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MESSAGES ANNEE 1985

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

1er janvier 1985

La Très Sainte Vierge : Ma fille, j’ai attendu jusqu’au dernier moment, parce que beaucoup de curieux étaient présents. J’ai déjà dit à une autre occasion : « Dehors les curieux ! » Et en ce moment je répète ces mêmes paroles : « Dehors les curieux ! » Ils ne sont pas dignes de participer à ces mystères si saints. Je vais te révéler un autre mystère, ma fille, du plus profond de mon Cœur. Je veux que tu y participes. Je vais te l’expliquer. 
Amparo : Voici Marie. Elle est avec l’Enfant. Ils sont toujours dans la Crèche. Voici saint Joseph. Il porte l’Enfant dans ses bras. Saint Joseph est à genoux ; il prie. Il se lève et dit à Marie : « Marie, mon Epouse, nous devons quitter cet endroit. Nous devons aller à Nazareth. Prépare-toi, le chemin est long. Nous ne pouvons plus rester ici, il y a beaucoup d’humidité, il fait trop froid pour l’Enfant. Rassemble tes affaires puis nous partirons, Marie, mon Epouse. »
Marie le regarde et lui dit : « Joseph, mon Epoux, je suis obéissante et je ferai ce que tu voudras. C’est avec une grande douleur dans le Cœur que je partirai de cet endroit, où tant de mystères ont eu lieu, où est né le Fils Premier-né de Dieu et mon Fils Premier-né. Mais si tu veux, toi, mon Epoux, que nous partions, nous partirons. »

Marie se lève avec l’Enfant dans les bras ; elle regarde autour d’elle ; elle regarde l’endroit où elle a vécu et met la main sur sa poitrine ; elle lève les yeux au Ciel et elle dit : « Dieu du Ciel, mon Créateur, si c’est ta volonté que j’abandonne ce lieu…, mais tu sais qu’il faut qu’un autre mystère s’accomplisse ici. Je l’ai lu dans les Ecritures et il faut qu’il s’accomplisse ; mais je serai obéissante jusqu’à la mort et j’obéirai à mon Epoux. » 
Alors on entend un grand bruit. Quelle voix ! et cette voix déclare : « Joseph, chaste Joseph ! et toi, Marie, Pure jeune fille ! Ecoutez, je vais vous communiquer un autre mystère. » 
Ah ! Il y a trois hommes maintenant ! Ceux qui ont circoncis Jésus ! Ils lèvent les mains ! Eux aussi ont entendu cette voix. Ils s’agenouillent. Ah ! Ils écoutent la voix … Ah ! une lumière apparaît… ! C’est un ange. Ah !… (L’ange parle :)
« Marie, je suis l’Archange Gabriel - lui dit-il. J’apporte un nom nouveau pour ton Fils Premier-né. Il s’appellera Jésus. » 
La Sainte Vierge se prosterne jusqu’à terre, elle prend l’enfant qui repose dans la mangeoire et s’exclame : 
« Dieu Créateur, ô mon Dieu Tout-Puissant, le Fils de mes entrailles, quand il prit chair humaine, m’avait révélé ce Nom, et qu’il s’appellerait Jésus. Mais je Te rends grâce d’avoir entendu ce Nom de ta bouche. »
Alors Joseph se lève, les mains tendues, regarde le ciel et dit :
« Mon Epouse, moi aussi je connaissais ce secret ; mais je ne voulais pas le dire avant qu’il ne soit révélé à nous deux. »
(Amparo poursuit) : 
Ah ! quelle beauté ! Ah ! comme cela est grand ! Ah ! et que va faire cet homme ? Ah ! Il prend un papier, il se lève, il le prend et écrit avec une plume, comme une plume d’oiseau, et il écrit le nom. Quel est ce nom ? Ah ! C’est le nom de Jésus ! Ces hommes joignent les mains et regardent le ciel ; ils rendent grâce à Dieu en disant : « Le Dieu Sauveur a ressuscité en nous la foi ; la foi et l’amour. Nous serons fidèles, très fidèles, parce que notre âme a tressailli dans notre corps. »
Ah ! Un autre ange apparaît, et beaucoup d’autres encore ! Ils portent sur leur poitrine un blason suspendu à une cordelière. Ils portent tous ce nom : Jésus, Jésus. Et un autre ange porte une grande feuille de papier sur laquelle est écrit le nom de Jésus. Ah ! quelle beauté ! Comme tu es grande, ma Mère ! Mon Dieu ! quelles choses il y a ici ! Quelles grandes choses !…. Ah ! Ah, ma Mère, quelles lumières ! De ces corps sortent une grande lumière et les rayons se réunissent au-dessus de la Crèche où se trouve le Seigneur… Ah, ils l’appellent par son nom : JESUS, JESUS ! Tous les anges l’entourent et s’agenouillent ; ils adorent Jésus. Quelle beauté ! Quel amour d’Enfant ! Ah, quelle beauté ! 
La Très Sainte Vierge : Oui, ma fille, la Victime innocente a été circoncise bien qu’elle fût innocente, pour…
Amparo (elle l’interrompt avec émotion) : Oh : le pauvre ! Le pauvre ! Ah ! son visage… ! Comme tu es beau ! Le pauvre ! Laisse-moi le prendre un instant seulement ! Ah, seulement un instant ! Ah, ah ! comme cela est grand… ! Ah, ah, comme tu es beau ! ah ! quelle beauté ! Ne pleure plus… Ah : Prends-le ! Ah ! Il ne pleure plus… ! C’est bien ! Ah ! quelle grande chose ! Ah ! cet Enfant ! Ah, ah !…
La Très Sainte Vierge : La Victime innocente a versé son Sang pour donner à l’humanité un exemple d’obéissance, ma fille, car Jésus est né sans tache. Mais il s’est humilié devant les lois en exemple pour les hommes. Il s’est fait l’égal de tous ceux qui se faisaient circoncire. Regarde parmi eux celui que tu connais.

Amparo : Ah ! Ce petit enfant est là aussi ?… Ah ! C’est l’enfant de cette femme à qui l’ange est apparu. Ah ! C’est le Précurseur ? Ah ! Comme tu es grand ! Et comme ils sont grands, les mystères qui ont lieu ici, n’est-ce pas ? 
La Très Sainte Vierge : C’est pour cela que je veux que tu participes à mes mystères. Et à tous, tu y vas prendre part, ma fille, tous te seront révélés. 
Amparo : Ah ! quelle joie ! Tous ? Ah ! Quel bonheur ! Et maintenant, qu’allez-vous faire ? Allez-vous rester ici ? Jusqu’à quand ? 
La Très Sainte Vierge : Jusqu’à ce que les Rois Mages viennent apporter leurs présents à mon Fils. 
Amparo : Ah ! Ah ; quelle joie ! Ah !…
La Très Sainte Vierge : Joseph est content lui aussi que mon Fils reçoive des cadeaux. 
Amparo : Ah ! Ah !, ma Mère ! Je ne veux plus être ailleurs qu’ici. Je veux rester ici. Je ne veux plus bouger d’ici. Ah ! quel bonheur ! Comme on est bien ici avec tous ces anges ! Ah, ma Mère… ! Oh ! Et cette lumière qui sort d’ici, du centre ! Ah, et bien, dis-moi tout maintenant. Allons, tout … ! Oh ! 
La Très Sainte Vierge : Ces choses te seront révélées peu à peu, ma fille. 
Amparo : Ah ! maintenant, encore ! Ah, quelle joie ! Ma Mère, aide-moi à devenir meilleure ! Ah ! Pourquoi suis-je si mauvaise… Mais, comment puis-je être bonne ? Ah ! Toi, aide-nous, Mère, Toi qui est si bonne. Comment as-tu pu dire que tu n’étais qu’un ver, Toi qui est si bonne ?…Ah ! Quel bonheur ! Ah !…
La Très Sainte Vierge : Voici des jours de bonheur et de joie, ma fille. Je veux que vous participiez à cette joie. C’est pourquoi je vais te faire voir toute la vie et l’enfance de Jésus. 
Amparo : Ah, comme c’est grand !Ah !…. Et maintenant donne la bénédiction à tous ceux qui sont ici. Ah, et à moi aussi ! Ah ! Tu me diras d’autres choses un autre jour. Mais ces choses sont si grandes, si grandes… Ah, mon Dieu, quelles choses…! 
Ah ! Je ne suis ni en haut ni en bas. Alors, où suis-je ? 
La Très Sainte Vierge : Par l’humilité, tu parviendras en haut.
Amparo : Aujourd’hui ? ou alors, quand ?….
La Très Sainte Vierge : Je vais vous donner ma sainte bénédiction. Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit, par l’intermédiaire du Fils et avec le Saint-Esprit. Au revoir, mes enfants, au revoir !

 

 

 

 

 

5 janvier 1985

 

Message du 5 janvier 1985, premier samedi du mois au Pré neuf de l'Escorial
 

LA SAINTE VIERGE :
Ma fille, je t’ai dit que tu continuerais à voir le mystère des Rois, ces Mages d’Orient. Raconte ce que tu vois.

LUZ AMPARO :
Je continue de le voir. . . L’Enfant est dans la grotte ; il y est encore. Saint Joseph dit à la Sainte Vierge qu’ils vont partir en ce moment. La Sainte Vierge Marie lui répond en regardant partout autour d’elle. Saint Joseph va vers elle et lui dit : “ Mon épouse, reprends tout, car ce lieu ne convient plus pour continuer à y vivre ”.

Pauvre enfant ! L’enfant est là. Le pauvre ! Ah ! Ah, qu’il est petit ! Ah, il est si pauvre ! Ah ! Où vont-ils aller ? . . . Joseph prend l’Enfant. Ah, qu’il est petit ! Ah, il est si petit le pauvre ! Il le prend dans les bras et la Sainte Vierge se met à genoux. Ils entendent une voix qui leur dit : “ Pure jeune fille et Joseph, chaste Joseph : que vous ne partiez pas avant que les Mages d’Orient ne soient arrivés ”.

Ah ! La Sainte Vierge est à genoux avec les mains jointes. Elle regarde le ciel. Ah ! Que dit-elle ? : “Dieu éternel, je t’ai dit que je ne voulais pas abandonner ce lieu. J’y ai beaucoup de souvenirs. Ici se sont produits beaucoup de mystères. C’est un très grand souvenir que celui que j’ai de ce lieu. Merci, Père Eternel, mon Dieu aimé, mon Dieu créateur. Je te rends grâces de m’avoir fait mère, moi mère indigne, de cet Enfant, Roi du Ciel et de la Terre ; mon Créateur ”.

Ah, quelle très belle chose ! Ah ! Saint Joseph a l’Enfant. Il continue à le tenir dans les bras. Ah ! La Sainte Vierge commence à tout placer et dit à saint Joseph : “ Joseph, pendant que tu as l’Enfant, je vais préparer un peu cette crèche et cette pauvre grotte, pour recevoir ces Mages qui viennent lui apporter des présents, à ton Fils et à mon fils naturel, ton fils adoptif et mon fils naturel ”.

Ah, quelle beauté ! Ah, ce qu’il y a ici ! Quels rayons entrent ! Ah ! Ah, quelles grandes choses ! Ah ! D’où viennent-ils ? Ah ! Quels rayons vont là-bas ! Ah ! Il y en a un, un roi qui est dans son lit. Il se lève parce qu’il voit un rayon de lumière et il entend un ange qui lui dit : “ Lève-toi, va-t’en à Bethléem adorer Jésus qui est né, Roi des juifs. ”.

Ah ! Ah, quelles belles choses ! Il y a un autre Roi avec un autre ange qui dit à nouveau : “ Lève-toi. Lève-toi ! Va-t’en à Bethléem adorer le Roi du Ciel et de la Terre qui est déjà né ”.

Ailleurs, un autre ange dit de même au dernier : “ Lève-toi. Tu dois beaucoup voyager, et va-t’en à Bethléem, où est né le Messie, et va l’adorer ”.

Ah ! Ils se lèvent. Ah ! Les trois sont au même endroit. Ah ! Un par un chemin, un autre par un autre, le dernier par son chemin, ils arrivent au même endroit. Les trois se rassemblent, s’agenouillent et se disent : Je vais adorer le Messie qui est né à Bethléem. Un Roi, le Roi des juifs ”.

Tous les trois disent de même. Bien, qu’est-ce qu’ils emportent ? Ah, quel animal ! Ah, c’est un chameau ! Ah ! Ils montent sur lui. Ils vont par un chemin. Un rayon de lumière apparaît. Il forme une lettre qui est un “V”, et un huit inversé. Comme ils continuent à marcher ! Ah ! Celui-ci marchant devant. Les deux autres le suivant derrière. Ah, ils partent déjà ! Ah, ma Mère ! Il y a un écriteau qui met : “Jérusalem ”. Ils entrent à Jérusalem. Ils demandent à trois hommes, vêtus d’habits de romains, s’il est né ici un Roi. Ils disent qu’ils vont à Bethléem et demandent où se trouve Bethléem ; par quel chemin on y va. Alors ils leur disent qu’ici il n’est né aucun roi. L’un dit à l’autre : “ Demande où est Bethléem ”. “ J’entends,. . .” (Mots dans une langue inconnue). Ils ne veulent pas le renseigner. Ils partent en courant et disent à tous que ces Rois sont en train de demander s’il est né un Roi et que c’est le Roi des juifs.

Alors, arrive un autre roi [Hérode]. Oh, qu’il est mauvais ! Oh, quel visage il a ! Et il leur demande : “ Où allez-vous ?”.
Les trois répondent : “ Nous allons adorer un Roi ”.
“ Où est ce roi ?”.
“ Chemin de Bethléem ”, répondent-ils.
“ Allez, cherchez-le et, quand vous l’aurez rencontré, prévenez-moi. Je veux adorer ce Roi moi aussi. J’en ai entendu parler et je veux l’adorer ”.

Quand ils se furent éloignés, il dit aux autres : “ Celui-ci est le Roi que j’espérais. Nous devons le chercher. Va-t’en et préviens partout qu’il est né un Roi, qu’il faut sortir le chercher, parce qu’ici il n’y a pas d’autre roi que moi. Il n’y a pas d’autre roi ! dit-il à tous ”.

Ah, ah, qu’il est mauvais !

Ils arrivent. Ah, ils entrent déjà ! Ah, comment ils entrent ! Une lumière entre. Ah, comme si ce fut un rayon ! Ils entrent à l’intérieur. Ils s’agenouillent à la porte. La Sainte Vierge va les chercher et leur dit : “ Nous étions en train d’attendre votre visite ”.

Le Roi — Ah ! –, ce Roi-là, il s’agenouille et il prend la main de la Sainte Vierge, la baise et lui dit : “ Madame, dame aimée, Mère de David, Mère de David ”.

Ah ! Mais Il n’est pas David. Quelle confusion il y a là ! Ah !

“ Etoile de David ”.

Ah !, mais comment peut-elle être la Mère de cet Enfant ? Comment peut-elle être la Mère de David ? Ah, Reine, Mère. . ., quelle confusion il y a ici ! Il l’explique d’un autre endroit, il marche ; d’autre forme.

“ Etoile et Mère de. . . de toutes les tribus de David ”.

Mais quelle confusion ! Ah !

“ Mère du Sauveur”.

Ça oui.

“ Et Reine et Dame ”.

Ah, ils entrent à l’intérieur ! Ah ! Saint Joseph a l’Enfant. Ils s’agenouillent. Ah, avec la tête contre le sol.  Ah, comment ils l’adorent. . . ! Ils disent alors à la Sainte Vierge : “ Madame, quelle pauvreté il y a en ce lieu. L’Enfant, l’Enfant va y prendre froid ”.

La Sainte Vierge lui montre les environs. Elle lui montre la maison. Ah, la petite maison ! Oui, c’est une grotte ! Ah, quelle lumière ! Il y a une lumière. Quelle lumière ! Ah ! Les Rois baisent le sol et saluent saint Joseph et la Sainte Vierge, et leur disent. . . : “ Nous allons chercher domicile en un autre lieu. Nous y allons, Madame, qu’il ne sorte pas. Il y a un fort vent ”.

 Ils s’en vont par le chemin. Ils arrivent à une boutique, ils y achètent un vêtement, des couvertures et des jouets. Ah, ah, ils envoient celui-ci ! Ah ! Celui-là doit venir avec eux. Ah ! Ils lui donnent tout et lui disent qu’il aille porter tous ces présents à un Enfant très pauvre qui est né à Bethléem. Ah, quelle joie il va apporter ! Mère, les couvertures ! Ah ! Ils arrivent et lui donnent le vêtement. Ils le donnent à la Sainte Vierge ainsi que les jouets.

Ah, quelles grandes choses ! Le pauvre ! Le pauvre, quelles. . . belles choses ! Il n’avait rien. Ah, qu’il est joli ! Ah ! La Sainte Vierge prend l’Enfant, lui donne un baiser et lui dit : “ Mon bien-aimé, Dieu mon Créateur, me donnez-vous la permission de vous reposer ? ”.

Comment lui répond l’enfant ! Il lui dit : “ Mon aimée, Mère Immaculée, ma Mère ; merci de m’avoir donné chair humaine ”.

La Sainte Vierge lui répond : “ Fils de mes entrailles, je n’en suis pas digne, je ne suis qu’un ver. Je ne suis pas digne de t’avoir donné chair humaine, ah, Dieu, mon Créateur, Tout-Puissant, Roi du Ciel et de la Terre ! Mon étoile brillante, dors et repose-toi ”.

Ah, quelle beauté ! Ah, que tu es grand ! Ah, quelle grandeur ! Ah ! Ah, le pauvre !

Maintenant ils viennent une autre fois. Une autre fois ? Ah ! Mais où vont-ils maintenant ? Ils passent tous les trois une autre fois à la grotte. Ils ont déjà porté les présents. Ils portent une boîte et la découvrent en entrant. Elle contient un collier et une bague de diamants ; et un roi dit à la Sainte Vierge : “ Madame, jeune fille, Mère du Messie, je veux aussi vous offrir quelque chose. Recevez cette. . . ”. Oh, que c’est beau ! C’est un bijou. Ah ! La Sainte Vierge baisse la tête et lui dit qu’Elle ne veut pas de bijoux, qu’elle a reçu les présents pour son Fils ; mais qu’Elle ne veut pas de bijoux pour elle. Que jamais, elle n’en a mis, jamais. Et que maintenant, encore moins. Le plus grand bijou que Dieu lui ait donné a été d’être Mère de Dieu, son Créateur. Mère de cet Enfant fait homme pour mourir pour l’Humanité. Ah, la pauvre ! Ah, la pauvre !

(La Sainte Vierge continue). “ Je ne veux pas. Vous pouvez faire quelques présents aux pauvres, car en ce jour il y a beaucoup de pauvres qui n’ont rien pour se vêtir ni pour manger. Je vous remercie mais je ne l’accepte pas ”. 

Il le met une autre fois dans la boîte et l’emporte. Alors ils demandent à la très sainte Vierge. Ah ! Que disent-ils ? Qu’elle leur donne conseil pour gouverner leur pays, parce qu’ils veulent gouverner avec les lois que Dieu a données. Ah ! La Sainte Vierge s’approche du coin de la crèche et dit à l’Enfant qu’il réponde à sa place. Ah ! Que leur dit-il ? Qu’ils respectent les lois, les lois qui sont écrites, que sans ces lois il n’y aura point de salut. Ah, comme ils sont contents ! Ah ! Ils baisent la main de la Sainte Vierge, s’agenouillent, baissent à nouveau la tête au sol, baisent le sol, se lèvent et s’en vont. Ah, qu’ils sont heureux ! Ils se frottent les mains et se disent l’un à l’autre : “ Voici un présent que nous avons reçu du Ciel ! C’est le plus grand présent que nous ayons pu recevoir ”.

Ah, qu’ils sont contents ! Ah, le pauvre ! Ils se retrouvent seuls une autre fois. Ah, quelle forte bouffée d’air ! Ah ! Comme il pleut ! Comme l’eau tombe ! Quel vent violent ! Il frappe aux fenêtres de la grotte. Il fait très froid. La Sainte Vierge met une couverture sur la crèche pour que l’Enfant n’ait pas froid. Quel vent ! La Sainte Vierge sort à la porte de la grotte. Elle joint les mains et regarde le ciel et dit aux nuages : “ Nuages sombres, ne déchargez pas votre colère sur un innocent, sur Dieu votre Créateur, ne le maltraitez pas, ne lui faites pas de mal, il est innocent. Faites-moi tout le mal que vous pouvez faire, mais ne touchez pas à l’Enfant, il est innocent. Que vous a-t-il fait, Lui ? Le pauvre ! Le pauvre ! Vous déchargez votre colère à cause du péché, mais ne la déchargez pas sur cet innocent qui est sans tache ; sur votre esclave et sur tout ce qui est, mais pas sur lui, le pauvre ! Le pauvre ! Ah, il est si petit ! ”. Ah ! Ah, le Soleil apparaît ! Ah, quel Soleil ! Ah, quel Soleil et quelle chaleur ! Ah ! La Sainte Vierge sort de nouveau et dit : “ Merci, mon Père, de m’avoir donné tout ce que je t’ai demandé ; je ne te l’ai pas demandé pour moi, mais pour ton Fils et le mien. Merci, mon Père ! ”.

Ah, que tu es bonne ! Laissez-moi un petit peu plus ici. Ah ! Parce que oui je ne veux pas partir d’ici. Ah ! Ah, quel bien il y a ici ! Ne me dites pas que je m’en aille. Ah ! Je ne veux pas partir d’ici. Ah ! Ah ! Raconte-moi plus de choses, raconte-les moi ! Ah, que tu es grande ! Ah !
 

LA SAINTE VIERGE : 
Oui, ma fille, je veux donner un exemple d’humilité et de pauvreté. Mon fils en a donné un, ma fille. C’est pourquoi je veux que le plus grand présent que vous puissiez offrir à mon Fils soit de vous approcher du sacrement de l’Eucharistie et du sacrement de Réconciliation. C’est le plus grand présent, mes fils. Aussi je te demande, ma fille, que ton plus grand présent soit celui de l’humilité. Je veux que tu sois humble, très humble, pour pouvoir atteindre tout ceci [c'est à dire pour pouvoir aller au Paradis après sa mort].
 

LUZ AMPARO: 
Ah !, je ne veux pas partir une autre fois de là ; non, je veux être ici. Tu sais quelle douleur j’ai quand je me vois une autre fois dans cet autre lieu ? Ah, laisse-moi que je reste ici !

LA SAINTE VIERGE : 
Tu ne t’es pas purifiée, ma fille. Tu n’es pas encore pure.

LUZ AMPARO: 
Ah !

LA SAINTE VIERGE : 
Fais-toi petite, petite, pour que tu deviennes rapidement grande, très grande. Je continuerai à te révéler mes secrets et mes mystères, comme ils ont été révélés à d’autres âmes. Il y a [Dans la bande de la cassette disponible se produit ici une coupure. Il manque le fragment souligné en italique ; il est pris du o. c., nº 5, pp. 10-11] beaucoup d’âmes, ma fille, à qui ce même secret a été révélé. C’est pourquoi je veux que tout être humain participe à ma joie et à mes secrets. Mais, comment peut-on participer ? Avec l’humilité, mes fils, avec le sacrifice et avec la charité. Aimez beaucoup vos prochains, pour que mon Fils  puisse vous aimer.

Baise le sol, ma fille, en guise de réparation. . . Cet acte d’humilité sert, ma fille, à réparer les péchés de ces âmes ingrates qui ne veulent pas tenir compte de mes avertissements et qui s’en moquent, ma fille. Pauvres âmes ! Il y en a beaucoup de présentes ici, ma fille. Je pourrais te les signaler avec le doigt : toi, et toi, et toi. 
Vous êtes ingrats, mes fils, ingrats ! Ne vous révoltez pas contre mes affaires, mes fils. Quelle peine vous me donnez, mes âmes ! Je ne veux pas que vous vous damniez. Il est encore temps, mes fils. Vous êtes arrivés à temps pour participer à mes mystères. Pauvres âmes ! Mon cœur souffre pour elles, ma fille, parce qu’elles sont aussi mes fils. Bien qu’ils repoussent leur Mère, leur Mère les aime de tout son cœur et de toutes ses forces. C’est pourquoi je vous demande, mes fils : ne repoussez pas cet appel, il est encore temps pour vous de changer de vie.

Et toi, ma fille, continue à t’offrir comme victime pour le salut de toutes les âmes et pour ces quatre âmes plus encore ma fille. Pauvres âmes ! Combien mon cœur les aime ! Elles vont avoir le bonheur, ma fille, de recevoir la sainte bénédiction et de recevoir aussi les objets bénis ; ils vont être bénis, mes fils.

Levez tous les objets ; ils seront tous bénis avec des grâces spéciales pour convertir les âmes, mes fils. . .

A présent, mes fils, ils sont tous bénis. Je vais vous donner ma sainte bénédiction : je vous bénis, mes fils, comme le Père vous bénit au moyen de son Fils et avec l’Esprit Saint.

Au revoir, mes fils. Au revoir !
 

 

 

 

 

 

6 janvier 1985

 
MESSAGE DU 6 JANVIER 1985 
AU PRADO NUEVO (PRE NEUF) DE L’ESCORIAL (MADRID) 
 

     LA SAINTE VIERGE : 
     Ma fille, ma sainte bénédiction ne pouvait manquer en ce jour, et je veux aussi que tu participes un peu à ce mystère ; il n’est pas encore terminé. Continue de raconter ce que tu vas voir. 
 

     LUZ AMPARO : 
     Je vois, que la Très Sainte Vierge se trouve dans la grotte, il y a aussi saint Joseph et l’Enfant. Saint Joseph dit à la Sainte Vierge : “ Marie, tu dois reprendre les affaires qui te manqueront le plus pour que nous puissions partir de cet endroit ”. Il y a beaucoup d’affaires ; la Très Sainte Vierge est en train de les reprendre. Ah, quelles belles choses ! 
     Parmi toutes ces affaires il y a trois flacons de cristal mis sur une planche de bois. Est-ce ce qu’ont apporté les Rois ? Ah ! Mais qu’y a-t-il à l’intérieur ? Ah ! Dans un, il y a de l’encens, dans l’autre de la myrrhe et dans le dernier de l’or. Ceci est ce qu’ils leur ont offert. Marie dit à Joseph : “ Prends ces trois flacons. Celui qui contient de l’or, nous allons le partager avec les pauvres ”. Ah, quel or moulu ! Comme il brille ! Oh, Mère! Ah ! Cet or n’est-il pas moulu ? Ah ! 
     La Sainte Vierge prend beaucoup de jouets, les couvertures, regarde tout autour, prend la mangeoire où se trouve l’Enfant, se met à genoux, l’embrasse et dit à saint Joseph : “ Joseph, je t’obéirai en tout. Je serai ton esclave, je ferai ce que tu me diras. Mais quelle douleur ressent mon cœur en quittant cet endroit ! Tant de choses s’y sont passées ! Tant de mystères Dieu mon Créateur y a révélés ! Quelle peine a mon cœur de l’abandonner ! ”. Saint Joseph lui dit : “ Mon épouse, nous devons partir loin d’ici, il faut que l’Enfant ait plus de confort qu’ici ; pas beaucoup plus, mais au moins jusqu’à ce qu’il meure sur la Croix, nous devons lui en donner plus ”. 
     La Sainte Vierge lui dit : “ Il fait très froid, où allons-nous aller ? ”. 
     Alors, ah, comme on entre ! Que viennent-ils faire ici ? 
     Ah ! Comme il y en a ! Oh, combien il y a d’anges ! Oh, il y en a tant de ce côté ! De nombreux enfants ! Il y a beaucoup de monde ! Oh ! Ils pleurent. Oh ! Pourquoi pleurent-ils ? Ah, les pauvres, parce que l’Enfant s’en va ! La Sainte Vierge leur dit : “ Ne faites pas attention. Nous devons partir. Ceci est écrit : Suivez le chemin de Dieu et respectez les lois de Moïse. Je vous donnerai des présents ”. 
     Ah, la pauvre ! Elle prend l’Enfant, se met à genoux et lui baise les pieds. Ah ! Elle lui dit une autre fois : “ Etoile brillante de mes entrailles. Hostie vivante dans mes mains. Tu t’es penché sur cette jeune fille indigne ”. 
     Pourquoi dis-tu ceci ? Ah ! Oui, tu n’es pas indigne. La pauvre ! Ah ! 
     Elle baise le sol. Ah ! Saint Joseph aussi. . . 
     Ah, la pauvre ! Ah, qu’elle est triste ! Ah Pourquoi doivent-ils partir d’ici ? La pauvre ! Ah ! Où irez-vous maintenant ? Ah ! Trouverez-vous mieux ailleurs ? Ah, quelle peine elle a ! Comme elle prend avec la main toute la mangeoire où a été l’Enfant ! Comme elle se penche sur lui ! Comme elle le serre dans ses bras, regarde le ciel et dit à Dieu le Père : “ Dieu le Père Tout-Puissant, ayez miséricorde de mon Fils, je ne veux pas qu’il souffre un seul tourment, il est très petit, il aura le temps. Protégez-le. Ah, pardonnez-moi ”. 
     Ah, la pauvre ! Ah ! 
     “ Il aura le temps de souffrir, c’est un enfant innocent. Je ne suis pas digne, Dieu mon Créateur, d’avoir engendré de mes entrailles cet Enfant si parfait ”. 
     Ah, la pauvre ! 
     “ Je veux que vous le protégiez, parce qu’il fait très froid ”. 
     Ah ! Ah, comme il fait froid ici ! Ah ! Sont-ils loin du chemin ? Quelle raison y a-t-il pour partir ? Ah ! On entend l’Ange qui dit : “Marie, dehors il y a 2 ânons, prenez-les : sur l’un chargez tous les habits de l’enfant, tous les objets de valeur dont vous pourrez avoir besoin, et sur l’autre montez avec votre Fils. Ils vous amèneront à Jérusalem ; là-bas, vous devrez présenter votre Fils ”. 
     Ah ! Une autre fois ? Que vont-ils faire maintenant ? Ils doivent le présenter à nouveau ? Le pauvre ! Ah ! Le pauvre ! Ah ! qu’on me laisse l’embrasser. Le pauvre ! Tu t’en vas ? Ah, laisse-moi ! Ah, quelle peine ! Ah. . . ! Ah, le pauvre ! Que vont-ils faire de toi maintenant ? Va-t’en avec ta Mère. Ah, le pauvre ! Ah ! 
     Comme ils chargent l’âne. Ah ! Les couvertures. Ah, comment ils enveloppent l’Enfant ! Ah, la Sainte Vierge monte sur l’âne. Ah ! Saint Joseph enveloppe l’Enfant. Ah ! Il lui a mis une couverture dessus. Ah ! Elle prend l’Enfant et il attache les deux ânes ensemble, bien chargés. Ils s’en vont en marchant, en marchant. . . 
     Oh, quel temps il fait ! Ah !, ils s’en vont avec l’âne. Où iront-ils maintenant ? Mais les anges les accompagnent. 
     Ah, chic ! Ah ! Avec les anges, vous serez bien. 
     Ah !, comme tout le monde reste là derrière pleurant et disant : “ Au revoir, Mère bien-aimée. Au revoir, tendre Enfant. Au revoir à tous ! ” Comme les enfants pleurent, les pauvres ! Comment ne pleureront-ils pas s’il s’en va ? Ah, quelle peine ! Après avoir été là aussi longtemps. Comme la Sainte Vierge regarde derrière elle ! Quelle peine est la sienne, ah, mon Dieu ! Ah ! Elle prend la main de l’Enfant, la lui baise, et lui dit : “ Mon bien-aimé, me donnez-vous la permission pour que nous puissions vous embrasser sur le visage ? ”. L’Enfant lui dit : “ Mère bien-aimée, fais de moi ce que tu voudras, et je te rends grâces, Mère bien-aimée, de m’avoir allaité de ce lait virginal. Toutes les générations t’adoreront, Mère bien-aimée ”. 
     Ah, comme tu es grand ! Ah, combien tu l’aimes ! Ah ! 
     L’Enfant continue : “ Tous ceux qui t’aimeront, ma Mère, m’aimeront aussi. Je ne peux pas dire que Toi et moi sommes une même chose, parce que seuls Dieu et moi sommes une même chose, mais tu es ma Mère naturelle. Tu m’as donné chair et tu m’as nourri au sein avec ton lait virginal. Ah, merci !”. 
     Ah, quel si joli visage ! Comme la Sainte Vierge le prend ! Ah, quelle joie ! Oh, que tu es beau ! 
     Ils s’en vont en marchant, en marchant avec les deux ânes. Ah, les pauvres, comme ce chemin est long ! Ah ! Où iront-ils aussi loin ? Ah !, il n’y a ni arbre, oh, pas même une maison, les pauvres ! Ah ! La route sera-t-elle très longue ? Elle demande à Joseph si la route sera longue, ah, la pauvre ! Ah ! elle se le demande. Ah ! A plus de deux lieues et demies ! Ah, le pauvre ! Et quelle distance cela fait-il ? Ah ! C’est très loin ? Ah ! Ils vont le faire de nuit ? Ah ! Où allez-vous prier et où allez-vous demeurer ? Le pauvre ! Ah ! 
     Au loin, on voit un château. Ah ! Demandez qu’on vous ouvre, ah ! 
     Ah, un homme sort ! Oh, quel visage a celui-là ! Oh ! Il n’a pas le visage de quelqu’un de bon, non ? Il ne va pas vous laisser entrer. Frappez pour voir. Ah ! La Sainte Vierge l’appelle et lui dit : “ Brave homme, me donneriez-vous l’hospitalité pour héberger mon Fils et mon époux du mauvais temps ? ”. 
     L’homme l’ignore. Oh, on dirait qu’il est sourd ! . . . Il l’ignore, et alors ! . . . Oh. . ., le pauvre ! 
     Ah ! Saint Joseph le touche un peu et lui demande s’il peut l’héberger, parce que l’Enfant est très petit et qu’il va prendre froid. 
     Ah, cet homme est sourd ! Ah ! Sourd et il ne voit pas non plus. Ah ! Alors que fait-il ici s’il est comme ça ? Ah ! Il le prend et le met à l’intérieur. Mais comment, s’il ne le voit pas ? Oh, fais-les entrer à l’intérieur à tous les deux ! Ah, qu’il ne les laisse pas là ! Ah, une femme sort ! Voilà qu’ils vont entrer à l’intérieur. Quel très grand feu il y a ! Allons, faites-les asseoir ici, les pauvres, qu’ils sont gelés ! Sur ces bancs de bois qui sont ici. Les pauvres ! Ah, Mère, quelle peine ! Ah ! Ils seront bien ici. Ah, ils entrent ! Ah ! La Sainte Vierge dit à cette femme : “ Es-tu mariée ? ”. Elle lui répond : “ Oui, Madame, c’est mon mari ; il ne voit pas ni n’entend ”. 
     Ah, c’est pour ça qu’il l’ignorait ! Oh, le pauvre, moi qui disait qu’il était mauvais ! Ah ! 
     “ Ne vous en faites pas, belle jeune fille, ici je vous prendrai soin de vous et vous abriterai jusqu’à ce que le temps change et vous reprendrez de nouveau votre route ”. 
     Et vous, ah, que se passe-t-il ? Ah ! Ah, mais donne-lui quelque chose toi aussi ! Ah, bien sûr ! Parce qu’il faut toujours que la Sainte Vierge dise tout, toujours ; il est si silencieux, le pauvre ! 
     Ah ! “ Je vous promets — dit la Sainte Vierge à la femme —, je vous promets de vous payer cette grande faveur. Dieu mon Créateur ne vous laissera pas sans récompense ”. 
     Ah ! L’homme commence à voir ! Oh, et à entendre ! Ah, comme il entend bien ! Ah ! Il se met à genoux, il se met à genoux devant l’Enfant, regarde le ciel et dit : “ Quelle faveur si grande m’a accordé le Ciel au moyen de cet Enfant Divin. Je promets de l’adorer et de le glorifier ”. 
     Oh ! Comme il voit tout à présent ! 
     Ah ! La Sainte Vierge lui dit : “ Ne vous avais-je pas dit que vous ne resteriez pas sans récompense ? Dieu donne toujours à cent pour un, et ceci a été votre faveur. Il vous a récompensé ”. 
     Ah, quelle joie ! Ah ! Les deux se mettent à genoux et baisent le sol. Ah, que tu es bonne ! Ah ! 
     L’homme sort et rentre les ânes, il leur donne à manger, les nettoie avec une brosse et leur met une couverture dessus afin qu’ils ne prennent pas froid. 
     Ah, comme il voit bien ! 
     Ah !, c’est déjà l’heure de partir une fois de plus. La journée est très belle, il ne fait plus froid. Ah, chic alors ! Ils montent une autre fois sur l’âne et s’en vont. Ils arrivent à une très grande salle, il y a un panneau où est écrit : “ Le temple de Jérusalem ”. Ah !  il y a comme une estrade là, ainsi qu’un autel, mais sans Sainte Vierge ni rien, et il n’y a pas de tabernacle non plus. Il n’y a rien là ? Il y a un autel comme quand ils le firent pour le Seigneur. Ah ! Avec un petit drap blanc. Ah ! Des voiles. Ah ! La Sainte Vierge met l’Enfant dessus. Il y a un monsieur très âgé. En bas il y a beaucoup de monde. Ce monsieur monte et prend l’Enfant. Ah ! Il l’embrasse, lui baise les pieds et ce monsieur lui dit. . . — Mais, qui est cet homme ? —. Ah ! Il lui dit : “ La prophétie s’est bien accomplie, je peux mourir tranquille maintenant. Elle s’est accomplie ”. L’Enfant lui dit : “ Je t’ai rempli de sagesse — ah ! — ; cette sagesse, que tu l’utilises pour faire le bien dans toute les nations où tu iras ”. 
     Ah ! Mais qui est-ce ? Ah ! Comment s’appelle-t-il ? Salomon ? Oh ! Qui est-ce ? Un roi aussi ? Ah ! Mais, celui-là que lit-il ? Oh ! Ah ! Mais, que lui passe-t-il ? Ah, qu’il est savant cet homme ! Ah, mais chic ! Ah, quelles belles choses ! 
     Ah, il y a beaucoup de monde ! Et ces hommes vêtus de rouge ? Ah ! Les anges sont là aussi ? En tous les lieux ? Ah, quelles choses ! Oh ! Quelles belles choses ! Ah, ma Mère, que tu es bonne ! Hein ? Avec ton Fils ? Ah, formidable ! Ah ! Ils se mettent à lire un livre là. Ah ! Les lois qu’il faut respecter, les lois du temple. 
     Ah, quelles belles choses ! Je veux que tu me les apprennes aussi, pour les entendre, parce que, sinon, je ne les comprendrai pas. Ah ! Et maintenant, où vas-tu aller ? Quand tu sortiras de là, où iras-tu ? Ah ! Elle appelle Joseph, la Sainte Vierge l’appelle. C’est cet homme qui lui a dit ceci, celui qui est Roi. Il y a beaucoup d’hommes, beaucoup, de prêtres aussi, et la Sainte Vierge dit à saint Joseph : “ Joseph, quand ta volonté sera de partir, ton esclave soumise se trouvera ici ”. Saint Joseph lui dit : “ Nous devons partir pour Nazareth ”. 
     Ailleurs une autre fois ? Mais ils n’arrêtent pas, les pauvres ! 
     Ah ! Ceux qui sont ici lui disent où se trouve Nazareth, où ils vont, a quel endroit se trouve cette ville, et disent que c’est du côté de la Palestine. 
     Ah, quelles grandes choses ! 
     Ah ! La Sainte Vierge se met une autre fois à genoux devant l’Enfant, et lui dit : “ Mon Dieu, mon étoile brillante, que je t’aime ! Mais au-dessus de mon amour il y a celui de Dieu. Que se fasse sa volonté et la Tienne en tout. Nous allons partir, mon Roi ”. Ah ! Ah, le pauvre, partir une autre fois ! Ah ! “ Nous devrons respecter les lois, donner un exemple à l’Humanité ”. 
     Ah ! Ah ! Pourquoi devez-vous accomplir cela, si vous êtes qui vous êtes ? 
 

     LA SAINTE VIERGE : 
     C’est à cause de cela, ma fille, parce que nous étions ceux que nous étions, que nous devions donner un exemple d’humilité et d’obéissance, et avec l’humilité, ma fille, on pourra tout obtenir. 
     C’est pourquoi je vous le demande, mes fils : je veux que vous soyez petits, très petits, comme cet Enfant, pour pouvoir arriver haut, très haut. Oui, mes fils, l’humilité est très importante pour le salut. 
     Je vais vous donner ma sainte bénédiction, avec le privilège de bénir les objets. Levez tous les objets. . . 
 

     LUZ AMPARO: 
     Oh ! Hein ? . . . Ah ! 
 

     LA SAINTE VIERGE : 
     Ils ont une bénédiction très spéciale. 
     Je vous bénis, mes fils, comme le Père vous bénit au moyen de son Fils et avec le Saint-Esprit. 
     Au revoir, mes fils. Au revoir ! 

 

 

 

 

 

 

12 janvier 1985

 

 
MESSAGE DU 12 JANVIER 1985 
AU PRADO NUEVO (PRE NEUF) DE L’ESCORIAL (MADRID) 
 

     LA SAINTE VIERGE : 
     Ah ! Ma fille, je veux te révéler le mystère qui suit. Tu es préoccupée. Je t’ai déjà dit qu’il n’y a personne qui comprenne les mystères du Ciel. 
     Cela t’étonne, ma fille, que Salomon soit dans le temple alors que mon fils est né. Il était aussi présent dans l’esprit de Dieu, parce qu’Il lui promit qu’il ne mourrait pas avant d’avoir vu Dieu fait homme. 
     Il utilisa toute sa sagesse pour construire un temple à Dieu, toutes ses richesses, l’or, l’argent, tout ! Il l’a investi dans le temple pour plaire à Dieu. C’est pourquoi il fût récompensé. . ., et, avant sa mort, Dieu le Père permit qu’il vît le mystère de la Présentation au Temple. 
     Il promit aussi que, pour tous ceux qui seraient au temple à demander pardon et à se purifier, il leur serait pardonné. 
     C’est pour cela que Dieu n’allait pas permettre que, bien que beaucoup péchèrent, ils se damnent facilement, ma fille. 
     Il y a d’autres très grands mystères. 
 

     LUZ AMPARO: 
     Ah ! De retour là ? Ah ! A nouveau dans ce temple. Ah ! Mais tu n’étais pas partie ? Ah ! Ah, comme ils entrent une autre fois ! Ah ! Ceci est un autre endroit, mais ils entrent par le même endroit. Ah, de l’autre côté ! Ah ! Il y a du monde là en bas. 
     L’Enfant va avec la Vierge. Ah ! Elle se met là. Elle est en train de regarder partout, comme si elle cherchait où se mettre ! Ah ! Elle se met là, derrière tout le monde. Ah ! Mais elle est si éloignée. Ah ! Elle continue de prier avec l’Enfant dans les bras. 
     Ah ! Entre un homme vêtu de ce rouge. Ah ! Il est lui aussi très âgé. Ah ! Comment s’appelle-t-il ? Ah ! Il se met à genoux où se trouve la Vierge. Comme il prend la main de l’Enfant ! Ah ! Celui-ci, c’est Siméon. Ah ! Il est à genoux et rends grâces à Dieu le Père pour lui avoir permis de voir l’Enfant. Ah, comme tu es grande ! Ah ! Ils regardent en haut, d’où une voix dit : 
     “ Sortez tous, vous qui êtes dans la Limbe : les prophètes, Joachim et Anne, tous les justes, tous les martyrs, allez tous dans ce temple et adorez Dieu ”. 
     Ah, combien il en sort ! Ah ! Ah, comme tout bouge ! Comme s’ils sortaient de quelque. . . Ah, comme ils sortent ! 
     Ils sont tous à genoux, tous. Ah, comme ils se mettent avec les mains jointes ! Ils regardent le ciel et disent tous ensemble : “ Merci Dieu Créateur du monde et de l’homme. Nous te rendons grâces pour nous avoir permis de voir l’Enfant dans les mains de cette jeune fille, sa Mère ”. 
     Ah, quelles choses on voit là ! Ah ! La Sainte Vierge regarde le ciel. Ah ! Elle s’incline en baissant la tête. Ah ! Saint Joseph aussi. Ils font tous de même. Ah ! Ils sont avec les mains jointes. Quelles choses ! Ah ! Celui-ci se trouve là aussi, qui est monté. Ah, que tu es grande ! Ah ! La Sainte Vierge a l’Enfant dans les bras, et la voix dit : “ Celui-ci est mon Fils, mon Fils bien-aimé et en Lui j’ai toute confiance ; je lui laisserai tout entre ses mains ”. 
     Ah, comme tu es grande ! Ah ! La Sainte Vierge dit : “ Merci, Père Céleste, je suis votre esclave, faites de mon Fils et du votre ce que vous  voudrez ”. 
     Ah, que tu es grande ! Ah ! Ils baissent tous la tête et la mettent contre le sol. Ah ! . . . (Pause pendant laquelle Luz Amparo imite cette position). 
     (Maintenant, il semble que la Sainte Vierge continue (?)). “ Merci, Dieu Créateur et Sauveur de l’homme, nous te rendons grâces de nous avoir montré le Sauveur du monde ”. 
     Ah ! On s’approche. . . ! Ah ! Mais. . . Je n’étais pas ailleurs ? Ah ! celle-là c’est, ah, c’est la mère de la Sainte Vierge, et celui-ci est Joachim (son père). Ah ! Ils s’agenouillent devant l’Enfant, baissent la tête en bas et s’en vont tous. 
     La voix dit de nouveau : “ Une autre fois je vous demande de partir ”. 
     Ah, tous ! Ah, ils s’en vont tous à nouveau ! Ah ! Ah, ma Mère ! La Sainte Vierge reste là avec saint Joseph. Ah ! Elle regarde en haut, met l’Enfant entre les mains, le lève et l’offre à Dieu le Père : “ Dieu le Père, je t’offre ton Unique et le mien, fais-lui ce que tu veux, mais protège-le ; il est très petit ”. 
     Ah ! La voix répond : “ Non, Marie, le moment n’est pas encore venu ”. 
     Ah ! Ah, ma Mère, comme tu es grande ! Ah, ils sont à genoux ! Ah ! Saint Joseph prend la Sainte Vierge et la fait se lever. Ah ! Ils s’en vont. Ah ! Celui-ci aussi. Ah ! Celui-ci, Siméon, sort aussi avec Elle. 
     Il y a beaucoup d’anges, comme il y en a ! Ah, ils partent ! Ah, ma Mère ! Ils vont voir un autre endroit, la Sainte Vierge s’agenouille. Elle appelle Joseph : “ Joseph, nous allons offrir l’Enfant — Ah ! — toi et moi ”. 
     Ah ! Saint Joseph est là, en train de regarder en haut. Les anges sont là. Ah, quelles choses ! Ah, ce qu’ils vont faire ! Comme ils chantent ! Ah, ils chantent tous ensemble ! Quelle lumière entre par là aux bras de la Sainte Vierge ! Quelle lumière ! Ah ! Tout est illuminé ici. Ah ! Alors, qu’es-tu en train de faire ? Que te dit-il ? Ah ! Que dit cet homme-là ? Ah ! Que lui dit-il ? “ Marie, j’ai eu un songe et j’ai vu l’Enfant battu, maltraité — oh ! — et mort sur une croix ”. 
     Ah, ah ! La Sainte Vierge touche sa poitrine et cache l’Enfant. Ah ! Et elle dit : “Siméon, il faut que mon Fils meure pour la rédemption du monde ? On m’a aussi révélé ce mystère ”. 
      La pauvre ! Ah ! 
     Saint Joseph s’approche. La Sainte Vierge pleure, comme elle pleure, la pauvre ! Comment lui répond l’Enfant ! Il lui dit : “ Mère bien-aimée, sèche tes larmes ; tu sais que je suis victime pour l’Humanité ”. 
     “ Etoile brillante de mes entrailles ! Comment va mourir la Victime Innocente ! Mon pauvre Fils ! Mon pauvre Fils ! ”. 
     Ah, quelle peine, la pauvre ! Comme elle le serre ! Ah ! Elle regarde en haut et dit : “ Dieu Eternel, mon Créateur, me voici. Tu as ici ton esclave, fais ce que tu veux de moi, mais que mon Fils ne subisse pas tout !”. 
     Ah, Mère, quelles choses ! Ah, le pauvre, comment il la regarde, sèche les larmes de la Sainte Vierge, si petit qu’il soit. . . ! (Luz Amparo pleure). Le pauvre ! 
     Ah ! La Sainte Vierge part, s’appuie sur cet autel. Ah ! Elle se met à genoux avec son Fils et le caresse. Saint Joseph va vers Elle, la lève et lui dit : “ Mon épouse, nous devons partir, il faut partir. Demain nous reviendrons ”. 
     Ah, quelle peine ! 
     Ils prennent la Sainte Vierge et la poussent, oh ! Combien il y a de monde ! Comme ils sont nombreux ! Comment ils les regardent ! Oh ! Tous ceux ceux-là en rouge, qui sont-ils ? Ah ! Les prêtres ? Là aussi ? Les pauvres, où iront-ils maintenant ? Ah ! Bon, et à la sortie, où allez-vous ? Ah, les pauvres, encore une fois ! Demain ils reviendront là. Ah, comme elle souffre, la pauvre ! 
     Ils sortent tous ensemble et sont tous à la porte. Que celui-ci est grand ! Oh, qu’il est grand ! Ah ! Ils sortent avec l’Enfant dans les bras. Ah ! Ils s’en vont par là-bas, ils entrent dans une maison. Ah ! Ils montent. Il y a une chambre avec un lit et un berceau. Ah, tu as un berceau ! Ah ! Ah, ma Mère, comme tu es grande ! Ah ! Ils s’assoient. Ah ! La Sainte Vierge dit : “ Joseph, retire-toi, je dois allaiter l’Enfant. Mon bien-aimé, retire-toi ”. 
     Joseph incline la tête et dit, ah ! Que dit-il ? “ Mon épouse et ma colombe, je vais me retirer ”. Elle incline la tête. Ah ! Il sort. Elle va donner à manger à l’Enfant. Ah, le pauvre ! Comme la Sainte Vierge lui caresse le visage ! Ah ! Ah, ma Mère, comment tu le regardes ! Le pauvre ! Ah! 
     “ Alimente-toi, mon Fils, étoile de mes entrailles, alimente-toi et prend des forces. Tu dois être fort. Beaucoup de tourments t’attendent ”. 
     La pauvre ! Ah ! Mère et dame, ne pleurez pas, séchez vos larmes. 
     Comme elle pleure ! La pauvre ! 
     Ah ! Elle le couche dans le berceau. Il est dans le berceau. La pauvre ! Saint Joseph entre et que lui dit la Sainte Vierge ? “ Joseph, apporte un peu nourriture, pour que mon Fils puisse s’alimenter ”. 
     Ah ! Il lui apporte un plateau avec de la nourriture. . . Ah, comme tu es grande ! Ah, mange, mange ! Ah, comme ils bénissent la table ! Ah, il n’y a pas de table ! Mais ils la bénissent. Ils baisent le sol avant de manger : “ Dieu Tout-Puissant, nous te rendons grâces pour cette nourriture que tu nous as donnée. Nous te rendons grâces pour la vie que tu nous as donnée, et je te rends grâces pour avoir incarné cet Enfant à l’intérieur de mes entrailles. Je te rends grâces, Père Eternel ”. 
     Ah ! Ils partagent le pain et se mettent à manger. Ah, quelle grande chose, ah ! Ah! 
 

     LA SAINTE VIERGE : 
     Oui, ma fille, vous devez rendre grâces pour la nourriture quotidienne, pour la vie que Dieu vous a donnée, pour tous, pour tout ce que Dieu vous a donné. 
     Ah ! Avec humilité, mes fils, je vous demande que vous rendiez grâces au Créateur avec humilité. 
 

     LUZ AMPARO: 
     Ah, comme tu es grande ! 
 

     LA SAINTE VIERGE : 
     A chaque minute de votre vie, pour chaque aliment que vous recevez dans votre corps, rendez grâces, mes fils, à Dieu votre Créateur. 
     Je vous veux humbles, très humbles, pour pouvoir monter au Ciel. 
 

     LUZ AMPARO: 
     Ah, que tu es grande ! 
 

     LA SAINTE VIERGE : 
     Et à toi, ma fille, je continuerai à te révéler le mystère. 
     Je vais bénir tous les objets. Levez tous les objets, mes fils. . . 
     Je vous bénis comme le Père vous bénit au moyen du Fils et avec le Saint-Esprit. 
     Au revoir, mes fils. Au revoir ! 

 

 

 

 

 

 

 

13 janvier 1985


MESSAGE DU 13 JANVIER 1985 
AU PRADO NUEVO (PRE NEUF) DE L’ESCORIAL (MADRID) 
 

     LA SAINTE VIERGE : 
     Ma fille, je vais continuer à te révéler un autre mystère. Dis ce que tu vois. 
 

     LUZ AMPARO: 
     Je vois une autre fois la Sainte Vierge dans le temple. Elle est en train de prier avec l’Enfant dans les bras et avec saint Joseph. Combien il y a d’anges ! Ils sont avec les mains jointes en regardant le ciel, en offrant son Fils. Elle dit aussi à Joseph : “ Joseph, nous allons rester pendant neuf jours à prier dans le temple et à offrir notre Fils, mon fils naturel et ton adoptif, pour l’offrir à Dieu le Père ”. 
     Ah ! Ils sont en train de prier tous les deux ; saint Joseph avec la tête contre le sol et la Sainte Vierge avec l’Enfant dans les bras et regardant le ciel. Ils sont à un autre endroit, ils ne sont plus à l’autre. Ah ! Sur l’autel il y a des anges, comme s’ils étaient en or, à côté de celui qu’il y a ici. Il y a aussi un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix, onze, douze ; douze bœufs en or sur cette autel. Ah, comme il y a de l’or ici ! Il y a aussi des lions. Ah, combien ! Et comme celui-ci est beau ! Qu’il est grand ! Comme il y a de l’or ! Et des diamants aussi, ici, en face de ce mur. Ah, comme il y en a ! 
     Ah ! Ils sont à genoux. Les anges chantent. Ah ! On entend une autre fois ce bruit ainsi que la voix qui dit : “ Marie, tu vas devoir partir, tu ne pourras pas rester ici plus longtemps ”. 
     Ah, la pauvre ! Mais, où va-t-elle aller maintenant ? Ah ! Elle répond : “ Je suis votre esclave, qu’il soit fait selon votre volonté ”. 
     Ah ! Ils vont se lever. Ah, comment saint Joseph la prend ! Il la lève. Ils sortent du temple avec les anges. A partir de cet endroit ils arrivent dans la rue. Où iront-ils maintenant ? Ils partent à nouveau par cette rue. Ils vont où ils étaient avant. Il y a une femme avec une fille à la porte, une fille paralysée ; ah, la pauvre ! Quel visage elle a ! Ah ! Que lui arrive-t-il ? Elle sort de l’écume par la bouche. Ah, oui c’est la femme d’ici, de l’auberge ! Ah ! Elle touche la Sainte Vierge. Ah, pauvre fille ! Cette femme la touche. 
     Ah ! La Sainte Vierge lui dit : “ Cette fille, est-ce la vôtre ? ”. 
     La femme lui dit : “ Oui, Madame, jeune fille bien-aimée, c’est ma fille. Elle est épileptique et paralysée. . . ”. Ah, la pauvre ! “ Et mon époux est aussi très malade ”. Ah, le pauvre, lui aussi ! 
     La Sainte Vierge lui dit : “ Brave femme, qu’est-il arrivé à ton époux ? Il est très malade aussi ? Entrez ”. 
     Ils entrent à l’intérieur. Ah ! La Sainte Vierge prend l’Enfant et le regarde. Elle lui dit : “ Mon bien-aimé, me donnez-vous la permission de chasser l’ennemi de cette pauvre jeune fille ? Il est en train de la martyriser ”. 
     Ah, la pauvre ! Mais, qu’y a-t-il ? Ah ! La Sainte Vierge lui dit : “ Entrez à l’intérieur. Appelez votre époux ”. 
     Ah ! Que vont-ils faire ? 
     La Sainte Vierge dit : “ Je vous prie de sortir immédiatement de ce corps, au nom de Jésus. Sortez dehors, retournez dans les profondeurs de l’Enfer !”. 
     Ah, ce qui sort ! Ah, comment ils sortent ! Ah, la pauvre ! Ah ! Ah, ceux-ci sont des démons ! Ah, la pauvre ! Ah ! 
     “ Et vous, adorez Dieu votre Sauveur ; n’adorez pas ces faux dieux. Marchez ! ”. 
     Ah, la fille marche ! Oh, comme tu es grande ; comme tu es grande ! Ah ! Comme elle marche ! Et l’homme va bien ! 
     Ah, quelle peine ! La pauvre ! Ah. . . ! Ah, la pauvre ! Ah, les pauvres ! 
     “ Partez d’ici, ne vous emparez plus de cette jeune fille ! ”. 
     Ah, comme ils courent ! Que vous êtes méchants ! Ah, la pauvre ! Comment elle était ! 
     Ah ! La femme la remercie, la pauvre ! Elle met la tête contre le sol et la remercie. Ah, elle était si malheureuse ! Ah ! La pauvre ! Ah ! Ah ! Que vas-tu faire ? Ah ! Ah ! Que lui dit-elle ? Ah, comme la femme te baise la main ! 
     “ Merci ! — lui dit-elle —, merci, jeune fille bien-aimée, pour ces faveurs que vous m’avez accordées ! ”. 
     Ah, la pauvre ! Sa fille et son mari vont bien. Ah ! Ils s’en vont à l’intérieur avec l’Enfant dans les bras. Ils vont dans la chambre. Ah ! Ils s’assoient ici. Comme ils sont en train de prier ! Ah, ils prient toujours ! Avec les mains jointes ! Saint Joseph met la tête contre le sol et rend grâces à Dieu le Père pour lui avoir accordé d’être l’époux de Marie. 
     Ah, que tu es grande ! Ah ! Que vont-ils faire maintenant ? Ah, ils mettent l’Enfant là ! Comme ils lui mettent les couches ! 
     Ah ! Ils boivent un liquide. Ah ! Comme si c’était un verre de lait. Ah ! Saint Joseph va dans la chambre, il se couche ; et la Sainte Vierge est en train de prier à genoux, elle prie. Pourquoi ne te reposes-tu pas toi non plus ? La pauvre ! 
     Ah, une lumière vient dans cette chambre ! Une lumière et un bruit. Mais, qu’est-ce que c’est ? Ah ! Un ange à nouveau. Ah ! Que lui dit-il ? : “ Levez-vous, Joseph. Prenez Marie et son Fils et fuyez en Egypte. Hérode cherche l’Enfant pour le tuer. Fuyez et restez-y jusqu’à ce que je vous avertisse une autre fois ”. 
     Ah ! Il se lève en courant. Il arrive et dit : “ Marie, nous devons partir. J’ai été averti qu’Hérode veut tuer ton Fils ”. 
     Ah ! Marie lui dit : “ Joseph, je le savais déjà. Dieu, mon Créateur, m’a aussi révélé ce mystère. Nous devons fuir. Prends les habits de l’Enfant. Nous nous en allons loin, très loin ”. 
     Ah, la pauvre, encore une fois ! Elle prend l’Enfant et ses habits, ah ! Ils s’en vont, les pauvres, à nouveau ! Ah ! Ah, encore une fois avec l’Enfant et avec les ânes, de nouveau ! Ah ! 
     On plante un panneau, qu’y met-on ?  “ Bethléem ”. Ah ! Bethléem ? Ah ! Ils partent par ce chemin. Ah ! Les pauvres, encore ! Ils partent en marchant, en marchant. Sainte Vierge, comment tu pries sur l’âne en regardant le ciel ! Ah ! Comment elle parle à l’Enfant ! Ah, le pauvre ! Que lui dit-il ? Ah ! Elle appelle Joseph et lui dit : “ Arrêtez-vous, notre Rédempteur va nous bénir. Il nous en a donné la permission ”. 
     Ah ! La Sainte Vierge descend au sol, ils s’agenouillent, et l’Enfant, comment il fait une bénédiction avec la main ! Ah, si petit, il les bénit ! Ah ! Ils font le signe de la croix. Ah ! La Sainte Vierge lui dit : “ Joseph, nous sommes bénis, nous ne devons avoir peur de personne, car Dieu incarné est avec nous. Qui peut te tuer, mon bien ? Qui peut désirer ta mort ? Alors que tu donnes la vie à tous pour qu’ils participent à ton Règne. Qui en est capable, mon bien ? Etoile brillante de mes entrailles ! Qui est si méchant pour vouloir te tuer ? ”. 
     Ah, le pauvre ! Ah, il nettoie la Sainte Vierge ! Ah, comme il nettoie avec ses mains le visage de sa Mère ! Ah, comme il le nettoie, le pauvre, alors qu’il est si petit ! Ah ! Mais qui voudrait te tuer à Toi, mon bien ? Ah, le pauvre ! 
      Oh ! On s’arrête là. Est-il né ici ? C’est en ce lieu ! Il y a beaucoup d’anges ici. Ah, ils s’en vont une autre fois de là ! Ah ! Oh, non ! 
     Ah, comment la Sainte Vierge regarde cet endroit ! Ah, oui, c’est où il est né ! Ah, les anges viennent ; bien, ils viennent sur le chemin, s’agenouillent et chantent ! Ah ! Ah ! Comme il lui dit : “ Marie — lui dit Joseph —, je sais qu’il te plairait de t’approcher de cet endroit où le Verbe s’est fait homme, mais nous ne pouvons pas y aller. Il faut partir et nous arrêter nulle part ”. 
     Ah ! Les anges sont là. Ah ! La Sainte Vierge lui dit : “ Oui, Joseph, je suis ton humble esclave, je ferai ce que vous voudrez ”. 
     Ils s’en vont en marchant. La pauvre, comment elle regarde ! Ah, comme elle porte l’Enfant ! Comme elle le serre ! Ah, comme tu es grande ! Ah ! Ah ! Ils s’en vont en marchant. Oh ! Marie dit à Joseph : “ Joseph, proche est la ville où se trouve ma cousine Elysabeth. Combien il me plairait de la visiter et de la prévenir qu’on veut tuer le Verbe fait homme ! ”. Ah ! Joseph lui dit : “ Marie, je sais que tu ressens une grande douleur quand on te dit que tu ne peux pas lui rendre visite. Il faut suivre le chemin et ne pas nous arrêter ”. 
     Ah ! Un ange vient. La Sainte Vierge lui dit : “ Approchez-vous d’Elysabeth et dites-lui que nous allons sur le chemin de l’Egypte, qu’Hérode veut tuer l’Enfant, qu’elle fasse attention et qu’elle protège Jean, qu’on veut tuer aussi ! ” 
     Lui aussi, le pauvre ! Ah, ah ! 
     “ Dites que mon Cœur ressent une grande douleur de ne pas pouvoir lui rendre visite. Mais nous ne devons pas nous arrêter ”. 
     Ah ! L’ange s’en va. Ah ! La Sainte Vierge dit : “ Joseph, continuez, votre esclave soumise est à vos pieds ”. 
     Ah, comme tu es grande ! Que tu es bonne ! Comme elle serre l’Enfant ! La pauvre, comment elle regarde ! Elle part en priant et en baisant l’Enfant. Ah, que tu es grande ! 
     Ah ! Comme l’ange y va ! Ah ! Il vient par là avec quelqu’un. Ah, on dirait qu’il vient en l’air ! Ah, ils arrivent ! Comment ils vont les leur porter ! Ah ! Celui-ci porte des provisions, ou qu’est-ce que c’est ? Oh, combien il y a de choses ! 
     Ah ! Ils arrivent. Ah ! C’est un homme. Ah, comment il lui donne les choses ! 
     “ Prenez, belle jeune fille, votre cousine m’a ordonné de vous apporter toutes ces choses : nourriture et vêtements, pour que vous puissiez protéger votre Fils du froid et que vous puissiez vous alimenter ”. 
     Ah, il apporte de l’étoffe ! Ah, et de la nourriture ! Saint Joseph le prend. Ah ! Il le met sur l’âne. Comment celui-ci s’en va ! Il leur dit : “ Donnez votre bénédiction Madame, et je demande aussi la bénédiction de l’Enfant ”. 
     L’Enfant lève la main et fait une croix sur son front. Ah, que tu es bon ! Et elle lui dit : “ Ne dites à personne que vous nous avez vus en ce lieu, parce que Hérode nous cherchera pour tuer mon Fils ”. Il lui répond : “ Soyez tranquille, jeune fille bien-aimée, je ne dirai rien à ce sujet. Pour moi. . .”. 
     Ah ! Bon, comme il s’en va ! Ah ! Ils s’en vont. Ah, quel vent et quel froid, les pauvres ! Ah ! Que dit la Sainte Vierge ? “ Joseph, il faut se reposer, vous êtes épuisé ”.
     “ Et vous, Dame bien-aimée, mon épouse, vous êtes fatiguée aussi, vous devez vous reposer ”. 
     Ah ! Ils se mettent par ce chemin. Ils se mettent sur le sol, dans une grotte de pierre. Ils se réfugient là. Ah, quels malheureux ! Quelle pauvreté ! Ah, quelle peine ! Comment peuvent-ils être là, si pauvres ? Ah, les pauvres ! Où allez-vous aller maintenant ? Ah ! La Sainte Vierge dit : “ Reposez-vous, Joseph, vous êtes épuisé ”. 
     Elle se met à prier, la pauvre, toujours à prier ! Et quand te reposeras-tu ? Ah ! Joseph se met sur la pierre, et Elle reste avec l’Enfant. Ah, sans une maison ni rien où se mettre ! 
 

     LA SAINTE VIERGE : 
     Oui, ma fille. Combien de fois  mon Fils a-t-il dit que le Fils de Dieu n’avait pas d’endroit où appuyer la tête ! Apprenez, mes fils, apprenez de la pauvreté. 
     Et toi, sois humble, très humble, pour que tu puisses arriver jusqu’au Ciel. 
     Je vais vous bénir, mes fils ; mais avant, je vais bénir les objets. 
     Levez tous les objets. . . Tous ont été bénis avec des grâces spéciales, mes fils. 
     Je te dis aussi, ma fille, que je continuerai de te révéler les mystères cachés en ce lieu. 
     Maintenant, je vais donner ma bénédiction, mes fils. 
     Je vous bénis comme le Père vous bénit par le moyen du Fils et avec le Saint-Esprit. 
     Au revoir, mes fils. Au revoir ! 

 

 

 

 

 

 

 

2 Février 1985

 

 

"Ma fille regarde le soleil"(La TS Vierge garde un long silence pendant que les assistants observent le prodige céleste) 
"Que d'âmes ingrates! 
Malgré ce qu'elles voient, elles ne croient pas. Pauvres âmes! 
Mes enfants, regardez quelles merveilles dans l'Univers; 
ma fille, ce sont les couleurs des demeures. 
Aujourd'hui, ce message est pour les consacrés 
Mes enfants, -mots très accentués- N'offensez plus mon Fils, ne continuez pas à affliger son Cœur qui est très affligé par les âmes consacrées ne remplissant par leurs devoirs. Mettez-vous en règle avec Dieu et soyez prêts; vous avez abandonné le chemin de l'Evangile et avez exposé votre corps aux plaisirs du monde. Pauvres âmes! Convertissez-vous, car vous donnez un très mauvais exemple. Ce qui fait le plus souffrir mon Cœur, ce sont les péchés des consacrés: les péchés d'impureté, mes enfants C'est pourquoi Je vous demande de restreindre vos fautes, vos vices et vous mettre sur le chemin de l'Evangile, 
Vous avez abandonné le CHRIST, mes fils, vous n'avez pas la foi. Pauvres âmes qui ont abandonné le caractère distinctif du sacerdoce pour se mettre sur le chemin de l'Ennemi. Ce caractère distinctif était la soutane qui empêchait bien des péchés. Pauvres âmes! Elles ne sont pas loyales avec le CHRIST. Ce sont des pharisiens, des hypocrites, Mon Fils veut des âmes pures se donnant à la publication de la parole de Dieu. Il est encore temps, mes enfants, la Miséricorde de Dieu est très grande, mais sa Justice est terrible. 
Je demande aussi que les consacrés, comme le CHRIST, vivent dans la pauvreté: Lui n'avait pas de tunique de rechange. Vous vivez comme le riche avare, sans même penser à donner des miettes aux pauvres Pauvres âmes, mon Cœur les aime tant, et elles correspondent si mal à mon amour. 
Réfugiez-vous dans mon Cœur Immaculé. Il vous protègera des impuretés: imitez votre Mère, mes enfants. Soyez pauvres, humbles. Que les âmes consacrées soient des modèles de perfection pour tous les hommes. 
J' ai eu la joie de porter le CHRIST dans mes mains, mais vous, mes fils, qui touchez chaque jour le Corps du CHRIST? Vous avez perdu la foi, vous n'êtes pas loyaux en célébrant les Saints Mystères de la Messe. Vous faites beaucoup de mal aux âmes: corrigez vos vices. Soyez en règle avec le Seigneur: il faut beaucoup d'hommes saints. 
Pauvres âmes, ma fille. L'Ennemi les a fait entrer comme des agneaux dans l'abattoir de son Enfer. Prie beaucoup pour elles, fais beaucoup de sacrifices, J'ai tant de pitié pour ces âmes! Mon Cœur les aime tant et quel glaive de douleur J'ai en mon cœur à cause d'elles, mon Cœur en est tellement affligé! Je les prie de me consoler un peu et de consoler mon Fils! 
Baise le sol pour les consacrés, pour ces pauvres âmes qui ont besoin de prière et de sacrifice: ayant abandonné la prière, l'Ennemi s'est emparé de leur âme. Priez pour qu'elles prennent le chemin de l'Evangile. Pauvres âmes, ne les critiquez pas, priez beaucoup pour elles qui sont si chères à mon Cœur. 
Et toi, ma fille, sois très petite pour que Je t'élève très haut. Aujourd'hui c'est un jour spécial pour vous donner une bénédiction qui servira pour les âmes consacrées. 
Vous tous, mes enfants, aidez-les, vous êtes tous héritiers de la Gloire de DIEU. 
Levez tous vos objets. 
Tous ont été bénis avec des bénédictions spéciales. 
Que de curieux viennent en ce lieu, mais ne te préoccupe pas d'eux, ma fille, parce qu’il y a quelque chose dans leur âme qui les appelle.
Ce ne sont pas des ennemis ; eux qui repoussent les grâces ; ces pauvres âmes, qui ont besoin de ce que leur dit mon Fils. Parlez du CHRIST dans tous les lieux du monde, n'ayez pas honte sinon le Père Céleste aura honte de vous devant ses anges. 
Que personne ne vous trompe. Allez de l'avant, publiez partout la parole du CHRIST. 
Mes enfants, soyez humbles, très humbles pour gagner le Ciel. Que d'âmes croient que tout finit sur terre! Non, mes enfants, que je fois J'ai dit quel sens a la vie sur terre, si ce n'est d'atteindre le Ciel pour y être heureux. Ici tout finit mais après il y a l'ETERNITE. Pensez toujours à l'ETERNITE, l'ETERNITE (mots accentués par la TS Vierge) Cela vaut la peine de souffrir, de faire des sacrifices, pour acquérir l'ETERNITE. 
Pauvres âmes remplies de ténèbres, ce qui les attend... 
J'ai déjà dit, DIEU est très miséricordieux, mais Il est aussi très juste et rendra à chacun selon ses œuvres. Au revoir, mes enfants, au revoir. 

 

 

 

 

2 mars 1985

Ma fille, tu es triste, mon Coeur aussi est triste car les hommes s'obstinent dans le péché. Dans les foyers, les enfants se disputent avec leurs parents, les pères avec les fils, le frère avec la soeur, la soeur avec la soeur, la belle-mère contre la belle-mère, la belle-fille contre la belle-mère C'est eux-mêmes qui font la guerre, qui se haissent, ne veulent pas la paix mais la guerre.
C'est pourquoi Je te demande de prier beaucoup ma fille, la prière peut tout. Ne te décourage pas: fais des sacrifices, fais pénitence. Pense que si beaucoup d'âmes ne se sont pas encore converties, beaucoup d'autres l'ont été: elles en ont appelé à nos Coeurs et nos Coeurs se sont ouverts les portes de part en part pour qu'elles y entrent. Pour cela, Je te demande d'unir la prière au sacrifice.
Ma fille, pauvres âmes: baise le sol à cause de tous les pécheurs du monde, pour eux tous Car tous sont mes enfants.
Tu vas voir, mon Fils.

Le Seigneur parle:
LUZ (premier prénom d'AMPARO se traduisant par "Lumière") pourquoi es-tu triste ? Combien je fois j'ai dit que le disciple n'est pas plus que le Maitre. Ma fille, pense que Moi qui en mon pays, étais le Maitre, on ne m'a pas honoré. Tu n'es pas plus que Moi. Mais Je t'ai appelé et tu as entendu ma voix: Je t'ai admise en (mots perdus)
 t'ai appelée et tu as entendu ma voix. Je t'ai admise en  mon troupeau et personne ne pourra t'arracher de mes  mains.   Pauvres âmes que celles de ceux qui veulent  détruire mon oeuvre! Pauvres âmes de ceux qui ferment le  Royaume de Dieu aux hommes! Eux-mêmes n'y entrent pas et  n'y laissent pas entrer ceux qui le voudraient, induisant à ne pas croire en Moi. Que d'âmes de pharisiens hypocrites, propres  à l'extérieur mais souillées à l'intérieur. J'ai fait  le corps semblable à l'extérieur comme à l'intérieur.  Pour cela, Je veux que vous ayez le corps pareil à l'éxtérieur comme à l'intérieur et que vous le laviez.

Tu sais déjà ,ma fille, qui sont ceux qui veulent détruire  mon oeuvre. Ce sont des serpents, de la race des vipères.
Vous ne voyez pas la poutre dans votre oeil et vous voulez enlever la paille dans l'oeil de votre prochain: enlevez d'abord la poutre de votre oeil et ensuite enlevez  la paille de l'oeil de votre prochain.   Ne sois pas triste, ma fille. Ta conversion,  qu'elle ait eu lieu avant ou après, pour Moi, cela n'a  pas d'importance, pour Moi les derniers seront les premiers. Qui êtes-vous pour juger ? Il n'y en a qu'Un seul  qui vous jugera, ce sera votre Père Céleste. Ma fille, réfugie-toi dans nos Coeurs, eux ne t'abandonneront pas si tu les quittes pas. Tu fais partie de mon troupeau, Je suis le Pasteur, pense que J'ai donné ma vie pour toutes mes brebis. Si J'en ai quatre-vingt-dix neuf et qu'une soit égarée, Je quitte la bergerie et n'en vais la chercher. Quand tu es malade, toi, tu appelles le médecin car ce sont les malades qui ont besoin du médecin et non pas ceux qui sont en bonne santé. Dans le Ciel la fête est beaucoup plus grande pour une âme convertie que pour la persévérance de beaucoup de justes
Tu es en sûreté dans ma bergerie: ne t'affliges donc pas.

Pour sauver les âmes de toute l'humanité, Moi, J'ai publié l'Evangile et ils m'appelaient le "fou" ils disaient que J'étais possédé par Béelzébud et que lui parlait en mon nom. Aussi, Je te demande de manifester l'humilité que Je t'ai enseignée. Sois très humble, ma fille, avec l'humilité mon oeuvre ne se détruira pas. Je te demande aussi de beaucoup aimer tes frères -vous étes tous frères- vous êtes tous enfants de Dieu et héritiers d'une Gloire Eternelle. Cela vaut la peine de souffrir, ma fille pour recevoir une grande récompense.

Bienheureux ceux qui sont calomniés à cause de mon nom: leur héritage est sûr. Prie pour eux.
Sais-tu qui m'emmena au gibet de la Croix ?
Sais-tu qui furent les premiers ?
Prie pour eux, pour qu'ils lisent l'Evangile, le méditent et y réfléchissent car ils n'agissent pas bien. La charité est très importante envers tous.
Que ton coeur se réjouisse :au cours de l'histoire il y a eu de grands saints qui ont été de grands pécheurs et ils jouissent maintenant d'une très grande gloire. Pense donc à la gloire, non à la souffrance et à l'humiliation.

Recommence à baiser le sol pour ces pauvres âmes égarées.
Cependant toutes ne sont pas semblables au sein de ce pauvre troupeau. Il y a de nombreuses brebis aimant beaucoup mon Coeur et celui de ma Mère bien-aimée c'est pourquoi Je te dis qu'elles ne sont pas toutes semblables: qu'elles ne soient pas lâches et défendent le Christ. (Amparo baise le sol)
Cet acte d'humilité sert pour ces pauvres âmes.
Quel est celui d'entre vous qui est sans péché ? Je vous ai répété cela souvent.

Mes enfants, vous devez tous prier Dieu qu'Il fasse miséricorde à votre pauvre âme, et vous mettre bien en règle avec son Fils: Approchez vous du sacrement de l'Eucharistie en recevant auparavant celui de la confession.
Beaucoup de ceux à qui vous pensez se demandent si c'est l'oeuvre du démon ? Le démon ne construit pas, il détruit. S'ils ne parlent pas contre mon Nom, ils ne sont pas contre Moi, c'est pourquoi avec la prière vous pourrez les sauver, mes enfants.

Sois humble, ma fille, très humble pour qu'avec l'humilité on ne puisse pas détruire mon oeuvre.
Je vous bénis, mes enfants, mais auparavant Je vais bénir tous les objets avec des bénédictions spéciales pour les pauvres pécheurs. Levez tous les objets.
Ils ont été bénis.
Allez par toute la terre publier l'Evangile parlant de Dieu, c'est la Parole de l'Evangïle.
Je vous bénis, comme le Père vous bénit, par le Fils et l'Esprit-Saint: cette bénédiction est accompagnée de celle de ma Mère.
Au revoir, mes enfants, au revoir.

 

 

 

 

4 avril 1985 Jeudi Saint

MESSAGE du SEIGNEUR, JEUDI-SAINT 4 Avril I985 AMPARO souffrant des stigmates de la Passion.

Ma fille, mon agonie ne dura pas seulement trois heures: elle continue jusqu'à la fin du monde.
Sais-tu qui me fait continuer cette agonie ? Beaucoup de mes prêtres, de mes âmes consacrées. Je leur ai donné beaucoup; ils sont ceux qui ont reçu le plus et ce sont les pires, ceux qui correspondent le plus mal à mon amour.

Mes enfants, PENSEZ QUE JE SUIS PRISONNIER DANS LE TABERNACLE POUR TOUS LES HOMMES, JE DEMANDE AUSSI QUE VOUS AIMIEZ BEAUCOUP MA MERE, celui qui aime ma Mère m'aime aussi parce que J'aime beaucoup ma Mère.
Je vous demande aussi de prier pour les prêtres et aux prêtres (?) Je leur demande un peu d'Amour que Je suis en train de leur mendier! UN ROI CREATEUR, MENDIANT UN PEU d'AMOUR!
Mes enfants, priez pour eux.
Je te dis aussi énergiquement de leur faire savoir qu'ils se réveillent de leur sommeil car ils sont en léthargie. Le démon les a affaiblis ainsi pour pouvoir s'emparer de leurs âmes. Mon Coeur les aime tant! mais ils correspondent très peu à cet Amour de mon Coeur Ils sont ingrats, ont abandonné la prière et le sacrifice, encore que Je continue de les aimer et de répandre des grâces pour qu'ils se repentent. Priez pour eux; dites-leur de s'unir à mon Armée des Anges et de se laisser marquer du sceau par eux.

Vous êtes à une heure très critique, mes enfants, laissez-vous marquer du Sceau des élus.
Satan aussi marque du sceau et veut s' emparer de la plus grande partie de l'humanité.
Sur beaucoup de fronts et de mains, il y a le 666, mes enfants, ne vous laissez pas tromper par l'astuce de Satan.
Aimez ma Mère, Elle vous mènera vers Moi et Je vous emmènerai au Père.

Je viendrai comme Juge et alors [je] ne viendrai pas comme ami, mes enfants. Aussi Je vous demande de vous efforcer d'accomplir de bonnes oeuvres. Aimez-vous les uns les autres. Confessez vos péchés. Obéissez aux Dix Commandements de Dieu pour vous sauver.
Ne pensez pas que le temps est éloigné car il est proche
Maintenant Je répands des grâces et mon Coeur vient en ami, plein de Miséricorde, mais quand arrivera ce moment cette heure si terrible, Je n'entendrai pas de lamentations, Je n'écouterai pas vos gémissements.
SOYEZ PRETS, CAR C' EST UNE HEURE TRES IMPORTANTE, MES ANGES MARQUENT AVEC LE SCEAU DES ELUS.
Je vous aime beaucoup mes enfants, ne refusez pas mon Amour.

Tu vas boire les gouttes du Calice de Douleur, ma fille (On voit AMPARO faisant le geste de boire et on entend la déglutition et elle tousse comme enrouée en prononçant des "Aie"!) C'est amer, ma fille, cette amertume, mon Coeur la ressent pour tous mes fils, spécialement pour les âmes consacrées, pour ces prêtres qui sont prêtres de nom mais n'agissent pas comme tels. Priez pour eux. Je leur ai tout donné, Je leur ai remis mon Corps pour qu'ils le conduisent où ils veulent,
J'AI SOIF D'AMOUR, DONNEZ-MOI de L'AMOUR, mee enfants, mon coeur est assoiffé. Ne soyez pas ingrats.

Aujourd'hui, ma fille, tu vas recommencer à boire quelques gouttes du Calice de Douleur. Il manque peu de gouttes pour qu'il soit achevé et quand cela arrivera, ce sera la fin. (0n voit la même attitude d'AMPARO que précédemment avec la toux et les cris: elle termine en disant:"Ah! Seigneur, Ah! Seigneur..."

Ma fille, Je te demande de te sacrifier pour les prêtres: crucifie-toi chaque jour pour eux. Je veux qu'ils reprennent le bon chemin. Cela pourra s'obtenir par le sacrifice et la pénitence.

Comme Je te l'ai dit d'autres fois, vous pourrez éviter par le Rosaire, prière préférée de ma Mêre, une grande guerre, une grande catastrophe et de nombreux dangers qu'il y a dans le monde. Pour cela, je te dis:"Crucifie-toi pour les âmes consacrées.Beaucoup parmi elles n'honorent pas mon Corps JE VEUX QU'ON FASSE DES ACTES DE REPARATION POUR CES OFFENSES COMMISES PAR BEAUCOUP DE PRETRES.

Je te demande d'être fidèle, d'être forte, ma fille. Les épreuves ont été dures en commençant et celle -ci est très forte, mais continue de lutter, car il n'en est pas beaucoup de ceux-là qui croient en l'existence (?) de ma Mère. Que les prêtres et religieux croient en notre existence!
Aussi je vous demande de réparer par des actes et avec amour.Ne soyez pas ingrats.
Beaucoup disent que c'est l'oeuvre du démon. Le démon ne construit pas, il détruit. Que de fois je te répète ces mêmes paroles. L'oeuvre du démon se fait par ceux qui n'observent pas mon Evangile, ceux qui choisissent ce qui leur plait et écarte ce qui les gêne: cela c'est l'oeuvre du démon. Mais là où se trouve l'humilité la charité, l'amour, Satan ne pourra rien, ma fille. Je te demande donc d'étre humble, très humble pour empêcher Satan d'entrer.
Réfugie-toi en nos Coeurs, dans celui de ma pure et sainte Mère et dans le Mien pour en ètre fortifiée, Ne sois pas affligée ni triste. Nous sommes avec toi, ainsi que t'importe [ce qui t'arrive] de la part des autres!

Ne les critiquez pas, mes enfants, priez pour eux: ils ont tant besoin de prière et de sacrifice. Pauvres âmes! Combien mon Coeur les aime alors que beaucoup correspondent mal à cet Amour!

Aimez-vous les uns les autres: attention à vos paroles, mes enfants: la langue est un couteau à double fil. Ne vous critiquez pas, aimez-vous comme Je vous ai aimés.

Ma fille, tu vas écrire six noms en récompense pour ta souffrance: ils seront tes élus. Ecris-les sur le Livre de la Vie et au nom de Dieu. (AMPARO dit quelques paroles qu'on ne comprend pas) Ma fille, vois comme tes souffrances sont récompensées ? Six noms qui ne s'effaceront jamais.

Vois-tu ma Mère, ma fille ?
Je vais vous donner une bénédiction spéciale qui répandra beaucoup de grâces, surtout pour ces âmes qui n'ont pas encore profité du Sacrement de Pénitence et de la Confession. Aujourd'hui même, recevez-le et n'ayez pas honte de vos fautes.
DONNEZ AMOUR AU PRISONNIER QUI A SOIF DE VOTRE AMOUR, Mes Enfants, DONNEZ-MOI CET AMOUR, CAR MON COEUR EST ASSOIFFE. REFUGIEZ-VOUS TOUS EN LUI OUVERT POUR VOUS DE PART EN PART.
 

Je vous bénis, comme le Père vous bénit, par le Fils que Je suis, avec l'Esprit-Saint.
Je vous dis : LE FILS EST DIEU, l'ESPRIT-SAINT EST DIEU, le PERE EST DIEU C'EST UN SEUL DIEU EN TROIS PERSONNES MAIS LE MEME. Ce mystère vous sera révélé à votre arrivée aux Demeures célestes.

Bénissez vos parents qui vous ont donné l'être en mon nom; honorez-les :celui qui honore son père et sa mère entrera dans le Royaume des Cieux. Soyez humbles avec eux et aimez-les beaucoup. Ne regardez pas vos (?) défauts ou regardez les vôtres avant les leurs. Ils vous ont donné l'être et vous leur devez la vie. S'ils ne vous avaient pas donné la vie, vous n'auriez pas eu la connaissance de Dieu, mes enfants: d'ici même, ils sont bénis .

Levez tous les objets, tous seront bénis. Au revoir, mes enfants, au revoir.

 

 

 

 

6 avril 1985


MESSAGE reçu par AMPARO le 6 avril 1985  à 9H,Pré-Neuf La TS.Vierge parle:

Ma fille, notre rencontre se trouve ici.

-Mais tu m'as demandé de venir et comme on me l'a défendu!
Ils m'ont dit de m'abstenir, pour moi c'est une défense. Toi, qu'est-ce que tu m'en dis ? Parce que ça c'est mal passé, je veux venir en ce lieu mais Toi, aide-le pour lui donner des forces. Toi ma Mère qui peux tout!

-Ma fille, personne ne pourra détruire les plans divins.
-Ah! Mais pour moi on me les detruit, par exemple comme pour ce qui est de venir ici.
- Viens tous les jours ma fille, Je t'attends ici.
-Ah! quelle grandeur! "Madre mia!", Je suis si orgueilleuse que je voudrais venir tous les jours et te parler! Mais parfois je suis triste.
-Obéis, ma fille, unis-toi à eux par l'obéissance. Tu n'as pas fait de voeux, mais pour Moi c'est très important.
-"Madre mia! comme Tu es grande Ah! je ferai ce que Tu demandes car je suis orgueilleuse, humilie-moi si Tu veux.
-Regarde, ma fille, tous ceux que tu vois, le chapelet à la main, ont été martyrs de la prière. Ah! oui, tous ceux qui sont vêtus de blanc! Que de chapelets, quelle grandeur Tu as...
-Je continue de te répéter: continuez de prier, mes enfants, continuez les sacrifices. Je te demande aussi, ma fille, qu'on MORTIFIE SES SENS ,QU'ON AIME DIEU SON CREATEUR, DE TOUT SON COEUR, DE TOUTES SES FORCES.

Unis-toi au Vatican, prie pour le Vicaire du Christ, ne t'en écarte pas, n'écoute pas ceux qui se montrent contre le Vatican. Aime-nous beaucoup, Je te le répète encore: crucifie-toi pour les âmes consacrées. Obéis, ma fille, l'obéissance est tellement importante.
-Ah! quelle joie! quelle allégresse ressent mon coeur! Ah quelle grandeur est la tienne, "Madre Mia" Aide -moi à supporter tout, aide-moi, je veux être fidèle, obéissante et humble, mais aide-moi O Mère!
-Prie pour les prêtres, ma fille, mais ne les critiquez pas; demande qu'ils soient remplis de Dieu, que l'Esprit-Saint les illumine pour qu'ils portent le sel de la terre dans tous les coins du monde et conduisent les âmes au Ciel.
-Mère, tu sais que tous deux, je vous aime beaucoup, de tout mon coeur et de toutes mes forces (Ces paroles sont très accentuées) J'ai commencé tard à vous aimer mais je vous aime de tout mon coeur et je veux donner ma vie pour vous. O Mère! Tu dis qu'il y a bien des façons d'être martyr, mais je veux l'étre!
-J'ai un rendez-vous avec toi tous les premiers samedis (du mois) ma fille. J'ai choisi ce lieu, ce n'est pas toi qui l'as choisi, aussi Je te demanderai à quelle heure tu peux y venir pour pouvoir me rencontrer. Je choisis les endroits qui sont miens, personne ne les chotsit.
-O Mère avec quelle grandeur tu parais!
-Mes enfants, donnez l'exemple par votre charité votre humilité, votre amour. Ne demandez pas la paix si vous ne la faites pas entre vous auparavant.
Baise le sol, ma fille, en acte d'humilité. Sois humble, très humble, petite pour pouvoir te mouler selon notre désir.

Je vous donne aussi ma bénédiction très spéciale mes enfants. Cette bénédiction vient du Père, du Fils et du St Esprit: Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit par le Fils et avec le St Esprit. Je vous bénis tous, mes enfants: au revoir.

 

 

Mai 1985

 
Pas de message sur virgendolorosa.net.

 

 

 

1er juin 1985

AU PRE NEUF DE l'ESCORIAL,
LE 1er juin 1985 à 6H30  DU MATIN, MESSAGE RECU PAR AMPARO.

Ma fille, prie et fais prier. Cette recommandation est très importante. Dis qu'on prie et fasse prier: l'humanité a perdu la foi. Réfugiez-vous en ma protection et Je vous protègerai.
Mes enfants, vous serez protégés par mon coeur immaculé, je suis Mère de la Grâce,de l' Amour, de la miséricorde; venez à mon coeur car il sera votre refuge.
La Justice de Dieu le Père pèse sur la Terre. Les hommes seront lavés dans leurs propres péchés, dans leur propre sang. Comme au temps du Déluge, ils ont a- abandonné le chemin du Ciel et ont introduit l'esprit de Satan dans leurs coeurs. La Justice de Dieu pèse sur toute la Terre.  Avec leurs crimes atroces, à cause de leurs péchés d'impureté, les hommes sont lavés de leur propre péché par leur propre sang. C'est ainsi que la Justice de Dieu permet des crimes atroces, de grandes tempêtes, de grands tremblement; de terre, de grandes catastrophes sur la terre car le péché des hommes a transpercé la voûte des cieux. Je vous demande donc le sacrifice et la pénitence pour sauver beaucoup d'âmes.
Toi, ma fille Je te demande l'humilité pour pouvoir (langage inconnu à cet endroit)
Comme Je te l'ai dit souvent, tu dois prêcher par ton exemple avec humilité.
Ne te décourage pas, prie et fais beaucoup de sacrifices: le monde en a tant besoin  Mes enfants, vous êtes presque en train de vivre la fin des temps, aussi Je vous fais une importante reconmandation: prier et faite prier le saint rosaire. Le saint rosaire peut faire éviter une grande guerre, une grande catastrophe et un grand crime.
La prière, la pénitence, et le sacrifice peut tout faire éviter.

L'esprit des humains inverse cela seulement dans le péché en construisant des armes meurtrières pour détruire la plus grande partie de l'humanité.
Je te demande aussi de beaucoup prier pour le Vicaire du Christ mon fils aimé,  que mon Coeur aime tant, mais il est en grand danger, prie beaucoup pour lui, ma fille
Baise le sol en acte d'humilité Cet acte sert pour le salut des âmes.
Sois très humble, très obéissante, l'obéissance est aussi une vertu, ma fille Je sais que tu souffres mais il faut offrir ta souffrance, ta douleur pour le salut des âmes.
Mes enfants, priez, ne vous couchez pas un seul jour sans réciter le saint rosaire. Dites-le à votre Mère, Pure et lmmaculée, cette prière me plaît tant.
Je vous le demande, mes enfants et vous protégerai.

Soyez fermes et continuez de porter mes messages par tous les coins de la Terre. Votre Mère vous en récompensera.
Aimez-moi beaucoup, aimez beaucoup votre Jésus, vous ne resterez pas sans récompense. Votre Jésus vous donnera cent pour un.
Et toi, ma fille, fais-toi petite, très petite pour qu'ensuite tu puisses monter très haut. Ton obéissance me plait beaucoup; offre tout pour le salut des âmes, pour mes âmes consacrées car mon Coeur les aime beaucoup.
Sacrifice et prière, mes enfants.

Je vais vous donner ma sainte bénédiction: Je vous bénis, mes enfants, comme Le Père vous bénit, avec le Fils et l'Esprit-Saint. Je vous donne toutes mes grâces car mon Coeur désire les répandre.
Levez tous les objets, tous seront bénis. Au revoir, au revoir, mes enfants.

 

 

 

 

 

6 juillet 1985


 1er Samedi Juillet 1985

La T.S.Vierge parle:
" Mes enfants, merci d'être venus; quelle joie vous avez donnée à mon Immaculée Conception, parce que Je vois que J'ai encore des âmes qui peuvent réparer pour les autres. Aimez beaucoup votre Mère, n'ayez pas peur, si je suis avec vous, qui pouvez-vous craindre, mes enfants ?

Je vous demande aussi de faire des actes de réparation pour tant de péchés qui se commettent. Le monde est au bord du précipice; chaque jour les hommes ingrats offensent mon Coeur davantage.
Aimez beaucoup vos semblables, mes enfants.

Et toi, ma fille, je veux que tu acceptes ces épreuves si dures, avec humilité.
Les âmes victimes doivent souffrir jusqu'au bout. Réfugie-toi en mon Coeur Immaculé: il triomphera sur toute l'humanité.
Faites des actes de réparation pour les offenses si graves qui se commettent contre mon Coeur Immaculé mes enfants.
Je vous demande aussi d'aller de village en village, publiant la parole de Dieu, répandant les messages de votre Mère Pure et Immaculée.

Faites des actes de réparation. Baisez le sol, en acte de réparation à mon Coeur Immaculé (Beaucoup de personnes baisent le sol) Mon Coeur Immaculé vous protègera ,mes enfants.

N'ayez pas peur des hommes qui peuvent tuer votre corps mais non votre âme. Le corps seul ne se tue pas d'un coup de feu ou d'un coup de poignard,   (?)
la langue tue!
Mes enfants, faites attention, car Satan veille et veut s'emparer des âmes.
Pour cela, Je vous demande le SACRIFICE et la PRIERE.
Satan n'est pas dans le sacrifice ni dans la pénitence, ni dans la prière;
mais que la prière sorte du plus profond de votre coeur.

AIMEZ VOTRE MERE, AIMEZ MON FILS, REFUGIEZ-VOUS EN MON COEUR IMMACULE, mes enfants.
Je vous bénis, comme le Père vous bénit par le Fils et avec l'Esprit-Saint, mes enfants. Au revoir.

 

 

 

3 août 1985
1er samedi du mois d' août 1985
 

Je viens répandre amour et miséricorde. Ma fille, dis aux hommes que c`est encore l'heure de la miséricorde, que celle de la justice n'est pas encore arrivée, que mon Coeur est ici, déversant des grâces pour tous. Qu'on ne les refuse pas, mon Coeur lmmaculé intercède auprès du Père pour tous mes enfants.

Tous ceux qui ont la dévotion à mon Coeur Immaculé, Je promets de les sauver.

Ma fille, J`implorerai mon Fils pour qu'Il prie le Père.
Oui, mon Fils m'envoie en beaucoup de lieux du monde pour donner des avertissements mais quelle ingratitude: on ferme les oreilles à mes appels.
Aussi Je te dis que sans pénitence ni sacrifice on ne pourra sauver les âmes.
Je fais un appel: Mes Enfants: pénitence, pénitence et sacrifice.

Je demande aussi que vous alliez à la Sainte Messe tous les jours.
Je t'ai dit la grande valeur de la Sainte Messe. Mon Fils s'immole chaque jour en Elle. Ce sacrifice de la Sainte Messe a une valeur très grande et tous ceux qui ne peuvent pas y assister quotidiennement q'ils y assistent les jours de fête.
Mais vous n'en faites pas cas, rnes enfants.

Je demande aussi la confession individuelle et qu'on reçoive le sacrement de l'eucharistie. Je vous demande de faire le saint chemin de croix, et de méditer la Passion du Christ, le chapelet quotidien: vous pouvez sauver tant d'afnes avec cette prière, mes enfants.
Ayez la dévotion à vos anges gardiens, beaucoup de dévotion envers eux, ils guideront vos pas durant toute votre vie.
Implorez votre Mère qui vous aime de tout son coeur.

Que ceux qui ne peuvent venir à ce lieu consacré récitent le saint Rosaire en famille. Si vous le pouvez dites en les trois parties des Mystères: vous ne connaissez pas la valeur de ma prière devant mon Fils. J'intercède auprès de Lui mais vous devez intercéder auprès de Moi.

Baise le sol, ma fille, en réparation pour tous les péchés du monde.
Ma fille, sacrifice et prière accompagnée de pénitence. Sois forte avec tant d'épreuves. Bienheureux ceux qui sont calomniés à cause du Nom du Christ car ils auront la récompense éternelle.
Aimez votre Mère, aimez-la beaucoup car Elle vous aime, mes enfants.
Mon Coeur Imnaculé triomphera sur l'humanité.

Quelle bonne maman peut refuser à son fils un caprice ? Vous qui êtes de tendres mères, vous refusez si peu les caprices à vos enfants! Ma fille, comment refuserais Je le salut éternel que vous demandez par cette prière qui m'implore ? Votre Mère ne peut vous refuser.. (paroles en idiome inconnu) Quelle merveille ! lorsque vous pourrez obtenir tout cela.Rien de terrestre ne peut se comparer à l'éternelle félicité!
Je vous demande donc d'AIMER BEAUCOUP VOTRE MERE, car elle vous aime toujours sans que vous l'aimiez.
N'abandonnez pas le Saint Sacrifice de la Sainte Messe, il a une valeur incalculable, mes enfants. Vous ne l'appréciez pas, mais elle est si importante... (Paroles en idiome inconnu...)

Recommence à baiser le sol pour les ârnes consacrées, ma fille.
Tous ceux qui vont de village en village en publiant mes messages, qu'ils soient humbles. Aimez-vous les uns les autres. ; je ne veux pas qu'il y ait des disputes entre vous.
Que de fois Je vous ai dit :"Aimez vous comme le Christ aima ses Apôtres et comme Il vous aime."
Je vais donner ma bénédiction mais auparavant je bénirai les objets: levez tous les objets.Tous sont bénis et recevront beaucoup de grâces spéciales.

Je demande aussi qu'on ne s'interpose pas sur mon chemin lorsque Je vous demande de venir à telle heure, soyez ponctuels, mes enfants: que personne ne s'interpose: l'obéissance est très importante, ma fille tu mèneras mon oeuvre à bien avec humilité et avec l'obéissance. Je te veux humble, très humble et sacrifiée.

Je vnus bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit, par le Fils et avec l'Esprit-Saint.
Au revoir, mes enfants, au revoir.

 

 

 

 

7 septembre 1985

 

Ma fille, aujourd'hui Je vais te parler de la pureté pour que tu fasses beaucoup de sacrifice et beaucoup péitennce pour ces âmes qui se consacrent au Christ et ne laissent pas les plaisirs.

Je t'ai dit d'autres fois que pour Jésus, la pureté est très importante.
Pour Dieu le Père, vois si c'est important car Il a pris pour Mère de Jésus la femme la plus pure de la Terre: avant et après.

En une autre occasion je t'ai dit que le privilège le plus grand fut d'être Mère de Dieu mon Créateur ensuite le plus grand don que Dieu m'octroya fut d être Pure et Immaculée.
Ainsi, vois ma fille, si la pureté a de la valeur pour les hornnes devant Dieu!

Dans l'Evangile du Christ, il est dit plusieurs fois:"Si ton oeil te scandalise, ou quelque membre de ton corps, arrache-le et jette-le au loin, très loin!"
Malheur à celui qui provoque le scandale avec son corps !
Que d'indécences, que d'offenses on commet envers mon Coeur Immaculé! Sais-tu pourquoi, ma fille ? Parce qu'ils sont orgueilleux: où il y a l'humilité il n'y a pas de luxure.

Combien de fois Je t'ai dit que l'humilité est accompagnée par la pureté.
Celui qui est pur est chaste.
Malheur à mes âmes consacrées qui ne remette pas ce trésor intact et sans tâche au Christ.
Priez mes enfants, pour que leur corps ne soit pas souillé par le péché.
Prie et crie ma fille pour qu'on veille, que l'on ne tombe pas dans ce péché si grave.

Comme on lui donne peu d'importance après y être tombé!
C'est un péché très grave, ma fille. Tu as vu que ce sont les péchés de la chair qui condamnent le plus les âmes. L'enfer est rempli d'impurs.
Aussi veille beaucoup pour ces âmes, veille pour qu'elles ne tombent pas dans cet horrible péché.
Pauvres âmes! Satan s'empare de la plus grande partie de mes âmes consacrées.Ils ne renoncent pas parce qu'ils sont orgueilleux, arrogants et n'écoutent pas ma Parole, ni la Parole du Christ.

Priez, priez pour ne pas tomber en tentation, comme disait mon Fils, car la chair est faible. Le démon profite de cette fragilité car Satan avec son astuce fit commettre le premier péché d'impureté à l'homme que Dieu avait créé pour l'aimer et le glorifier (?), C'est ce premier péché qui fut la cause de cet enfer si terrible, (AMPARO pleure beaucoup en voyant le châtiment)
-Ah! non, non! fais miséricorde à tous, fais miséricorde. Pas encore, pas encore! Fais miséricorde! Ah! c'est terrible, c'est terrible!)

Continue de crier, ma fille, crie fort: dis que l'heure de la miséricorde existe encore, mon Coeur répand des grâces pour toutes ces ames et le Coeur de mon Fils également.
Par pitié, soyez purs! Par pitié soyez purs! Votre Mère vous le demande, elle veut que vous vous sauviez.

Mon Coeur est rempli de douleur,ma fille.
Que l'on en rencontre peu qui sont purs!
Priez beaucoup pour ces âmes, pour mes âmes consacrées qui continuent obstinément dans le péché. Ma fille, fais beaucoup de sacrifices et beaucoup pénitence. Là où se trouve le sacrifice, il n'y a [pas] de péché.

Baise le sol, en réparation de tous les péchés des âmes consacrées
Je continue de vous répéter, mes enfants "Ne soyez pas faibles, soyez forts"

Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit, par le Fils et avec l'Esprit-Saint.
Au revoir, mes enfants, au revoir.

 

 

 

 

 

 

5 octobre 1985
 

Ma fille, aujourd'hui ma douleur est encore plus grande que les autres jours.
Elle est causée par ceux qui se disent "miens" et vont de village en village faire connaitre mes messages. Vous ne pouvez parler de charité, mes enfants, si vous ne l'avez pas d'abord vous mêmes les uns avec les autres. Vous ne pouvez parler d'amour si d'abord vous ne vous aimez pas entre vous.
Mon Coeur est triste, car Je ne vois pas d'âmes capables d'être humbles.
C'est pourquoi Je pleure amèrement à cause des ces âmes.
(On entend pleurer et AMPARO dit à la T.S.Vierge:"Ne pleure pas! Ah! Ah!...Quelques minutes après on entend Amparo pleurer en même temps et le message continue entre des sanglots)
Vois-tu, ma fille, comme les âmes sont incapables de donner quelque chose au Christ! Quand on les humilie, elles sont furieuses. Comnent le Christ devrait être lors de l'humiliation et "ils" l'humilient quotidiennement par leurs péchés!
Je te laisse avec mon Fils, ma fille.

LE SEIGNEUR PARLE:
Qui d'entre vous est capable de faire obstacle à mes plans, les plans que J'ai pour les hommes ? La haine, la jalousie, la division, la désunion, c'est l'oeuvre de mort, c'est l'oeuvre de Satan, mes entants, C'est pourquoi Je vous ai enseigné un Comnendement: "Aimez-vous les uns les autres comme Je vous ai toujours aimé! mais ce Commandement que vous l'observez peu! Personne ne peut faire obstacle à mes plans divins: les responsables devront en rendre compte à Dieu par la suite.

J'ai besoin d'âmes capables de publier l'Evangile. Il y a besoin d'âmes mais Je n'oblige pas. J'ai besoin de ces volontaires qui voudraient aller de village en village. Je n'oblige pas bien que J'en ai besoin. Je ne vous enlève pas votre liberté, mes enfants.

La division, la désunion sont oeuvres de Satan.
Mes oeuvres sont de lumière, d'amour, de charité, de douceur.
Qui est capable de donner sa vie pour son frère ?
Personne n'en est capable , mes enfants.

J'ai donné ma Vie pour vous et vous êtes si peu capables de la donner pour moi.

Aimez-vous les uns les autres, n'ayez pas de disputes entre vous.
Ne vous mettez pas aux premières places, pensez que les premiers seront les derniers.
Vous vous mettez beaucoup au-dessus de vos frères, sans regarder la mal que vous faites pourvu que vous soyez aux premières places.
Aimez-vous et ne créez pas la division.
J'ai besoin d'âmes de bonne volonté pouvant tout me donner.

Mes enfants, combien d'entre vous font partie du groupe [des fervents de l'Escorial ?] et demeurez matérialistes tellement encore!
Je vous ai aussi demandé de tout quitter pour me suivre.
J'ai eu douze Apôtres et l'un d'entre eux me trahit.
Ne me trahissez pas, vous mes enfants.
Laissez participer toutes ces âmes qui le voudraient.
Abandonnez votre "Je" et soyez humbles, l'humilité est la principale base de tout.

En combien de lieux ma très Sainte et Pure Mère se manifeste! Mais on n'écoute pas ses appels alors qu'elle veut seulement sauver l'humanité.
Ne refusez pas les grâces, mes enfants, ne cherchez pas la désunion et la discorde.

Baise le sol, ma fille, pour toutes ces âmes afin qu'elles soient capables de tout me donner.
Elles refusent mon amour et ma miséricorde, mes enfants, et mon amour agonise avec mes mérites dans le bourbier de la faute!
Les hommes sont ingrats, n'écoutent pas mon appel: ils se sont laissés séduire par la gloire, le mensonge, la jalousie, la luxure, la convoitise, la superbe, le désordre: ils se sont laissés séduire par ce roi trompeur qui se croit victorieux.
Je vous en prie: "Prenez la main de votre Mère, Elle vous amènera à Moi J'arracherai les âmes que tient Satan qui se croit sûr de sa victoire.

Mes enfants, les Anges de ma Justice sont prêts:
l'humanité ne mérite pas le pardon ni l'amour: elle mérite d'être détruite.

Voyez à quel point j'aime les âmes: pour les arracher à Satan, J'envoie de grandes purifications, de grands tremblements de terre, de grandes catastrophes, mais les hommes se révoltent contre Moi comme des fauves blessés. Ils ne savent pas que Je veux les sauver, Je les aime tellement les âmes que Je meurs chaque jour pour elles.
Je vous demande l'humilité.
Savez-vous pourquoi existe la désunion ?
C'est parce que vous abandonnez la prière.

Ne priez pas de manière mécanique car ainsi votre prière ne vient pas de votre coeur. Aimez-vous les uns les autres car celui qui repousse son frère ou le hait, est homicide, coupable et condamnable .Aussi, je vous demande :AMOUR, UNION ET PAIX ENTRE VOUS .Qne votre visage soit toujours souriant. Dieu se trouve dons ce sourire, dans cette douceur, dans cette humilité .
Que l'orgueil ne l'emporte pas, aimez-vous comme le Christ vous aime, que l'amour sorte du plus profond de votre coeur, mes enfants.
Ne soyez pas des pharislens hypocrites.

(Amparo parle en sanglotant)

Aie! Aide-moi, Moi aussi je suis orgueilleuse, aide-moi (aie! répété).
Je n'ai pas la paix
- Cormrent veux-tu avoir la paix dans cette division et cette désunion ,ma fille ? (Amparo continue à pleurer)
- Je te promets d'être humble avec ton aide, mais parfois je ne le peux pas
- ma fille, tu reçois bien peu d'aide des humains: réfugie-toi dans le Coeur Immaculé de Marie. Elle te protègera sous son manteau. Sois humble, très humble.

Mes enfants, soyez humbles et unis.
Je vous bénis, mess enfants, comme le Père vous bénit par le Fils et le Saint-Esprit

 

 

 

 

 

2 Novembre 1985
 

Dans ce lieu, ma fille, on est en train de mentir aux humains. Pauvres âmes! Elles sont trompées et elles aiment aller à ces lieux pour se croire plus. Regardez comnent l'enfer existe parce que Luzbel (Belle Lumière) [Lucifer?] voulut en savoir plus que Dieu.
Bienheureux ceux qui croient sans voir, ils auront une grande récompense ,vous dit le Christ dans son Evangile.

Ma fille, vois comme les humains ne changent pas (Amparo s'exclame: Ah! Seigneur, le feu ,le feu .. trois, quatre) De grandes colonnes de feu détruiront la plus grande partie de l'humanité (AMPARO donne des signes d'angoisse à cause de ce qu'elle voit)
Regarde cette colonne: elle vient de l'Est et va détruire une grande partie de l'Europe. (Amparo redonne des signes d'angoisses).
Cette autre colonne, ma fille, va en direction de Rome. (Amparo dit en pleurant:"Aie! aie! le Vatican) Une grands partie de Rome sera détruite, ma fille Regarde cette autre :Russie , Chine (Aie, Aie!)
- Et quand aura lieu tout cela ?
- Cette autre ira vers l'Allerrragne.
Le monde sera détruit par le feu en plusieurs endroits.

Savez-vous pourquoi le démon continue à rôder en ce lieu pour le détruire en faisant croire que Je me manifeste ailleurs ? Parce que vous ne priez pas assez, ne faites pas assez pénitence et de sacrifices, votre prière ne vient pas du coeur, mes enfants. Comme vous appréciez peu mes manifestations !

Soyez humbles, nmes enfants, n'essayez pas de chercher.
Vous cherchez: que trouvez-vous dans ces endroits ? Mensonge, tromperie. Depuis son jeune âge, cet être a la méchanceté dans son coeur, une méchanceté destructrice pour tromper les hommes. Pauvre âme! S'il lit ce message, il aura encore le temps de réparer le mensonge et la tromperie.

J'ai besoin d'âmes capables de réparer toutes les hérésies qui se comnettent contre Moi.
Ces âmes me font tant de peine! Mais Je veux qu'elles se repentent, qu'ellles demandent pardon.

Baise le sol, en réparation pour les hérésies contre Moi et contre le Christ.
Ma fille, ils imitent mes Messages de ce lieu, ils imitent la voix, ils m'imitent pour tromper les gens. Ils jouent avec la Passion du Christ, avec ce Saint Sacrifice Divin. Ces âmes me font tant de peine! Ils mettent nos Noms dans la bouche des humains comme un jouet dans la bouche d'un enfant. C'est pourquoi Je veux des âmes réparatrices (AMPARO pleure amèrement et on entend en même temps qu'Amparo la T.S.Vierge)
-Ah! comme Elle pleure, quelle tristesse! comme les larmes tombent sur le manteau!...Aie! aie!

Entre les sanglots, la Très Sainte Vierge dit:
"Ma fille tu vas boire au Calice de Douleur, cela fait longtemps que tu n'y bois pas. Seulement une goutte. Oui, il est amer (Un entend AMPARO faire effort pour avaler, tousser et dire plusieurs fois: "c'est amer".)
Si une goutte te semble amère, ma fille, combien alors mon Coeur ressent la douleur pour ces âmes qui, jouent avec nos Noms.

J'ai besoin d'âmes réparatrices.
Qui est prêt à réparer, mes enfants ?
Vous ne prenez pas les choses au sérieux.
En conrbien de lieux, Je me manifeste pour que les hommes changent, pour qu'ils s'approchent du Sacrement de la Pérritence et de l'Eucharistie !
Que ceux qui ne l'ont pas fait encore, le fassent aujourd'hui même:
n'attendez pas une minute de plus, mes enfants.

De grandes catastrophes tomberont sur la Terre de grands fléaux, des maladies, des trombes d'eau, des ouragans et grands tremblements de terre. Tout cela tombera sur l'humanlté pour la purifier, mes enfants.

Ne vous rebellez pas contre Dieu, aimez-Le avec votre coeur votre esprit et vos sens. Réfugiez-vous dans mon Coeur Immaculé, Il vous protégera, vous conduira à Jésus pour que Jesus vous conduise au Père qui vous donnera la grande récompense.

Humiliez-vous, car celui qui s'humilie sera élevé.
Aimez votre prochain de tout votre coeur;
aimez le Christ et aimez sa Mère qui vous attend les bras ouverts.

Baise le sol à nouveau, ma fille, pour les consacrés; Mon Coeur les aime tant!

Prie beaucoup pour eux. Offre-toi en victime de réparation pour tant d'offenses, tant d'outrages qu'ils font à mon Coeur Je les aime tant! (La TS Vierge accentue ces derniers mots)

Je vais te donner un signe pour confirmer que ce que Je t'ai dit auparavant aura lieu. Quand les hommes n'aimeront pas Dieu -ceci est le cas, ma fille lorsque les consacrés abandonneront leur ministère, -ceci est en train d'arriver, ma fille- Lorsque dans les foyers il y aura peu de familles chrétiennes à remplir leurs devoirs de chrétiens,- ceci est en train d arriver ma fille,- Lorsque le père se révoltera contre le flls et le fils contre le père, -ceci est le cas, ma fille; cela sera le signal que tu me demandais.(Amparo dit alors:"Ah! je vois que c'est terrible! Ah! Ah!) C'est pourquoi ce qui peut sauver l'humanité, c'est la prière et la pénitence: vous faites si peu cas de la pénitence! mes enfants. Et que votre prière ne soit pas mécanique.
Aimez-vous les uns les autres.
Sois humble, ma fllle.

Tu vas boire encore une goutte du Calice de la Douleur. (AMPARO s'étouffe, tousse et dit :"Comme c'est amer" plusieurs fois.)
-Cette rnême amertume ,mon coeur le ressent pour tous mes enfants, pour tous sans distinction de race.

 

 

 

 

 

7 décembre 1985
 

Ma fille, regarde mon visage voilé par la douleur et mes yeux rougis par les larmes ; ma poitrine transpercée par les sept épées de douleur et les hommes disent encore que Je ne souffre pas ! 
Vois, ma fille comme mes larmes tombent sur mon manteau noir, mes yeux en sont perlés (AMPARO en voyant souffrir la T.S.Vierge a un cri de douleur. "Madre Mia !"(En Espagne, N.D. des Douleurs est représentée vêtue de noir et sept glaives lui transpercent le coeur).

Fais attention, ma fille, à ce que je vais te confier et révéler aux hommes.

"MON COEUR EST DOULOUREUX, à cause de la GRANDE RUINE EN LAQUELLE VA TOMBER L'HUMANITE. LA JUSTICE DE DIEU EST GRAVEMENT OFFENSEE. Les hommes continuent leur vie d'obstinés dans le péché et LA COLERE DE DIEU VA TOMBER D'UN MOMENT A L'AUTRE. Le monde va être secoué par de grands tremblements de terre, de grandes catastrophes ; il y aura de grandes épidémies et la disette. De grands ouragans feront déborder les mers et les fleuves.
Crie bien fort QUE LES MINISTRES DU SEIGNEUR APPELLENT L'HUMANITE A LA PENITENCE ET A LA PRIERE. Comme on ne tourne pas ses regards vers Dieu, il y aura aussi une grande guerre. (AMPARO a une expression d'angoisse en entendant ces paroles). Les hommes savants élevés au pouvoir utiliseront des armes mortelles pour détruire de grandes nations : les unes seront balayées par des tremblements de terre, d'autres par les ouragans et d'autres seront victimes des guerres.

Regarde, je supplie pour la protection du monde. Je suis en train de retenir le bras de mon Fils. TOUT CELA DEVAIT ARRIVER, mais lorsqu'il se trouve des âmes priant Dieu, Dieu empêche le châtiment. Dieu n'est pas un tyran, DIEU EST AMOUR ET MISERICORDE, mais les hommes se mettent dans le péché et vont vers l'abime.

LE SEIGNEUR PARLE :
Mes enfants, Je vous demande d'aller de village en village en publiant l'Evangile. Malheur à celui qui en enlève et y met ce qui n'y est pas.
Beaucoup de mes pasteurs font ainsi, ôtant ce qui ne leur plait pas et ajoutant ce qui leur convient.
Priez pour les consacrés, pour le Vicaire du Christ qui est en grand danger.
Faites des sacrifices. Faites pénitence.
Ne faites pas cas de ceux qui vous disent qu'il n'y a pas besoin de pénitence ni de prière pour se sauver, vous serez sauvés par la prière et a pénitence
Je ne suis pas un père tyran ou cruel. A celui qui vient à Moi, je pardonne, mais ce monde est cruel pour moi. Comme SODOME et GOMORRHE, comme avec le Déluge, cette planète va être détruite. Soyez prêts, je vous mènerai à la Terre Promise. alors, Un seul sera votre Roi et votre Pasteur. Un seul vous fera connaitre l'Evangile et vous le prêchera, sans erreurs, ni mensonges.

Il y a de nombreuses âmes consacrées, de grands saints, mais il y a aussi de nombreux loups dans mon Eglise couverts de peaux de brebis. Qu'ont-ils fait de mon Eglise ? Un repaire de voleurs.
Priez beaucoup votre Mère : Elle vous amènera à Moi et Moi, Je vous mènerai au Père, mes enfants.
 

La Très Sainte Vierge : 
Ma fille, fait oraison et pénitence pour ces pauvres âmes qui ruinent tant d’autres âmes. Elles me donnent tant de peine ! Comme elles blasphèment mon nom !
Aimez-moi beaucoup, mes fils, que je vous aime de tout mon cœur. Je vous aime tous, parce que vous êtes tous mes fils. Quelle mère ne souffrirait pas pour un fils, ma fille ? Vous êtes mères ; si votre fils va au mauvais chemin, votre cœur en est rempli de douleur. Ainsi je suis votre Mère, mes fils, et mon cœur, mon cœur, est traversé par la douleur. J’ai des épines, mes fils, beaucoup d’épines dans mon cœur, mais j’y ai aussi de l’amour, beaucoup d’amour, mes fils.

Je ne veux pas que vous vous damniez, mes fils, parce que l’Enfer existe, et l’Enfer est pour ceux qui renient Dieu, mes fils, qui se vautrent dans les plaisirs du monde et tournent le dos au Dieu Créateur, mes fils. L’enfer existe.

Aimez beaucoup votre prochain, mes fils, et aimez Dieu. Accomplissez ses commandements parce que, ma fille, comme je te l’ai dit tant de fois, dans les commandements se trouvent les Evangiles, les sacrements et toutes les lois de Dieu.

Regardez, mes fils, votre Mère retient le bras de la Justice de Dieu, parce que Dieu est Juge, et il rendra à chacun selon ses œuvres, mes fils. Soyez droits et suivez la voie de l’Evangile, mes fils.
Aujourd’hui est un grand jour, bien que je vienne remplie de douleur car les hommes ne pensent plus qu’à offenser Dieu.
Je vais donner une bénédiction spéciale qui servira, mes fils, pour tous les agonisants. Pour tous ceux qui visitent quotidiennement le Saint Sacrement, qui récitent le saint Rosaire, qui reçoivent le Christ tous les jours, je promets de les assister avec mes anges à l’heure de leur mort. Mes anges lutteront contre Satan pour lui arracher les âmes.
Ce sont des bénédictions spéciales, mes fils. Je vous bénis, mes fils comme le Père vous bénit au moyen du Fils et du Saint-Esprit.
Je vais vous bénir et cette bénédiction donnera de grandes indulgences, mes fils, à tous les objets. Levez tous les objets. . .
Je te demande l’humilité, ma fille ; les épreuves sont dures, mais ton humilité devra en venir à bout. C’est maintenant qu’arrivent les épreuves, ma fille.
Au revoir, mes fils. Au revoir !