oui, c'est ce que je fais... Bon, au moins,
au moins Tu nous donnes un petit peu de courage. Nous
pouvons nous sauver, n'est-ce pas?
La Sainte Vierge: Bien sût, vous pouvez vous sauver,
Mes enfants; votre salut et votre condamnation
dépendent de vous. Amparo: Ah 1 Quelle joie si Tu es avec nous tous les
jours, même si nous ne Te voyons pas; mais Tu nous
viens en aide 1
La Sainte Vierge: Mon Cœur Immaculé triomphera sur
toute l'Humanité. Amparo: Mais comment Ton Cœur va-t-il triompher? Tu
peux bien nous cacher à côté de Toi. Ah 1 Ma Mère, que
Tu es belle ! Quelle beauté 1... Ah ! Quoi de plus
beau! Ah!
Vas-Tu nous bénir les objets?
La Sainte Vierge: Levez tous les objets; ils seront
tous bénits. Amparo: Ah 1 Quelle joie 1 Que Tu es bonne 1 Je crois
que Tu ne vas pas permettre que nous soyons damnés,
car Toi, Tu es Notre Mère... Tu ne vas pas le
permettre, Ah 1 Non! Mais nous les
l ferons: les sacrifices et la prière. Nous
T'aiderons, Toi et Ton Fils, 1mais Tu dois nous venir
en aide; je Te le dis à nouveau: intercède auprès de
Ton fils, afin que Ton Fils le demande au Père et que
le
1 Père nous pardonne tous.
Ah ! oui, nous allons beaucoup nous souvenir du Père
Eternd !. . .
, La Sainte Vierge: il est oublié, Mes enfants, le
Père
Eternel est
oublié.
,
Amparo: Mais moi je ne L'oublie pas. Tous nous
devons nous souvenir du Père
Eternel, car c'est Lui
qui nous jugera. Mais nous L'aimons tous. Ah,
bénis-nous !
La Sainte Vierge: Je vous bénis, Mes enfants, comme le
Père vous bénit, par l'intermé~e du Fils et avec le
Saint Esprit. Au revoir, Mes enfants, Au revoir !
7 juillet 1984
La Sainte Vierge: Que personne, Ma fille, ne t'enlève
la paix; f ~O personne. Pense que ton chemin est
court; mais durant ce court \
trajet qu'il te reste à parcourir, tu dois aider au
salut de beaucoup 0' d'âmes. Les mondains te haïssent,
Ma fille, parce que tu n'es pas du monde. ils
haïssaient Mon Fils parce qu'il annonçait la Doctrine
du Christ. Ils te haïssent, Ma fille, parce qu'ils
mènent le monde et s'introduisent dans les plaisirs du
monde pour en profiter.
ils pensent aussi que tu ne peux pas avoir été choisie
par le Christ. Si le Christ t'a choisie parmi eux, ce
n'est pas pour ta sainteté ou ta bonté, Ma fille ;
mais parce que tu étais une grande pécheresse, car les
grands saints furent de grands pécheurs, Ma fille. ils
te persécutent, Ma fille parce que les choses du
Christ déplaisent beaucoup à l'Humanité.
Tu dois 'être humble, Ma fille, et accepter tout ce
que Je t'enver- rai. Heureux ceux qui sont calomniés
au nom du Christ, Ma fille. On aura beau te calomnier
et te traiter de sorcière, toi, tu dois garder le
silence, Ma fille. Toi qui as vu la Passion du Christ
pas à pas, à aucun moment tu n'as vu le Christ
desserrer ses lèvres pour protester; il a seulement
ouvert sa bouche pour demander au Père
Eternel de leur
pardonner. Heureux ceux qui seront calomniés à cause
de Nos Noms car ils entreront dans le Royaume des
Cieux. Pense que Mon Fils a été calomnié et le
serviteur n'est pas au- dessus du maître. C'est avec
le sacrifice et l'humilité que tu vaincras l'Ennemi.
L'Ennemi veut t'enlever la Paix afin de détruire
l'Oeuvre de Dieu. Prie, Ma fille, prie... (mots dans
une langue étrange) car là est ton épreuve, dans ta
propre. . " (de nouveau, on entend une langue
étrange) .
Tu sais combien il est méritoire d'aimer ses ennemis,
Ma fille, mais que personne ne s'interpose sur ton
chemin, t'empêchant de sauver une âme. Va de l'avant,
Ma fille, va de l'avant avec la Croix. La Croix du
Christ est très pesante; mais c'est l'unique manière
de pouvoir parvenir à la Gloire. Celui qui prend la
Croix et suit le Christ, peut atteindre la Gloire. Et
bienheureux ceux qui sont calomniés car ils gagnent un
degré supplémentaire dans leur marche vers le ciel.
Combien, combien parmi ceux qui sont ici présents,
n'ont pas récité un seul Ave Maria au cours de leur
vie, Ma fille ! Prie pour eux ; prie pour qu'ils se
convertissent. Qu'ils pensent qu'ils ont une âme et
que leur corps ne servira pas même de fumier. Et toi,
Ma fille, avec le silence... le silence est très
grand; -- c'est une grande vertu que de pouvoir se
taire quand on te
calnie. ils traitaient Mon Fils de
"possédé du démon ", de " vagabond ",
parce qu'il allait de village en village annoncer
l'Evangile. Les hommes sont cruels, Ma fille ; ils se
disent humains, mais ils le sont très peu, Ma fille.
Baise le sol, Ma fille, en réparation de tous les
péchés du monde. .. Pour tous les pécheurs du monde,
Ma fille. Prie pour ces âmes qui repoussent Mes
grâces. Pauvres âmes! Elles pensent qu'il reste encore
beaucoup de temps; le temps approche et elles ne
changent pas. Je ne veux pas effrayer l'Humanité, Je
l'avertis seule- ment pour qu'elle se convertisse. Mes
enfants: sacrifice et pénitence. Tu vas baiser le sol
pour les âmes consacrées; mais auparavant, Ma fille,
tu vas boire quelques gouttes du calice de douleur...
C'est très amer, Ma fille. Voilà ce qu'il reste du
calice de douleur; il ne r~ste que quelques gouttes,
Ma fille. Soyez prêts, Mes enfants, car lorsque ce
calice sera vide, on se lèvera nation contre nation et
de grands châtiments fouetteront l'Humanité. Soyez sur
vos gardes, Mes enfants; ne croyez pas que votre Mère
veut vous faire peur ; Je vous avertis pour que vous
vous convertissiez, Mes enfants. Et Toi, Ma fille,
sois humble, car le chemin est court pour parvenir au
Ciel, si tu es forte pour pouvoir parcourir ce bout de
chemin. Amparo: Ah! si peu!
/
La Sainte Vierge: Vois comme on arrive toujours à la
fin, Ma fille! il ne te manque plus que cette
distance. Si tu la parcours, Ma fille, tu obtiendras
la gloire éternelle, pour toute 1'éternité ; de même
la damnation est éternelle.
Confessez vos fautes, Mes enfants; mettez-vous en
grâce avec
Dieu, car le temps approche et vos âmes sont en état
de péché. Toi, Ma fille, continue à faire pénitence et
sacrifices. (
Amparo gémit quelques instants). Ce sera
terrible, Ma fille ; des engins
ato- {miques tomberont
sur la terre. Prie beaucoup, Ma fille, pour que
beaucoup d'âmes se convertissent, afin qu'elles soient
à la droite du Père quand ce moment arrivera. Dieu est
miséricordieux et plein d'amour; mais pensez qu'il est
Juge et tous les juges annonceront leur sentence au
coupable. Mais ce Juge est très sévère. Toi, Ma fille,
prends la croix et suis le Christ, mais soigne ce
chemin qu'il te reste [à parcourir] ; il est court
mais rempli d'épines, Ma fille.
Vous tous qui jouissez des plaisirs du monde, Mes
enfants, ne croyez pas que vous allez réussir à monter
au Ciel pour jouir aussi de la Gloire. Pour parvenir
au ciel, il faut imiter le Christ et
obser- ver
1'Evangile, Ses Saints
Evangiles.
Que celui qui a deux tuniques, en donne une à son
frère, Mes enfants, car le Christ allait de village en
village sans avoir de tunique de rechange. . Amparo: Ah ! Ah ! Ah!... (Elle se plaint avec une
peine pro-
fonde. Mots incompréhensibles).
La Sainte Vierge: C'est ce tourment qu'éprouveront les
corps en ce jour si terrible. Amparo: Ah ! Mon Dieu, pardonne-leur, même s'ils
rient, mais ne les Les pauvres! Ma Mère, Toi qui es si
bonne, par- donne-leur à tous.
La Sainte Vierge: Tous ceux qui observeront les dix
Commandements de la Loi de Dieu, se sauveront, Ma
fille. Amparo: Ah ! Mais il y en a beaucoup qui ne les
connais- sent pas.
La Sainte Vierge: Je ne condamne pas les ignorants, Ma
fille, mais ceux qui Me connaissent et Me méprisent. Amparo: Pardonne-leur! Si Tu le veux, pendant le
temps qu'il me reste, je ferai tout; mais Toi,
pardonne à tous ceux qui sont ici aujourd'hui.
Donne-leur la grâce pour qu'ils se confessent.
La Sainte Vierge: Beaucoup repoussent Ma grâce, Ma
fille. Amparo: Mais, les pauvres !... (Mot
incompréhensible). Marque-les tous du sceau et, ainsi,
Tu leur donnes la grâce.
Allons! Marque du sceau ceux qui ne l'ont pas. Allons,
Ma Mère! Fais-le, Toi qui es si bonne, marque-les. Ah
! Voici l'Ange avec le sceau. Il va tous les
marquer... Ah !
La Sainte Vierge: Beaucoup sentiront le sceau sur leur
front. Amparo: Ah... ! Ah, quelle joie! Marque du sceau
celui qui est au milieu. Ah ! Ah, merci, Mère, merci!
Et celui qui ne voudra pas se sauver... ; mais Toi Tu
les as tous marqués du sceau. Ah, quelle joie! Ah. ..
! Je vais baiser le sol parce que je ressens une très
grande joie... Ah ! 11ère r Comme je suis heureuse!
Quand bien même ils ne voudraient pas recevoir Ta
grâce, ils sont
mar- qués.
Oh ! Merci! Ma Mère, merci! J'ai vu
aussi'ceux qui
sont der-
rière. Ah ! Quelle joie! Mère, aide-nous à
être bons. Car Toi Tu ne sais pas combien il est dur
d'être ici. Quand bien même on voudrait l'être, il est
impossible d'être bon! Ah, Mère! Permets-moi de te
toucher le pied. Oh ! Un peu seulement. Ah ! Merci,
merci, ma Mère. Quant à ceux qui se moquent, eh bien!
Pardonne-leur aussi. Je esatmetous. La Sainte Vierge:
Ma fille, le fait de parler du Christ. .. ; il Y a
beaucoup d'ennemis...
Amparo: Bon; mais peu m'importe. Moi, je les aime
tous. Ah ! Toi aussi...
Vas-Tu bénir les objets?...
La Sainte Vierge: Levez tous les objets... lis ont
tous été bénits.
, ~a fille : sois humble et Je te demande le silence.
Le silence est
ltres
lmportant. Amparo: Eh bien, je vais me taire pour tout. Ah !
Donne- nous la bénédiction.
La Sainte Vierge: Je vous bénis, Mes enfants, comme le
Père vous bénit par l'intermédiaire du Fils et avec le
Saint Esprit.
Au revoir, Mes enfants, au revoir...
8 juillet 1984
Amparo: (Une fois tombée en extase, elle récite
lentement le Rosaire jusqu'à ce qu'elle entame un
dialogue
afJec la Vierge).
Ah ! Tu aimes le " Sainte Marie ", le "Je vous salue
Marie". . .
A chaque mystère, on baisera le sol. Ah, quelle joie!
Ah ! Je vais te prier pour tous les gens. Ah ! On ne
dit pas" les gens". Comment dit-on?
,
La Sainte Vierge: Pour tous les hommes. Amparo: Eh bien, pour tous les hommes. Je vais Te
demander - car il reste bien peu de temps, de leur
pardonner. Mais vas-Tu, leur pardonner à tous? Ah !
Moi je Te le dis, mais personne n'est au courant. Si
Toi Tu le dis Mais moi je ne le dirai à
per- sonne...
Bon, si Tu leur pardonnes, mais qu'ils se
convertissent; parce que si Tu ne leur pardonnes pas,
ils vont continuer à pécher. Si Tu leur pardonnes,
c'est pour suivre le Christ. Hein? Ah! Si Tu es si
grande, ma Mère, imprime le sceau à ceux à qui Tu ne
l'as pas fait, parce que si c'est urgent, qu'ils
soient marqués du sceau, même s'ils ne croient pas;
ensuite... Tu leur donnes une lumière pour
/
qu'ils croient. Ah ! Je Te prie pour eux. Ah ! Voilà
le sceau?
Vas-Tu me marquer ?..
Ah ! Que Tu es grande! Que Tu es grande, Ma Mère! Et
qu'ils puissent se moquer de Toi.. .avec toutes les
grâces que Tu accordes. Moi je voudrais qu'ils se
convertissent tous... et qu'ils ne se moquent pas de
Toi. Ah ! Mais il y en a beaucoup, beaucoup qui n'en
veulent pas. Hein? Ah! Moi j'ai beaucoup de peine pour
leurs âmes.
La Sainte Vierge: Beaucoup d'hommes sont cruels et
méprisent la grâce divine du Christ. Amparo: Cependant, Toi, aide-les, car Tu le peux. Moi
je Te l'ai demandé tant de fois... Et je Te prie aussi
pour toute ma maison, pour tous mes enfants... Pour
tous. Ah ! Mère! Pour le " petit" aussi, Tu sais?
Quelle joie, d'avoir un chrétien de plus dans toute
l'Humanité. Car je Te promets que je le dirai à mes
enfants: qu'ils l'élèvent dans la sainte crainte de
Dieu, si moi je n'étais pas vivante. Mais je leur
dirai de l'élever, de croire en Toi et en Ton Fils.
Et, si Toi Tu me prends avant, tu me laisseras
intercéder pour eux, .n'est-ce pas? Pour tous. Parce
qu'il y en a un qui refuse. Le petit, c'est lui qui ne
veut pas savoir Moi, je T'offre ma vie pour lui.
Accorde-le moi, Ma Mère! Et qu'il se convertisse.
Il est bon, Tu sais? Mais il ne veut rien savoir de
Toi. .. Et il est très bon, je Te le demande, Ma Mère,
pour mes enfants, pour tous. Et si Tu me prends avant,
permets-moi de prier pour eux là où je me trouverai;
mais il faut que Tu me conduises à un bon endroit,
car, comme Tu dis que je ne sais pas encore si je suis
sauvée; emmène-moi là où je pourrai prier pour eux.
Pour tous! Pour tous ceux de ma maison, mais je Te
prie surtout pour celui-la. Tu sais bien l'âge qu'il
a, n'est-ce pas? Et Tu sais aussi de qui il s'agit:
Jésus, comme Ton Fils; il porte le même nom que Ton
Fils, mais il ne Lui ressemble en rien. Moi, je Te
donne ma vie pour que Tu le
conver- tisses. Je ne veux
pas qu'il se damne. Toi, qui es Mère, Tu le sais, ma
1. Mère; Tu le sais, Toi qui es Mère du Christ et qui
as beaucoup souffert pour Lui aussi; non point qu'il
fût mauvais, mais combien Tu as souffert pour Ton
Fils! Eh bien, je suis mère et je Te le demande. Fais
ce que Tu voudras de moi, mais lui, convertis-le.
Emmène-moi sans délai, si tu veux ma vie en échange de
la sienne. Ma Mère, je Te le demande! Moi je sais que
je suis une grande pécheresse; mais je veux Te donner
ma vie pour celle de mon fils. Accorde-moi ce que je
Te demande, Mère. Je ne veux pas qu'il se condamne.
Moi, je suis prête à être emportée par Toi, quand Tu
le voudras. Et si de là-haut où de là où Tu me
conduiras, je peux prier pour lui. . . Je laisse cette
affaire entre Tes mains, ma Mère; et Toi, qui es Mère,
exauce-moi.
J'avais tant de choses à Te demander, ma Mère! Mais je
T'en parlerai, lorsque nous serons seules, en
l'absence de ceux-là.
La Sainte Vierge: Ce sont des esprits célestes. Amparo: Alors Tu peux... Fais-le devant eux. Je ne Te
demande pas de me le promettre, parce que je suis très
orgueilleuse. Je Te demande de me promettre de
m'emmener en échange de la conversion de mon fils.
Promets-le moi. Je Te le demande aussi devant les
anges. Je ne sais si ces derniers pourront faire
quelque chose, mais je le leur demande à eux aussi
pour qu'ils intercèdent auprès de Ton Fils.
"
Ici, on est très bien ici. Ne crois pas que c'est
parce qu'on est bien, que je veux échanger ma vie
contre la conversion de mon fils ; ce n'est pas pour
cela; c'est parce que je veux qu'il soit bon... Tous
sont bons, tu sais? Mais ce pauvret... L'ennemi est si
mauvais... fi est en t;rain de se servir de lui pour
me faire souffrir. Et Tu ne sais pas combien je
souffre. Toi, Tu as souffert pour Ton Fils ; mais moi
je souffre beaucoup. Si Tu me le laisses pour
souffrir, que Ta Volonté soit faite; mais je ne veux
pas qu'il se damne. Ah ! Ma Mère! Pardonne-moi d'être
aussi égoïste. Que je suis orgueilleuse! Mais Tu dis
que lorsqu'une Mère est bonne, quand elle voit son
fils dans Je précipice, elle l'avertit pour ne pas
qu'il tombe; aussi je Te prie pour lui ; Mère qu'il ne
tombe pas dans le précipice. Je Te le
redis encore: je troque ma vie contre sa conversion.
Quand Tu voudras, je T'attends, ma Mère, pour que Tu
fasses l'échange.
La Sainte Vierge: Demande cela à Sainte Monique. Ce
qu'elle a souffert pour son fils ! Et c'est un grand
saint du Ciel. Un grand saint, Ma fille. Amparo: Mais moi, je ne suis pas Sainte Monique.
La Sainte Vierge: Elle pleura tellement pour son fils
que ses yeux s'enfoncèrent! Amparo: Moi aussi, je pleure beaucoup pour lui ;
cepen-
dant, rien! Il ne fait pas cas de mes pleurs.
Détache-le de ces ami-
tiés, ma Mère! Moi je Te prie
aussi pour les autres; mais je ne veux pas qu'il les
fréquente. Je Te prie aussi pour eux, les pauvres! Ma
Mère, que Tu es grande! Ah ! Quand pourrais-je
parvenir ici?
La Sainte Vierge: Je t'ai dit que ton chemin était
très court; mais ton parcours est rempli de ronces et
d'épines. Amparo: Bon, mais si Tu m'aides... c'est pour lui.
Prends- moi de suite. Ah ! Mère. Combien je T'aime, ma
Mère! Et Ton Fils aussi. Oh ! Je Vous ai connus très
tard. Je Vous aime tant "'.
La Sainte Vierge: Nous aussi, Nous t'aimons, Ma fille.
\
Réfugie-toi dans Nos C~urs ~uand la tristesse t'env~t;
car No~s, (Nous n'allons pas te
decevolt, Ma fille.
Tous les etres
huma.tns déçoivent; mais Nous, Nous ne
décevrons pas. Amparo: Ah ! Moi non plus, je ne veux pas Te décevoir
non plus. Aide-moi. Et en outre, je Te demande aussi
pourquoi Tu viens tant de fois et pourquoi Tu descends
sur terre?
La Sainte Vierge: Parce que Je veux sauver les âmes,
Ma fille ; mais les âmes ne veulent pas se sauver. Amparo: Bien, alors entre Toi, moi et Ton Fils, nous
allons les sauver, n'est-ce pas vrai? Nous allons en
sauver beau
coup. Donne-moi plus, plus de sacrifices et je Te
promets de T'aider à les sauver, bien qu'il y en a
beaucoup qui croient que vous n'existez pas; mais,
Toi, Tu dois les aider.
Oh, ma Mère. Mon Cœur... Ah ! Ce qu'il ressent. Ah !
Donne- moi ton pied à baiser; le doigt seulement. ..
Ah ! Ma Mère, Ah ! Tu les as tous marqués du sceau,
n'est-ce pas? Ah! Merci, merci, Ma
, Mère! Tu ne sais pas combien je T'aime. Tu m'envoies
en bas. Là-
bas, il n'y a que souffrance. Tu ne sais pas ce qu'il
y a là, en bas.
La Sainte Vierge: La sanctification, Ma fille. C'est
avec les (hommes que l'on se sanctifie. Amparo: Bien, comme Tu voudras. Ah ! Ma Mère. Bon,
aujourd'hui Tu vas nous bénir. Comme Tu es vite
arrivée. Ah, Mère !
La Sainte Vierge: Je vous bénis, Mes enfants, comme le
Père :~ ' vous bénit, par l'intermédiaire du Fils, et
avec le Saint Esprit.
Au revoir, Mes enfants, au revoir.
14 juillet 1984
La Sainte Vierge: Mon message sera très bref, Ma
fille. Je t'ai dit que les messages allaient prendre
fin, parce que J'ai tout dit :
f Sacrifice et pénitence, Mes e~fants, avec l'humilité
et la charité. Aimez votre prochain. Si vous n'aimez
pas vos semblables, ne
J dites pas que vous aimez Dieu. Les ~ommandements que
Dieu a institués se résumaient en un seul, Ma fille :
Il Tu aimeras Dieu de
tout ton cœur et ton prochain comme toi-même ". Tout
homme qui observera ces Commandements, aura la gloire
éternelle, Mes enfants.
Mes Messages prennent fin mais Mes Apparitions... ne
s'achèveront pas, Mes enfants, jusqu'à ce que l'on
exécute ce que Je demande: Je demande, Mes enfants -
Je vous l'ai dit maintes fois - qu'en ce lieu on élève
une Chapelle en
rhonneur de Mon Nom. Que l'on y vienne
de toutes les parties du monde pour méditer la
Passion du Christ qui est oubliée, Mes enfants.
Je demande aussi que l'on dresse un Tabernacle où se
trouveront 1les Saintes Espèces jour et nuit afin que
vous puissiez t~
com-
pagnie au Christ, Mes enfants.
Combien de fois ai-Je demandé que l'on édifie cette
Chapelle, . Mes enfants!
Autrefois Je Me suis manifestée en ce lieu et Mes
Messages n'ont pas été écoutés, Ma fille. Tu le sais
ce lieu est sacré depuis des
années. . .. mais (Elle parle une langue étrange). Amparo: Pourquoi ne l'a t-on pas laissée ici? Où
l'a-t-on
placée? (Elle semble recevoir une brève réponse dans
une langue étrange).
Ah ! Mais moi, je ne puis le dire Appartient-elle à ce
lieu? Sous un autre vocable?
La Sainte Vierge: Ce fut sous ce même vocable, Ma
fille, mais ils ont ajouté l'autre. C'est la même
chose" LA VIERGE DE LA
GRACE que LA VIERGE DES
DOULEURS" Ma fille. La même chose ! Quel que soit le
vocable, il n'yen a qu'un seul: LA VIERGE MARIE, MERE
DE DIEU. Faites des sacrifices, Mes enfants, et faites
pénitence.
Mes enfants, beaucoup de ceux qui sont ici présents
n'ont pas encore voulu recevoir la grâce divine, la
grâce de Dieu. Amparo: Je les ai vus. (Elle se
réjère à ses
"bourreaux"). Je sais d'où ils sont.
La Sainte Vierge: Toi, Ma fille, persévère dans la
pénitence et le sacrifice et offre-les pour tes
ennemis... (
Amparo sanglote). N'aie aucun ennemi, Ma
fille, fût-il ton bourreau. Mais n'aie pas d'ennemis.
Vois leur peu de délicatesse en se présentant en ce
lieu! Mais, pardonne-leur, Ma fille et prie pour eux.
Les pauvres, Mes
enfants! lis ont si grand besoin de grâce et de
pénitence Comme ils sont rusés, Ma fille !
Quand ils vivent avec une telle méchanceté, Mes
enfants, c'est '-
comme le coupable que l'on cherche pour le conduire à
la mort:
.
il va se cacher dans les buissons pour ne pas être
découvert, Ma fille. Voilà ce qui se passe en ce
moment. Pardonne-leur, Ma fille. Pardonne à tes
ennemis comme le Christ a pardonné aux Siens sur
'1
lIa Croix. Ses Paroles furent: " Mon Père,
pardonne-leur, car ils ne
~ savent pas ce qu'ils font. " Oui, ils le savaient,
Ma fille, mais le
Christ demandait pardon pour eux. Je te demande
l'humilité, Ma fille, humilité et sacrifice.
71. Mais tu ne dois pas désirer tuer ton corps. Je
veux des corps
SaInS; Je ne veux pas de corps malades
pour Mon Œuvre, Ma fille.
Baise le sol en réparation de tous les péchés du
monde. Je te demande de le faire chaque jour pour tes
ennemis, Ma fille. Je te
.11 demande aussi... (Elle parle de nouveau dans une
langue Inconnue). .. (
1Mes Messages prennent fin, Ma fille. Je peux te dire
que ce sont . les derniers, Ma fille ; mais, pénitence
et sacrifice; Je serai présente
en ce lieu jusqu'à la fin... Que l'on fasse ce que
j'ai demandé... Voilà pourquoi Je vous
répète à nouveau, Mes enfants: Allez partout! Allez
voir l'Evêque 1
et demandez-lui la Chapelle, demandez-la lui, Mes
enfants! .1 N'attendez pas davantage! Dites-lui que
Votre Mère demande une
CHAPEILE pour prier, qu'Elle ne
vous demande pas d'être des voleurs ou des criminels,
m~s d'être sacrifiés pour le Christ, Mes enfants; que
vous vous sacrifiez pour Lui, comme Lui s'est sacrifié
pour vous. Quelles tristes âmes, Ma fille, ces âmes
qui ne veulent pas recevoir la lumière divine de Dieu!
Le châtiment qui approche, Ma fille. . " Moi Je ne
veux pas vous effrayer, Mes enfants. Je viens
seulemc;nt vous avertir.
Vous savez bien que J'ai mesuré le terrain. Je veux,
Ma fille, que l'on place le Tabernacle du côté du
couchant. Amparo: Que signifie" le couchant ", je ne sais ce
que cela veut dire.
La Sainte Vierge: Mon message est écrit, Ma fille ; et
ce qui
est écrit, est écrit. JE
VEUX LA CHAPELLE, Mes
enfants, LA CHAPELLE POUR LA MEDITAll0N. UNISSEZ-VOUS
TOUS. Allez demander ce que Votre Mère réclame.
Amparo: Moi... je ne peux pas, seule je n'ai pas pu.
Comment faut-il faire?
La Sainte Vierge: Y aller directement. Je te l'ai déjà
dit bien des fois. Amparo: Bien des fois?... Oui... quatre fois.
La Sainte Vierge: Souvent, Ma fille. n y a des années
déjà, que Je te demande d'aller parler à l'Evêque. Amparo: Et comment vais-je y aller, s'il ne veut pas
me recevoir? Voyons, comment irai-je?
La Sainte Vierge: n y a beaucoup de personnes qui
peuvent jouer les médiateurs, Ma fille. Mais qu'elles
n'aient crainte, qu'elles soient courageuses et
fassent ce que demande votre Mère, Mes enfants. Et que
le Saint Sacrement soit exposé jour et nuit pour ceux
qui voudront venir prier en ce lieu. Mais que le
Christ ne soit jamais seul, Ma fille. Le Pauvre! Vous
assistez à la Messe, Mes enfants, vous vous en allez
et n demeure triste et seul, au milieu de ces pierres
froides, à attendre que vous veniez Le visiter.
.. Amparo: Toi, aide-moi! Que pouvons-nous faire?
Voyons, ce qu'ils disent.
La Sainte Vierge: Ah ! Je t'ai déjà dit qu'il y a des
personnes qui peuvent agir. Par leur intermédiaire, Ma
fille, demande une
Ch~pelle. Je ne demande p~~ un~
salle de
fê~es, ni ~e dis~othèque, LI
.
malS une CHAPELLE. Si J'avals demande une
discotheque, elle serait déjà en place, Ma fille!
Mais, comme c'est une Chapelle, vois comme il en
coûte, Ma fille !
Ma fille, tu continueras à voir Ma Présence. Quant à
Mes
Messages, Je les ai déjà donnés. ns s'accompliront du
premier jusqu'au dernier.
Maintenant Je vous donne un conseil, Mes enfants:
approchez- vous du Sacrement de l'Eucharistie.
Confessez vos péchés et met-
tez-vous en grâce avec
Dieu. Aimez votre prochain, car si vous n'aimez pas le
prochain, vous n'aimez pas Dieu. Que l'on vienne du
monde entier réciter le Saint Rosaire. Combien seront
bénits et il y en a beaucoup qui seront marqués du
sceau, Ma fille ! Amparo: Mais ne T'en vas pas en me laissant ainsi
seule. Je veux que Tu viennes, que Tu viennes plus
souvent.
La Sainte Vierge: Tes yeux ne cesseront de voir Ma
Présence. Amparo: Ah ! Voilà ce que je veux: que Tu viennes.
Ainsi Tu me donneras des forces pour persévérer car Tu
sais bien où j'en
sws.
La Sainte Vierge: Oui, Ma fille ; l'Humanité est
cruelle. Amparo: On se moque de moi, on me traite de sorcière
et c'est le démon, dit-on.
La Sainte Vierge: Je t'ai déjà dit que le démon
détruisait et ne (construisait pas, Ma fille. Sais-tu
où il se niche, Ma fille ? Dans les
discothèques... les salles de fêtes... Que d'argent
l'on gaspille dans ces salles, alors qu'il y en a tant
qui en ont un si grand besoin, Ma . fille ! lis
devront rendre compte à Dieu de tout ce gaspillage, Ma
fille. Mais bienheureux celui 'qui, ayant acquis des
richesses, les dis- .
tribue aux pauvres, car le
Royaume des Cieux leur appartient égale- 1ment!
II
appartient non seulement aux pauvres, mais aussi aux
ri-
ches qui acquièrent des richesses et les partagent
avec les pauvres. Baise le sol une fois de plus, Ma
fille, pour les âmes consacrées... La dernière chose
que Je vous demande, Mes enfants, c'est le 1
sacrifice et la pénitence. Sans sacrifice, vous ne
vous sauverez pas. Suivez le Christ. Quand
II
parcourait la Terre,
II ne portait qu'une paire de
sandales et une tunique, sans en avoir de rechange,
Mes enfants. Imitez le Christ. Imitez l'humilité,
l'humilité de Votre Mère, Mes enfants. L'humilité..
.la charité Car Moi Je suis demeurée
seule sur Terre bien des années pour vous enseigner et
témoigner de l'Eglise. Voilà pourquoi Je suis la :MERE
DE L'EGliSE" Le sacrifice avec la prière, Mes enfants!
Je vais bénir les objets, Mes enfants. Une autre grâce
supplémentaire pour que vous ne disiez pas que Votre
Mère ne répand pas des grâces sur vous. Levez tous les
objets. ils ont tous été bénits, Mes enfants.
Je vais vous bénir, Mes enfants; cette bénédiction, Je
vous la donnerai de temps à autre, même s'il n'y a pas
de Message; mais votre Mère continuera à vous bénir,
Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Au revoir,Mes enfants. Au revoir !
15 juillet 1984
La Sainte Vierge: Mes enfants, Je vous bénis comme le
Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils... le
Père, le Fils et le Saint Esprit.
Prie ma fille, pour ceux qui ne prient jamais et qui
n'ont personne qui prie pour eux.
PENITENCE ET SACRIFICE.
Baise le sol, Ma fille, en réparation de tous les
péchés du monde... Cet acte d'humilité sert pour la
conversion des âmes, Ma fille.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir !
16 juillet 1984
La Sainte Vierge: Mes enfants, SACRIFICE ET
PENITENCE.
Amparo: Aïe, Aïe. .. (Elle gémit quelques
instants). Cà me
brûl
La Sainte Vierge: Voyez le~âmes qui sortent [du
Purgatoire] !
pour jouir des demeures célestes, grâce à votre
sacrifice et à votre pénitence. . .
Mon Image est réfléchie dans le Soleil. Regardez ces
couleurs si merveilleuses, Mes enfants: bleu, rose,
jaune... (On entend un mur- mure dans /' assistance).
Quelle merveille, Mes enfants! Dites ce que vous
voyez! Ne soyez pas des pharisiens. Amparo: Ah ! Ah ! Ah ! Marie... !
La Sainte Vierge: Baise le sol... Quel rose
merveilleux, Mes enfants!
Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir !
21 juillet 1984
La Sainte Vierge: Je viens seulement vous répéter, Mes
enfants: SACRIFICE, SACRIFICE ET
PRIERE.
Je vais vous donner Ma sainte bénédiction.
Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir !
22 juillet 1984
La Sainte Vierge: Sacrifice, Mes enfants, sacrifice et
pénitence. Je vous le répète, jour après jour.
Je vais vous donner Ma sainte bénédiction: Je vous
bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit par
l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir.
29 juillet 1984
La Sainte Vierge: Ma fille, aujourd'hui Je vais te
dire une parole de plus que celle que Je t'adresse le
Samedi: Moi, Je Me manifeste toutes les fois que Je
veux, quand Je veux et personne, aucun être humain, ne
peut dire quand, où, et comment Je peux Me manifester. Amparo: (Mots incompréhensibles à cause de ses
/armes). . ... tous
les jours! Ah !
La Sainte Vierge: Comme disait cette grande Sainte, Ma
fille, cette grande Sainte que fut Sainte Thérèse:
"Que rien ne te trou-
ble, que rien ne t'effraie", Ma
fille.
Je vais donner Ma sainte bénédiction à tous ceux qui
sont ici présents: Je vous bénis, Mes enfants, comme
le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et
avec le Saint Esprit.
N:ai~ peur de personne, Ma fille,
person.ne ne ~eut
tuer ton âme. 1 Je t'al dit qu'on pourra tuer ton
corps,
malS ton ame, personne ne le pourra et ce
message est pour toi seule, pour toi, Ma fille. Amparo: Toi, aide-moi, aide-moi, seule je ne peux
pas, aide-moi.
La Sainte Vierge : J~ te l'ai déjà dit, Ma fille : en
d'autres lieux, on a fait disparaître Mon Nom; mais en
ce lieu, on ne Le fera pas disparaître. Si Je ne Me
manifeste pas à l'intérieur, Je Me
mani-
festerai à
l'extérieur, et Je ne cesserai de Me manifester
jusqu'à ce que l'on exécute ce que Je t'ai demandé, Ma
fille. Amparo: Mais il faut que Tu m'aides parce que je suis
seule, et je ne peux pas, je n'en peux plus. Toi, Tu
sais que je suis très malade, pour le salut des âmes.
(
Amparo a une vision de
IEnfant Jésus). Ah... !
Laisse-Moi embrasser cet Enfant! Laisse-moi
L'embrasser! Que Tu es joli ! Comme n est joli !
Sais-Tu combien je Taime. .. ! Bien que Tu sois un
enfant, je Taime beaucoup. Aide-moi, Toi qui es si
petit, car Tu
aimes les petites choses.
Ah ! Ma Mère, combien je T'aime! Je T'aime tant' Je
suis capa-
ble de mourir pour les âmes! Moi aussi, moi
aussi je sauve des âmes, car certaines sont si
endurcies '1 Touche leurs cœurs, pour qu'elles se
convertissent.
Ah ! Que Tu es grande' Mais sans Ton aide, moi je ne
suis rien; je ne suis rien. Ah , Quelle beauté'. ..
quelle beauté!. . " Moi, je voudrais qu'en ce moment,
Tu m'emmènes avec Toi, mais ce n'est pas possible!
Aide-moi! Que dois-je faire? Je veux être hum-
ble, je
ne veux pas me dévoiler, mais Toi, aide-moi. Ah !
Comme Tu es grande' Et Toi, mon Enfant. . .. Ah , Quel
Enfant' Quel Enfant si joli! ... Quelle beauté! (Elle
s'adresse à la Vierge). Ton Enfant!. . '. Pense à Ton
Fils, Lui... qui peut tout, avec l'aide de Dieu. Me
promets-Tu de m'aider? Mon tout Petit! Que Tu es joli
'Je T'aime (tant! Comme j'ai été ingrate de ne T'avoir
pas aimé auparavant. 't Maintenant... je T'aime tant
... de toute mon âme ! Et Toi, Ma . Mère, qui es
l'unique Mère que j'ai eue. Sur la Terre, je n'ai pas
eu
de mère; mais Toi, Tu ne m'as jamais abandonnée. Ne
m'aban- donne pas maintenant! Car moi j'ai voulu
accepter cela, mais avec votre aide. . .. Ah ! que Tu
es grand' Tu t'en vas déjà. .. ? Oh, non. .. !
La Sainte Vierge: Au revoir, Mes enfants. Au revoir !
4 août 1984
La Sainte Vierge: En premier lieu, baise le sol, Ma
fille, pour le salut des âmes.
Nous allons glorifier Dieu: 'Notre Père qui êtes aux
Cieux, que Votre Nom soit sanctifié, que votre Règne
arrive, que Votre volonté soit faite sur la Terre
comme au Ciel; donnez-nous aujourd'hui notre pain de
chaque jour, pardonnez-nous nos offenses comme
1nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés et ne
nous laissez
pas succomber à la tentation. Gloire au Père, au Fils
et au Saint
Espnt.
C'est pour toi, Ma fille, c'est privé. Les Messages
sont ter- minés... (Paroles dans une langue inconnue).
Tes souffrances, Ma fille, ont beaucoup de valeur.
Vois les âmes. Amparo: (En sanglots). Je ne peux pas, non. Je n'en
peux plus. Tu sais bien que je n'en peux plus. Je
ferai ce que Tu me demanderas, bien que je ne puisse
pas. Et certaines âmes sont si
cruelles La Sainte Vierge :Je te l'ai dit en d'autres
circonstances, Ma fille, que les humains sont cruels.
Mais il faut les sauver au prix de 1souffrances et de
pénitences, Ma fille. Tu n'es pas toute seule; Les
âmes que choisit le Christ sont destinées à souffrir.
Tu n'es pas {seule, il y a beaucoup d'âmes victimes. Amparo: Aide-moi! Je ne peux. ..
La Sainte Vierge: Ne dis jamais: "Je n'en peux plus ",
parce que le Christ ne te donnera pas plus que tu ne
peux supporter. Amparo: C'est très dur. . ., c'est dur de suivre le
Christ.
La Sainte Vierge: Tu dois charger la Croix que tu as
acceptée, Ma fille, et aller de l'avant. Amparo: n y a des épreuves si dures!.. .. Moi, je
souffre pour les âmes; mais les âmes sont, comme tu
l'as dit, si cruelles, elles ne veulent pas se sauver.
La Sainte Vierge: Par le sacrifice, la pénitence et la
prière, tu {sauveras beaucoup d'âmes, Ma fille. Et ne
sois pas triste; Nous
t'avons bien dit, Mon Fils et Moi, de te réfugier dans
Nos Cœurs et Nous te consolerons. Mais ne renie jamais
ce que tu as accepté, Ma fille. Amparo: Je ne renie pas. Mais
parfoiS c'est si dur !.
. ..
La Sainte Vierge: Ne crois pas qu'il soit facile de
gagner le
lCiel. On le gagne à force de souffrance et
de sacrifice! Amparo: Mais pendant combien de temps?
1La Sainte Vierge: Gagner le Ciel prend beaucoup de
temps, Ma fille. Amparo: Eh bien, aide-moi. Ne me laisse pas seule si
longtemps. Toi, Tu me dis de me réfugier dans Ton
Cœur; mais parfois je ne Te trouve pas!
La Sainte Vierge: Voilà ce qui a fait la foi vivante
des grands saints. Que de fois ont-ils cherché le
Christ, sans Le trouver, Ma fille. C'est une épreuve.
Quand Jésus te laisse seule, Il veut te met-
tre à
l'épreuve; Il veut voir comment tu acceptes l'épreuve
que Dieu t'envoie.
Je t'ai dit qu'il fallait baiser le sol à chaque
mystère, Ma fille. C'est un acte d'humilité. N'aie pas
honte de t'humilier et de baiser le sol. Le Christ le
faisait alors qu'Il était Fils de Dieu et Il n'avait
pas honte car c'était pour le salut des âmes. Ceci est
pour toi, Ma fille : Je veux que tu sois forte, forte!
Et que personne, personne ne te confonde. Amparo: Je suis Je suis très malade et je ne peux
pas!
La Sainte Vierge: Tu n'en as que plus de mérite d'être
malade et de l'offrir pour le salut d,es âmes.. Amparo: Mais c'est que je ne peux pas! Toi aide-moi,
car si Tu ne m'aides pas, je ne sais où je vais en
arriver.
La Sainte Vierge: Si Je t'ai protégée depuis ton
enfance, Ma fille, comment te ferais-Je défaut
maintenant? Cette protection ne saurait te manquer. Amparo: Ah! Aide-moi! Laisse moi essayer, ne
serait-ce qu'un peu. .. Que Tu as de jolis pieds! Que
Tu es belle 1 Tu
embel-
\ lis de jour en jour! Ah ! Ma Mère, que Tu es belle!
Et cette beauté
ne ressemble pas à celle de la Terre. Tu es lumière!
Ah ! Moi, je veux m'en aller vite avec Toi là-bas. Et
je vais prier pour tous ceux
qui ne croient pas, les pauvres! Ceux qui ne savent
pas qu'ils ont une âme !... Laisse-moi te donner un
baiser sur le bout du doigt seulement. .. Ah ! Que Tu
es grande!. . .
La Sainte Vierge: Je suis grande parce que Je suis
Mère de toute l'Humanité.
Amparo: Ah ! Bénis les objets! Pour ceux qui n'ont
pas... Bénis-les moi. .. Tu rte les as pas bénis.
Accorde-le moi.
La Sainte Vierge: Levez tous les objets... ils
ortt
tous été bénis. Amparo: Maintenant la bénédiction... Mais je Te
demande une bénédiction spéciale pour un enfant. Tu
sais de qui il s'agit. C'est une bénédiction spéciale!
Cette bénédiction spéciale, c'est celle de la Croix de
Ton Fils et la tienne.
La Sainte Vierge: Je le bénis comme le Père le bénit,
par l'in-
termédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Cette bénédiction est pour tous: Je vous bénis, Mes
enfants, comme le Père vous bénit par l'intermédiaire
du Fils et avec le Saint Esprit.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir !
9 août 1984
MESSAGE DU 9
AOUT 1984
AU PRADO
NUEVO DE L’ESCORIAL (MADRID)
LA SAINTE VIERGE :
Cette Œuvre est l’œuvre de Dieu, mes fils. Aucun
homme, aucun scientifique ne peut la faire faire.
Je vais vous bénir, parce qu’il y en a beaucoup
en ce lieu qui ne le sont pas. Mes fils, je vous bénis
comme le Père vous bénit au moyen du Fils et avec le
Saint-Esprit.
Au revoir, mes fils. Au revoir !
11 août 1984
Bénédiction de la Vierge.
La Sainte Vierge: Ma fille, Je viens te rappeler ce
que Je t'ai
demandé: prière, pénitence et sacrifice. Sans
sacrifice, on ne parviendra pas au Ciel.
Je vais aussi vous accorder la grâce spéciale de bénir
tous les objets; levez tous les objets; ils seront
tous bénits.
Maintenant, Je vais donner à tous ceux qui sont ici
présents Ma Sainte Bénédiction.
Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l'in-
termédiaire du Fils, et avec le Saint
Esprit.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir !
12 août 1984
La Sainte Vierge: Ne fais pas de confusion. J'ai dit
que Je ne donnerai plus d'avertissements pour
l'Humanité; mais à toi Je ne
1cesserai de t'en donner et de bénir tous ceux qui
viendront en ce lieu. Ils seront bénits et les objets
qu'ils portent seront également bénis.
Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Levez tous les objets, Mes enfants, ils seront tous
bénits. . .
Ne fais pas de confusion, Ma fille, et sois attentive
à Mes paroles. Je demande la prière, la prière et le
sacrifice. Sans prière et sans sacrifice, vous ne
pouvez atteindre votre demeure. Tu vas bai-
ser le
sol, Ma fille, en acte d'humilité... Cet acte
d'humilité sert au salut des âmes.
{N'ayez crainte des avertissements célestes, Mes
enfants; craignez l'Ennemi, car l'Ennemi détruit - Je
te l'ai déjà dit, Ma fille
- il détruit mais il ne c9nstruit pas. Cette arche que
tu as vue l'autre jour, Ma fille, était entourée de
toutes les personnes ici présentes; tu voyais que l'un
était pris et l'autre laissé et il était mis dans
cette arche que tu voyais. Voilà pourquoi Je vous
demande de leur dire d'être prêts. N'ayez crainte,
1"
Mes enfants; si vous êtes prêts, qui pouvez-vous
craindre?
Mais vois la pauvre âme qui n'observe pas les
Commandements de la Loi de Dieu, regarde, Ma fille :
voici un autre châtiment...
! C'est terrible, Ma fille ; mais tous ceux qui
arriveront en ce lieu, c'est
parce qu'ils l'auront voulu. Mais vois cet autre
lieu... Quelle mer- ,. veille! Amparo: Quelle merveille!... Fais en sorte que tous y
parviennent! Protège-les ce sont tes enfants! (La
phrase antérieure est pratiquement incompréhensible).
Fais en sorte que tous y parviennent, car cela est si
grand. Ne les condamne pas; sauvez-les tous, même
s'ils ne croient pas; Toi, donne leur une lumière. Ne
les condamne pas. Ah, comme cela est grand! Ah ! Ma
Mère! Que Tu es belle! Bénis-nous de l'autre
manière... Jésus?
La Sainte Vierge: Je vous bénis comme le Père vous
bénit par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint
Esprit. Amparo: Ah ! Que c'est grand! Qu'ils regardent Ta
silhou- ette qui est dans le Soleil. Que c'est grand!
Que c'est grand! Quelle merveille! C'est le Visage de
Jésus !
La Sainte Vierge: Au revoir, Mes enfants; regardez,
soyez
attentifs.
Amparo: Ah, quelle merveille!
La Sainte Vierge: Au revoir, Mes enfants. Au revoir !
15 août 1984
(Fête de l'Assomption de la Sainte Vierge)
La Sainte Vierge: Je viens te consoler, Ma fille. Que
de fois t'ai-Je dit: " Que rien ne te trouble et que
rien ne t'effraie" comme disait cette grande Sainte,
Thérèse de Jésus... La tristesse t'envahit, Ma fille.
Ce n'est pas la peine que tu souffres en toi si ce
n'est pour le salut des âmes. Les hommes sont cruels,
Ma fille; ceux de ton
propre sang aussi te méprisent. Oui, comme tu le dis,
Ma fille, ils sont en train de te tuer à petit feu;
mais la gloire ne se donne pas petit à petit; elle se
donne (Parole inintelligible), Ma fille.
Maintenant, Ma fille, du réconfort. .. Tu vas voir
1'Assomption,
{comment les Anges Me transportèrent au Ciel. Mon
corps n'était pas mort mais endormi. ils Me
transportèrent au Ciel après mon séjour sur la Terre.
Moi aussi J'ai beaucoup souffert, Ma fille. Amparo: Ah ! Entourée d'Anges! Entourée d'Anges!
Comme ils Te portent ! Ah! Que Tu es grande! Tu es
morte! Ah!
La Sainte Vierge: Mon corps n'était pas mort, Ma
fille. Je t'ai dit que Mon corps tout entier était
endormi. Les Anges Me transportèrent ainsi au Ciel. Et
toi, Ma fille, si avec ta souffrance... mais la
souffrance qui touche le plus c'est celle des êtres
chers, Ma fille. Offre-toi comme victime, pour le
Christ Jésus et avec tes souffrances, tu obtiendras ce
Ciel, Ma fille, et tu seras entourée d'Anges...
Tout ton corps tressaillira, Ma fille, lorsque tu
entreras ici.
Amparo : Ah ! Aide-moi, aide-moi! Je
n'en peux plus. Tu sais que je n'en peux plus. Je ne
peux pas, Mère! Mère... avec Toi, moi je veux m'en
aller avec Toi. Je ne veux pas rester ici! Viens, mon
cœur n'en peut plus, je n'en peux plus maintenant!...
Je veux que Vous m'emmeniez là-haut, avec Vous. S'il
m'en reste encore beaucoup... Ma mère, je ne
ve~ pas
qu'il m'en reste beaucoup!
La Sainte Vierge: il ne t'en manque pas beaucoup, Ma
fille, tu \es presque modelée... (Gémissements de
Amparo).
Baise le sol, en acte d'humilité, Ma fille... Vois-tu
comme la gloire est heureuse, Ma fille ? Amparo: Je veux rester ici et ne pas m'en aller, je
ne veux pas revenir à la même situation. Laisse-moi un
petit peu, réfléchis si je peux rester. .. Ah ! Ma
Mère, si je dois à nouveau faire face!..
Moi, je ne peux pas, laisse-moi ici! Oui ici.. .ne
peut-on accomplir une tâche pour sauver les âmes?
La Sainte Vierge: Ici, il n'y a pas de tâche, Ma
fille, ici on ne fait que louer Dieu. Amparo: Ah! Eh bien, c'est encore mieux! Ne m'envoie
pas à nouveau en bas. Tu ne sais pas ce que c'est que
d'être là en bas. Oui... non, Toi Tu ne le sais pas,
Toi. .. n me reste encore un peu de temps...! Mais,
mais ce peu de temps, cela représente
com-
\bien en temps? Est-ce beaucoup? La Sainte Vierge: Je
t'ai dit peu, Ma fille... (Nol/veal/x gémisse-
ments et sol/pirs de LI/Z Amparo).
La Sainte Vierge: n te reste encore un peu à lutter
avec les hommes, Ma fille. Même si les hommes sont
cruels, il faut que tu sois avec eux, jusqu'à ce que
Nos Cœurs t'ouvrent la porte de la demeure qui te
revient, Ma fille. Amparo: Pourvu que ce soit bientôt! Ah ... !
La Sainte Vierge: Tu vas boire une seule goutte du
calice de douleur. Vois comme il en reste peu, Ma
fille ; Je vous avertis: quand le calice sera vide1 ce
sera terrible, Mes enfants. n y en a beaucoup qui ne
le croient pas, mais quand arrivera le moment, pauvres
âmes! Chaque goutte qui reste au fond du calice, Ma
fille, sera très amère, parce que le temps est plus
proche et le
châti- ment sera terrible. Soyez prêts;
dis-le à tous, Ma fille, qu'ils prépa-
rent leurs
âmes, pour parvenir à la vie éternelle, Mes enfants.
Baise à nouveau le sol, Ma fille, pour les âmes
consacrées... Tu dois beaucoup prier pour les âmes
consacrées et faire beaucoup de sacrifices; elles
entraînent beaucoup d'âmes dans l'abîme. Pauvres âmes.
.. ! Le châtiment qui approche pour elles!. . " Amparo: Eh bien, pardonne-leur.
.. La Sainte Vierge ~ vas;ir l'Enfer, pour toutes
sortes
d'âmes; il Y a aussi des âmes consacrées. (
Amparo
gémit de peine et de douleur). A cause des péchés de
ces âmes consacrées qui continuent encore chez
d'autres âmes consacrées; le péché est
tou- jours là,
Ma fille ; mais vois, le châtiment est terrible... (
Amparo gémit face à la vision).
Je vais bénir tous les objets, Mes enfants. Levez tous
les objets, ils seront tous bénits...
Ds ont tous été
bénits.
Je vous donne Ma sainte bénédiction, Mes enfants. Je
vous bénis comme le Père vous bénit, par
l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir !
19 août 1984
La Sainte Vierge: Ma fille, J'ai promis de vous donner
la bénédiction et vous l'aurez. Mais auparavant, Je
veux que vous adoriez le Père
Eternel en récitant le
'Notre Père'.
Notre Père, qui êtes aux Cieux, que Votre Nom soit
sanctifié; que Votre Règne arrive, que Votre volonté
soit faite... Donnez- nous
aùjourd'hui notre pain de
chaque jour, pardonnez-nous nos offenses comme nous
pardonnons à ceux qui nous ont offensés.
- Ne nous laissez pas succomber à la tentation mais
délivrez-nous du mal. Amen. Gloire au Père, au Fils et
au Saint Esprit.
Voilà la manière de louer Dieu; en récitant le " Notre
Père ", vous adorerez Dieu le Père. Communique-le à
tous, Ma fille, en en- levant le 'Je vous salue" et le
"Sainte Marie", que le "Notre Père" seul soit récité
pour louer le Père
Eternel.
Maintenant, Je vais vous donner Ma sainte bénédiction.
Je vous bénis, comme le Père vous bénit, par
l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir ! ,
1er septembre 1984
La Sainte Vierge: Je vais te donner Ma sainte
bénédiction, Ma fille, comme Je l'ai promis; ensuite
Mon Fils restera avec toi.
Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Le Seigneur: Ma fille, réfugie-toi dans Mon Cœur afin
que la tristesse ne t'envahisse pas; Mon Cœur est
ouvert pour que tu y 1s~is à l'abri.. Bien que tu sois
remplie.de ~sères et de ~a~tes, Je.te
laisse un corn dans Mon Cœur; tu
SaiS bien que Je
choisis des ViC-
times et Je veux des âmes victimes
pour sauver au moins le tiers de l'Humanité.
Que de fois t'ai-Je demandé de ne jamais dire: "Je
n'en peux '
plus! " N'abandonne pas le trésor de la croix;
prends-la sur tes épaules et garde-la quelques
instants.., (
Amparo donne l'im- pression, par ses
gémissements, qu'elle supporte une charge très
lourde). Enlève-la, Je t'ai dit quelques instants
seulement...
1C'est le trésor de la croix, Ma fille ; la croix te
permettra de mon- ter très haut, mais sans la croix tu
ne parviendras pas aux demeures. Rejette la tristesse
qui t'envahit, sans y perdre de temps. Lorsque
1tu penses à cette
tristess~ qui s'empare de toi, tu
ne
pens~s pas à
Moi, Ma fille. Je ne veux pas que tu Me voles une
seule
mmute de ton temps.
Maintenant, afin que tu sois humble, baise le sol dans
un acte d'humilité, Ma fille...
En signe d'humilité. Je veux que tu sois humble afin
que Je puisse finir de te façonner, Ma fille. Amparo: Laisse-moi Te toucher le pied. . .
La Sainte Vierge: Dans tes moments de tristesse,
implore Mon Cœur; il sera ton refuge. Amparo: Aide-moi.. ., aide-moi... (Notre Seigneur:
Comment vais-Je abandonner une âme que J'ai choisie
comme victime? C'est toi qui me lâcheras avant, Ma
fille, mais Moi Je ne t'abandonnerai jamais...
Je Te veux encore plus malade, comme victime pour le
salut des âmes. A quoi te servirait-il, Ma fille -Je
te l'ai déjà dit bien des fois - de tout posséder, si
tu venais à perdre ton âme ?
Ne M'abandonne pas, Ma fille. Si l'on te calomnie,
offre-toi à Moi. On M'a calomnié, et toi, tu n'es pas
plus que Moi. Amparo: Je veux être comme Tu voudras, mais aide-moi;
on se moque de moi.
Notre Seigneur: On s'est moqué de Moi, Ma fille, et
Mes dis-
ciples eux-mêmes M'ont abandonné. Je veux que
tu sois humble et que tu abandonnes l'orgueil, Ma
fille. Je ne te donnerai pas plus que ce que tu peux
supporter. Offre-toi comme victime car Je t'ai
'" choisie. Tu as dit oui, Ma, fille. M?i, Je ne
prends jamais de victimes " sans qu'elles consentent a
souffrir.
Baise de nouveau le sol pour le salut des âmes, Ma
fille... Je te veux humble pour achever de parfaire
ton corps. Je vais donner Ma sainte bénédiction.
Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l'in-
termédiaire du Fils et avec
le'Saint Esprit.
Aujourd'hui c'est Moi qui vais bénir tous les objets.
Quelle satisfaction ressent Mon Cœur en voyant des
milliers d'âmes qui sont en ce lieu!
Leve:z tous les objets... Amparo: Ne pars pas! Ne pars pas!
Notre Seigneur: Au revoir, Mes enfants. Au revoir !
15
septembre 1984
La Sainte Vierge: Aujourd'hui, Ma fille, il y a un an
pour vous,
J'étais présente pendant toute la récitation du
chapelet. C'est Moi qui le dirigeais, Ma fille.
Aujourd'hui Je vais te donner un message bref: vous
devez beaucoup prier. Tu dois dire aux hommes que
l'Espagne est en danger... Mais sais-tu qui fomente
ces guerres? Ceux sont les hommes, par leurs péchés.
L'arme la meilleure, Mes enfants, c'est le Rosaire...
Comme les humains sont cruels! Moi Je suis la Reine de
la Paix et Je veux la paix pour vous. Les hommes
recherchent les guerres. Par vos prières et par ton
sacrifice, vous pouvez éviter une grande guerre.
Les suppôts de l'Antichrist sont parmi vous, Ma fille
; ils sont en train de fomenter la guerre. .. Aux yeux
des hommes, Ma fille, ils passent pour des agneaux;
mais ils cherchent la guerre. Cette grande guerre est
proche. Avec vos prières, vous pouvez l'éviter, Ma
fille. Je te demande le sacrifice accompagné de la
prière.
Tu vas avoir un doux entretien avec Mon fils... Le
Seigneur: , M'aimes-tu ? Amparo: Beaucoup, beaucoup! Ah ! Je T'aime beaucoup!
Le Seigneur: Peux-tu donner ta vie pour Moi! Amparo: Ah, oui ! Oui ! Notre Seigneur: Je né veux
pas que tu te plaignes, Ma fille. La
souffrance est inutile pour toi. (
Amparo se plaint et
gémit
qllelques instants). Cherche refuge dans Mon
Cœur. Amparo: Ah ! Oui, je Le cherche; je Le cherche.
Le Seigneur: Il n'y a que Mon Cœur qui puisse te
cpnsoler... (
Amparo gémit d'afjliction). Je veux que
ton cœur fonde par amour pour Moi. Amparo: Ah ! Comme Tu es grand, comme Tu es grand! Ah
! Si Tu étais toujours avec moi. .. !
Le Seigneur: Je suis toujours avec toi, Ma fille, même
si tu ne '"
Me vois pas; cherche-Moi, Je suis là. Amparo: Ah ! Que Tu es grand, Mon Dieu! Quand pour-
rai-je être là-bas pour toujours, toujours? Ah !
Le Seigneur: Dans peu de temps. Pense à Jacinthe, Ma
fille, et à François qui jouissent de la présence de
Dieu; mais pense à Lucie à qui J'ai dit : "Dans peu de
temps tu viendras avec Moi" et depuis combien de temps
est-elle parmi les hommes! Eh bien, Je te dis la même
chose: " dans peu de temps, Ma fille ". Amparo: Ah ! Ma Mère! Ah ! Comme vous êtes beaux tous
les deux. .. Que vous êtes beaux. . " Ah ! Mère! Ah,
mon cœur et mon corps, je ne sais ce qui se passe là !
Ah ! Que vous êtes grands! Moi je veux toujours être
avec Vous! Ne voyez-vous pas comme je suis: un vrai
déchet? Ah ! Jésus!
Le Seigneur: Ce déchet peut sauver beaucoup d'âmes, Ma
fille. Amparo: Ah ! Que Tu es grand! Bénissez-nous, tous les
deux! Comme c'est grand!
Le Seigneur: Levez tous les objets... lis ont tous été
bénits.
Amparo: Toi, bénis-les. .. !
Le Seigneur: lis ont
tofis été bénis, Ma fille. Amparo: Que tu es grand! Ah que c'est grand! Ah!
Le Seigneur: Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père
vous
bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint
Esprit.
Je ;ous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit
par l'in-
termédiaire... Amparo: Ah ! Non! Par l'intermédiaire du Fils et avec
le
So
Eo~ To
dilAhl, or
atnt
spnt ° J.o1, s- e. . . , autre crolX .
Le Seigneur: Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père
vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec le
Saint Esprit.
C
Au revoir, Mes enfants. Au revoir !
6 octobre 1984
La Sainte Vierge: Ma fille, aujourd'hui Je vais lancer
un appel
(à tous les prêtres pour qu'ils annoncent que, sous
peu, de grandes catastrophes frapperont la Terre. Que
les hommes soient prêts, Ma
fille...
Les impies aussi nient l'existence de Dieu; ils
veulent gouverner
la Terre, avec leurs mauvais exemples, Ma fille. Les
prêtres qui
abandonnent la voie de Dieu, s'en vont sur le chemin
des plaisirs et font perdre la foi aux populations...
Les mères aussi, Ma fille, ont perdu l'instinct
maternel et commettent de grands crimes envers leurs
propres enfants.
PRIEZ, MES ENFANTS, ET
FAITESPENlTENCE CAR LE TEMPS
PREND FIN.
Vois, Ma fille, vois Mon Fils.
Le Seigneur: Tu M'as dit que tu M'aimais. Amparo: Oui, je T'aime!... (Elle pleure en entendant
les paroles du Seigneur). Ah, ma Mère!. . .
Le Seigneur: Tu
doi~ M'aimer davantage; si toi tu
M'aimes, Moi je t'aime; il ne nous reste plus que le
salut des âmes. Les hommes continuent d'être cruels,
Ma fille. Vois Mon Front, vois Mon dos, Ma fille ;
sais-tu qui M'a fait cela? L'amour que J'ai pour les
hommes.
Baise la plaie de Mon côté... Sais-tu qui M'a fait
cela? L'amour que J'ai pour les hommes.
Vois Mes pieds et Mes mains... Sais-tu qui M'a fait
cela? L'amour que J'ai pour les hommes.
Voilà pourquoi Je te demande, Ma fille, de beaucoup
M'aimer, ce coin de Mon Cœur est pour toi, Ma fille.
Baise le sol, Ma fille, en acte d'humilité... Pour le
salut des âmes.
Pour les âmes consacrées; pauvres âmes! Comme elles
répondent mal à Mon Amour! Combien d'âmes abandonnent
le Christ pour s'introduire dans les plaisirs du
monde!
rToi, Ma fille, cherche l'humiliation. Sois simple, Ma
fille, très simple.
Je vais bénir tous les objets... lis ont tous été
bénits, Ma fille.
Je vais donner Ma sainte bénédiction. Je vous bénis,
comme le
Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec
le Saint Esprit.
La Sainte Vierge: A prés~nt, c'est à Mon tour de vous
donner' la sainte bénédiction, Ma fille. Je vous
bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit, par
l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit. Au
revoir, Mes enfants. Au revoir !
7 octobre 1984
La Sainte Vierge: Ma fille, J'ai voulu mettre à
l'épreuve toutes les personnes qui sont ici présentes.
Les curieux ont dû supporter tout le Chapelet. Je suis
la même, Ma fille, toujours la même, J'ai s~ulement
changé de chapelet.
Aujourd'hui, c'est une fête importante pour tous les
hommes, \Ma fille ; pour tous ceux
qpi aiment de tout
leur coeur. Le Rosaire
est l'arme la plus puissante pour sauver l'Humanité.
Regarde quel chapelet! A chaque grain de chapelet, Je
répands une multitude de grâces pour les hommes, Ma
fille. Mais comme ils profitent peu de Mes
manifestations 1
Je t'ai déjà dit que ce peuple était comme celui
d'Israël:
incré-
dule, dur et cruel, Ma fille. On n'a
pas eu foi en Mon Fils, chez lui. L'être humain est
cruel. Amparo: Je vais Te poser une question. Est-ce vrai...
? C'est que je ne veux pas le dire ainsi...
La Sainte Vierge: Dis-le moi avec ces mots. (Elle
parle une /
(langue inconnue). Non, Ma fille, ce n'est pas sûr ;
il n'est ni de Dieu ni ' de l'ennemi, c'est lui-même
qui en est la cause, Ma fille. (
Amparo pleure
quelques instants). Prends garde, ne te laisse pas
tromper par de faux prophètes. Amparo: Il est en train de tromper les gens.
La Sainte Vierge: Je t'ai prévenue que de faux
prophètes viendraient. Baise le sol, Ma fille pour
cette pauvre âme. Amparo: Et que veut-il? Que veut-il?
La Sainte Vierge: Il veut être le protagoniste, Ma
fille. Parle avec lui et dis-le lui, à lui seul. Les
choses de Dieu sont à prendre très au sérieux; l'on ne
peut jouer avec Nos Noms. Comme il est mauvais de
vouloir être le protagoniste, Ma fille ! Voilà
pourquoi Je te demande d'être petite, toute petite,
pour monter haut, très haut. Plus tu monteras, Ma
fille, plus tu seras petite. Je te veux simple, très
simple. Ils ont reçu des grâces très spéciales et ils
s'en servent pour détruire cette Oeuvre, Ma fille.
Pauvres âmes! Cette âme va jusqu'à tromper sa propre
famille. Prie beaucoup pour lui, car il a une âme, Ma
fille, et il est ton frère dans le Christ. Prie
beaucoup pour lui, Ma fille. Que personne, personne ne
te trompe, Ma fille. Je t'avais prévenue que cela
arriverait. Vois comme ce moment est là ! .
Humilité et sacrifice; avec l'humilité et le
sacrifice, Ma fille, l'en- nemi n'aura pas de pouvoir
contre cette Oeuvre.
Baise à nouveau le sol, Ma fille, pour les âmes
consacrées...
Pauvres âmes !... Mon Cœur les aime tant! Comme elles
répon- dent mal à cet amour, Ma fille !
rJe t'ai dit que de grandes catastrophes frapperaient
la Terre, Ma
fille. Mais n'ayez crainte et ne perdez ni la foi ni
la sérénité; votre Mère est avec vous, Mes enfants. Et
comme beaucoup de prêtres
\manquent de courage pour en parler! Ils sont lâches
et Mon Fils n'aime pas la lâcheté.
Soyez forts et parlez de l'Evangile, mais ne niez pas
ce que vous avez vu, Mes enfants. Ces manifestations
ne s'opposent jamais à l'Eglise Catholique, Ma
fille... Si quelqu'un te dit, Ma fille, que tu
t'opposes à la religion catholique... une Mère et la
Mère de l'Eglise ne peut parler contre Son Eglise, Ma
fille. Mère de l'Eglise et Mère de toute l'Humanité!
Je veux que vous récitiez les trois parties du
Rosaire, Ma fille. Cette prière Me plaît tellement!.
.. Quelle belle prière! : " Mère de Dieu et Notre Mère
!" Amparo: Ce chapelet! Ah ! Ce chapelet! Le chapelet
resplendit de lumière!
(La Sainte Vierge: Je ne permettrai pas que celui qui
récite le Rosaire, se condamne.
Je vais bénir les objets, spécialement les chapelets,
Ma fille. Sors le chapelet de ta poche.
Sortez tous les objets... Ils ont tous été bénits,
spécialement les chapelets, pour les mourants, Ma
fille.
Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l'intermédiaire du Fils, et avec le Saint Esprit.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir !
3 novembre 1984
La Sainte Vierge: Ma fille, aujourd'hui Je vais lancer
un appel à tous les disciples de Dieu. Cet appel
concerne aussi, les vrais
imi-
tateurs du Christ, du
Christ qui se fit homme pour sauver l'Humanité.
Cet appel, Je le lance aussi, Ma fille, à ceux qui ont
vécu dans la pauvreté, le mépris, l'humilité, la
chasteté, la calomnie et la mortification. Cet appel,
Je le lance à tous. Allez, Mes enfants, allez porter à
tous les peuples de la Terre la lumière de l'Evangile
du Christ.
Vous autres, Mes enfants, qui acceptez la Parole de
Dieu, vous êtes des
flls de lumière, Mes enfants; vous
devez porter la lumière dans tous les coins du monde.
Luttez, Mes enfants, luttez, car le temps presse et
les âmes se condamnent.
Je lance aussi un appel à Mes âmes consacrées: luttez,
luttez, "'\ n'ayez crainte; si le Christ est avec
vous, qui pouvez-vous craindre,
Mes enfants? (Oui, Ma fille, combien de conducteurs de
Mon Fils, vont sur le chemin de la perdition! Mon Cœur
saigne de douleur pour eux tous. Voilà pourquoi nous
avons besoin d'âmes victimes
afm qu'elles fassent
réparation pour les péchés des âmes consacrées...
Oui, Ma fille, le monde empire de jour en jour. Ces
pauvres âmes, ces âmes consacrées... car Mon Fils
s'humilie dans leurs mains et descend pour qu'on Le
conduise là où ils veulent. Pauvres
âmes! Les péchés des âmes consacrées appellent la
vengeance du \~ (;J Ciel, Ma fille. La vengeance est
terrible; elle est aux portes.
(Les âmes consacrées, Ma fille, abandonnent la prière
et la pénitence et s'introduisent dans les plaisirs du
monde. .. Pauvres âmes! Comme elles mettent peu de foi
dans la célébration du mystère de la Messe! Voilà
pourquoi Mon Cœur est assoiffé d'âmes qui fassent
réparation, Ma fille. J'ai besoin de beaucoup d'âmes
en réparation des péché~. .
Baise le sol, Ma fille, pour les âmes consacrées. . .
lA cause de leur impiété dans la célébration des
mystères et de leur amour de l'argent, elles prennent
le chemin de l'abîme. Priez pour elles, Mes enfants;
faites des sacrifices, priez et faites
péni- tence...
Pauvres âmes! Mon Cœur les aime tant! Mon Cœur les
aime tellement qu'il a une place, une place pour
toutes ces âmes, Ma fille. Cette place est préparée
pour tous ceux qui voudront se réfugier dans Mon Cœur,
Ma fille.
Je lance également un appel à ces âmes qui se sont
consacrées à Mon Cœur
afm que Mon Cœur les conduise à
Mon Fils. Je leur lance aussi cet appel.
/
Tous, Mes enfants, tous unis, luttez, luttez pour la
gloire de Dieu. Ne craignez pas le "qu'en dira-t-on",
ni la calomnie, Mes enfants. Heureux celui qui sera
calomnié pour Notre cause, Mes
le~f~ts. N'ayez crainte. .Priez, Mes enfants, car si
vous priez, l'enne- nu n aura aucun
pOUVOIr sur vous.
Approchez-vous du Sacrement de l'Eucharistie, mais
aupara-
vant, lavez vos âmes avec le Sacrement de la
Pénitence. App1:ochez- vous chacun, individuellement,
du Sacrement de la Confession. Il Me plaît tant, Mes
enfants... Il Me plaît tellement que vous vous mettiez
en règle avec Dieu!. .. Mon Cœur de Mère souffre, Ma
fille,
1quand Je vois que l'un de Mes fils se précipite dans
l'abîme, Ma fille... te feu de l'enfer est terrible!
Il est terrible! Ces corps ne se
consument pas, Ma fille ; les flammes ne les consument
pas. C'est pour l'éternité. Ma fille. Cette souffrance
est éternelle.
Baise à nouveau le sol pour les pauvres pécheurs, Ma
fille.
"
Ne vous moquez pas des Messages de Votre Mère, Mes
enfants. Votre Mère veut vous sauver. Et toi, Ma
fille, recherche la calomnie et l'humiliation. Heureux
celui qui sera calomnié à cause de Nos Noms, Ma fille.
Je vais vous donner Ma sainte bénédiction. Mais
auparavant, levez tous les objets; Ils seront tous
bénits...
Je vous bénis, Mes enfa1tts, comme le Père vous bénit,
par l'in-
termédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir !
18 novembre 1984
La Sainte Vierge: Ne bouge pas, Ma fille, ne te lève
pas... Je viens seulement pour te dire et te rappeler:
sacrifice, sacrifice et pénitence, Mes enfants.
Le Seigneur: , Ma fille, est-ce que tu M'aimes
toujours?
Amparo: Je vous aime beaucoup, Seigneur,
beaucoup,
beaucoup!
Le Seigneur: Pas plus que Moi Je t'aime, Ma fille. Mon
amour,
personne ne peut l'égaler. Si les âmes savaient
l'amour que Mon 1
Cœur a pour elles, elles seraient incapables de
M'offenser. Toi- même tu ne comprends pas cet amour.
Réfugie-toi dans Mon Cœur. Mon Cœur est ouvert, Ma
fille,
)pour quiconque désire y trouver refuge. Mais vois
comme il est
entouré d'épines à cause J des âmes ingrates qui ne
veulent pas
l'aimer.
Moi Je te promets que quiconque aimera ce Cœur, ne se
con- 1damnera pas, Ma fille ; Je le préserverai des
peines de l'Enfer.
Vois comme Mon Cœur répand des Grâces. Ces rayons de
lumière qu'il répand, sont des grâces, Ma fille. Cette
lumière se déverse sur toutes les âmes qui sont ici
présentes... Toutes les âmes
ici présentes n'ont cessé de recevoir Ma grâce.
Peut~il y avoir plus '
7d'oppor~tés!... Q~e d~si~e l'être humain pour se
sauver, ~a -
/..
fille ?J'at donne Ma
Vle,J'atrepandu Mon sang pour eux
tous, et ils vont de mal en pis, Ma fille. Pourquoi le
monde est-il dans cet état? . . .. A cause des péchés
des hommes! il sera donné à chacun selon ses œuvres,
Ma fille.
Présentez-vous devant" le Père, les mains pleines et
non les mains vides. Tous ceux qui recevront ces
grâces, seront
récompen-
sés, au prix fort, Ma fille.
Aimez-vous les uns les autres comme Je vous ai aimés,
Mes enfants. Moi j'ai répandu Mon amour sur toute la
Terre, pour que
vous'soyez tous unis. Qu'avez-vous
fait de cet amour: guerre et dis- cordes. Je te l'ai
déjà dit : les parents contre les enfants, la
belle-mère contre la belle-fille et la belle-fille
contre la belle-mère, le frère con-
tre le frère; tout
cela arrive, Ma fille. Et Je t'ai dit également que
lorsque cela surviendrait, l'on approcherait de la fin
des fins.
La prière et le sacrifice sauvent l'âme, Ma fille. Et
vous autres, } Mes enfants, vous avez fait un pacte
avec Moi. Allez dans tous les
ltcoins annoncer la parole du Christ: Les
Evangiles,
les Evangiles ! Mes enfants. Tous ceux qui suivront le
chemin des Evangiles, se sauveront. Mais malheur à
celui qui fait la sourde oreille à ces paroles! Il
vaudrait mieux pour lui qu'il ne fût point né, Ma
fille; que l'on passât une meule autour de son cou et
qu'on le jetât dans la mer.
Ils ne lisent pas bien; aucun bien pour l'âme (II
parle une langue étrange). Voilà la date du châtiment,
Ma fille... (II dit à nouveau quelques mots dans une
langue inconnue). Mais, si vous êtes avec le Christ,
qui pouvez-vous craindre, Mes enfants?
Je vous veux pauvres, humbles et sacrifiés, Mes
enfants. Bienheureux les pauvres, car le Royaume des
Cieux est à eux.
Aimez-vous, Mes enfants, aimez-vous les uns les
autres. Priez beaucoup, pour les pasteurs de l'Eglise.
Je vais vous donner Ma sainte bénédiction: Je vous
bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit, par
l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
La Sainte Vierge: Recevez Ma sainte bénédiction, Mes
en-
fants. Ma fille, sois humble, très humble. Aime
tes ennemis, car ils sèment le chemin de ta demeure,
Ma fille; avec leurs mensonges et leurs calomnies, ils
sont en train de labourer ton chemin. Recherche
l'humiliation, Ma fille ;
pen~e que l'on a humilié et
maltraité Mon fils. On L'appelait" le vagabond ". Et
combien de fois vais-Je te dire que le disciple n'est
pas au-dessus de son maître!
Aime-Nous beaucoup, Ma fille, aime Nos Cœurs et
réfugie-toi en Eux, car Ils ne te décevront pas, Ma
fille. Tout être humain déçoit, mais Nos Cœurs ne
déçoivent pas.
Levez tous les objets, Mes enfants... Ils ont tous été
bénits, Ma fille ; ces objets ont des grâces
spéciales. Beaucoup de ces grâces se sont déjà
répandues sur beaucoup d'âmes, Ma fille.
Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l'in-
termédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir.
25 novembre 1984
Fête du Christ roi.
La Sainte Vierge: En premier lieu, Ma fille, tu dois
réparer les péchés des hommes. Baise le sol. . .
Il faut faire réparation et pénitence, Ma fille, parce
que les hommes empirent de jour en jour. Baise à
nouveau le sol, pour les âmes consacrées...
Le mon~e est effondré, Ma ~e.
L.es ?échés et le~
~pureté~ des r s ~ hommes
cnent vengeance au Ciel
ainSi que les peches des ames
consacrées. Oui, Ma fille, il faut faire pénitence et
sacrifice pour que J les hommes se convertissent; Je
veux qu'au moins le tiers de l'Humanité se sauve. Ils
ne changent pas, Ma fille, et Mon Cœur est transi de
douleur. Combien Je les aime! ô combien J'aime ces
âmes, Ma fille! Je les aime non point parce qu'elles
répondent à Mon amour; non, Ma fille, parce qu'elles
ne correspondent pas à Mon amour.
Voilà pourquoi Je te dis que le monde empire. Mon Cœur
souf- !'~
fre, car si Je te révélais le nombre d'âmes
qui se condamnent jour- n~ll~ment, ~ s.eraishor~fiée,
~a fille. C'est pourquoi, il faut faire perutence,
perutence et reparatton.
Que les hommes sont cruels! Ils n'ont pas compassion
de Moi. Ils disent que Je ne souffre pas; Mon Cœur
souffre, parce qu'en ce moment Je ne suis pas
glorieuse, Ma fille. Les hommes sont cruels à Mon
amour, Ma fille. Baise à nouveau le sol, Ma fille...
Pense que celui qui s'humilie, sera élevé; c'est une
humiliation, Ma fille, mais pense que Je t'ai dit de
rechercher l'humiliation. Pense au Royaume du Christ,
Ma fille. C'est le Royaume le plus grand.
Regarde ton Roi, Ma fille. .. Ce Roi ne déçoit pas, Ma
fille ; celui qui s'inclinera devant Lui, recevra la
récompense, Ma fille ; humilie- toi, mais réfugie-toi
dans Mon Cœur.
Le Seigneur: Je suis le Roi du Ciel et de la Terre.
Beaucoup de gouvernants, sont des démons incarnés qui
par- lent de paix, alors qu'ils sont en train de
fabriquer des armes de mort, Ma fille, pour la mort de
l'Humanité, pour détruire plu- sieurs nations. Ils
parlent de paix, mais ils sont en train de faire la
guerre.
{Diverses nations seront détruites; parmi elles, une
partie de l'Europe.
Dans les maisons, Ma fille, on ne parle plus que de
désunion dans les familles, de désunion et de
plaisirs, Ma fille ; on ne parle pas de Di~u, de Dieu
Le Père. Celui qui ne se souvient pas de Dieu le Père,
n'entrera pas dans le Royaume du Ciel. Il est votre
Créateur et Il sera votre Sauveur.
Priez Dieu le Père, ou priez Ma Mère, et Ma Mère
viendra vers Moi pour que Moi J'aille au Père.
1Parlez de Mon Nom aux familles, Mes enfants; ne
cachez pas Mon Nom. On est en train de faire
disparaître tout ce qui est de Dieu, Mes enfants.
De grands tremblements de terre fouetteront
l'Humanité. On verra de grands châtiments, Ma fille,
et malheur à celui qui n'é-
coutera pas Mes Paroles!
Soyez des victimes, Mes enfants, car Adam fut la
victime
péni- tente et Moi Je suis la Victime
innocente. Et la Victime innocente a versé Son Sang et
donné Sa Vie pour vous tous. Il fallait mourir pour
ressusciter.
Devepez petits, Mes enfants, tout petits, comme un
enfant.
Et toi, réfugie-toi dans Mon Cœur.. .Mon Cœur te
consolera, Ma fille.
Et vous, Mes enfants: pénitence, pénitence pour semer
votre chemin.
( Et tous ces curieux, dehors! Dehors les curieux !
Venez, Mes enfants, écouter la Parole de Dieu, la
Parole de
Votre Roi du Ciel et de la Terre.
Mon Cœur est triste de voir que les hommes ne changent
pas.
La colère de Dieu le Père est retenue par les Anges du
Ciel. De grandes
catastrbphes, Mes enfants, vont
tomber sur la Terre. Ce (sera épouvantable! Malheur
aux habitants de la Terre!
Nous demandons que votre prière sorte de votre cœur et
non de
vos lèvres. Combien parmi ceux qui sont ici présents,
lorsqu'ils dis- t
ent :"Notre Père qui êtes aux
cieux", ne ressentent pas ces paroles au fond de leur
cœur, Mes enfants! Que dorénavant, ces paroles
jaillissent du plus profond de votre cœur.
Je ne veux pas de pharisiens, Je veux des âmes
victimes, pauvres et sacrifiées.
Airoez-vous les uns les autres, Mes enfants. Que Mon
amour se répande dans vos cœurs.
Et toi, Ma fille, humilie-toi, sois humble, recherche
l'humiliation, car les âmes victimes doivent être
humbles, Ma fille.
Votre Roi, Mes enfants, votre Roi triomphera sur toute
l'Humanité. Ce Cœur Divin et Miséricordieux triomphera
avec le Cœur de Ma Mère. Mes enfants.
Soyez humbles et que vos prières jaillissent du plus
profond de vos cœurs. "
Et toi, Ma fille : Je veux que tu sois victime, mais
victime
vérita-
ble.
Levez tous les objets; il seront tous bénits, Mes
enfants... Ils ont tous été bénits par votre Roi, Mes
enfants. C'est une importante
bénediction.
Conservez vos objets, Mes enfants, ils vous serviront
quand viendra le "jour des ténèbres". Pendant ces
trois jours et ces trois nuits, ces objets brilleront,
Ma fille, ils brilleront partout où ils se trouveront.
Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l'in-
termédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
/
La Sainte Vierge: Mes enfants, tenez cas de Mon Fils.
Il vous donne des avertissements par l'intermédiaire
du Père, pour vous sauver, Mes enfants; faites cas.
Moi, comme Mère de toute l'Humanité, Je veux vous
sauver; soyez humbles, humbles et
sacri- fiés, Mes
enfants. Et Je vais bénir les objets...
Ces grâces aussi, parce que Je suis Mère d'Amour et de
Miséricorde, servent pour toute l'Humanité. Ne vous
séparez pas de cet objet, Mes enfants; cet objet a
beaucoup de grâces.
Et toi, Ma fille, sois humble, très humble; recherche
l'humilia-
tion et humilie-toi. Pense au Christ Jésus
comme Roi et comme mendiant, Ma fille.
Aimez vos ennemis et aimez-vous les uns les autres.
Pensez, mes enfants, que la mort peut survenir comme
le voleur, sans avertir. Soyez prêts; soyez prêts, Mes
enfants, car Mon Cœur souffre pour tous Mes enfants,
pour tous, sans distinction de races !
Tu vas écrire trois noms dans le Livre de la Vie, Ma
fille... Maintenant il y a trois noms supplémentaires
dans le Livre de la Vie, Ma fille.
Vois-Tu comme Je te
récompense? Ta souffrance ne reste pas sans
récompense. Pense, Ma fille, que Mon fils ne saurait
te donner plus que tu ne peux supporter. Les victimes,
Ma fille, doivent souffrir, mais tu sais bien que Mon
Fils t'a donné un hameçon pour parler de Dieu; avec
cet hameçon, Ma fille, on peut sauver beaucoup d'âmes.
Moi, Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous
bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint
Esprit.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir.
1er décembre 1984
La Sainte Vierge: Ma fille, tous ces malheureux qui
outragent la Parole de Dieu et foulent au pied la
Croix, pauvres âmes! Mes enfants, mettez-vous en règle
avec Dieu. Il est encore temps. N'ayez crainte, Mes
enfants, de confesser vos fautes; soyez prêts;
Vos péchés, fussent-ils comme la pourpre, deviendront
comme la neige! Mais soyez prêts. Réfugiez-vous dans
Mon Cœur Immaculé et Il vous aidera. Je demande que
tous ceux qui sont prêts, n'aient crainte. Vos péchés,
Mes enfants, fussent-ils écarlates, seront effacés. Ma
fille. Dis-leur de se confesser, dis-leur d'avouer
leurs /fautes. Pauvres âmes! Quand elles entendront le
grondement du tonnerre et le fracas des montagnes,
alors, Ma fille, il n'y aura plus de remède. Mais que
ceux qui sont prêts, se réfugient dans le Christ une
fois de plus. Je vous demande aussi, Mes enfants, que
person- ne, personne ne vous effraie; quand ce sera
l'heure, soyez forts, car (Mon Fils aime les êtres
courageux.
Nous demandons aussi, Mes enfants, qu'il y ait des
âmes qui fassent réparation pour les péchés des
pasteurs de l'Eglise; Je cherche des âmes, Mes
enfants, qui expient à leur place, car Jésus est
offensé, très offensé par ces âmes qui sont attachées
à la matière, Ma fille; elles sont plongées dans le
monde et ne se sou- viennent pas du Christ. Comme il
Me plairait que ces âmes annon- cent 1'Evangile dans
tous les coins de la terre!
Mes enfants, quel enfant, voyant que sa mère est
malade, ne devient triste? Moi Je suis malade de
douleur, Mes enfants, à cause de vous tous; à cause de
Mes âmes consacrées. Mon Cœur les aime tant et comme
elles répondent mal à cet amour! Baise le sol, Ma
fille, pour ces pauvres âmes... Pauvres âmes! Si le
démon, avec ruse, a entraîné Eve dans le péché,
comment ne va-t-il pas les entraîner dans le péché?
Prenez garde, Mes enfants, prenez garde car Satan, par
sa ruse, veut s'emparer du plus grand nombre d'âmes.
Sacrifice, Mes enfants, sacrifice et pénitence. Rendez
visite au Très Saint Sacrement. Mon Fils est triste et
seul, triste et seul pour les hommes; si çà n'avait
été à cause de ses Anges, qu'aurait-Il fait de
certains Prêtres? Pauvres âmes, Ma fille !
Sacrifiez-vous pour l ~ elles; le démon les introduit
dans les plaisirs et ils ne s'efforcent pas';>
de dominer la chair, Mes enfants; la chair est faible,
mais eux doivent être forts: soit le Christ, soit le
monde.
/
Et toi, Ma fille, Je te veux humble et petite, toute
petite, parce que Mon Fils aime ce qui est petit.
Baise à nouveau le sol pour toutes les âmes, pour
toutes, Ma fille, sans distinction de races... Baise à
nouveau le sol, tu ne l'as pas fait, Ma fille...
Recherche l'humiliation, Ma fille, la calomnie et sois
humble;
avec l'humilité, on obtient tout, Ma fille. Fais des
sacrifices, car Mon ,
Fils aime les ~es victimes et il a soif d'âmes, d'âmes
qui sachent
et veuillent faire réparation.
Mes enfants, Je recommande à tous ceux qui ne se sont
pas ré- conciliés avec le Christ, de s'approcher
aujourd'hui même du Sacrement de la Confession, pour
pouvoir recevoir le Sacrement de l'Eucharistie. Mon
Cœur de Mère vous aime tant, Mes enfants, qu'il n'y a
plus moyen de pouvoir vous avertir car nous avons
épuisé tous les recours. Préparez-vous, Mes enfants,
par la pénitence et le sacrifice. Aimez beaucoup Mon
Fils afin qu'il vous conduise au Père et Moi aussi Je
peux vous mener à Mon Fils. Aimez-Moi beau- coup, Mes
enfants, comme Moi Je vous aime tous.
Baise le sol, Ma fille, pour ces âmes qui sont si
vaniteuses et si \cruelles envers Mon pauvre Cœur.
Pauvres âmes impies qui veu-
lent gouverner le monde; et sans le Christ, sans Dieu,
il ne saurait y avoir... (Parole incompréhensible). il
peut y avoir la guerre, Ma fille, mais le Christ
recherche la paix ; il l'a toujours cherchée; voilà
pourquoi certains disent que le Christ était
socialiste, Mes enfants ; ~ le Christ fut sociable. Je
te l'ai bien souvent dit : ne mêlez pas la politique,
Mes enfants, la politique sert aux hommes, à
détruire...
.J'(Et les âmes consacrées, Je les veux humbles,
pauvres et sacrifiées. . . c: 1" Mon Fils ne veut ni
de pharisiens, ni d'impurs, ni d'âmes attachées / à la
matière' ils vont devoir tout laisser, Ma fille, tout.
Le plus
\ important, c'est l'âme; les hommes ne pensent pas,
Ma fille, que toutes les richesses ne leur serviront
qu'à les condamner. ils vivent comme le riche avare,
oubliant de distribuer les miettes aux néces- siteux,
pauvres âmes, les imitateurs du Christ, ses âmes
consacrées.
Je vous veux pauvres, humbles et sacrifiés, Mes
enfants.
Annoncez l'Evangile dans tous les coins de la Terre;
avec
(,
l'Evangile, Mes enfants, vous vous sauverez; Beaucoup
d'entre vous ne l'ont pas lu, c'est pour cela que vous
ne suivez pas le Christ; et si vous l'avez lu, vous
l'avez fait machinalement. Que vos prières jaillissent
du plus profond de votre cœur, Mes enfants. Je vous
veux pauvres, mais saints. Mes pauvres âmes! Mon Cœur
est accablé de douleur à causè d'elles en voyant
qu'elles se précipitent dans l'abîme. ComÎne il
souffre, Mon Cœur! Faites des sacrifices, Mes enfants,
pensez que le Christ fi'avait qu'une tunique et qu'Il
n'en eut pas de rechange; avec sa tunique, ses besaces
et ses sandales, Il allait de village en village
annoncer l'Evangile, Mes enfants. Je vous veux
humbles, humbles et sacrifiés, Mes enfants.
Et toi, Ma fille, sois humble, très humble; Mon Fils
aime les
âmes humbles. Pense que Nos âmes, Nos âmes sont
victimes; mais combien Mon Cœur t'aime!. . .
Depuis ta plus tendre enfance, Je t'ai affinée, Mon
Fils t'a affinée. Moi Je L'ai aidé à te façonner pour
ce moment-ci, Ma fille. A quoi sert à l'homme, tout ce
que le monde recèle, s'il n'entre pas au Ciel, Ma
fille ? Toi, tu prépares ta demeure, et les Anges la
pré-
parent. . .
Tu vas écrire trois nolns sur le Livre de la Vie. ..
Trois noms de plus dans le Livre de la Vie, Ma fille ;
tu vois comme il vaut la peine de souffrir, car ces
noms ne s'effaceront jamais, Ma fille, jamais. Je vais
vous donner Ma sainte bénédiction.
Amparo: CA voix très basse). Va, bénis-les,
bénis-les.
La Sainte Vierge: D'abord, Je vais bénir les objets.
Levez tous les objets; ils seront tous bénits,..
Je vous bénis, Mes enfants, comme
le Père vous bénit,
par l'in-
termédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir!
8 décembre 1984
La Sainte Vierge: Ma fille, Je suis Marie, Pure et
Immaculée, Mère de Dieu et Mère du genre humain.
Défendez Ma pureté, Mes enfants. Quand le Mystère de
Dieu le Père s'est incarné dans Mes entrailles, il n'y
avait pas de souillure, J'étais plus limpide et plus
blanche que le lys. Mes enfants, si vous M'aimez,
défendez-Moi, défendez Ma pureté; pensez que Votre
Mère fut pure avant et après l'enfantement, Ma fille.
Le rayon de soleil entra dans Mes entrailles, et c'est
là que Mon Fils se forma; c'était le mystère de Sa
Divine Majesté, Mes enfants. Ma pureté est un don
spécial que Dieu, Mon Créateur, M'a octroyée. Que de
mystères ne vous a-t-on pas révélés, Mes enfants!
Quand vous vous présenterez devant le Père, ils vous
seront tous dévoilés; prenez patience, et soyez hum-
bles pour pouvoir parvenir au Ciel et prendre part à
tous ces mys- tères. Beaucoup de mystères M'ont été
révélés, Mes enfants. Comme Je te l'ai dit, Ma fille,
Dieu le Père M'a fait connaître beau- coup de mystères
célestes: le mystère de la Maternité du Christ et le
mystère de Mon Immaculée Conception.
Ici-bas, Ma fille, J'ai vécu comme les hommes, mais Je
t'ai dit une fois que Je ressemblais en tous points
aux êtres humains, sauf dans
1 le péché; Mon âme était faite pour louer Dieu, Mon
Créateur. ~ \ J'entretenais de tendres dialogues avec
Lui, Mes enfants, et J'avais cf
\la joie dans Mon Cœur. Mon Cœur n'est pas seulement
rempli de douleur, mais aussi de joie. Parfois Mon
Cœur éprouvait une grande allégresse lorsque les Anges
Me consolaient. Ils sont les seuls à con- naître le
mystère de l'Incarnation et de Ma pureté, de Mon humi-
lité sur terre et de Ma charité envers les hommes.
Satan voulait détruire, et lorsque Je demeurai seule
sur la Terre, sans Mon Fils, Satan voulait Me
détruire, mais Je n'ai jamais aban- donné la prière;
J'entretenais de grands colloques avec Mes Anges et
Satan n'a jamais pu l'emporter sur Moi. Voilà pourquoi
Satan était furieux et il forma l'inimitié entre la
femme et l'homme, la haine, l'envie, toute sorte de
péchés, car il savait que toutes les
générations Me loueraient. C'est pour cela, Mes
enfants, que Satan, ; très rusé, voulut Me détruire,
Moi, qui était la Mère de Dieu.
Comment ne va-t-il pas vouloir jouir de vos âmes, Mes
enfants? Il veut s'emparer de vous. Avec la prière et
le sacrifice, vous demeu- rerez inébranlables, Mes
enfants.
Ma vie fut une souffrance continuelle, parce que les
hommes ne voulaient pas ,rendre grâce à Dieu de leur
avoir donné la vie et se rebellaient contre Lui. Mais,
en même temps, Mon Cœur ressen- tait une grande joie
lorsque Mon Fils dressa son autel en Mon sein et y
laissa le Saint Sacrement, Ma fille. Je Le gardais
jour et nuit; aucun être humain ne sait que Mon sein
était le Tabernacle du Christ. Personne ne le sait, Ma
fille, parce que Je n'ai pas voulu que l'on répandit
Ma vérité; c'est la raison pour laquelle, dans la
Bible, l'on parle si peu de Moi, parce que Je ne l'ai
pas voulu. J'ai désiré que Mon Fils soit le Roi de
l'Univers et de la Terre. Je n'ai pas voulu mettre Mon
Fils au second rang, car Il fut le premier, le premier
que Dieu envoya pour mourir sur une Croix et sauver
les hommes.
Ma fille, Dieu M'a révélé le mystère de la mort du
Christ; J'ai tout vu au cours de Ma vie. Mon Cœur
souffrait, Ma fille, comme Je te l'ai montré; mais en
même temps, Mon Cœur ne voulait pas voir souffrir Mon
Fils; Je Le consolais, Ma fille, Lui qui était Mon Roi
et Mon Bien-Aimé, et Il Me consolait, Moi Sa
Bien-Aimée.
, Ce mystère Je te l'ai révélé, mais il est préférable
que les hommes connaissent les raisons pour lesquelles
l'on ne parle pas de Moi dans la Bible. Mon humilité,
Ma fille, Mon humilité M'empêcha de Me mettre en avant
afin que les hommes apprissent à être humbles ; Je
n~ai pas voulu que l'on écrivit sur Moi quoi que ce
rut. Ma fille, Je te révèlerai beaucoup de mystères,
sur ce qu'a été toute Ma vie. Partout où Il allait
annoncer l'Evangile, Je ne cessais de suivre Mon Fils.
J'étais entho~siasmé~, en entend~t Ses,Pa:oles q~
pén~traient 1dans Mon Cœur a tel potnt que Mon ame
etalt emplie d'allegresse et débordait de joie. En
certaines occasions, Ma fille, Ma joie était telle que
Je tombais à terre, Je tombais de joie; mais à aucun
moment, Je n'ai abandonné le Christ et en maintes
occasions, Je Le
tconseillais. Il Me questionnait, Ma fille, et Je Lui
Je donnais Mon avis. Mon Fils, le Christ Jésus, fut un
modèle de fils.
Lisez la Bible, Mes enfants, car tout homme qui lira
la Bible - c'est-à-dire la Parole de Dieu- apprendra à
aimer Dieu. Mais mal- heur à ceux qui ajoutent ou
retranchent à ce qui est écrit, car ils n'entreront
pas dans le Royaume des Cieux. Quant à ceux qui met-
tent la confusion dans la Doctrine du Christ, pauvres
âmes! Priez pour elles, Mes enfants et soyez des
tabernacles, Mes enfants, comme moi... (Elle parle
dans un langage inconnu). Ma fille, Je ,eux que tu
sois un ~utel, que ton cœur soit l'autel du Christ...
Suis le Christ, Ma fille, jusqu'à la mort; imite Ta
Mère; Je te dévoilerai des secrets, des secrets et des
mystères.
- .. . f1Prends garde, Ma fille, car Lucifer est en
éveil, et là où est Marie, rtlJr - là il veut
détruire. Marie, Reine de l'Univers, Reine du monde et
\ Mère de l'Eglise, Ma fille. Quel grand mystère!
/
Quelle joie l'on ressent dans le cœur quand Mon Fils
com- mande. .. ! (A nouveau, des mots dans une langue
étrange).
Bienheureux ceux qui s'humilient, Mes enfants, car ils
seront élevés! Moi Je fus humiliée, Ma fille,
humiliée, mais Mon humilité
/l'emporta sur l'humiliation. Je vécus comme les
hommes, Ma vie fut la même, - mais la Diviné Majesté
ne voulut pas, Ma fille, que J'imitasse l'ho~e',~ar
l'homm~ étai~ c~uel- dans l'aspe~t physiq~e du
corps..., malS 1 ame, Mon ame etalt pure, pure et
munaculee, parce que J'allais être la Mère de Mon Roi,
Mon Sauveur, Dieu Mon Créate~, Sauveur des êtres
humains. ,~ ~
Baise le sol, Ma fille ; aujourd'hui, c'est un grand
pour réparer les péchés des âmes, il faut expier, Ma
fille, parce qu'il y a beaucoup d'âmes qui nient la
Parole de Dieu et ne croient pas à son exis- tence...
Mes enfants, Je vous veux petits, tout petits, pour
ensuite vous élever haut, très haut.
LOrsque ce moment arrivera, vous verrez quelle
grandeur, Mes enfants, quelle grandeur vous attend!
J'ai eu aussi le privilège de demeurer trois jours au
Ciel, Ma fille, avec Mes cinq sens comme tout être
humain; J'ai vu la grandeur que Dieu le Père avait
pré- parée pour cette pauvre créature; il n'y a pas de
grandeur qui soit
1comparable à cette grandeur. C'est pourquoi, Mes
enfants, avec l'humilité, le sacrifice et la charité,
vous parviendrez à jouir de cette
.vie; c'est une merveille, Mes enfants ;Je ne veux pas
que vous vous
condamniez.mais Je ve~ que vou~ ~ous sauviez, tous,
Mes enfants. Avec le sacnfice, la pnere et la
pemtence, Mes enfants, vous vous approcherez Qe la
Confession pour recevoir le Sacrement de l'E ucharis
tie.
Soyez forts, Mes enfants, et ne vous laissez pas
tromper par l'Ennemi. L'Ennemi peut s'emparer de
n'importe lequel d'entre vous, en vue de détruire
l'œuvre de Mon Fils.
Baise à nouveau le sol, Ma fille, en réparation pour
les âmes con- sacrées...
Mes enfants, aujourd'hui vous allez recevoir des
grâces spé-
i ciales; Dieu le Père demande à Son Fils de vous
donner les grâces
1 spéciales pour le jpur des ténèbres. Aujourd'hui,
Mes enfants, J'ai le 1 privilège de vous concéder
aussi ces grâces; tous les objets qui \seront bénits,
serviront Hour le jour des ténèbres; ils brilleront
tous, partout où ils se trouveront. Levez tous les
objets.. ..ils ont des grâces spéciales~ Mes enfants;
ne vous défaites pas de ces objets, ils ont beaucoup
de valeur.
Maintenant, Mes enfants, Je vais vous donner une
bénédiction spéciale; Je vous protégerai, Mes enfants,
et J'assisterai à l'heure de la mort tous ceux qui
recevront cette bénédiction. Mes Anges seront
présents, toute l'armée des Anges qui M'ont
accompagnée pendant toute Ma vie.
Moi Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous
bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint
Esprit.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir !
9 décembre 1984
(absent du site espagnol)
Amparo raconte les vision qu'elle a reçue: comment une
âme se sauve pour avoir récité tous les jours trois
ave-Maria (déjà indiqué par le Christ à Marie-Julie
Jahenny 1850-1941, mystique et stigmatisée Bretonne:
Si vous priez tous les jours ma mère avec trois
ave-Maria en disant: je te salue Marie, pleine de
grâce, fille du Père, lys de pureté, le Seigneur est
avec vous Vous êtes bénie entre toutes les femmes et
Jésus le fruit de vos entrailles est béni. Mère du
Verbe Incarné, Violette d'humilité, Épouse du Saint
Esprit, Rose de charité, priez pour nous pauvres
pécheurs maintenant et à l'heure de notre mort.
(or se sont là les principaux parfums ressentis à
l'Escorial).
23 décembre 1984
La Sainte Vierge: Ma fille, en ces jours si importants
pour Moi, Je ne pouvais manquer de vous donner Ma
bénédiction.
Quand le Verbe fait Homme naquit de Mes entrailles, Je
L'offris à l'Eternel, et l'Eternel Me répondit: "
Marie, prends soin de Ton Fils, allaite-Le, nourris-Le
et soigne-Le parce qu'ensuite Je viendrai Le chercher.
" Je savais, Mes enfants, que... (Paroles dans une
langue inconnue. Amparo se met à pleurer).
Amparo: C°1n1r!e il est petit! Ah ! Qu'Il est petit!
Qu'Il est petit... ! Il est tout petit! Quelle
beauté... ! Quelle beauté... ! Qu'il est petit! Qui
sont-ils tous ceux-là?
La Sainte Vierge: Les armées célestes, Ma fille.
Amparo: Qu'elles sont nombreuses! Elles ne Te
laissent pas seule, un moment? Quelle grandeur! Quelle
beauté resplendit
ici! Et que cet Enfant si beau doive mourir ! La
Sainte Vierge: Oui, Ma fille ! Il a été engendré dans
Mes
entrailles pour être le Verbe fait homme, pour mourir
et racheter l'Humanité.
! Dieu le Père, Mes enfants, a voulu que Je prenne so~
d:Lui afin qu'Il mourut sur une croix, pour vous
racheter du peche et vous permettre de jouir de la vie
éternelle, Mes enfants. Ainsi fut le Christ; c'est
ainsi qu'il fut, Ma fille. Tu sais comme J'ai pris
soin de
.>1Lui et avec quelle application, comment ensuite Je
L'ai livré à la
mort et à la mort sur la croix, car Je savais que par
Sa mort, Il allait racheter tout homme qui voudrait se
sauver.
Lorsque Je parlais avec Lui, Ma fille, dans Mes
entrailles, Je te l'ai dit en d'autres circonstances,
Il se mettait debout, les mains jointes, en prière,
priant pour que vous ne succombiez pas à la tentation,
Mes enfants. Déjà, quand Il était engendré en Moi, Il
voulait sauver l'Humanité; mais l'Humanité est
cruelle, Ma fille. J'ai pris soin de lui, Je L'ai
allaité comme une bonne mère qui aimait Son enfant;
À
comme l'être humain est cruel en retour, Ma fille 1
Comment répond-il à Mon Cœur, à Mon Cœur de Mère,
parce que J'ai été la Mère de Dieu et ensuite, Mon
Fils M'a laissée comme Mère de l'Humanité. Voilà
pourquoi Je vous demande, Mes enfants :Je veux que
vous vous sauVlez.
1Je vous ai dit que Mes Messages prenaient fin, Mes
enfants. Mais
quelle est la mère qui, voyant son fils se précipiter
dans l'abîme, ne
cesse de l'avertir? Combien de fois avez-vous dit à
vos enfants: " Je ne vais plus vous prévenir, vous
serez punis" ; et vous ne les avez
pas punis r Vous les avez avertis une fois, une
seconde fois, encore ,
et encore...
1Observez les Dix Commandements. Quiconque observera
les Dix Commandements, se sauvera, Mes enfants.
Regarde, Ma fille, comment Mon Fils sortit de Mes
entrailles. Comme le rayon de soleil, Il entra en Moi
et comme le rayon de soleil il sortit de Moi. Aucune
tache, Ma fille, rien d'impur ne M'a souillée. Je te
l'ai dit : Mes Anges, Mes trois Archanges, Saint
Michel, Saint Gabriel et Saint Raphaël prirent le
Christ dès sa nais- sance. ils Le déposèrent dans Mes
bras.
Joseph était en extase. Je dus Lui dire : "Joseph, Ton
Fils est ici! ".
Et Joseph adressa des louanges à Son Fils, à Son Fils
adoptif, Mes enfants. '
Nous eûmes avec Lui de doux entretiens, Mes enfants.
Si petit,
il nous répondait, mais il manifestait déjà la
Sagesse...
Je L'ai enveloppé dans ce pauvre linge, parce que Je
n'avais pas de langes.
Amparo: Ah r Pauvre petit r Nous n'en avions pas...
Pauvre petit 1 Pauvre petit r Ne Le couche pas là. Là
Il va avoir froid! Ne Le couche pas! Oh ! le pauvret!
Fallait-il que cela fut
ainsi? Pas un lit, pas un berceau ... Oh! Le pauvre
petit! Ah! Qu'il
est mignon! Que d'Anges!... Dehors les Anges arrivent!
Ma Mère, qu'ils sont nombreux! Mais y en a-t-il tant
ici-bas? Et la lumière jaillit de la poitrine de
ceux-là! Sont-ils aussi des anges ?Et ces autres? Des
anges corporels et des anges incorporels; mais ils
sont identiques. Tu en as de la chance! Ah on n'a
besoin de per- '
sonne si tous les anges sont là. Quelle merveille!
Mais, ne peut-on Le coucher dans un petit berceau?
J..e pauvre!
Là il aura froid. Couvre-Le un peu. Ah ! Quel visage!
Comme il rit ! Ah, le pauvre! Ah, le mignon! Puis-je
le toucl1er à nouveau?. . ( Amparo s'incline en avant
pour réaliser cette opération). Que Tu es ioli ! Moi
je pourrais rester ici pour en prendre soin. Toujours!
Mais ne m'emmène pas à l'autre endroit, laisse-moi ici
avec Lui ! Je ne veux pas aller ailleurs. .. !
Laisse-moi un peu plus ici, en Sa com- pagnie ! Je ne
veux pas partir d'ici! Je ne veux pas m'en aller d'ici
! Pourquoi dois-je aller à l'autre endroit, alors
qu'ici on est très bien?
La Sainte Vierge: Tu es l'instrument, Ma fille, et ta
mission n'est pas achevée.
Amparo: Eh bien, çà suffit, cette mission, comme elle
est longue... ! Je veux rester ici. Je veux rester ici
1 Faites-moi ici ce que vous voulez, mais moi je ne
veux pas aller de l'autre côté, alors qu'on est si
bien ici! Même si je suis orgueilleuse, je veux rester
ici. Ah 1 Quelle joie d'être ici! Ensuite tu vas de
l'autre côté et les gens de se moquer, je ne veux pas
aller à l'autre endroit. Ici, je serai meilleure, je
Te le promets, ici je suis meilleure.
La Sainte Vierge: il faut que tu te purifies au milieu
d'eux, Ma Jfille, parce que tu es fille d'Adam et
c'est d'Adam que tu as hérité.
Amparo: Ah, eh bien, quelle grâce!. .. Bon, mais avec
Ton aide, n'est-ce pas? il faut que Tu m'aides, parce
que Tu me laisses seule, seule! Parfois je ne Te vois
pas et je ne peux Te toucher, ni T'entendre. Hein? Ne
m'abandonne pas ainsi, de cette,façon.
Ah ! Que Tu es grande et que Tu es heureuse, là-bas,
avec Ton Joseph, Ton Jésus et Tes anges. Et moi, qu'en
est-il? Comme tu es heureuse, Ma Mère!
La Sainte Vierge: D'abord la félicité, Ma fille, et
ensuite la 1- souffrance.
Amparo: Et moi, toujours la souffrance, toujours,
tou- jours la souffrance! Ah ! Si Tu me laissais ici!
Je te promets que j'obéirais à tout ce que Tu me
demanderais, et j'obéirais en tout, Ma Mère, en tout!
La Sainte Vierge: Ne sois pas orgueilleuse, Ma fille.
Amparo: Ah ! je veux que Tu m'aides. Comme elle est
dure cette mission! Quelle dure mission! En voilà une
mission, celle dont Tu m'as chargée!
La Sainte Vierge: Tu seras bientôt façonnée, Ma fille.
Amparo: Bientôt! Depuis quand dis-Tu que je serai
bien- tôt façonnée? Allons! Ils est vrai que j'avais
besoin d'être modelée, hein ?
Aide-moi! Mais pas seulement ici, de l'autre côté
aussi. Je Te promets, je Te promets que j'aiderai
beaucoup d'âmes pour qu'elles
/parviennent à cette merveille, parce que, l'autre
côté, est-il sem- blable à celui-ci? Plus encore? Bien
sûr ! Ah ! Ma Mère! Ah, le
pauvre Saint Joseph! Comme il est âgé! Pourquoi
courbe-t-llla tête jusqu'au sol? Que fait-Il ? En
train d'adorer Jésus? Mais moi aussi je veux
L'adorer...
La Sainte Vierge: Mes enfants, vous pouvez chanter: "
Gloire à Dieu au plus haut des Cieux et paix sur la
Terre aux hommes de bonne volonté. "
Amparo: Ah ! Quel enfant!
La Sainte Vierge: Je vais bénir tous les objets, Mes
enfants. Votre Mère va vous donner cette grâce
spéciale. Levez tous les objets... Ils ont tous été
bénits, Ma fille.
Je vais vous donner Ma sainte bénédiction; mais
auparavant Je vous demanderai de beaucoup aimer le
Christ; aimez-Le de toute votre âme, de tout votre
cœur et de toutes vos forces. Mes enfants, aimez Mon
Fils car cet amour sera récompensé.
Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l'in- termédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir
25 décembre
1984
La Sainte Vierge: Vois, Ma fille, le Verbe fait homme
est sur la paille dans une pauvre crèche; enveloppé,
Ma fille, enveloppé dans de tristes langes.
Mais tu vas dire, Ma fille, la mission de chaque Ange.
Amparo: Ah ! Comme ils sont nombreux! Mais ces
trois... Voici Saint Michel. Où va t-il ?
La Sainte Vierge: Il va descendre au fond des Limbes,
Ma fille. Il va avertir Joachim, Anne, les Saints
Pères et tous les Prophètes..
Vois combien de saints il y ~ dans les limbes!
Amparo: Oh ! Ah ! Qci est-elle? C'est la mère de la
Vierge, et celci-ci est Son père. Que disent-ils à
l'Ange? Ils sont en train de Ici dire... Ah ! Quelles
langues! Et l'Ange leur annonce que le Roi du ciel et
de la Tetre est né et que leur Fille l'a envoyé les
avertir.
Anne Ici demande de transmettre à sa fille, et elle
appelle tous ceux qci sont dans les Limbes et ils se
mettent à chanter un hymne de lou~ge à cet Enfant.
Mais, les morts, on ne les voit pas! Ah ! Combien de
mystères! Ah, ils sont tous à genoux. Ils sont en
train de chanter un hymne: "Gloire au Roi qci est né,
engendré d'une Vierge, Il s'est fait homme, le Roi du
ciel et de la Terre".
Ils chantent tous! Comme ils sont à l'étroit là! Ce
lieu paraît un enfer.
La Sainte Vierge: Ce Roi qui est né, mourra sur une
Croix pour racheter le monde. " Gloire à Dieu dans le
ciel et sur la Terre, paix aux hommes qui aiment
Dieu".
Amparo: Maintenant, c'est un autre Ange qui va sur un
chemin rempli de pierres. Il y a un écriteau
indiquant" Bedùéem " ; un autre signale: " Damas" ; et
un autre: " Palestine".
Il avance sur un chemin plein de lumière. Ah ! Il
arrive à une maison qui ressemble à un palais. Il y a
un puits. Il frappe à la porte. Pour quoi rAnge
peut-il frapper à la porte ?Oui, il peut entrer ? Ah !
Un corps céleste...
Une femme âgée sort; elle porte un voile qui fait deux
fois le tour de la tête et une jupe très longue.
Elle a dans ses bras un enfant d'environ six mois.
Elle parle avec l'Ange. Elle lui ouvre la porte. Il y
a comme un jardin et à gauche un puits avec un seau.
Cette femme s'assied sur un tabouret en bois et garde
l'enfant sur elle. L'ange lui dit que le Rédempteur
est né, qu'il vient l'en avertir car c'est Marie qui
l'envoie. Cette femme tombe à genoux. Cet enfant si
petit, tombe à genoux également Ah ! Mais comment cela
se pet!;t -il ?
Ils regardent le ciel et disent: " Bienheureux Celui
qui comman- dera sur toutes les générations ". Je suis
à ton service, Mon Sei- gneur, dit-Elle à l'ange. bis
à Marie, qu'Elle ne nous oublie pas, nous La suivrons
toujours, jusqu'à la mort.
L'ange lui dit : " Cet Enfant est très pauvre, Il est
né dans une mangeoire, sur la paille ".
Cette femme entre dans une maison qui ressemble à un
palais.
;; Elle prend des habits et en fait un paquet. Au
milieu de ces habits,
il y a des vêtements pour un petit enfant. Elle prend
de l'argent, le glisse à l'intérieur des habits et
remet le paquet à l'Ange. Il y a aussi des vêtements
pour adultes.
Cette femme dit à l'ange:" Donne-le à Marie pour le
Petit, pour son Epoux et pour Elle. C'est une toile
fIne que mérite le Roi du
Ciel et de la Terre; li ne mérite pas de rester sur de
la paille ".
li y a un autre Ange. Cet Ange va dans un champ. li y
a beau- coup de bétail, beaucoup de brebis. li y a
beaucoup de garçons revêtus de peaux. Une grande
lumière survient. lis tombent par terre effrayés et
cri~,nt : Il Qui est-ce? Qui va par là ? ". L'ange
leur dit : Il N'ayez crainte. Je suis l'Ange Saint
Gabriel. Je viens vous annoncer que votre Messie est
né, celui que vous attendiez. Allez par ce chemin et
vous trouverez un Enfant resplendissant dans une
crèche. Celui que vous verrez rempli de lumière, sur
la paille, c'est
1Jésus. C'est Jésus, le Roi, le Sauveur, le Roi, le
Sauveur, le Dieu Tout-Puissant, Fils du Dieu vivant.
Allez l'adorer.
Beaucoup de ceux qui ont des peaux sur le dos, se
mettent en route. lis ont des bâtons. lis vont par un
chemin. Oh ! Qu'ils sont nombreux! Ah ! lis empruntent
un autre chemin. Survient une grande lumière. Cette
lumière est comme une flèche. Elle les
guide jusqu'au seuil de la crèche. ll.$ s'agenouillent
et adorent
l'Enfant. Ah, Que Tu es grand! lis chantent à nouveau:
Il Gloire à Dieu au plus haut des Cieux et aux hommes
de bonne volonté, sur la Terre ". Oh! Combien d'Anges!
Oh! Quelles choses! D'un autre côté, il y a dés hommes
horribles. Oh ! Quelle hor- reur! lis ne peuvent
s'approcher de là.
Un ange arrive et ils prennent la fuite. Oui, c'est
celui d~ l'autre fois. Ah ! Mais c'est le démon! li
les emmène tous. Les voici dans une p~ofonde caverne.
Satan parle, il leur parle à tous et leur dit : Il
Soyez en éveil, car le Fils du Dieu vivant n'est pas
encore né. Une femme a mis au monde un enfant, mais ce
n'est pas la Mère de Dieu, parce qu'il est né dans une
mangeoire, sur la paille. Et si Dieu est Créateur et
riche, li ne permettra pas que son Fils naisse dans
une mangeoire. Soyez prêts car le moment où ce Messie
doit naître est arrivé. J'ai parlé avec Hérode. Ah !
Quelle rigolade! Hérode croit que c'est le Fils de
cette pucelle qui est le Messie; ce Messie
ne peut naître dans cette pauvreté. Il faut continuer
nos recherches dans les riches palais parce que le Roi
du Ciel naîtra dans un palais. Soyez prêts! ".
Quelle horreur! Oh ! Ils se mettent tous en file
et_s?rtent de cette caverne. Ils s'éparpillent
partout. Oh! Quelle horreur !
La Sainte Vierge: Ma fille, adorez le Christ.
Adorez-le, par l'adoration, la méditation et
l'humilité, Mes enfants, Satan ne pour- ra approcher.
'
Satan ne pensait pas que Dieu, le Rédempteur du monde,
pour- rait naître dans une grotte. L'humilité de Nos
Cœurs fut si grande que nous avons voulu donn~r
l'exemple à l'Humanité.
1 Oui, Ma fille, voila ppurquoi Je te demande d'être
humble, très \ humble, car avec l'humilité, Lueifer ne
pourra approcher.
Tu as vu les merveilles les plus gr~des de Dieu le
Créateur, Ma fille...
De même que les Anges allèrent annoncer la Naissance,
Je vous demande, Mes enfants, d'aller annoncer
l'Evangile par toute la
Terre. "
Mes enfants, Je vous demande l'humilité, l'humilité;
soyez hum- bles, très humbles.
Baise le sol, Ma fille, :),fin-que tu sois humble ~ .
.
1L'humilité désarme- Satan. Lucif~r a de l'emprise sur
les orgueilleux, mais il n'a pas de pouvoir surIes
humbl~s, Ma/fille.
Ne vous relâchez pas dans la prière et le
sacrifice,"Mes enfants.
t toi, Ma fille, réfugie-toi en Nos Cœurs.
Réfugie-toiidans cette Famille; cette Famille, Ma
fille, est Sacrée...
Pense toujours, Ma fille, ~ la pauvreté de la crèche
et à l'humilité
sur la Croix. Je te dévoilerai un secret d~ ton
enfance, Ma fille.., To~ seule, pourras le comprendre.
(Elle- parle une langue inconnue). Vois comme tu
imitais Jésus sans Le connaître, Ma fille, ~ ta
naissance...
Maintenant tu sais; n'aie pas honte, Ma fille.
Bienheureux les pauvres, Ma fille, car le Royaume des
Cieux est à eux!
Cette bénédiction aussi sera spéciale, Ma fille. Je
vous bénirai tous avec une bénédiction spéciale.
Je vo~s bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l'in- termé~aire du Fils, et avec le Saint Esprit.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir !
31 décembre
1984
La Vierge révèle à saint Joseph que son fils mourra
crucifié.
Amparo voit la circoncision.
La Sainte Vierge: Voici Votre Mère, Mes enfants; Je
viens comme Mère et amie. Confiez-vous à Mon Cœur.
Comme Mère, car Je suis Votre Mère, M~ enfants; c'est
pourquoi je continue à vous donner des avertissements.
Tu vas voir, Ma fille, une autre scène de la Vie de
Jésus. Raconte
ce que tu vois.
Amparo: L'Enfant est dans la crèche; ah, dans cette
grotte. Il est toujours là. Il y a Saint Joseph et la
Vierge, Sa Mère.
La Vierge prend l'Enfant et Lui dit : "Mon Roi, Roi du
Ciel et de la
Terre, étoile de Mes entrailles, amour du Père, amour
du Fils et amour de l'Esprit-Saint. Dieu Eternel qui
as donné la beauté à cet Enfant, ton premier-né et le
Mien, Roi."
La Vierge Le caresse et dit à Joseph: joseph, Je n'ai
pas voulu Te révéler un secret avant que Dieu le Père
Me le communique. Le moment de Te le dévoiler est
arrivé. Sais-Tu que Notre Fils, Ton Fils adoptif et
Mon Fils naturel doit être circoncis ?"
Qu'est-ce que c'est? Ah ! Circoncis! Joseph se montre
très.. .oh ! Comme s'il ne le comprenait pas. La
Vierge lui dit : "Nous devons obéir aux Lois de Moïse;
la Loi dit que tous les enfants doivent être
circoncis, et Notre Fils doit l'être aussi. Quelle
douleur Je ressens dans Mon Cœur, Joseph! il commence
tôt à verser son sang pour l'Humanité! il est
innocent. il n'a pas de péché comme tous ceux qui vont
être circoncis, mais il faut le faire. Nous devons
donner l'exemple, Joseph."
Saint Joseph regarde le Ciel et dit : "Que Ta Volonté
soit faite, Dieu Sage, Dieu Tout-Puissant et Dieu
Créateur".
La Vierge prend l'Enfant, Le caresse et Lui dit :
"Fils de Mon âme, Tu dois être circoncis. il faut
donner l'exemple au genre humain."
L'Enfant répond: "Ma Mère bien-aimée, Je suis venu
pour souf- frir."
Ah, comme cet enfant parle! La Vierge caresse
l'Enfant. Elle Le tient dans ses bras. Ah ! Quelle
beauté! Que Tu ,es grande! il n'y a rien de plus beau
que Toi! Ah ! Ma Mère! Ah! Quelle beauté! Ah !
La Vierge parle à Saint Joseph et Lui dit : 'Joseph,
va et appelle le prêtre; qu'il vienne ici, à la
grotte, pour pratiquer cette opération Je ne veux pas
sortir l'Enfant de peur qu'il ne prenne froid. Va et
avertis-le."
Saint Joseph s'en va; il entre dans un lieu où il y a
une salle très grande. il y a un homme vêtu d'un habit
rouge. il parle avec lui. Qui est cet homme? Ah !
"Grand Prêtre - lui dit Joseph - Mon épouse désire que
vous veniez chez nous pour circoncire Mon Fils."
Cet homme, celui qui lui a dit qu'il était le Gtand,
Prêtre, en appelle deux autres et ils s'en vont avec
Joseph. / /
Ils arrivent à l'endroit où se trouve la Vierge. La
Vierge se tient sur le seuil. Elle baise leurs mains
et les invite à entrer. Ils pénètrent à l'intérieur en
regardant partout. Celui qui est en arrière dit à
celui qui est devant: "Quelle pauvreté chez cette
femme! Ici on ne va pas pouvoir faire la circoncision.
Ce lieu est très pauvre."
Les trois sont à l'intérieur. La Vierge s'adresse 11
Dieu le Père, Elle s'agenouille et Lui demande que Son
Fils ne soit pas cir- concis; Elle demande à avoir une
autre souffrance en échange de celle-ci... Elle entend
la Voix du Père qui Lui dit : "Marie, quand Ton Fils
est né, Je T'ai dit de L'allaiter, de Le nourrir et de
Lui par...
.1
(1er j~squ'à ce que Je vienne Le chercher. C'est une
épreuve de plus, 1 Mane,c'est un Sacrement."
La Vierge met les mains sur sa poitrine, incline la
tête jusqu'au sol et Lui dit : "Que Ta Volonté soit
faite, sur la Terre comme au Ciel."
La Vierge parle avec le Prêtre et lui dit : "S'il vous
plaît! Que le couteau soit le plus doux possible. Que
l'on ne fasse pas beaucoup de mal à l'Enfant."
La Vierge dit en regardant le Ciel: "Ah , Saintes
Lois, que de douleur vous causez à Mon Cœur! Que Mon
Fils innocent doive payer comme un pé~eur !".
Ils disent à la Vierge de Q,e pas entrer et La
laissent à l'extérieur. Ils prennent l'Enfant, mais la
Vierge s'agenouille et leur demande de Lui permettre
de La laisser avec Son Fils jusqu'à la fin de la cir-
concision. Ceux-ci refusent...
Celui qui est en arrière sort et L'appelle. Il donne
l'Enfant à l'autre. 'Ah , oui, ils La laissent entrer.
Et la Vierge passe dans une toute petite pièce de la
grotte.
Il y a une sorte d'autel avec un drap blanc et deux
cierges.. .La Vierge enlève les vêtements à l'Enfant.
Comme Elle Lui enlève Ses vêtements! "Oh, quel Enfant
gracieux! Mais, que vont-ils Lui faire avec ce couteau
?"
La Vierge demande que l'on ne fasse pas trop de mal à
Son Fils ! La Vierge prend une serviette qu'Elle porte
à la ceinture et place un récipient en-dessous. Trois
gouttes de sang tombent. Elle prend l'Enfant, Lui met
la serviette, Le caresse et dit : "Mon Bien, Mon bien
aimé! Tu commences déjà à sbuffrir."
Ah ! Comme l'enfant pleure! Ne pleure pas Mon Amour.
Ah ! Quelle peine! Pauvre Petit. Comment peuvent-ils
Lui faire cela? Ah ! Ma Mère 1 Pauvre Petit, qu'Il ne
pleure pas! Ah !...
Il Y a beaucoup d'Anges. Oh ! Combien d'Anges! Il Y en
a beau- coup, beaucoup! Combien sont-Ils? On ne peut
les dénombrer! Dis-moi, combien ils sont. Donne-moi un
chiffre. Douze mille ? Comme ils sont nombreux! Oh !
Comme Ils chantent! La Vierge
rIeur demande de chanter pour consoler l'Enfant. Comme
Ils
chantent! Ah, quelle beauté! Ah, qudie beauté! Ah,
qudie beauté !
La Vierge ne quitte pas l'Enfant. Elle L'a dans Ses
bras. La Vierge pleure beaucoup. Elle apprend à
souffrir.
La Sainte Vierge: Un autre jour, Ma fille, tu verras
une autre scène de la Vie du Christ.
Amparo: Le Pauvre!
La Sainte Vierge: Maintenant, Je vais bénir tous les
objets. Levez tous les objets. Il&'ont tous été bénis.
Je vais vous donner Ma sainte bénédiction: Je vous
bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit, par
l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir.